BONUS A

!! WARNING !! :

Donc, ceci sera la scène tant attendu et acidulé de la relation charnelle entre Jamshid et Ihsan. Évidement il y aura du langage un peu, voir très crus et des scène mature c'est pourquoi je vais demander au lecteur mineur ou non averti de ce qu'est un lemon ( une scène de sexe explicite, voilà maintenant c'est fait ), de quitter la pièce et de se rendre sur le chapitre suivant où vous aurez droit à un résumé censuré tout soft et tout sweet. Pas d'inquiétude donc vous ne louperez pas grand chose c'est promis. Pour les pervers(es) qui vont rester vous êtes prévenu. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez, vous êtes prévenu que personne ne vienne se plaindre ! Sur ceux, Bonne lecture.

A oui une dernière chose : ce BONUS est en une partie, donc est TRÈS TRÈS LONG. Allez bye bye.




Jamshid embrassait doucement son azéri, partout où il l'avait déjà fait :ses mains, ses joues, ses lèvres, son front, son nez, son cou. Il espaçait chaque bise de quelques secondes pour ne pas donner à son petit effarouché l'impression de se changer en une bête assoiffé.Il se laissait faire, mais pour combien de temps ? Bientôt la peur pousserais à marquer de plus en plus d'arrêt, l'eunuque le savait.Alors il laissais ses mains parcourir la chaleur de sa peau pardessus ses vêtements. Les frottements du tissus, le son de leurs baisé humides, son souffle court, celui d' Ihsan irrégulier ... Sa paume possessive remonta sur la cuisse charnue et musclée du danseur, glissa sur son torse pour s'arrêter sur le très léger volume de son pectoraux. Sous cette tunique il y avait un corps d'Apollon, il le savait et cela ne rendait ses caresse que plus désireuses. Ihsan maintenait les yeux grand ouvert : à l'instant où il les fermait le visage de Jamshid disparaissait pour laisser place au faciès pervers du prince et ça le terrorisait. Alors il regardait son amant le couvrir de tendres baisé dénoué de luxure et tentait peu à peu de se calmer.

" -Ihsan, souffla le touareg en prenant son visage dans ses mains.Détends toi, profite, laisse aller ... Tout va bien. Je suis là, ma beauté."

Il captura ses lèvres qui se mouvèrent délicieusement contre les siennes lui arrachant un soupir. Il put avoir les yeux clos,profitant de ce toucher amoureux que jamais un autre que Jamshid ne lui avait donner de cette façon passionné et amouraché. Ils'accrocha à son dos, comme il aimait tant le faire, et s'étendis pleinement sur la couche.

" -Voilà, susurra Jamshid dans un souffle tiède. C'est bien comme ça.Mon sublime ..."

Ille complimentait en parcourant son corps avec de plus en plus d'empressement, les caresses arrachaient des frissons.

" -Tu es d'accord pour que je puisse te toucher ?"

Les joues rouge le petit azéri acquiesça, alors doucement les doigts habiles de son amant se glissèrent vers la frontière de ses vêtement. Curieux, ils passèrent en un effleurement sous le tissus.Le toucher de la peau contre la peau était délicieux pour le plus vieux, électrique pour le plus jeune. La température dans la tente était insoutenable pour l'eunuque qui cherchait de l'air et à garder son calme alors qu'il relevait avec une lenteur insoutenable le tissus de la chemise. L'épiderme d' Ihsan était d'une couleur appétissante, chocolaté, chaude, attirante, d'une teinte magnifique,juste ce qu'il fallait métissé mais surtout elle était douce, pas tout à fait comme la soie ou le velours, d'une douceur particulière.La douceur d'une surface parfaitement lisse, loin de rappeler un pelage animal ou un plumage vaporeux elle évoquait plutôt les lames des épées les plus finement travaillé tout en ayant un velouté une souplesse à se damné. Cette chaire ferme sous les doigts,coloré et tout juste révélé, sculpté à la perfection -ni trop ni trop peu- était à se damné. La musculature qu'elle recouvrait le faisait salivé, lui qui aimait les hommes aux traits doux et masculin et non androgyne. L'envie d'embrassé, de goûter cette peau était terrible ... terrible. Il releva encore davantage le tissus,sous sa paume Ihsan frissonna.

Un regards vers son visage rouge écarlate le conforta : tout allait bien. Son autre main rejoignit l'entreprise de la première en grimpant depuis la jambe telle un animal, pas à pas, avançant un doigts après l'autre, la petite bête qui monte pour dévoilé ce que l'esprit de l'eunuque imaginait déjà en salivant d'envie : le haut de sa poitrine. La moitié du torse découverte, alors qu'il le tenait par les poignet d'amour,Jamshid réalisa à quelle point sa taille était fine. Son nombril était surprenamment profond, un petit défaut qu'il adora immédiatement résultant surement du moment où on l'avait séparer de sa mère à une longueur de cordon inapproprié. De cette cicatrise naturelle partait une ligne de poil noir de geais et épais mais ce n'était pas ce qui attirait le plus le regards hélas. A la place les yeux du touareg était focalisé sur la plus récente des zébrure du corps de l'azéri, et par toutes les autres également.Il y en avait tellement ... tellement de marques de blessures blanches qui lézardais ce corps magnifique ... Certaines était si fines qu'ont les voyait à peine, d'autre étaient un peu roses,certaines presque effacées car trop ancienne, et d'autre encore blanche et vive. Certaine avait été si profonde qu'elle plissait la peau légèrement et la ridait douloureusement. Il les traça du bout des doigts sous le regards soudain fasciné d' Ihsan. Que faisait son amant à observé ainsi les marques de anatomie.

" -Il y en a tellement.

Oh pas tant que ça sur le ventre.

Où est ce le pire ? Demanda-t-il avec sérieux.

Le dos...

Je peut voir ?"

Ihsan hocha la tête et se mit à genou, de dos, avant de retirer sa tunique. Jamshid fut pétrifier devant ce tableau strié de blanc. La peau basané d' Ihsan avait viré au même pâle que celle des européen, trace d'un moment où son échine ne fut plus qu'une vaste plaie béante. Il avait soigné cette plaie, elle était vive dans son esprit, et fraîche encore dans cette chaire meurtrie. Il posa sa main sur ce paysage balafré et retint une larme. Les cicatrice était les marques d'une douleur passé ... Ihsan avait tant souffert ... Il posa sa joue contre ces preuves d'une blessures, comme pour apaiser le souvenir qu'elles renfermaient. La peau ici était douce aussi,mais irrégulière, et étrangement coloré : chaque entaille avait sa couleur propre. Certaines étaient foncé, d'autres rosé, d'autre clair. Il ferma les yeux, toujours le visage collé à ce dos tant aimé, les paumes sur sa surface convoité. Derrière, dans la chair battait fort le cœur de l'azéri, sa respiration calme et profonde montrait son attitude détendus. En effet, il se questionnait,personne n'avait jamais fait ça, il avait peur qu'on le trouve ainsi repoussant.

" -Tu n'aime pas, hein ?

Je déteste. Un si jolie dos ... Pourquoi lui à on fait ça ... C'est injuste ...

La vie est injuste, murmura-t-il d'une voix triste avec l'envie de se revêtir pour cacher cette horreur.

Je n'avais jamais vu quelque chose comme ça, souffla Jamshid en embrassant et caressant les curieux motifs.

C'est très laid, n'est ce pas ?

Non, ce n'est pas laid. Les actions derrière ce résultat le son, mais ça ce n'est pas laid.

Ce n'est pas beau.

Si, à sa manière c'est une des plus belles choses qui m'ait été donné de voir. Je trouve ce dos fascinant ... On dirait la coupole gravé d'une mosquée ... A sa façon, c'est sublime.

Non ...

