où es tu maya ?
Dans sa chambre sonia fue réveillé par les rayons du soleil , la rouquine souria aux souvenir ďhier soir avec Adam dansant avec elle . Jusquà ce que ses yeux tombe sur une petite poupée fabriqué a la main par sa mère et son sourir disparu peu a peu. La poupée ,était de couleur beige , cousue a la main et pour ses cheveux elle avait utilisé ceux de sa petite soeur qui était ďun rose cerisier .
Sonia se leuva mise son armur et descendit le grand escalier . A son arriver dans les cuisines ,william mangait son petit déjeuné tranquil .
Sonia : as tu eu des nouvelles sur ce clan de chevalier mercenair ?
William : si .... je connais bien le chef du nom de borry , dailleur je finissait mon repas et je partait pour son campement . Je dois te prévenir avant de te demandé de venir avec moi , cette homme vie que pour ľargent , donc il se pourrait bien que tu sois témoin de chose horrible. Tu ne dois jamais intervenir sur quoi que se sois . Ses son commerce et nous navons aucune autorisation du roi pour être là bas . Veux tu toujours venir ?
Sonia prise une pomme et croqua a pleine dent : oui avec joie .
William souria : bien nous partons pour le clan des aracnides , lorsque tu seras prette .
Sonia finissa sa pomme en vitesse . Elle prise son épée , scella son cheval et regarda son père ,qui était déjas pret bien avant elle . Sur la route qui menait au repair william ralenti le pas de son cheval .
William : sonia arrête de ten vouloir sur ce qui cest passé , tu nétait pas la et rien naurais pu empêcher sa . Tu nétait qu une jeune fille et si tu aurais été la, tu aurais été vendu et peux être pire .
Sonia serra les reines de son cheval : alors ce type pourrais avoir fait des choses a ma soeur ?
William se gratta la tête : le conaissant , il a due la vendre et rien ďautre . Il aime que les femmes et non les fillettes .
Sonia : jespere pour lui , si non je lui arache les couilles et les donnes aux chiens du palais .
William ria : calme toi guerrière ,nous verrons bien ce quil a a dire .
Arriver au repair ďimensse porte leur barra le passage et sur elle une énorme araignier y était gravé ...
En dessous de la gravure y était inscrit un petit texte .
En cest lieux réside des chevaliers errant et des comerçants. Entré si vous acheté , partez si vous voulez rien .
Tout deux poussairent les portes traînant derrière eux leur cheveaux . Sonia ne pouvait tout regardé ,tant il y avait du monde et des babioles de toute sorte .
William : ne ťéloigne pas de moi .
Un homme a la barbe longue venu a la rencontre du petit duo . Il rigola fort et marchait toute en tenant un buck ďhydromel .
??: tien tien qui avons nous là ? Sir william en personne . Que vien tu acheté cette fois ? Une scelle ? Un nouveau pot de chambre ? Ou une femme qui écarterait ses cuisses ?
William plissa les sourcils : arrête tes sotise gérard et amène moi a borry .
Gérard : qui es la rouquine ?
William : cest ma fille sonia et borry il est la ? Ou je routne chez moi avec mon or ?
Gérard ria a nouveau : il fallait le dire tout de suite que tu avait de ľor . Suis moi il est au palais des plaisir . Jespere que ta fille nest pas fragile . Ils entrairent dans une tante de fortune et laissairent les cheveaux a ľentrée . Les femmes présentes, étaient maigre et certaine ďentre elles avaient ľair malade . Sonia détourna le regard lorsquelle vue , trois hommes sur une femmes .
Gérard : borry !! Tu as de la visite !
Les hommes laissairent le passage aux otes . Au bout du passage se trouvait un homme qui embrassait les jambes ďune jeune femme tout en lui disant quelle était belle .
William : bonjour borry ...
Ľhomme sarrêta et souria a la vue de son viel ami . Il pris place sur une énorme chaise et claqua ses doights . Les femmes présente partirent sur le champ .
Borry : ques ce qui tamène dans mon domène ?
William : je suis venu pour des informations .
