Aomine appuya donc, sans quitter des yeux le cul du rouge aspirants son sexe. Il sentit la faible résistance de l'anneau de muscle, avant qu'il ne cède et ne le laisse entrer.

Aomine poussa un court grognement de plaisir. Dieu, c'était encore plus doux, étroit et chaud qu'il ne l'avait espéré . Sa colonne de chair continua son avancée, laissant le rouge envahit de sensation.

Le jeune soumis les yeux fermés, son souffle court et haché s'obligeait à se détendre, à accepter l'intrusion qui se faisait en lui. Cet homme était plus gros, plus épais et plus long que son ex. Mais surtout, c'était chaud, palpitant, vivant. Il gémit doucement, au rythme de la progression qu'il ressentait entre ses reins.

À l'instant même où le bas-ventre d'Aomine vint buter contre les fesses du rouge, celui-ci poussa un léger cri, reflétant à la fois son plaisir et une pointe de douleur.

- Oh, putain !

Aomine commença à enchaîner les coups de rein

-Oh oui... maître... encore ...

- J'en ai bien l'intention

Aomine plongea son nez dans le cou de son soumis et laissa une trace sur celui-ci.

Les mouvements se firent plus rapides, Aomine appréciant de faire aller et venir la longueur de son sexe dans son Tigre. Quel bonheur de sentir les muscles qui l'enserraient à chaque va-et-vient. Et cette étroitesse, cette chaleur...

Le rouge sous lui avait du mal à rassembler ses idées. C'était comme si plus rien comptais. Avec cette hampe ferme qui allait et venait en lui, dans des rythmes différents. C'était si bon...

-Oui... Oooh maître ...

Gémit Kagami tandis que les coups se faisaient plus rapides, plus secs.

- Alors tigrou... Tu aimes comme ça ?

- Oui ...

- Oui qui?

- Oui maître...

Sa main se glissa sous le rouge, empoignad le sexe du soumis. Cette fois, Taiga ne retint pas ses cris. Des étoiles éclataient partout dans son ventre, tout n'était que jouissance. Même son pénis, qu'il masturbait avec vivacité, lui procurait du plaisir.

Le membre de Daiki stimula plusieurs fois prostate du rouge. Une mains de l'homme se posèrent sur un mamelons et le pinça et le soumis jouit dans un dernier cri. Il se déchaîna alors que le le plaisir de son amant enserraient son pénis avec énergie. Puis il finit par jouir en lui.

En voyant son soumis ainsi après avoir connu la jouissance il le trouva si beau qu'il sut qu'il ne le laisserais jamais partir.