Si, je te le jure. Les couleurs, les motifs ... C'est hypnotique. J'apprendrait ce motif par cœur, si tu le veut bien. Je veut pouvoir le dessiné dans mes rêves. C'est beau ... C'est fort. C'est délicat, c'est fin, et en même temps c'est puissant. Quand je vois ça, ça me fait quelque chose à l'intérieur ...

C'est de la pitié.

Non. C'est autre chose, quelque chose de fort, de profond. Ca m'émeu. J'aime ton dos, soupira il en l'embrassant à nouveau, les mains sur ses épaules. Il est beau ... Il est unique, il est spécial ... J'aimerais ... Faire quelque chose. Je peut ?

Qu'est ce que c'est ?

J'aimerais laissé ma marque sur ton dos. N'ai pas peur, c'est provisoire, c'est un baisé, c'est avec mes lèvres. Un suçon ... je peut ?

... da... D'accord."

Jamshid posa ses lèvres doucement à la jonction de sa nuque et de son omoplate et aspira la peau délicieuse. Un peu salé de sueur,parfumé, douce, étonnamment fraîche, et très légèrement sucré... Il aspira avec plus de force pendant une longue minute,embrassant encore et encore la même petite zone aux couleurs délavées. Ihsan tendu ne comprenait pas pourquoi cette sensation de sa peau ainsi malmené était si étrange, perturbante. Un long moment plus tard, enfin satisfait l'eunuque éloigna ses lèvre de la marque humide de sa salive. Elle était bien rouge et violacée à souhait, tranchant absolument avec toutes les autres traces. La première marque d'amour sur ce corps blessé. Il couvrit de baisé papillons le dos et la nuque d' Ihsan, l'embrassa derrière l'oreille avant de réclamé ses lèvre. Les poussant à de nouveau se faire face après un long balais de leurs lippes affamées les unes des autres. Jamshid put enfin regarder le torse dénudé de son amant et ce dont il rêvait. La poitrine d' Ihsan était musclée juste à point, et ses tétons brun pointaient très légèrement. Si le danseur ignorait les sentiments qui prenait par de lui avec les caresses du plus grand, son corps savait lui reconnaître l'excitation et l'appelle de la chair. Jamshid joua du pouce sur la lèvre inférieur de son amant qui le regardait avec des yeux légèrement vitreux et dilaté, mais également très effrayé. Il l'embrassa longuement mais chastement avant de lui demander d'une voix clair et calme :

" -Tu veut que moi aussi j'enlève le haut ?

Je ne sais pas ...

Ca te ferais peur ?

Je ne crois pas ...

Alors je vais le faire."

L'eunuque envoya au loin sa chemise turque, les laissant tout deux assis en tailleur vêtu seulement d'un pantalon sur le matelas de leur lit conjugale.

Ihsan détailla le torse ainsi dévoilé : Jamshid était svelte de carrure, fin, très peu musclé, et maigre, mais grand et longiligne et surtout parfaitement imberbe quand lui était couvert d'un très fin duvet invisible le corps un peu âgé de son partenaire n'avais pas un poil. Il était si lisse ... Il dessinait bien ses côtes, et ses hanches, avec une plaque de muscle abdominale. Il avait juste un petit bourrelet de peau au niveau de l'attache qui ne voulait pas disparaître. Un détaille, Jamshid avait la corpulence parfaite au fond, du moins c'était son avis. Et il ne pouvait être dit gros, il était sec : on pouvait deviner ses os partout ailleurs. C'était juste que les seuls gramme de graisse de ce corps immense s'était logé ici, malencontreusement. La nuque du touareg était également fine, ses bras maigre n'était que peau et un peu muscle. Il s'étonna d'avoir une carrure presque plus musclé que la sienne mais ses atouts virils à lui était enterré sous des courbes délicates et voluptueuses ce qui n'était pas le cas chez Jamshid. Alors certes l'eunuque était moins musclé et moins bien battis, mais le physique tout en souplesse de l'azéri détruisait grandement sa virilité et sa masculinité bien plus présente chez l'autre. Ihsan en était vexé dans sa fierté d'homme mais aussi rassuré d'être face à un vrai mâle car au fond les corps des femmes le mettait assez mal à l'aise. 

Il en avait vu si peu, côtoyer encore moins, c'était pour lui un inconnu un peu intimidant ce qui n'était pas du tout le cas du corps de l'eunuque qu'il trouvait rassurant. Pas attirant, mais rassurant. Ceci dit aucun corps ne l'attirerais jamais, il en était persuadé. Il faisait ça uniquement pour son aimé. Ce dernier respirait mal, et le regardait avec des yeux sombres et profonds, lointains, mais un sourire attendris sur son visage empêchait la vision de devenir effrayante. Soudain il remarqua ce que masquait jusqu'alors le haut de l'eunuque. Il fit un bon au plafond et recula à toute vitesse pour se réfugier au fond de la chambrée, au milieu des quelques coussins. Jamshid avait une érections ... Ca lui donnait la nausée, il ne pouvait pas lutter, il était terrorisé. Il ne voulait pas qu'on se jette sur lui et qu'on le viole de nouveau.Il fut pris de tremblements incontrôlables.

" -Ihsan ... s'étonna l'autre devant ce soudain changement d'attitude.Qu'est ce qui ne va pas ?

N'approche pas .... je t'en supplie n'approche pas ..."

Jamshid soupira et s'assit en tailleur là où il était et attendit qu' Ihsan cesse de trembler comme une feuille. Cette attente eut largement le temps de le refroidir et de l'inquiéter ce qui contribua grandement au retours au calme de la situations. Lorsque enfin le plus jeune fut détendu, il osa lui demander :

" -C'est moi qui te fais peur ? Qu'est ce que j'ai fait ?

Tu avais ... enfin tu étais ... Plus maintenant mais ...

Calme toi mon aimé, respire bien. Tout va bien. C'est finis, n'est ce pas ? Alors tu peut t'approcher non ? Demanda-t-il en écartant le creux de ses bras.

...

Fait un effort, allez. Vient. Je ne bouge pas, l'encouragea-t-il comme on apprivoise une bête sauvage et craintive. C'est ça ! Allez vient."

Lorsque l'azéri atterris dans ses bras il le serra avec force pour le rassurer, ce dernier répondit avec la même intensité à l'étreinte. S'en suivit un chaste baisé, et il s'adossa à son torse dans le creux de ses bras, laissant l'eunuque jouer amoureusement avec ses cheveux tout en éclaircissant la situation sur un ton détendu.

" -Alors ? Demanda-t-il à voit basse. Qu'est ce qui n'allait pas ?

Tu étais ... Enfin ton pantalon ...

Ah ! Compris enfin l'eunuque. Oui, j'étais excité, c'est vrai. C'est ça qui t'a effrayé ?

Mmm-mmm, hocha-t-il de la tête.

C'est parce que tu me plait, lui souffla-t-il à l'oreille en embrassant sa joue, une main sur sa hanche et caressant sa peau tiède.

Mais le prince aussi avait ...

Tous les hommes, même les castré comme moi, c'est dire si c'est une chose normal.

Oui mais ...

Tu avais peur que je devienne violent, n'est ce pas ? Ca n'arrivera pas. Ca n'est pas arriver. Tu vas mieux ? On peut continuer ?

On peut rester encore un peu comme ça ?

Bien sûr."

Ils se câlinèrent ainsi chastement pendant de longues minutes, petit à petit Jamshid faisait insensiblement remonter la tension grâce à de distraites caresses et des baisé. Sans qu'il ne le réalise ils se retrouvèrent étroitement enlacé à s'embrasser l'un sur l'autre,la main de Jamshid sur sa poitrine la malaxais étrangement. Il gémissait, c'était ... Très spécial, et ... Il ne savait comment décrire ou expliquer l'envie qu'il avait d'entendre davantage son compagnon apprécier leur étreinte. Il aimait savoir qu'il lui plaisait, qu'ils s'aimaient, que tout deux trouvaient ce moment agréable tant bien même il soit très tactile.