Borry : tu connais le tarif , de ľor , un cheval ou des femmes .
William se mis devant sonia : oublie celle la , cest ma fille . Mais jai de ľor et un étalon pur sang royal devant la tante .
Borry fie signe a ľun de ses hommes pour quil aille voir le cheval . Son homme revenu vite en lui disant quil était magnifique .
Borry : bien maintenant que tu as quel que chose en échange demande moi ce que tu veux savoir .
William : il y a de cela quel que années ,tes hommes et toi avez pillé une petite ferme a ľest , il y avait une femme , un homme et une fillette aux cheveux rosé . Quas tu fait de la filette ?
Borry se caressa la barbe : je me souvien de cette petite famille , ľhomme avait été fort un long moment , jai même pensé a le prendre ans la bande . Mais il est mort avant . Ensuite la femme était de toute beauté , je me suus fait plaisir avant de ľégorgé . Jai bien évidament gardé sa longue tresse rose pour ma collection.
Sonia serra les poings si fort que ses jointures devinrent blanche.
Borry : je suis partie de la bas après avoir pillé et sacagé . Mais mon instinc me disait que javais oublié quel que chose . Jai retourné sur les lieux et jai resté caché dsns les bois , lorsque jai vue cette petite essayé de traîné ses parents derrière la maison . Elle était si petite , quelle arrivait pas a traîner les cadavres , alors elle partie cherché sa petite luge . Elle y placa sa mère , la traîna jusque dans le trou et fie pareille avec son père . Javais jamais vue une filette aussi débrouillarde dans une telle situation . Jai attendu qurlle finissent et par la suite ľun de mes hommes partie la cherché . Elle est arrivé près de moi les yeux méfiant .
Ses petit yeux vert et ses cheveux rose ferait ma fortune , alors je lé prise avec moi . Le landemain matin je lé mise a vendre sur ma place public et jai vendu la petite pour cent pièces ďargents .
William bloqua sonia et lui fie signe de ne rien faire .
William : a qui la tu vendu ?
Borry : a la mon cher tu devras déboursé pour la suite .
Sonia déposa son épée orné ďor et de rubis : moi je veux connaître la suite es ce assez ?
Borry se caressa a nouveau la barbe : humm je voie quelle tien de toi william une vrai femme ďaffaire ! Jadore sa .. cest suffisant . Ľhomme venue auprès de moi il avait ľair ďun guerrié viking , avec ses longue tresses , des peau ďanimeau sur lui et sa hache dans son dos . Je lui est demandé son nom et doù il venait . Ľhomme ma dit de venir de loin et quil se nommait Olar ľours des montagnes . Il prit la petite dans ses bras et ľamnas sur son cheval . Il partait vers les quais . Si vous cherché cette petite elle doit sûrement être morte aujourdhui . Quel guâchi nes ce pas ? Elle serait devenue une très belle femme .
Sonia : pourquoi dis tu quelle est morte ? Tu ne le sais pas ?
Borry : par ce que chez les viking il y a trois clan que nous connaissons celui des arbres , des loups et ... celui des corbeaux .
William soupira et pris place sur une chaise : nous navons pas payé pour ce genre ďinformation.
Le viel homme regarda le chevalier : elle ma donné une épée qui a elle seule peux acheté quatre cheval de guerre alors laisse moi lui expliqué où la filette quelle cherche se trouve .
William : continue alors ..
Borry : pour le clan des arbres tu nas aucune inquiettude , ils sont passifistes et bon commerçant . Pour celui des loups , se sont des guerriers et leur femme toute autant . Là aussi tu as aucune inquiettude a avoir . Mais celui des corbeaux cest une toute autre histoire .
Sonia prise place sur une chaise : pourquoi ?
Borry : ce clan est de mauvaise augure , lorsque tu rencontre ľun dentre eux , cest que tout ton monde vas sécroulé . Ils tuent , viols les femmes et pille tout ce quils voient ďintéressant .
Sonia : pas très différent de vous a ce que je voie .
William lui donna un coup sur ľépaule . Borry prise sa pipe et fuma sans rien dire pendant un moment .
