𝒞 ᵃᵘᵈᵃᶜⁱᵉᵘˣ


Hello, avant de commencer :

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ʲ'ᵃⁱ ᵇⁱᵉⁿ ᵛᵘ ᵠᵘᵉ ᶜ'ᵉˢᵗ ᶜ̧ᵃ ᵠᵘᵉ ᵛᵒᵘˢ ᵃⁱᵐᵉᶻ 👍

Pour les âmes sensibles, on se voit au prochain chapitre.

Bonne lecture ~



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C'est la Saint-Valentin...

En ce beau 14 février, je me rend au lycée.

Je suis en terminale, et depuis la primaire, j'aime la même personne.
On a été dans la même école, le même collège et le même lycée, d'ailleurs cette année je suis dans sa classe.

Cette personne est gentille, drôle, populaire, belle, forte, intelligente, mais, il y a, malheureusement un petit problème...

C'est un garçon...

Il y a pratiquement aucune chance, qu'il puisse m'aimer...

Alors depuis que je le sais, j'essaie d'arrêter, mais, dieu sait à quel point c'est dur d'abandonner ses sentiments...

Je n'y arrive donc pas, ce qui empire la situation, car à chaque fois que je le vois, mes sentiments grandissent, quand nos regards se croisent il me sourit ce qui me donne de nombreux frissons dans tous le corps...

On s'est déjà parlé plusieurs fois, étant dans la même classe, pour quelques travaux en groupe.

Sauf que, pour cette fête de février, j'ai fait une erreur, la plus grosse erreur...

Pour ce 14 février, j'avais décidé de lui avouer mes sentiments...

J'ai donc écrit une lettre d'amour, une jolie lettre dans une jolie enveloppe verte, décoré d'un ruban turquoise.

Je l'avais soigneusement mis sur sa table, lorsque j'étais rentré en classe, m'assurant qu'il n'était pas encore là.

Je m'assis alors vite à ma place, regardant dans sa direction pour y voir une quelconque réaction.

Il faisait parti de l'équipe de basket, il était d'ailleurs très populaire, les lettres d'amour remplissant son casier tous les ans.

Lorsqu'il arriva, je détourna le regard, malgré mes petits coup d'œil curieux.

Je le vis s'installer, voyant cette enveloppe, il l'a mis dans un cahier puis dans son sac.

Ses yeux parcourent la classe à la recherche, je pense, de la personne qui lui avait posé ce bout de papier enveloppé.

Ne m'apercevant pas que je le fixais, je le regardais avec passion et amour.

Lorsque nos regards se croisèrent, je devins rouge de gêne, et détourna le regard au plus vite.
Mais c'était trop tard...

Le professeur arriva, nous devions donc nous asseoir, et attendre la sonnerie signalant la pause du matin.

Le cours me paraissait long...

Très long...

Mais la sonnerie sonna, nous libérant de cette souffrance.

Je me précipita dehors, marchant le plus vite possible, évitant de me faire remarquer par celui qui fait battre mon cœur...

Je m'installais sur l'un des bancs de la cour, laissant tomber ma tête en arrière, mes yeux s'ouvrant sur les belles feuilles de l'arbre au dessus de moi, malgré ce mois de février.

Mes paupières se refermèrent lentement, tout semblait paisible, je me sentais tellement bien...

Et alors que le soleil chauffait doucement sur mon épiderme, je sentis de l'ombre prendre place sur ma peau.

-" Je te dérange ?

- Non...

- Cool, je peux m'asseoir à côté de toi ?

- Moui..."

Il s'assit à côté de ma personne, sur ce banc bleu, je n'avais pas relevé la tête, ne pensant pas que cela puisse être important.

Mes cheveux se baladaient sur mon visage, dû au vent doux de ce matin.

Quelques oiseaux chantonnaient dans les arbres, me donnant du repos.

-" Tu as reçu des lettres pour la Saint Valentin ?

- Non. Répondis-je, un peu surpris de cette question si soudaine...

- Ah, et tu voudrais en avoir...?

- Pas vraiment, enfin, juste d'une personne, celle que j'aime énormément...

- A-ah oui ?

- Oui.

- Je l'a connais ?