Ihsan dans les bras du plus grand se révélait très sexy, très séduisant, et étonnamment engager dans leurs ébats. Il passait timidement ses mains dans son dos, Jamshid désirait que son protéger cesse de retenir ses désir. Il voulait qu'il le griffe sauvagement,qu'il s'accroche à son corps, qu'il le déchire, qu'il le tire à lui, qu'il le malmène et le désir. Il voulait sentir qu'on voulait son corps plus proche, qu'on voulait sa présence, il voulait sentir les ongles de l'azéri dans sa peau.

" -Touche moi plus, lui souffla-t-il essoufflé entre deux baisé érotiques."

Les doigts fins et timides du plus jeunes commencèrent à parcourir un peu plus la surface de son torse alors qu'ils roulaient dans les draps en s'embrassant passionnément. Lui gémissait et se retenait très mal de grogner de bien être mais Ihsan lui n'avait encore laisser passé aucun son de sa gorge magnifique et de nombreuse fois baisé avec envie. Quelle frustration ... Il glissa ses paumes sur ses fesses au-travers du tissu, bon sang ce qu'il le désirait. Il le voulait si fort ... Il retourna une nouvelles fois leurs positions,plaquant Ihsan au matelas sans force, juste avec ses lèvres contre les siennes et sa langues dans sa bouche chaude et humide. Son pantalons était si serré, si encombrant ... Les mains d' Ihsan parcouraient son dos, curieuses. Il embrassa la nuque et descendit en baisé papillons jusqu'à son torse. Ces tétons le hantaient et le rendait dingue. A l'instant où il posa ses lèvres dessus Ihsan fit une étrange grimasse, il le pinça entre ses lippes et l'aspira contre la langue.

" -Aannh !"

Ils relevèrent tout deux la tête en une seconde, l'un plaquant ses mains sur sa bouche. Surpris et décontenancé autant l'un quel'autre, ils se regardaient avec des yeux ronds. Ihsan devint si rouge qu'aucun pigment n'aurait pus le décrire :

" -Je suis désolé ! Je ... C'est sorti tout seul ! Je comprends pas ! Je ... je .... je ...

C'était la chose la plus excitante que j'ai jamais entendu, souffla-t-il d'une voix grave et embrumé de désir.

Je ... Je ... je ...

Laisse moi entendre encore."

Sans attendre il se remit à l'attaque des petits boutons de chair, les malmenant, les humidifiant et tirant de dessus avec se doigts d'une main, avec sa bouche de l'autre, alternant. Ihsan ne comprenait rien de ce qui lui arrivait, il ne comprenait pas pourquoi des cris mourraient dans sa gorge, il serrait les dents, se mordit l'index très fort pour ne plus laissé l'embarrassante sonorité revenir.Pourquoi quelque chose d'aussi bizarre avait il cette effet sur lui.Tellement d'incompréhension ... Il se mit à pleurer et à sangloter, ses épaules parcourut de spasme. Jamshid stoppa tout mouvement, délaissant les deux petites bosses gonflé et luisantes pour regardé effaré de grosses larmes roulé sur les joues de son amant.

" -Ihsan ! Qu'est ce qu'il se passe ? Ca ne va pas ?

Pou-p pourquoi ?! Pourquoi ça fait ... fait ça !? C'est bi... C'est bi .... Bizarre ! Je comprends pa-as ... Pourquoi... quoi ? J'arri-ve ve ve ... pas as ... as arrêter ...er .... ça ... J'ai peu-eu-eu-eur ... eur ...

Ooh. Chuuuut ... chuuuut, fit Jamshid en lui caressant les cheveux.

Ca s'arrêtais-ais pas-pa-as ...

Chuuuut, ne pleur plus ... C'était normal, il n'y avait pas de quoi avoir peur. Tout ce passait bien pourtant ... Chuuuuuut ... Ihsan ...

No-on-on ... ça se passait pas pas pas bi-bien ... Je contrôlais-ais plus-us ... plus mon corps ... orps .... c'était toi qui qui qui .... qui ...

Chuuuuuuuuuuut ... Chuuuuuuuuuut ... C'est ça aussi, faire l'amour. C'est éprouver du plaisir par le biais de son partenaire, en fonction de ce qu'il fait. Je me serais arrêter tout de suite si tu me l'avais dit. Pourquoi tu ne l'as pas dit que tu avais peur ?

JE POU-POU-POU-POUVAIS-AIS-AIS PAS-AS !! CRÉTIN-IN !!

Chuuuuuuuuuuuut, dit-il en le serrant avec force dans ses bras. C'est fini ...

J'arrivais pas ... J'arrivais pas dire sto-op ....

Maintenant c'est finis ... Chuuuuuuuuuuuuuut ...

C'est comme ça tout le temps-emps ? Le se... le se... se .... sexe-euh ... ?

Non, bien sur que non. Enfin... Si ... C'est ... Tu avais peur de ne pas contrôler c'est ça ?"

Ihsan hocha la tête contre la clavicule de son amant et le serra en retours pour chercher du réconfort.

" -Tu n'avais pas confiance en moi ? Tu ne pense pas que j'étais capable de contrôler la situation ?

C'était trop fort .... c'était trop ... c'était bizarre ... Ca me faisait peur ...

C'était trop intense pour toi ? C'est vrai que tu n'as jamais connu ce genre de choses ... Ca te fais toujours peur ?

Un petit peu ...

De quoi tu as peur ? Ce n'étais pas bien ? Tu n'as pas aimé ?

Non ... J'aime pas ... j'arrive pas à décider, ma tête est vide ... j'arrive plus à pensé ... je me sent bizarre ... J'aime pas ça. Je contrôle plus, j'aime pas ça. On arrête, dis s'il te plaît on arrête."

Jamshid l'étreignit un peu et se mit à renifler contre sa nuque, stoppant immédiatement les pleurs de l'azéri.

" -Jamshid ?

Comment tu peut me faire ça ... c'est injuste. Moi je te désir, moi je t'aime. Moi je vais en douceur, je te fais du bien, je m'arrête quand je vois que tu as peur. Mais tu me jette ... Alors que Shapour lui te viole mais il peut toucher ton corps ! Il te fait du mal, et moi tu ne me laisse pas te faire du bien ! Lui as le droit de te faire du mal ! Et moi tu m'interdit de prendre soin de toi et de t'aimer ! Sous prétexte que lui t'as blessé moi qui t'aime et te désire entièrement je n'ai pas le droit ! Tu es tellement injuste et cruel ... Tu as eu du plaisir, et sans aucune raison valable tu arrête tout alors que nous n'avions même pas commencer, et ce juste après m'avoir laisser y croire ! Tu es injuste Ihsan, tellement injuste ...

Jamshid ... Je ...

Tu es injuste. Moi je t'aime.

Mais j'ai peur, dit-il d'une toute petite voix.

Je sais, dit il en écrasant davantage le petit corps contre le sien. C'est injuste ... Tu as détesté c'est ça ? Tu déteste que je touche ton corps !

Non mais ... j'aime pas que ... j'ai peur, c'est tout. Je n'avais plus de contrôle sur moi même, c'était étrange dans mon ventre et ma tête était vide, c'était nouveau, je ne comprenait pas ce qui se passait. Toi aussi tu aurais eut peur !

Moi je t'aurais fait confiance, renifla Jamshid avec hargne. Je t'aurais fait confiance et même si je croyait que j'y risquait ma vie je te l'aurait confier sans crainte ! Je me serais abandonner à toi, et je t'aurais laisser me gérer puisque tu aurais été le seul à comprendre la situation. Je t'aurais donner ma vie. Toi tu ne me fait pas confiance.

Si ...

Non, c'est faux ... Sinon tu aurais juste fermer les yeux, tu n'aurais pas paniquer.

Je cherchais à comprendre ! Explique moi ! Explique moi ce que c'était !

...