Borry : peux être mais nous ne torturont pas nos victime nous leur offront une mort rapide et sans douleur tandisque cest bête sauvages coupe les membres un a un , jusqua ce que tu meurt . Il sacrifie les femmes a leur dieux et les pauvres enfants se retrouve a devenir des esclaves pour le restant de leur jours . Jai rencontré un survivant une fois , il avait la moitier du visage brûler vif et il lui manquait un bras . Il ma raconté que ses hommes était habillé de cadavres ďanimeaux et quils étaient immensse .
Quils entraient dans ta tête et que tu ne pouvait plus te libérer de leur images . Les cries , le sang et leur hurlement animal te marquait pour le restant de tes jours . Alors jespere pour vous que cette filette nest pas avec eux .
William : où peux ton trouvé ce Olar ?
Borry : il vien ici une fois par mois pour des tissus des filets de pêches et parfois du bétail .
William lui donna un sac ďor : prévien moi si il revien je compte sur toi borry .
Borry : aurevoir mon ami et si un jour tu veux me vendre ta fille je suis preneur !
William : dans tes rêves vieux pervers .
Ils repartirent tout les deux sur la jument de sir william . Sur la route sonia bouillait de rage , ce vieux crétin avait tuer ses parents et vendu sa soeur !
William sarrêta et fie descendre sa fille de sa monture .
William : je sais ce que tu pense , tu veux tuer cet homme , pour tavoir enlevé ta famille , mais sache quil te reste peux être ta soeur et quil est le seul a pouvoir nous dire qui est ce Olar .
Sonia : tu ma promis de la retrouvé et bien moi je te promet que lorsquelle seras avec moi . Je le tuerai de mes mains avec ou sans toi !
William : la vengeance te mèneras nulpart sonia , elle est comme un rat qui te ronge de ľintérieur afin dy en sortir .
Sonia : je serai bien plus heureuse de voir se porc mourir au bout de ma lame !
William soupira : et un autre porc prendras sa place !
Un homme vêtue ďune armure arriva sur un cheval noir a plaine course vers eux.
Homme : sir william nous vous cherchions il y a eu une attaque du côters du duc jones . Ont dit que ses ľoeuvres de viking . Nous avons besoin de vôtre aide .
William sauta sur son cheval ...
William : sonia prend mon épée et monte avec lui . Nous devons leur venir en aide .
Arrivé sur les lieux de ľattaque sonia reconnue très vite guillaume qui était en train de parlé a ses hommes . Il regarda dans leur direction et marcha vers eux .
Guillaume : regardé ce quils ont fait . Ils nous ont attaqué par surprise .
Tout autour ďeux , était étendu au sol des cadavres de viking et des hommes de leur rang . Ont aurais dit une champ de batailles après une guerre .
William : ques ce quils cherchaient ?
Guillaume : Des vivres et nos cheveaux ,mais heureusement ils non pas réussi leur coup , nous les avons tous eux .
Pendant quils discutaient sonia regarda les cadavres et sur chacun ďeux il y avait un symbole ďarbre . Serais ce celui que borry leur aurait parlé ? Mais pourquoi des vikings passifistes attaqueraient la maison ďun Duc ? Il y avait anguille sous roche dans cette histoire . Un croassement étrange attira ľattention de la guerrière .
Un corbeau regardait la rousse sans faire aucun mouvement , jusqua ce qu une roche fue prochté vers lui . Sonia regarda derrière elle afin de savoir qui avsit lancé le projectile sur ľoiseau.
Guillaume : ne laisse jamais ses oiseaux noir taprocher, ils sont des porte malheur et messager des wendigos .
Sonia : ques ce qu un wendigo ?
Guillaume : des animals a moitier homme et a moitier vivant . Ils tuent tout ceux et celle sur leur passage .
Sonia : tu es sérieux ? Seraice une légende local ?
Guillaume : ils ne sont pas une légende , tu sais ? ils existent belle et bien et ils sont dangereux .
La rousse se demandait si cétait ce fameux clan des corbeaux ?
À suivre ...
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