- Je sais pas... Peut-être que si je l'a décrit...

- Mmh...

- Cette personne est juste merveilleuse : elle est gentille, intelligente, drôle, douce, intéressante, généreuse et pleins d'autres qualités encore...

- Ah, euh chouette !

- Ouais, mais ça n'arrivera jamais...

- Peut-être que si, tu n'en sais rien...

- Mouais, enfin, et toi ?

- Ho, euh oui, quelques-unes, mais il n'y en à qu'une qui m'intéresse réellement.

- Cool, content pour toi."

Il y eu un blanc, mais ce n'était pas gênant, c'était même plaisant...

Je remontai ma tête, puis la tourna, y trouvant la personne qui me mettait dans tous mes états depuis déjà longtemps.

J'étais devenu rouge, malgré que je ne me voyais pas, mes joues chauffaient et mon rythme cardiaque accélérait.

-" A-ah, c-c'est toi...?!

- Oui.

- Ah, j-je ne t'avais p-pas rec-connu..."

Son regard percuta le mien, son sourire de tous les jours apparut, son corps était plutôt près du mien.

Sa main frôlait presque la mienne.

J'étais devenu fou, si je ne partais pas maintenant, j'allais lui sauter dessus, l'embrassant sauvagement...

Heureusement, ou malheureusement, la sonnerie retentit, annonçant la reprise des cours.

Je partis donc en direction de mon prochain lieu de souffrance.

Je ne sais pas s'il avait vu tout ce qu'il m'a fait, alors j'allais le plus rapidement possible...

Aujourd'hui, je finis à dix-sept heures, avec les sciences, après la musique, mais il y avait un trou d'une heure dans mon emploi du temps, ce temps je l'utilisais à la bibliothèque, cette endroit est magique...

J'y étais donc, entrain de lire un livre passionnant, lorsque l'une des personnes s'occupant de cette endroit, vint me voir accompagné d'un bout de papier.

-" Bonjour, excusez moi, mais quelqu'un m'a demandé de vous le donner.

- Mmh, OK."

Je le pris, pendant qu'elle s'en allait déjà, sur ce bout de papier bleu pastel, avec quelques décorations manuels de la même couleur ou plus foncé, était écrit un magnifique poème.

Me décrivant, avec des mots doux et biens choisis.

Je sentis mes joues rougirent, mon regard parcoura alors les quelques mètres autour de moi.

Mais ne vis personne, je l'a lisais encore et encore, mais peu importe le nombre de fois que je l'a lis, elle m'impressionne et m'émerveille à chaque fois.

En bas se trouvait, une lettre, sûrement la première lettre du prénom de la personne, ayant écrit cela.

Je l'a range dans un de mes cahiers, que je range ensuite dans mon sac, je dois aller changer de cahier avant le prochain cour.

Je me dirige donc vers mon casier, en évitant le plus de gens, arrivé, je l'ouvris avec facilité.

J'allais poser mes cahiers, lorsque qu'un papier de couleur rose pastel, voir rouge, apparaît dans ma vision.

Il était posé sur d'autres livres, je le pris, et y découvre un autre poème, aussi beau et généreux que le premier.

Cette fois-ci, il n'y avait pas une lettre, mais deux.

Je ne sais pas pourquoi mais l'envie que ça soit celles de celui que j'aime, grandit au fur et à mesure.

Les initiales collent avec lui, des papillons s'agitent violemment dans mon ventre à cette pensée.

Mais je chasse cette pensée rapidement, car ce n'est sûrement pas ça.

Je l'a range avec la première, puis me dirige vers ma nouvelle salle, après avoir pris tout ce dont j'avais besoin.

J'ouvre la porte de la salle de musique, pour y entrer et m'asseoir à ma place, lors de mon petit trajet, je sentais un regard sur ma personne.

De discrets coup d'œil, j'essayais d'apercevoir la personne qui me regardait avec tant d'insistance.

Mais rien, alors que je sortais mon cahier, où se trouvait notre chant du moment, une autre lettre encore, se trouvait sur mon pupitre.
Elle était, cette fois, d'un jaune pâle et décorée de paillettes orangées.

J'allais l'ouvrir, mais me rendis compte, que j'étais en classe, avec mes camarades et que le professeur allait bientôt arriver.