Jamshid, explique moi. J'avais peur. J'ai besoin que tu m'explique tout, je n'y connais rien. Je te faisais confiance aussi, pour me dire ce qui se passait, pour me guider comme un phare dans la nuit. Mon soleil ...

Ma lune ... ma beauté ...

Qu'est ce qu'il s'est passé ?

Tu es sensible à cet endroit, c'est tout. Ce n'est rien du tout.

Sen... sensible ?

Ca te faisait du bien que je te touche à cet endroit, non ?

C'était étrange ... juste étrange ...

Tu n'as pas aimé ?

Non ... si ... enfin ... comme nos baisé au début.

Tu découvre ... Laisse toi le temps de t'y habituer peut être ?

Ce sera vraiment comme nos baisé ?

Ce sera milles fois mieux, susurra-t-il, quand tu y sera habitué.

J'ai peur.

Je suis là ...... On peut reprendre ?

Je crois oui ...

Fait moi confiance maintenant, laisse moi faire d'accord ? Si tu as peur serre ma main, je ralentirais, d'accord ? Dit il en glissant sa main dans la sienne. Maintenant on n'arrête que si tu as mal.

Ou si j'ai trop peur ...

Ou si tu as trop peur.

Alors ... va y ... c'est bon ... je veut bien continuer.

Ihsan ...

Oui ? Murmura-t-il timidement.

Je t'aime.

M-moi aussi.

Je t'aime.

Moi aussi.

Je t'aime.

Je t'aime aussi."

Petit à petit, à force d'insistance et de baisé, l'azéri se détendit de nouveau et son amant put recommencer à taquiner ses tétons avec délice. Entre deux coups de langue lui arrachant un gémissement plaintif il murmura :

" -Laisse aller ta voix aussi fort que tu veut. Ca va te soulager. Ca t'aidera à supporter tout, tu te sentira mieux en criant, laisser aller tu va voir, ça fait du bien."

Ihsan au début douta, puis tenta de ne plus retenir ses cris et ses soupirs et compris instantanément que c'était une délivrance. Jamshid avait raison. Gémir fort rendais ces sensations folles et nouvelles moins intense, plus endurable, moins angoissantes. Il fut tenter de surjoué son plaisir pour se facilité encore la vie mais l'eunuque passa sur sa zone érogènes ses dents, lui arrachant untel cris qu'il abandonna bien vite sans réaliser que tout son corps frémissant s'était arqué. Il ne réalisa n'avoir pas cessé de remuer que lorsque son amant se lassa de son torse pour venir l'embrassé amoureusement en sensuellement. Jamshid encore une fois avait eut raison : le contacte désormais lui manquait. Il agrippa le dos de l'eunuque, réclamant plus de proximité, et ce dernier gronda de plaisir en se frottant à lui, leurs langues jouant entre leurs bouche un balais endiablé et très humide. Les mains de Jamshid le caressait partout, chaque parcelle de son corps dénudé. Soudain la main empoigna sa fesse et la massa, perdu dans ses embrassade il n'osa protesté à ce contacte pervers. L'eunuque trouvait la sensation des chaires dans ses mains délicieuses, mais bien trop biaisé par le tissus. Il alla glissé directement sa paume dans le pantalons de son amant en cherchant son souffle dans leur baisé interminable. Ihsan couina de surprise et le regarda avec des yeux brillant effrayé mais accepta tout de même l'attaque affamé. Avec toute la douceur du monde, et imperceptiblement, l'eunuque fit descendre millimètre par millimètre le pantalon et le linge qui lui couvrait l'entre-cuisse. Le danseur réalisa la manœuvre une fois que la base de son membre fut à l'air libre et arrêta immédiatement son amant :

" -Mais qu'est ce que tu fais ?

Tu sais, pour faire ce genre de choses il faut être nu, ria-t-il d'une voix basse et amoureuse pleine de luxure.

Je... je sais mais ...

Si je reste habiller pour l'instant ça ira non ?

Oui ... Je crois ...

Tu veut l'enlevé seul ?

Je préfère ...

Alors je te regarde, expira-t-il en déglutissant."

Rouge de gêne, lentement, timidement, Ihsan passa ses vêtements en dessous de la bosse de ses fesses, évitant au mieux qu'il pouvait de dévoilé son avant. Le regards fasciné et les halètements de Jamshid ne l'aidaient pas à se détendre. Il s'arrêta, hésitant à descendre jusqu'à mi-cuisse ses vêtements. Il inspira un grand coup pour se donner du courage, ferma les yeux et descendit tout d'un ton sec. Jamshid eut un hoquet sonore quand le membre de l'azéri se dévoila, à demi dressé et luisant. Il se mordit la lèvre devant la vision la plus érotique qu'il ai jamais vu. Les yeux mi-clos Ihsan finit de retirer complètement son vêtement et se pressa de cacher son entre jambe gêné. Pourquoi était-ce dans cet état ? Il n'était jamais comme ça normalement ... Ca venait sans raison et ça partait, mais là plus le temps passait plus la situation devenait tendus. Le plus jeune croisait les jambes encore et encore mais ne parvenait pas à masquer son état péché qui attisait les envies de Jamshid. Quel goût pouvais avoir l'interdit ? Lui même était très engoncé dans ses vêtements mais s'empêcher de les jeter au loin pour ne pas effrayé son amant en tenue d'Adam.

" -Ne te cache pas, tu es beau.

Mais c'est ... c'est dégouttant, c'est interdit.

Ce n'est pas interdit, rien ne t'es interdit ici. Tant que tu es avec moi tout t'es autorisé. Tu ne risque rien. Montre moi ..."

Avec pudeur Ihsan éloigna ses mains et écarta avec une lenteur insupportable ses cuisses musclé et élancées, dévoilant son intimité aux yeux du plus vieux qui déglutit et se lécha les lèvres. Le pénis d' Ihsan était de taille moyenne, à demi dressé,pas tout à fait dur, mais humide et suant. Il se lubrifiait déjà... Les jambes écarté, offert à la vu du plus vieux comme un appelle, ce dernier du se retenir pour ne pas se jeter la tête entre ses cuisses. Encore une fois il passa la langue sur ses lèvres,Ihsan tremblait la larme à l'œil. Entre les lobes de ses fesses on pouvait deviner son trou tout contracté ... Jamshid chercha de l'air...

" -Qu'est ce ... qu'il y a ?

Je n'ai jamais rien vu d'aussi attirant ... Wouaw ... Tu es délicieux. Une vrai merveille ... J'ai envie de te toucher ... Je peut ?

... Ca me fait peur.

Je ... Je ne te touche pas là pour l'instant. On fait ça petit à petit ... Oui ?

Oui ... D'accord."

L'eunuque fit quelques pas vers l'azéri qui referma les jambes, il lui embrassa la joue, puis sa bouche, et il passa des mains volages le long de ses jambes sur sa peau frissonnante. Il avait la chair de poule ... C'était chaud et ferme dans la main, il remonta sur le dessous la cuisse. Les inspirations bruyante d' Ihsan furent couper par un petit cris surpris et une énorme bouffée de chaleur quand le bout de l'index de Jamshid frôla sa raie. Il avait soudain chaud,tellement chaud. Il cuisait et n'arrivait plus à respirer. Qu'est ce qu'il lui arrivait ? Était il malade ? Il avait peur ...

" -J'ai chaud Jamshid ... j'ai si chaud ... C'est bizarre ... je me sent mal ...

Tu as la tête qui tourne ?

Oui ...

Alors tu es excité ... Enfin ... Tu me désire n'est ce pas ?

Je ne sais pas ... Ca fait peur ...

N'ai pas peur ...

Ca ne faisait pas ça avec le prince ...

Tu va voir ... Laisse moi toucher ... J'en ai tellement envie ..."

