66.
Vinchenso.
Sois toi-même parce que l'original à plus de valeur qu'une copie.
- Vladimir je t'ai déjà dit que j'allais les appeler.
Je m'énervai quand mon frère me rappela pour la millième fois de téléphoner à mes fournisseurs mexicains.
Vladimir était clean maintenant pourtant il ne pouvait s'empêcher de s'intéresser,presque que plus que moi,à mes affaires.
Mon frère avait le business dans le sang,le sevrage était lent.
Je poussai la porte de la chambre où j'avais abandonné Anastasia deux heures plus tôt.
Le ciel était déjà sombre,il faisait froid dehors pourtant le rire de ma compagne réchauffa l'ambiance.
Anastasia et Elisabeth étaient assises au sol et se foutaient littéralement de mon frère et moi.
Un album photo sur les genoux et les larmes aux yeux,Anastasia releva sa tête et croisa mon regard.
- Vinchenso regarde,tu es tout nu sur cette photo.Tu étais adorable ! S'exclama-t-elle avec tant d'entrain.
- Je suis toujours adorable tout nu bébé.
Vladimir jura sur le Seigneur en Russe avant d'arracher le bouquin que tenait sa femme.
- Elisabeth tu es ingérable, où as-tu trouvé ces vieilleries ?
- C'est Anastasia ! Elle accusa ma copine d'un doigt tandis que cette dernière pouffa derrière sa main.
Je n'arrivai pas à retenir un sourire d'amusement.
Vladimir soupira avant de rigoler.
- J'ai vraiment quatre gosses.
Je tapais amicalement sur l'épaule de mon frère et,avant que je puisse dire quoi que ce soit une servante apparue.
- Le repas est servi.
- On arrive,répondit poliment mon frère.
Il tendit une main à sa femme pour la relever alors que je préférai rigoler en voyant Anastasia me tendre sa main dans l'espoir que je l'aide.
- Vous venez ? Me demanda Vladimir.
- On vous rejoint.
Anastasia,qui s'était enfin redressée,s'énerva contre moi dès qu'on fut seul.
- Regarde ton frère,un vrai gentleman ! Lui,il aide sa femme à se relever.
- C'est parce que sa femme est mince,je pouffai de rire.
- Vinchenso ! S'exclama-t-elle outrée.Est-ce que tu viens de dire que je suis grosse ?
Je rigolai devant son peu de crédibilité.
- C'est sûr que si tu compares tout à la taille de ta bite.
Elle leva les yeux au ciel et ce fut à mon tour d'être sans voix.
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