Je l'a rangeais avec les deux autres, mon impatience de l'ouvrir et l'a lire était à son comble.
Je me faisais violence pour m'empêcher d'être vu par tout le monde.

Le cours me paraissait tellement long...
Plus que dix minutes, et pourtant j'avais l'impression qu'il restait plus d'une heure...

Mon impatience fut à son comble lorsque, même si la sonnerie avait sonnée, le professeur nous fit écrire quelque chose. Me donnant des envies de meurtre.

Heureusement, ce ne fut pas aussi long que ce que je pensais, je courus presque en dehors de la salle, pour me diriger vers les toilettes avant d'aller en Sciences.

Je ne pris pas la peine de regarder autour de moi, que je l'ouvris rapidement, tout en faisant attention à ne pas l'abîmer.

Dedans se trouvait, une autre lettre avec encore cette écriture poétique et majestueuse, d'autres mots s'y trouvaient, mais cette fois, à mon grand étonnement, ces mots décrivaient certaines de mes habitudes, ma couleur favorite, mon animal fétiche, ma date d'anniversaire, mon chiffre préféré.

Ce qui, me perturba, tout ça dans un poème, en dessous se trouvait un autre petit message.

Ps : Je ne suis pas un psychopathe, j'ai une bonne mémoire, et puis quand c'est toi qui parle j'écoute et je retiens plus facilement et naturellement.

À ces mots, un sourire apparaît sur mon visage. C'est vrai qu'il suffit d'écouter pour connaître tout ça, même si, sa fait pas mal psychopathe...

Je rigole à cette pensée cette fois.
Avant de regarder, si, des initiales s'y trouvaient, mais cette fois, il y avait un nom.

Kim...

Kim...

Kim...

C'est le nom de celui que j'aime...

.
.
.

Je l'a range avec les autres, avant de me diriger rapidement vers la salle de Sciences.

Je partis m'installer avant que la professeur arrive. Je souriais niaisement, mes yeux regardant le sol.

Quand je vais raconter ça à mon meilleur ami, qui n'est pas dans ce lycée, il va halluciné !

Mais quand j'arrive à ma place de d'habitude, une autre personne se trouvait à ma gauche, c'était lui.

Je lui fais un vague sourire avant qu'il ne me voit rouge.
J'ouvre mon cahier, pour relire, encore, mon cours de la dernière fois.

-" Tu as aimé ?

- D-de quoi ...?

- T-tu n'as pas encore compris...?

Il semblait triste et déçu.

- J-je ne s-sais pas de quoi tu p-parles.

- Ah..."

Il soupir et se retourne, pour faire face à notre enseignante qui venait d'arriver.

Est-ce que se serait lui...?

Est-ce possible ?

Je l'espère...

Beaucoup...

Le cours passait lentement, malgré l'amour que je porte aux Sciences, celui là, était un suplice pour moi...

Je jettais quelques coups d'œil vers celui que j'aime. Des fois je m'arrêtais pour contemplé son magnifique profil.
Il était sans imperfections, juste magnifique... Ses yeux bridés, mais pas trop, pour une bouche assez charnue sans trop l'être, son nez droit, ses longs cils, sa peau assez claire mais magnifique.

Je pourrais passer des heures à le regarder...

Mais, n'étant pas discret, il se trourne vers moi, un sourire mi-triste et mi-heureux sur le visage.
Ce qui me pince le cœur...

Mais avant qu'il ne se retourne.

-" Tu te rappelles que j'adore les couleurs primaires ?

- ...

- Merci pour tes lettres, je ne savais pas que tu écrivais des poèmes, c'était très beau.

Son regard était scotché, pour une fois ce n'est pas moi, il avait les joues rouges, et n'arrivait plus à parler.

Je m'approche de son oreille, et lui chuchote quelques mots.

- Quand le cours finit, on reprendra notre discussion...

- O-ok."

J'étais choqué de moi-même...

Je ne me savais pas aussi audacieux, j'étais fier !

Et même si j'étais heureux j'appréhendais légèrement la fin du cours...