Il obtempéra, et Jamshid frotta sa paume brûlante dans son aine, tout prêt de l'endroit. Il souffla dessus, provocateur, Ihsan couina plus aiguë encore. Cette fois ci, bien malgré lui, son érection était complète et pulsait douloureusement. Tout son être se contractait par spasme et fondait sous les caresses. Il n'y avait plus dans son esprit que son beau scientifiques aux boucles brunes. Il n'arrivait plus à pensé qu'à lui, lui et encore lui, rien que lui et son touché doux, possessif, tendre, appuyé, les frottements de leurs peau. La paume n'était pas aussi incroyable que le contacte de son corps au complet, il le voulait plus prêt.

" -Jamshid ..."

Il écarta de nouveau les jambes et l'enserra dans ses bras, croisant les chevilles dans son dos. Ils s'embrassèrent passionnément, avec une force nouvelle et un peu d'empressement. C'était effrayant.Soudain l'eunuque posa sa main sur ses parties intimes et il cria vraiment de surprise, tout son corps se contractant vers le haut,tendu comme un arc. Il pleurait presque, il perdait pied.

" -Ihsan ... gronda une voix suave à son oreille...

Jamshid."

La main qu'il avait vu écrire, qui l'avait caressé, s'empara soudain de sa longueur.

" -AH !"

Il lui envoya un regard horrifier. Qu'est ce qu'il faisait !? Bon sang qu'est ce qu'il faisait ?! Pourquoi cela avait il cet effet sur son anatomie ?

" -Qu'est ce que tu ...

Je te touche ... C'est bon, n'est ce pas ? Demanda-t-il en abaissant vivement une première fois son poignet, frottant toute la longueur."

Ihsan renversa la tête en arrière à la recherche d'air, il avait eu des étoiles devant les yeux pendant une seconde. Un voile lui recouvrait la vu. Ce qu'il se passait était parfaitement nouveau ... Et incroyable. Ses sens en était bousculé. Jamshid l'embrassa partout tout en le masturbant doucement, gardant son autre main dans son dos pour qu'il ne se blesse pas à force de se jeter en arrière.Inconsciemment, alors qu'il gémissait plus fort que jamais, il écarta toute grande les jambes afin de s'offrir, donnant l'accès à tout son corps. Il s'accrocha aux draps, tout son corps ployait, se tendait, s'effondrait. Sa voix lui manquait, il avait la gorge sèche et Jamshid la main moite. De tout son amant, c'était la partie la plus douce. Du pouce il caressa le gland, tout le jeune homme se contracta jusqu'à la pointe de ses pieds. Il tirait sur le tissus,couvert de baisé, sa voix montant dans les aiguë remplissait toute la pièce. Il gémissait si bien ...

" -JAM ... SHID !! AH ! ARRÊTE !

Pourquoi !

Je ... Je me sent mal ! Parvint-il a marmonner parmi les gémissement tout en broyant le bras de l'eunuque de ses ongles.

Qu'est ce qu'il y a ? demanda-t-il en ralentissant la cadence de ses mouvements de poignet.

C'est bizarre, répondit Ihsan en desserrant sa prise. J'ai envie d'aller au toilettes ...

Quoi ? Fit l'autre qui tombait des nues.

Il faut vraiment que j'y aille !

Tu ne dis pas ça pour t'enfuir ?

Non, couina le danseur ...

Attends ... Tu m'avais bien dit n'avoir jamais eu d'orgasme ?

Noon, gémit-il. Jamsid c'est pas le moment ... lâche moi.

Tellement innocent, gronda-t-il d'une voix grave. Tu ne va pas y aller, on va continuer et je vais te donner ton premier orgasme Ihsan tu va voir.

Pas maintenant ... S'il te plait ...

Si. Fait moi confiance."

Il repris ses coups de poignet sur le membre d'Ihsan qui se remit à gémir avec force. La hampe laissait échapper un fluide poisseux et translucide dont l'eunuque avec les aller-venu de sa main enduisait toute la longueur la rendant luisante et brillante, humide et un peu collante. Ihsan cria une première fois plus fortement que les précédente, don corps contracté.

" -Tu es proche, pas vrai, susurra Jamshid à son oreille."

Pour toute réponse un deuxième cris trancha avec le bruit mâte mouillé et de la chair contre la chair. Finalement il lâcha un râle long,son corps entier se tendit jusqu'au point de rupture, il senti son membre pulsé et le brûler, ses bourse se contractèrent et il jouis en plusieurs long jet dans la main de son amant. Ce fut une des plus belle vision érotiques qui fut donné de voir. Un grand vide ...L'esprit blanc et cotonneux ... Il revint à lui, il reprenait corps allongé dans les draps trempé de sueur, les yeux mi-clos, le souffle court. A côté de lui Jamshid essuyait sa main dans un torchons, le regardant avec amour. Que lui était il arriver ? Il ne s'était jamais senti aussi détendu, apaisé, serein, calme, juste bien, de toute sa vie.

" -Jamshid ?

Mon amour ... Ca va ? Tu as tourné de l'œil tu sais. Lui dit-il d'une voix tendre et grave.

Mmm-mmm ... acquiesça le plus jeune, toujours étendus sur le dos, immobile. Qu'est ce qu'il s'est passé ?

Ton premier orgasme, lui fit-il malicieusement en l'embrassent tendrement.

C'était ça ?

Oui. Alors ? Tu es convaincu maintenant, que le sexe peut être agréable.

Oui ...

Alors on peut reprendre ?

Ce n'est pas fini ?

Il n'y en a eut que pour toi, et je t'ai juste toucher, grommela l'eunuque en s'installant à quatre patte au dessus de ce corps nu et offert. Surtout j'ai envie de te faire l'amour, dit-il en l'embrassant."

Le corps de Jamshid dominait de par sa position haute celui d' Ihsan. Cela aurait put lui rappeler le prince mais il n'en fut rien. Shapour était oublier en cet instant. Le monde entier n'existait plus. Il passa ses bras autours de la nuque de son amant, ce dernier l'enroula dans les siens. Ils s'embrassèrent longuement, l'azéri nullement plus gêner par sa nudité. La pudeur reviendrais, mais plus tard,quand son esprit serais complètement revenu des limbes du septièmes ciel. Ce n'était pas encore le cas. Sentant l'état seconde de son partenaire, l'eunuque toujours torse nu se permit d'être entreprenant, de montrer son désir qui n'avait fait que croître. Ils roulèrent dans les draps tièdes et trempé, leurs peau sous les caresses et les baisées, les frottements de leurs deux corps enlacé se recouvrirent bientôt à nouveau de sueur. Gémir beaucoup, entre deux coups de langue, la chaleur, l'humidité ... Le corps ... Les frictions des peau ... la chair de poule ... Le souffle erratique ...Les parfums intenses, musqué, puissant, de sexe et d'amour ... Les sons, les plaintes, les "je t'aime" soupiré ... le gout des lèvres, de la salive, du sel sur la peau ... Le toucher aux milles nuances de douceur, tiède .... les mains qui caresse, les ongles qui griffe et se maintiennent, les doigts qui s' emmêlent dans les cheveux ... Un baisé ... éternelle, sensuelle, magnifique,parfait moment de désir et de plaisir simple. Juste deux corps se frottant l'un contre l'autre par amour.

" -Ihsan ...

Jamshid ...

Je peut me mettre nu ?

Va y, souffla-t-il un peu inquiet."

L'eunuques'éloigna, en retira son pantalon simplement, sans réfléchir avant de se rasoir sur le bord de leur couchage. Son sexe était érigé,bien droit, réclamant attention depuis ce qui semblait être des heures au point qu'il en devenait douloureux. De dos, le plus vieux n'osa se retourner de peur d'effrayer son amant. Il le laissa venir se coller à son dos pour le câliné. Il se retourna sur le ventre, à genou sur le sol, le torse allongé dans les draps, laissant à Ihsan la vision de la ligne de son dos et de ses fesses.

" -Tu as peur ?

Un peu ... Mais ça va ...

Très bien, alors je viens, dit-il en grimpant à quatre patte sur le lit."

