63.
Anastasia.
Demain le soleil se lèvera et on essaiera encore.
Le lendemain matin,le soleil qui filtrait à travers les rideaux laissés ouverts nous réveilla.
Vinchenso s'étira et je me blottis contre son torse musclé et encore nu de la veille.Il passa la pulpe de ses doigts sur mon bras provoquant des frissons dans tout mon être.
- On descend déjeuner ?
Pour toute réponse je poussai un petit cris de frustration.
Il sortit du lit nu comme un verre,le sourire aux lèvres.
- Allez prépare toi,le déjeuner est à neuf heures.
Je regardai mon téléphone.
J'allais devoir m'habiller vite.
Je me vêtus d'un ensemble assez simple et j'appliquai avec soin mon maquillage journalier avant de suivre Vinchenso qui attendait, assis sur le lit,que je sois prête.
Il me lança un long regard de la tête aux pieds avant de m'offrir une tape sur les fesses en se levant.
Il passa devant moi,habillé d'un pantalon noir et d'un t-shirt blanc,et je le suivis dans les escaliers.
- Salut tout le monde,dit-il joyeusement en s'engouffrant dans la grande pièce.
Je saluais la famille de Vinchenso d'un petit signe de main avant de m'assoir sur la même chaise qu'hier.
Vinchenso sous la table allongea ses grandes jambes et étendis ses bras sur le dossier de ma chaise.
Des dames habillées d'un uniforme très classique rentrèrent dans la pièce des plats à la main.
Mon ventre gargouilla et Vinchenso se pencha vers moi.
- Tu as faim de moi bébé ?
Je m'empourprai avant de me servir du jus d'orange ainsi que des viennoiseries.
- Tu vas faire quoi aujourd'hui ? Demanda Vladimir à son frère.
- Je comptais sortir avec Anastasia.N'essayes pas de me faire garder tes enfants.
Je rigolai tandis que Vladimir attrapai la tête d'un enfant pris la main dans le sac.
- Je vais garder mes petits-enfants.Je les vois déjà si peu,se plaignit la maîtresse de maison.
Je mordis dans mon croissant et manquai de m'étouffer avec quand cette dernière continua :
- Et toi Vinchenso,c'est pour quand les enfants ?
- Maman,il grogna.
- Tu devrais aussi prendre ta retraite.Sinon tes enfants vont grandir dans la violence.
Je rougis de plus belle.
- J'aime ce que je fais maman et je suis trop jeune pour avoir des enfants maintenant arrête de me mettre moi et ma copine mal à l'aise.
Il se leva avant de sortir de la pièce encore.
- Il est tellement sanguin, soufflais-je avant de sortir de table.
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