Lorque la sonnerie sonne, indiquant la fin du cours, et donc la fin de ma journée, j'attendis qu'il range ses affaires après avoir fait la même chose.
Puis, pris son poignet, l'emmenant sur le banc de ce matin.
Il n'avait rien dit de tout le voyage, ses joues étaient rouges, son pou battait rapidement, ce qui me fit sourire.

Arrivés, je nous positionne juste devant, l'un en face de l'autre.
Sa beauté m'éblouïe, mais je ne dois pas me laisser distraire, alors je me reprend vite.

-" Je me répète, mais tes lettres étaient magnifiques.

- Merci, la tienne aussi...

- Oh, c-comment t'as deviné...?

- Il sourit. J'ai reconnu ton écriture, ta façon de parler, et je t'ai vu me regarder quand je l'ai rangé.

- O-ok."

Mon courage s'était envoler...

Je ne savais plus quoi dire, alors c'est lui qui parla en premier.

-" Tu sais, je t'aime bien depuis longtemps... Sauf que la peur d'un refu, ou d'une moquerie m'empêchaient de te le dire.
J'ai donc voulu savoir si, tu m'apréciais aussi, j'ai donc remarqué tes petits regards discrets, autrefois.
Alors, j'ai décidé de me lancer, mais toi aussi à ce que j'ai vu... Il rigola doucement, ce qui me fit sourire, car le son qui sort de sa bouche est mélodieux et envoûtant.

- J-je... Je t'aime.

Il me regarda quelques instants surprit, puis un léger sourire se dessina sur ses lèvres rosées.

- Moi aussi, je t'aime."

Il me prit la main pour nous rapprocher, nos lèvres se touchèrent, et nos yeux se fermèrent en synchronisation, elles mouvaient ensemble comme si c'était habituel.

Il s'éloigna doucement, nos joues étaient rouges, mais ce n'était pas grave, nos sourires brillaient au Soleil.
Je lui fais un chaste baiser, en entre-mêlant nos phalanges.

J'étais heureux, et c'est comme ça que notre histoire à deux commença.

Après cela, nous étions rentrés ensemble, il m'avait raccompagné, malgré mes plaintes pour ne pas le déranger plus.

Arrivés, devant la porte de chez moi, nous nous regardons une dernière fois, un chaste baiser, et nos mains se séparèrent.

J'avançais, jusqu'à,

- " Et n'oublie pas que t'as mon numéro !

- Jamais j'aurai pu oublier !? "

Nous rigolons, un dernier signe de la main et je rentre à l'intérieur de ma maison.

Je monte dans ma chambre, m'allonge en étoile sur mon lit.
Je repense à tout ce qui s'est passé, souriant, puis je m'excite tout seul, en agitant mes bras et mes jambes en l'air.

J'étais tellement heureux !

J'avais hâte de le revoir demain.
Et à ce moment, mon téléphone sonna.
C'était lui.

- Tu penses à moi ? 😏

- Mais oui bien sûr... 🙄

- Dis-moi que c'est faux.

- Nan, c'est vrai, je pensais au fait que j'avais vraiment hâte de te revoir demain.

- Ouah, tu es honnête...

- Bien sûr.

- Au fait,

- Oui ?

- Je t'aime.

- Moi aussi, je t'aime.

Et nous discutons jusqu'à tard le soir.
Des étoiles dans les yeux.

Merci,

Pour ce 14 février.

Aujourd'hui, nous sommes à peu près un mois après notre mise en couple, je n'ai jamais été si heureux.

Nous avons donc passé une journée ensemble pour fêter notre premier mois, oui ça à l'air stupide, mais c'est comme ça !

Après avoir dévalisé les magasins, des habits aux jeux vidéos, nous avons mangé un petit sandwich dans une boulangerie, un bon jambon beurre.
Nous sommes allés nous balader dans un parc pas loin, il faisait beau et bon, alors autant en profiter !
Assit sur un banc, nous regardions se qui se passait tout autour de nous, ma tête posée sur son épaule.

-" Sa te dit de venir chez moi ? Mes parents ne sont pas là, ils sont en voyage.

- Eum, je-oui OK.

- Super !

- O-oui..."

Arrivés, il me fait entrer, j'enlève donc mes chaussures, suivies par mon manteau, qu'il prend pour le mettre je ne sais où.