Immédiatement Ihsan rougit. Il n'avait jamais vu Jamshid nu, et la sienne était... assez grosse ... Plus il regardais son membre plus il avait la nausée. Il se détourna soudain en retenant un renvoie : son corps faisait un rejet complet. La simple vu d'un sexe en érection lui rappelait ses viols, la douleur. Si le corps de Jamshid n'était pas un rappelle de ces souvenir innommables, l'idée de ce qui viendrait ensuite si. Il avait un gout de bile dans la bouche, avalant piteusement, réfugier en boule dans un coin de la chambre. Le corps chaud de l'eunuque vint se glisser à ses côtés, et l'embrassa sur l'épaule. Il lui caressa le dos doucement pendant qu'il sanglotait.Tout ceci était douloureux. Il le pris dans ses bras, et le laissa pleurer contre son épaule. Si tout avait été plus simple alors il aurait désirer être dans les bras de son amant, être aimé par lui, et apprécier les éteintes charnelles, les attendre. Mais il n'en avait pas le loisir.

" -Ihsan ... Il est temps d'en parler tu ne croit pas ?"

Jamshid les enroula tous les deux, l'un contre l'autre, dans un grand tissus et sans cesser de l'embrasser, d'une voix basse et calme, il commença doucement à crever l'énorme abcès qui s'était formé.

" -Parle Ihsan, ça ira mieux, tout sera finit ...

Je veut pas mourir ... je veut pas mourir, se mit il a pleurer à chaude larme.

Non ... Tu ne va pas mourir, tout va bien. Je suis là.

Avant ... avant je voulais qu'on me tue ... Mais je veut plus. Je veut être avec toi ...

Je t'aime Ihsan, je serais toujours là maintenant.

Je t'aime ... je veut pas être tout seul ...

Tu n'es pas tout seul. Ca va aller. Je suis là.

Pardon ...

De quoi tu t'excuse ?

Je suis un ex-esclave, je suis une carcasse blessé avec l'esprit et le corps abîmé, je ...

Tu es une belle chose. Les plus beau navires sont ceux qui ont essuyé les pires tempêtes. Tu es un voilier sublime mon Ihsan, tu es fort, tu peut continuer de parcourir les mer du globe. Et si tes voiles se déchirent tu en installe de nouvelle une fois au port. Soit fort mon Ihsan, je suis l'oiseau dans la tempête, je suis la pour t'aider à rejoindre la côte. Je suis là.

Le prince m'a touché ... il a ...

Je sais, et c'est un serpent. Qu'il brûle en enfer. C'est lui le monstre mon aimé, mon sublime, pas toi. Toi tu es beau, et courageux, tu as été par delà les douleurs et les violences. Tu es la lune couverte de cratère qui malgré ses aller et venu illumine nos nuit. Tu es mon astre de nuit.

Avant je voulais pas entendre, je voulais juste oublier. Mais je veut plus oublier hier, et les jours passé, parce qu'il y a toi dedans. Je ne sais pas quoi faire ...

Il faut être solide mon Ihsan, être solide et vaincre le passé. Je serais là. Je suis là. Le passé est derrière, et moi je suis avec toi. Le passé ne peut rien contre nous, et je combattrais l'avenir avec toi.

Je ne sais pas aimé ...

Si, tu le fais très bien. Tu m'aime comme on ne m'a jamais aimé. Tu as appris, tu apprends, ce que tu ignore viendra. Je sais que tu m'aime. Je te l'ai dit. Tu es une bonne personne Ihsan.

Non ...

Si. Tu es une bonne personne. Quand nous étions en ville tu jouait avec les enfants, ils souriaient. Les gens était heureux de te voir. Tu apporte le bonheur où tu passe. Tu es quelqu'un de bien.

J'ai fait des choses mal.

Rien qui ne soit déjà pardonné.

Ce n'est pas pardonnable.

Moi je te pardonne. Ce n'est pas suffisant ?

... un peu ...

Tu vois. Moi je t'aime mon bel astre.

Mais je ne te désire pas. Je déteste ça ...

Tu me désire, je l'ai vu. C'est juste que cela t'effraie. Faisons juste un essaie, une fois. Tu verra que l'amour est beau, et que les moments de passion son agréable. Laisse moi te montré comme je l'ai déjà fait.

J'ai peur ...

Tu es courageux, tellement courageux. Dit-il en l'embrassant sur la joue."

D'une main furtive il se mit à le caresser doucement sur des zones érogènes, lui dérobant quelques baisés. Il pris ses mains dans les siennes et les fit voyager sur son corps afin de poussé son compagnon à le découvrir, à comprendre son aspect humain. Petit à petit le corps nu monstrueux se changea en homme dans l'esprit d' Ihsan, en touchant son visage enfin il vit celui qu'il aimait. Et il se jeta dans ses bras, l'étreignant fort. Le cœur de l'eunuque bondit dans sa poitrine, et il avala de l'air. Son aimé avait fait tant d'effort, c'était son tour. Le moment craint, celui de la honte,de la peur.

" -Ihsan, je voudrais te montrer ce que personne n'a jamais vu : ma plus terrible cicatrice, à toi qui m'a dévoilé déjà la tienne ... dit il en s'éloignant. J'en ai si honte ... Si honte ... Je ne me sentait plus homme avant, à cause d'elle. Mais tu me fait me sentir un homme. C'est aussi grâce à toi. Surtout grâce à toi. C'est pour ça que j'ai foi et que je sais qu'ensemble toi et moi nous penserons nos plaies. Bon ... Il est temps, n'est ce pas ?"

Jamshid souleva alors son membre flasque, dévoila au dessous l'incroyable vide qui s'y trouvait. Le danseur fit les yeux rond. C'était impressionnant, à vrai dire car on réalisait soudain à quelle point il manquait quelque chose à l'anatomie d'un homme lorsque ce genre de parties lui était retirer. Si l'eunuque avait honte c'est car il n'avait plus que la moitié d'un genre ... Il n'était ni un homme ni une femme, juste perdu avec l'absence de ses chaires. Fasciné et troublé Ihsan scruta la cicatrise rosâtre et boursouflé,nettement moins belle que toutes les siennes car établis en lieu creusé aux recoin de la peau. C'était laid, et effarant, mais pas effrayant, non juste étrange. Comme un vide ... une curiosité. Ihsan s'étant un peu pencher pour dévisager la chose (oubliant la présence d'un pénis au même endroit), Jamshid humilié lui demanda avec une timidité qu'on ne lui connaissait pas :

" -Tu ... Tu trouve ça moche n'est ce pas ?

Non ... J'ai déjà vu bien plus moche, lui sourit Ihsan. Quand j'étais esclave il y avait des éclopé bien plus terriblement amoché.

C'est laid ... Ca fait de moi un castré ... Je ne suis plus un homme sans ça ...

Bien sur que si ! D'ailleurs tu es mieux battis que moi à ce niveau la, rougit-il d'une voix penaude.

Quoi ?

La tienne est plus grosse."

Pendant une seconde il y eut un silence, et Jamshid éclata dans un grand rire tonitruant qui ricochait partout dans la pièce, clair et sincère. Il ria à gorge déployé, entraînant avec lui Ihsan qui finit par pouffer un petit rire chuintant. Il fallut de longues minutes pour que le touareg calme son amusement et s'effondre sur le dos en soupirant, tenant Ihsan contre lui et l'entraînant dans sa chute afin de les laissé allongé l'un contre l'autre dans les draps.

" -Merci, mon bel astre. He he ... Tu as illuminé mon année, si ce n'est la décennie passé ... Qu'est ce que je dis. Tu as illuminé au moins les 20 dernières années rien qu'avec ça ... Décidément,tu es ma lumière. Tu me sauve ... Tu me sauve vraiment de moi même.

... Toi aussi, tu me sauve de moi même.

Tu n'as pas idée de ce que tu viens de faire. Je me sent tellement mieux ... Aaaaaah .... On est bien là non ? Ihsan mon aimé ... Tu viens d'embellir le paysage de ma vie.

