Le monde vue par Mathilde : je m'appelle Mathilde Lubrain,  j'ai 9 ans,  je suis la fille de Hector et Anne Marie Lubrain, et on vit au 31 rue de Provence à Paris dans un hôtel privé. On part se soir en Afrique pour faire un grand voyage dans l'inconnu, pour que je découvre un autre continent, mais pour le moment je prépare ma valise et je mets dedans :  six robes pour l'été, trois petits chemises à manches courtes, trois short, un maillot de bain deux pièces blanc à fleurs rose, une paire de sandales, une paire de baskets, une paire de bottes, une paire de tongs et un grand chapeau avec un rubans rose attaché grâce à un grand nœud. Dix barbies avec deux ken, une pochette d'accessoires, un chien et un cheval. Un lapin en peluche rose et blanc, un nounours bleu et un doudou représentant  une vache violette. Et pour finir ma trousse de toilette qui contient ma brosse à dents, mon dentifrice, deux, trois jouets de bain, deux shampoings un pour les cheveux et l'autre pour le corps, et mon savon qui sent ultra bon. Je suis tellement impatiente d'y aller que j'ai le cœur qui veut sortir de ma poitrine, libre de tout croire et de tout espérer. L'Afrique, dans les plaines sauvages où vivent les fauves et les éléphants, loin de l'Europe. Je vais les oublier pendant cette semaine, mes tortionnaires qui sont les élèves de mon école, Lucie, Émilie, Jonathan, Valentin et beaucoup d'autres, mes harceleurs. Je n'allais plus les voir ni penser pendant une semaine Africaine. Quant on ira en Afrique, moi, se qui me tente se n'est pas de ce baigné dans l'immense piscine, non plus les promenades avec ma mère dans les villages Africains, ni les fêtes à L'hôtel France mais le safari "sauvage "dans la savane inhabitable et inhospitalière pour l'être humain. Ma mère m'a appelé "Mathilde on part, décent toute suite mon cœur." je coure dans l'escalier et j'arrive en hurlant de joie.  On monte dans la Bugatti royale de mon père, ça voiture fétiche, le clou de sa collection. Maxime, notre chauffeur va nous amener à l'aéroport et puis il rentre la Bugatti dans son spacieux entrepôt où sont rangées toutes ses merveilles (ses voitures).

Je me mets derrière avec ma mère, la comtesse Lubrain, mon père s'assit toujours à côté de Maxime. Je me colle contre la fenêtre pour voir tous les parisiens et tous les touristes tournés la tête quand la Bugatti royale roule dans Paris. La voiture vient de sortir de Paris, Maxime gare la Bugatti royale dans un petit champ à la périphérie de la capitale. Et dans se champ un gigantesque entrepôt, Maxime klaxon d'un coup fort, une porte s'ouvre dans le bâtiment et laisse sortir un homme dans un minibus rose. Harry sort en gesticulant, en hurlant "descendez monsieur, madame et mademoiselle chefs votre jet-privé vous attend. " nous sortîmes de la Bugatti royale et nous montons  dans le minibus. Arrivé à l'intérieur de l'entrepôt où notre avion privé nous attendait bien sagement, nous montons dans l'avion et trois heures plus tard L'Afrique.