Il nous fait monter les escaliers, je le suis alors de près, et je remarque qu'il a vraiment un putain de bon fessier. Mais je détourne ces pensées perverses, pour me concentrer sur mon petit-ami.

Arrivés là-haut, nous entrons dans une pièce, encore inconnue pour moi.
Je le vois s'asseoir sur son lit, puis me tendre la main.
Je l'a prend avec assurance, quand il me tire vivement vers lui, me faisant m'asseoir sur ses cuisses biens musclées.

Nous nous regardons dans le blanc des yeux quelques instants, avant qu'il ne se rapproche.
Voudrait-il m'embrasser ?
Ah, nan...
Il pose son front contre le mien, puis ferme les yeux. Je fis donc de même, en respirant profondément.

-" Je ne veux pas te brusquer mais...

- ...

- J-je, je voudrais faire ma première fois avec toi, ses yeux s'ouvrent, par mécanisme je fais de même, car cette phrase m'avait retourné ! s'est peut-être trop tôt... Et bien sûr je ne t'oblige pas ! Mais je voulais savoir si, toi aussi tu sens ce désir...?

- J-je...

- ..."

Évidemment que je le veux !

J'ai juste du mal à l'exprimer, alors j'écrase mes lèvres sur les siennes, commençant une danse entraînante et sensuelle.
Mon bassin commence aussi à se dandiner, le faisant légèrement grogner.

Sa voix rauque me faisait frissonner, malgré le peu que je pouvais entendre, nos lèvres étant toujours enchaînées ensemble.

Après quelques instants, une bosse se faisait sentir sous mes fesses, me faisant rougir. Mais ce n'était pas gênant, c'était excitant...

Nous nous éloignons légèrement pour respirer -avant de nous évanouir-, un sourire en coin se dessine sur mon faciès.
Mes mains s'occupèrent d'enlever son tee-shirt rapidement, avant d'enlever le mien, moi-même.
Mes yeux parcouraient ses abdos bien tracés, ses pectoraux bombés comme il faut, et ses tétons durs et envoûtants.

Je mord ma lèvre inférieure à cette vue, si érotique.
Je remonte ensuite mon regard vers ses beaux yeux profonds, mes mains remontent vers ses petites joues bien rondes et rosis de ce moment assez intime.

Je sens ses mains s'aventurer sur mon épiderme, me caressant les hanches, puis pinçant mes tétons. Créant une douleur, qui, pour moi résonnait comme un doux plaisir et une bouffée de chaleur.

-" Mmh, aah !... Oui ~ "

Mes gémissements sortaient tout seuls, mais j'en avais rien à faire, même, je criais, prouvant le plaisir qu'il me procurait.

Après un long moment à jouer avec mes boutons de chair, il me soulève pour me poser sur le dos, délicatement et en douceur sur le lit, lui, se mettant au dessus.
Avant qu'il ne prenne le haut de mon pantalon et de m'en débarrasser, je me retrouvais alors qu'avec un boxer, jaloux, je pose mes mains sur son jean, pour le déboutonner, l'enlevant à mon tour.

Son boxer était alors déformé par une bosse proéminente, je me mord encore ma lèvre inférieure, elle était...
Immense...

Mon bas-ventre chauffait encore plus...
Et à ma réaction, il rit légèrement, ce rire que j'aime plus que n'importe quel son, c'était mélodieux et doux.

-" Tu aimes ce que tu vois ?

- Oh oui... Énormément ~ "

Il se rapproche alors de mon cou, y laissant de belles marques rouges et violettes.
J'avais hâte de voir ces magnifiques traces d'appartenance demain...

Mes mains se posèrent sur son dos, que je viens légèrement griffer.
Il remonte vers mon oreille, pour y chuchoter quelque chose.

-" Qu'est-ce que tu aimes ?

- Ce que j'aime ? Mmh, j'aime beaucoup, lorsque s'est violent.