Juste en te disant qu'elle est ... grosse ...

Oh oui. Mais surtout ce qui faisait ma honte n'es pas ce qui as retenu ton attention et c'est ça qui est pour moi capital. A tes yeux je ne suis pas juste un faux homme, bien au contraire, dans tes yeux magnifique je suis un être entier et c'est la plus belle chose que je pouvais y voir briller, le plus beau compliment je crois qu'on m'ais jamais fait. Celui qui faisait le plus de bien à mon cœur. Mon Ihsan ...

Je ne comprends pas très bien.

Si moi aussi je parvenais à apaiser ton cœur comme tu viens d'apaiser le miens alors tu comprendrais, dit-il en l'embrassant. J'aimerais tellement que tu comprenne aussi ce sentiment de plénitude. Je suis bien dans ma peau et dans mon corps pour la première fois depuis longtemps, tu es la clef de ma délivrance. Mes problèmes ne sont plus des fardeau, grâce à toi ils sont du sable sec que le vent emporte au loin. Puisse toi aussi, tes souffrance devenir des grains de sable, aussi petit et léger que poussière."

Ille câlina, le sourire immense, pendant encore un long moment, juste tendre et gentils. "Et elle n'est pas si grosse" lui marmonna l'eunuque au court d'une étreinte amoureuse. La sensualité entre eux mit de longs moments à revenir, lentement, apporter par un désir d'une intensité décuplé chez le touareg, le désir d'aimer, le désir du corps sans plus aucun frein par la honte de soit, la confiance parfaite en soit même et en les autres. Si Ihsan avait seulement put avoir autant confiance. Hélas, il était évident que l'azéri était déjà à son degré maximum de ce côté-ci et que tant bien même sa capacité à avoir foi en les autres grandissait de jour en jour il restait un homme des plus méfiant. A force de langoureux baisé, de cette situation tout en longueur eten détente qui avait fait oublier l'angoisse d'être mit à nu, ils parvinrent à se perdre dans de langoureux baisé. Jamshid passa plusieurs fois sa langue sur les lèvres mouillées du plus jeune, ce dernier les entrouvrais légèrement, cherchant de l'air directement dans les entrailles de son amant, respirant son souffle saccadé et bouillant. Il pinça les lippes entre les siennes,jouant avec sans fin, la caresse buccale ne voulant pas finir et s'éternisant, douce,chaude, romantique, érotique et même davantage à mesure que le temps passait.

Jamshid glissa sa main le long de la délicieuse cuisse d' Ihsan, parcourant la peau du genou jusqu'à la fesse, appréciant cette rondeur et ces volumes. Il glissa un doigts sur le sommet du coccyx et le descendit lentement en suivant la raie, entre les deux fesses moites et divinement chaudes. Ihsan frissonna autant de peur que sous l'attaque de ces sentiments nouveau qu'il ne parvenait à nommer "envie","désir" ou "luxure". L'eunuque immobilisa son index, là, si proche du Graal tant attendu. Le fessier se contracta autours de son doigt, lui laissant l'idée volage de ce que serait bientôt le plaisir de leurs ébats. Lui qui n'avait jamais qu'imaginer, vierge qu'il était, les plaisirs infinies d'une union charnelle en ressentait l'approche avec un empressement insupportable.Il devait se contenir, ne pas salivé comme un fou, ne pas gémir et grogner comme un mufle. Il n'était pas un étalon, mais un amant entraînant son partenaire effrayer vers un pan nouveau de leur relation. Il se devait de se contenir, de le rassurer, de le guider vers cet extase qu'ils atteindraient bientôt tous les deux. Il pressa doucement l'anneau de chair, et Ihsan gémit en laissant perlé un torrent de larmes sur ses joues.

" -Pardon ! Tu as mal ?

Non ... pas du tout ... Je suis juste mort de peur ... ça me dégoutte ... mais continue. Je veux le faire, tu sais.

Attends ... "

L'eunuque se leva précipitamment, laissant à son amant la vision de son fessier plutôt agréable. L'azéri rougit et détourna le regards.Ce n'était pas son genre de scruter ce genre de choses ... Jamshid s'affaira bruyamment, râlant contre sa maladresse et le fait qu'il ne parvenait pas à trouver ce qu'il recherchait. Puis soudain il lâcha un cris de joie étouffé avant de revenir vers le lit avec un sourire aguicheur. Ihsan regarda ce qu'il avait été récupérer,puis le regarda lui, ses yeux passèrent de l'un à l'autre.

" -Mais qu'est ce que tu fais ?"

Jamshid lui écarta les cuisses sans gêne et ouvrit le flacon qu'il avait avec lui. Immédiatement l'azéri protesta et se cacha l'intimité en protestant devant l'absurde de la situation :

" -Mais qu'est ce que tu fais ?! C'est de l'huile de palme ou je rêve !

Tu ne rêve pas, souffla Jamshid très excité par la vision. C'est une astuce de Zal, pour préparer ses rapport disons sportif avec le prince. Ca fait moins mal quand on prépare avec une matière grasse, ça glisse mieux. Ne me regarde pas comme ça, dit-il tout aussi écarlate que le plus jeune, ce n'est pas moi qui l'est dit. Mais c'est logique alors ...

Mais tu sais ce que tu fais ?

Je t'avoue que tout ceci pour moi est totalement nouveau et que l'huile de palme c'est d'autant plus expérimentale mais ...

Donc tu n'en sais rien ?! glapit soudain Ihsan effrayé.

Ca va aller ... souffla Jamshid qui s'était déjà enduit plusieurs doigts de la substance grasse et huileuse."

L'épais liquide rependu sur ses doigts, sirupeux, les rendaient glissant. Ils'en étala consciencieusement sur le membre, d'abord le bout timidement, puis toute sa longueur, scrupuleusement il enduisit chaque côté. La chose faite, le souffle court, le sexe incroyablement dut et dressé, près pour l'action, le feu au joues,le cœur battant à tout rompre, et le corps brûlant, Jamshid introduisit sans prévenir un doigts dans le petit trou serré d' Ihsan qui poussa un cris et se tue tout de suite après. Il le regarda surpris. Ca se contractait autours de son index, c'était bon et chaud, il avait envie d'y plonger son membre. Mais Ihsan le regardait avec de tels yeux, ils ne savaient quels émotions y passaient tant il devait y en avoir.

Surpris tout d'abord, effrayer, il avait dans l'immédiat crut défaillir, se souvenant de tant de souffrance. Mais à peine avait-ce commencer que... plus rien. Oh bien sur il sentait la masse étrangère, longue et osseuse dans son corps mais ce n'était pas du tout douloureux. A peine était ce un peu gênant. Il était stupéfait et regardait Jamshid avec des yeux rond. Cette "attaque" fulgurante au lieu d'être une trahison se révélait incroyablement neutre. Quoi ?Il n'avait pas mal. Il pinça juste les lèvres quand l'eunuque bougea timidement en lui mais cela ne déclencha en rien une quelconque douleur.

" -Ca ne va pas ?

Justement ... Si. Ca va très bien, fit Ihsan en souriant tout d'un coup. C'est génial, je ne sent rien du tout !"

