Chapitre 1 Madame-Kawata

PDV Kaly

Cela fait à présent deux mois que je suis à la colonie, étant seul dans ma demeure en pleine forêt. D'après Chiron, je suis le seul enfant d'Artémis. Mai s sa je m'en fiche, depuis deux mois, je me sens vide car la seule personne qui se soucier de moi est parti. Depuis qu'il est parti, il a laissé un vide en moi. Il me parait inrenplisable comme si j'étais destiné à rester une personne vide. Le regard toujours sans émotion, je me dirige dans mon salon où je pris des fruits dans un saladier. Aujourd'hui, il va falloir que je redouble d'effort malgré cette tristesse qui est désormais une amie. Chiron m'a demandé d'aider Luke, Annabeth et Gover. Faire le postier, la guerrière et la vétérinaire. Qu'elle chouette journée, moi j'aurais voulu revenir à ma petite vie paisible où je vivais avec mon père dans notre petit appart à New York et que je continue les cours afin de devenir botaniste. Je n'ai jamais voulu être une demi déesse ! Et si je ne le serai pas peut-être que mon père serait toujours en vie ! Bon... Sa sert à rien de m'apitoyer sur sa... Je ne m'en remettrais jamais et faut pas que je montre que ça m'affecte alors juste être distante et les aider suffira, après je pourras retourner à ma passion autre que le botaniste, la lecture. J'étais même championne de lecture rapide malgré ma dyslexie. Je peux lire un livre et tout retenir en environ cinq minutes pour trois cents pages, ce qui est plutôt pas mal. Je me changeai et me dirigé vers l'atelier de Luke. Je dois l'aider à distribuer les cadeaux des dieux pour leur enfant...

« Salut Kaly

-Salut...

-Allez entre on a du boulot »

On entre et une pile de boite en carton provenant sans doute provenant de l'Olympe fut dressés devant nous... On sépare la pile en deux en commence à distribuer. Au bout de deux trois colis, les larmes montent, sa me rappellent mon père... Je me mets derrière un arbre et contrôle ma respiration en une dizaine de minutes avant de reprendre le service. Quand tout fut terminé, il reste un colis dans l'atelier.

« Ce colis est à ton nom Kaly »

Il me tend le paquet. Il provient de l'Olympe et surun petit bout de papier coincé entre le scotch et l'ouverture du carton. Il y'est marqué « Kaly Andréou à la colonie de sangs mêlés », je l'ouvre et repose à l'intérieur, un arc en bois d'acajou les bouts mêlés par la végétation et un porte-bonheur en forme de biche attaché en haut, des flèches en bois souple et rigide de couleur foncé se fondant bien l'opposés de ses plumesb lanches et un carquois en cuir affichant en motif de bronze des symboles de la chasse. Voici donc le cadeau de ma mère. Dans le carquois se trouve une lettre expliquant le pouvoir des objets. Le tir à l'arc permet que la flèche tirée ne rate jamais sa cible, les flèches peuvent produire des effets voulus sur l'adversairecomme le bruler ou l'électrocuter et le carquois passe illimité les flèchesse trouvant à l'intérieur. De quoi être très surpuissant. Luke me remercia demon aide et c'est maintenant au tour d'Annabeth qui fut une réussite rapide. Fallait juste récupère quelque chose perdu en forêt. La, je me dirige vers l'enclos des pégases, je ramasse avec lui leur crottin et leur donne à manger. Bon, je viens à peine de terminer mais il estdéjà tellement tard. Tout le monde dort et il est vingt heures. Etant donné quepour moi le sommeil ne vient pas, j'ai décider d'aller dans une salle de chezmoi avec des cibles. J'en tire quelques-unes et à chaque fois, elles atteignentle milieu de la cible. Quinze minutes plus tard, je me penche sur les cibles enforme de créature de la mythologie notamment les harpies. Soudain, j'entends un cri, direction nord-est, il est assez faible mais vu la rapidité sa doit êtreloin. Je descends de chez moi et monte sur un cheval, ma biche qui apparaitquand j'en ai le besoin se met à courir dans le nord-est. Je la suis mon arc dans ma main droite et mon carquois dans mon dos. Faut que je me dépêche et jecrois que c'est un cri de détresse. Plus je m'approche plus le cri devenait aigu.A ce volume-là même les dieux pourrait l'entendre. Mais là, le sommeil est pluspuissant que son cri destructeur de tympans. J'arrive au-dessus de la colline grâce à Despina mon fidèle destrier. Je prends une flèche et la met sur mon arc. Je vois une jeune fille allongée et une harpie à deux doigts de la tuée.Je détache mes doigts de la corde et la flèche aussi rapide que le vent emportantune feuille lors d'une tempête se planté pile dans son cœur la transformantdonc en un tapis de poussière. Je descend et emmène Despina avec moi près de la jeune fille. Elle a les cheveux roux et la peau de couleur beige avec quelquetache de rousseur. Elle s'est évanouie, je la prends et la pose sur Despina, jemonte à mon tour en posant la rousse devant moi et j'arrive à la colonie. L'infirmerie n'est pas ouverte à cette heure-là, je vais l'emmener dans ma maison pour prendre soin d'elle et demain si elle ne s'est pas réveillée je l'emmènerai à l'infirmerie.Je dépose Despina dans son enclos et me dirige avec la fille sur mon dos jusqu'à ma demeure dans l'arbre. Je lui applique de la crème pour ses bleus et une cicatrisante sur la plaie que lui a infligé la harpie. Je lui mets un bandage sur ses hanches dont ses vêtements sont tachés du sang qu'elle a perdu. J'avais désinfecté et refermé la plaie, elle ne risquait plus rien mais elle devraitmieux dormir sur un lit. Même si j'ai qu'un lit, je la dépose dans mon lit etje me pose sur une chaise. Une question me revient en tête et qu'on me pose sans cesse dans la colonie « Pourquoi tu es froide et insensible alors que tu nous aide beaucoup ». Ma réponse est simple, je ne veux pas souffrir encore alors que je me suis toujours pas remis de la mort de mon père mais lachose que je fais tout le temps s'est aidé les autres avant moi. C'est donc surcette dernière pensé que je m'endors dans les bas de morphée

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