- Ah oui ? Je vois, un pervers sous des apparences mignonnes ?~

- Un petit rire m'échappe, c'est vrai que s'est étrange. Je ne suis pas très grand, avec une petite bouille "mignonne", alors le faite que j'aime la douleur et la violence pendant le sexe, peut être étrange... Je l'ai découvert il y a quelques mois, lors d'un plaisir solo.
J'étais près, près de l'orgasme, mais il manquait quelques chose, une chose pouvant m'emmener vers le septième ciel, j'ai alors fait une légère pression sur ma gorge. Rendant ma respiration plus difficile, mais me provoquant un plaisir immense.
Et toi ?

- Un sourire se dessine sur ses lèvres, que je sens sur ma peau, je crois qu'on est fait pour être ensemble, mon cœur ~ .

- Le surnom qu'il avait utilisé me faisait légèrement rougir, mais j'étais heureux, tellement, heureux... Évidemment. "

Ses mains sur mes cuisses, pour les relever et avoir un accès assez grand sur mon trou, après avoir enlevé son boxer et le mien. Il me demande alors si je suis prêt, je répondis donc à l'affirmative, rentrant donc son premier doigt en moi, sans lubrifiant.
Étant un peu masochiste, la douleur se transforme en plaisir, me faisant seulement du bien.
Mais il finit par le retirer, et rentre son pénis à la place.

Des gémissements de plaisir sortirent alors.

-" Ahh ~ Mmh, oui...!

- Même la pénétration sèche tu aimes... Quel magnifique pervers ~ "

Malgré tout, il arriva plutôt vite à la base, me remplissant entièrement, je le sentais toucher le bout, remplissant bien vite mon rectum. Même mes jouets n'allaient pas aussi loin...

On se regarde dans les yeux, quand sa main vient passer sur mon bas ventre, une bosse apparaissait, nous faisant rire, il l'a caressait lentement, avec toute la douceur de monde.
Il vient m'embrasser, me transmettant l'amour qu'il éprouve pour moi, je lui rend alors son doux et charmant baiser.

Ses carresses ne s'arrêtent pas, alors qu'il commence ses mouvements de bassin, ils étaient plutôt doux, ce qui contrastait avec nos envies salaces.
Il se redresse alors, pour commencer des mouvements plus brutaux et plus secs, me faisant crier de plaisir tellement c'était jouissif.

Je serrais les draps, limite, je les déchirais, mon dos se cambrait au maximum, ma tête partait en arrière, il n'avait pas besoin de chercher, sa bite était tellement imposante, qu'elle touchait à chaque fois ma prostate.

Des larmes de plaisir coulaient sur mes joues, remplaçant la fine couche de sueur recouvrant mon corps.
Plus le temps passait, plus ses coups de butoir accéléraient et devenaient puissants.

L'orgasme se rapprochait à grand pas, me rendant plus sensible encore, mes cris descendaient dans les aigus, des sons rauques sortaient aussi de la bouche de mon petit-ami, me donnant conscience que, lui aussi, était près de la jouissance.

Mais il manquait quelque chose, ce qu'il comprit vite, il pose alors sa main sur ma gorge, ma respiration se coupait à certains moments, me faisant arriver à mon paroxysme.
Nos yeux encrés dans celui de l'autre, je laisse un dernier gémissement sortir de ma cavité buccale et je jouis, me resserrant autour de mon amour, le faisant jouir à son tour.

Il continua en ralentissant, essayant de reprendre une respiration normale.
Ma poitrine se levant très vite.
Je le regardais, malgré mes yeux émbués, il était tellement beau... Ses cheveux en bataille collant à son front qui le rendaient si sexy, ses muscles de tout son corps contractés... J'étais tout rouge, ce qui le fit rigoler, avant de se retirer et de me câliner.

Merci

.
.
.




✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎✿︎

De rien 👍


🤣🤣 Breffffff...

Bonjour/Bonsoir

Comment ça va les gens ? ^^


Merci d'avoir lu ! <3

Et j'espère vous retrouvez sur les 23 autres, et n'hésitez pas à voter 🙄😉.
Ça fait pas de mal :)

Dîtes-moi ce que vous en avez pensé !
En commentaire ou sur le babillard, c'est l'un de mes premiers écrits alors...

> 𝑆𝑖 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑛𝑡, 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑒𝑧 𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑟𝑒, 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑎𝑙 ^^ <

Pas terrible, mais j'espère m'améliorer !

Bref, à plus ! 🫰

Jinho

◇ Hammiy0404

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