Bien sur ce n'était pas tout à fait vrai,cela signifiait seulement qu'il n'en souffrait pas, c'était maladroit. Jamshid fut un peu piquer au vif dans son état d'homme. Il pénétrait son amant, il le doigtait,et il ne "sentait rien du tout". Oui, il était très vexé.Mais ce n'était pas pour autant qu'il allait se transformer en brut.Il murmura "Très bien ..." et embrassa son amant en allongeant leur corps l'un contre l'autre. Puis il rajouta un deuxième doigts, étirant doucement la chair, touchant plus amplement l'antre de son bien aimé. Ce dernier gémit un peu. Il n'avait toujours pas mal, et commençait à ressentir avec surprise les effets du diamètre qui augmentait peu à peu. Jamshid joua de ses doigts, les écartant en cisaille dans un bruit humide et délicieux. Cette fois ci Ihsan poussa un cris teinté de plaisir.L'eunuque réitéra l'opération avec de plus en plus de vigueur,ajoutant même un troisième doigts dans cette cavité chaude en haletant, fou d'envie autant par son geste que par les réactions de son amant. Ce dernier se mit à se tordre de plaisir en tout sens,son esprit abandonnant rapidement toute logique devant la puissance des sensations dont jouissait son corps. Les doigts remuaient un lui,caressant ses parois, appuyant dans les chair, titillant le plus profond de son être et écartelant sans douleur son corps bientôt près à recevoir le sexe dressé et dur qu'on pressait contre sa cuisse. Le sien suintait de liquide pré-séminal et dans quelques coups de rein involontaire en dépendait sur son bassin. Les doigts de Jamshid en lui faisaient un son parfaitement érotique couvert hélas par les gémissement, les soupirs, les lamentations des deux hommes qui s'embrassait, se murmurait des "Je t'aime" et grognait de plaisir. Une pensé, une seule pensé, parvint à Ihsan :il ne doutait plus désormais qu'un coït puisse être un moment de délice impudique. Les mouvements si lascif et sensuelle, il ne les redoutaient plus à présent puisqu'il savait son tendre doux, et charmant, attentionné et doué. Nul doute que le talent qu'il mettait dans ses doigts devait faire de ce moment un pur plaisir intense et incomparable, tout nouveau pour tous les deux. L'azéri ne résista plus à la volonté de son inconscient, il avoua sans pudeur :

" -Jamshid ... C'est si bon !

Plus ?

Toi ?

Je te veut, j'en meurt d'envie."

Il voulu réfléchir une ultime fois mais sa pensé fut aspirer par un touché particulièrement précis qui lui arracha les mots tant attendu :

" -Oui, plus."

Il n'avait plus peur. Jamshid retira ses doigts tout en l'embrassant et rajouta vivement une dose d'huile sur leurs corps. Ses doigts sales luisaient tout comme son membre pulsant, détrempé du liquide lubrifiant ajouté comme naturel. L'azéri écarta avec appréhension les cuisse, de sa main souillé l'eunuque lui écarta les fesses tendis qu'il présentait son engins à l'entré de ce petit canal étroit. La caverne aux merveilles ... Doucement il appuya sur l'ouverture de son fondement, voyant avec extase l'extrémité de sa longueur s'enfoncé, le muscle en épousant parfaitement la forme avec facilité. Ihsan soupira, de peur, il sentait le début de la pénétration et était terrorisé. Jamishid l'embrassa et lui murmura des mots d'amour en continuant de lentement fondre leurs deux corps l'un en l'autre. Le gland disparut dans cette orifice qui semblait sans fond, capable de tout accueillir, la longueur entière. La jonction des deux corps suinta d'un liquide translucide et épais. Jamshid toussa, s'étouffant dans un élan de plaisir brute jamais égalé. C'était BON ! Ihsan lui chercha un souffle qui ne venait plus. L'un se sentait enserré dans un étaux chaud et étroits à s'en damné. Il lâcha un râle grave. L'autre se sentait étiré,envahis par cette hampe qui lui paraissaient en lui bien plus large que dehors. Elle caressaient les parois en se frayant un passage d'une manière absolument divine. Il aurait douter être capable de tout prendre en lui si il ne l'avait pas déjà subit avec pire autrefois. Ils s'embrassèrent avec passion, entremêlant leur langues. Les mots n'étaient plus nécessaires, ils s'étaient déjà presque dit tout ce qui était nécessaire pendants leurs long préliminaires. Enfin ils n'étaient qu'un, unis charnellement. Ils faisaient l'amour.

Tous deux capturèrent un peu d'air, le souffle affolé, le cœur comme un cheval au triple galop, le corps en pleine extase. Jamshid regarda où il en était. Déjà la moitié, seulement la moitié. Bon dieu ce que c'était exquis !

" -Ihsan ... C'est génial, dit-il d'une voix cassé. C'est meilleur quetout ce que j'avais imaginé ...

Jamshid ... souffla l'azéri d'une voix (brisé elle aussi) des plus aiguë.

Tu n'as pas mal ?"

L'azéri fit non de la tête. C'était la douleur la moins forte qu'il eusse connu, alors il n'avait pas mal. Le plaisir prenait largement le pas sur tout le reste, même sur son bon sens.

" -Il en reste la moitié, ça va aller ?"

Il hocha de la tête en gémissant d'avance à l'idée d'être si empalé, sur un membre que son esprit amoureux décuplait à l'infini. Tout était mieux avec Jamshid. Il l'imaginait pile à la bonne taille, gros mais juste ce qu'il fallait pour que ce soit une suprême luxure des plus agréables qui soit, et long mais surtout chaud, bouillant. A moins que ce ne soit lui même et son corps qui soit tout en ébullition tel une casserole oublié sur le feu :débordante de liquide brûlant et sifflant d'une manière criarde et sonore. Et l'huile qui les glissait l'un en l'autre embrasait encore davantage cette union. Jamshid rugit comme un lion :

" -IHSAN !

... oui ? souffla-t-il entre deux plaintes.

C'est dedans, entièrement ! Glapit l'eunuque qui ne parvenait plus à maintenir le ton de sa voix montant et descendant."

Ils restèrent ainsi, un instant immobile, à calmer quelque peut le brasier allumé à l'aide de douce étreinte, de baisé langoureux et de caresses chaste ou sensuelles.

" -Je vais bouger.

oui, c'est bon, va y.

Je t'aime Ihsan.

Je t'aime aussi Jamshid."

Le plus grand se retira de son délectable fourreau en un effet de sussions qui le rendit passablement fou avant de se rengainé d'un coup de rein régulier mais ferme. Il gronda, l'autre cria. C'était tellement bon ! Il réitéra, plus fort, en prenant davantage d'élan mais toujours en faisant attention à ne pas blesser son amant.Au contraire ils manquèrent à nouveau de s'étranglé dans leur bonheur et leur jouissance. Ils trouvèrent peu à peu, au bout de plusieurs va et vient, le rythme qui leur convenait. C'était charger d'amour, lent, mais puissant,pour rien au monde douloureux ou blessant, seulement les coups de buttoir dans l'étroit passage de chair ferme était aussi profond qu'engoncé. Un peu sec aussi, leurs hanches claquait légèrement l'une contre l'autre sans bruit, les son provenait des bruit de gorges régulier de Jamshid fou d'amour et des "AH !" d'un Ihsan évadé par ses sens et ses sentiments. Leurs corps s'emboîtant parfaitement faisaient un bruit humide en coulissant sur ce tempo de plus en plus lent mais de plus en plus appuyé à mesure quel'orgasme approchait. Jamshid s'enfonçait toujours plus loin dans un corps qui l'accueillait avec toujours plus de plaisir en son fin fond. Dehors se couchait le soleil rouge et de plus en plus fatigué,la lune semblant soupirait s'apprêtait à venir avec la nuit. Et soudain dans la tente, au milieu des draps froissées et trempé de sueur : une éclipse. Et un seul cris poussé par deux corps en osmose.

Ihsan reçu de plein fouet un impacte en lui si précis, si bien apposé qu'il lui fit voir les étoiles avec une intensité jamais égalé.Il balança les hanches en l'air, se cambrant pour un ultime cris alors qu'il venait aux milieu des astres.

Jamshid se déversa dans un long orgasme, éjaculant à blanc de par sa condition d'eunuque un sperme translucide exclusivement constitué de liquide séminale en une quantité proportionnelle à son plaisir.



Je vous met au défis de trouver un autre lemon de 10 000 mots, pfiou. J'espère que vous me pardonner le temps que tout écrire m'a pris. Aller, à très vite pour la suite.


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