Désolé j'ai oublié hier de poster,j'avais vraiment pas d'inspiration.

Vinchenso.

Tout est éphémère,les sublimes bonheurs comme les grands malheurs.

Le périmètre était bouclé depuis deux jours pourtant je ne l'avais toujours pas trouvée.
J'allais devenir fou.
Je donnai furieux un coup de pied dans une chaise qui s'éclata au sol.
J'avais toujours ce que je voulais à la seconde même, et voilà que pour la première fois de ma vie tout ne semblait pas m'être dû.

- Putain gars tu vas casser toute ta baraque merde vas baisser,Fabio me gronda comme une mère.

Il claqua des doigts et une de mes jeunes employées de maison trottina pour ramasser le meuble fracturé.

- Cette gamine est intelligente,concéda mon acolyte.
- Trop pour mes hommes ?

Des filles qui étaient des soldats et une question qui était une réponse.
J'étais gâté aujourd'hui.

- Laisse nous du temps Vin,on va bien trouver comment la faire sortir de sa cachette.

Une idée de génie s'alluma dans mon esprit,comme allumée instantanément par un interrupteur.
Laissant en plan mon ami,je gravis rapidement les escaliers de ma villa avant de franchir,presque au pas de course,le long couloir du premier étage.Au fond, j'ouvrai la dernière porte à gauche.
Une fois dans la pièce qui me servait de bureau quand j'étais ici,j'attrapai dans un grand geste le téléphone fixe trafiqué par mon informaticien et composé le numéro d'un de mes mafieux.

- Graziano j'ai besoin que tu ailles chercher un colis pour moi.
- Pas de problema patron j'ai juste besoin de l'adresse
- Je te l'envois subito.

Je raccrochai et,à peine quelques secondes après,je sortis de la poche arrière de mon jeans mon téléphone porte,dernier cri et haute gamme.
Rapidement,je tapai l'adresse que je connaissais par miracle par cœur avant de l'envoyer à un de mes meilleurs soldats.
Ma mise tâche accomplie,je redescendis au salon.
Là-bas,Fabio était couché tel un pacha sur mon sofa,il regardait mon plafond comme si ça avait été une streapteseuse.

- Alors Einstein Eurêka ? Me demanda-t-il un sourire en coin.

Je m'affalai à côté de lui.

- En quelque sorte.