XVII

Moi : -La 2ème fois ?

Raph : -Mais oui il y a peut près 1 semaine.

Mon sang se glassa à l'entente de ses paroles, j'avale la boule de stresse qui c'etait formée dans ma gorge avant de reprendre :

Moi : -Et il c'est passé quoi ?

Raph : -Je voulais justement que tu me le dise.

Je marmonne un juron, Morgane n'avait pas eu le cran de me suivre. Que se serait t-il passé si l'établissement aurait su que j'avais sympathisée avec un Templier ? Peut être l'exclusion? Non, c'est trop gentille pour une traître. Peut être la peine de mort, qui sait ? Si ils voyagent vraiment dans le temps, pourquoi ne pas garder les anciennes lois ?
Cette idée me glassa le sang, je secoue doucement la tête avant de repondre d'une voix tremblante :

Moi : -Rien... Rien que tu ne sois obligé de savoir en temps que mentors.

Il leva un sourcil, probablement pas très satisfait de cette reponse et me pris la main avant de me rappeler qu'il était plus de 22h30 et qu'on devait dormir, car demain sera une journée plus que remplie. J'acquiesce d'un sourire mais me rappelant que nous sommes en froid avec Morgane je décide de tenter le tout pour le tout en demandant :

Moi : -Je pense que tu as vu que Morgane me faisait la gueule... Et je n'aime pas vraiment cette situation...

Il fronce les sourcils,ne comprenant sûrement pas ma requête.

Moi : -Ducoup je voulais savoir si ça ne te gêne pas que je dorme dans ta chambre, encore.

Un sourire enjôleur c'est fixé sur son visage et il n'est, à mon avis, pas près de s'en retirer. Je savais aussi que demander une telle chose revenait à demander à Lucie de me giffler, il allait en profiter.

Raph : -Bien sûr Bornino. Tu es la bienvenue dans ma chambre. Allons y ! Dit t-il en enroulant son bras au tour de mon cou.

Moi : -Je veux juste dormir Raphaël. Retorquai-je en le repoussant.

Il pousse un petit grognement avant de reprendre.

Raph : -Tu sais Bornino... Il me regarde avec se genre de regard à croquer mais qui cache souvent une mauvaise attention. Il me caresse doucement le bas du bout de ses doigts. Il faudra bien payer un jour.

Je voulais m'empêcher de frissoner mais le mal était fait. Il me fait de l'effet et il le sais. Il me ressortis un de ses sourire enjôleur et narquois avant d'hausser les sourcils.

Raph : -Un petit coup de froid ou... Il marque un pose qui me parut durer une éternité. Juste mon charme naturelle ?

Ses doigts avaient remonter mon bras pour enfin arriver sur ma joue.

Moi : -Dégagent tes sales pates de la Raphaël.

Sur ces paroles je sera ses doigts le plus fort possible, en espérant lui faire un minimum de mal, mais rien n'y fait. Il garda cette même mine, une mine d'homme éperdument amoureux.

Moi : -Tu fais chier Raph. Et tu dors dans le canapé. Repris-je sèchement.

Je fus obligée de tirer cette espèce d'énergumènes jusqu'à sa chambre, pour ensuite l'entendre se pleindre de ne pas réussir à dormir dans le canapé. Je me retrouve, alors, dans un lit double avec Monsieur Regard à croquer. D'accord se n'est pas si gênant que ça, qui n'aimerais pas dormir avec un garçon au sourire aussi ravageur que son regard ?
Cette nuit fut d'ailleurs une des meilleures, probablement grâce à cette sensation de sûreté que j'éprouve lorsque Raphaël est dans les parages.

Des rayons essayent de perser les rideaux blue du dortoir, lorsque je me réveille doucement heureuse d'avoir passée une si bonne nuit, cela n'était pas arrivé depuis longtemps cependant il n'y a aucun Raphaël en vu. J'enfonce une main dans mes cheveux avant de les rabattres violemment sur ma gauche, où a t-il pu bien aller ?

Moi : -Raph ? Dis-je en murmurent.

Un grognement se fit entendre quelques secondes après mon questionnement, je me penche au bord du lit pour y trouver Raphaël, allongé sur le tapis, visage fortement écrasé contre le sol. Il est étalé de tout son long, alors j'en profita pour lui faire un réveil "d'enfer". Je lui sauta dessus en criant "faut se réveiller", se qui, comme vous pouvez vous  douter, ne lui à pas dutout plus. Je me suis retrouvée sur son épaule comme un sac a patate, à me débattre mais sans grand étonnement je finis par me retrouver plaquée contre le mur, les deux mains dans le dos, l'apprenti ne battera donc jamais le maître ?

Raph : -Je suis très déçu de votre performance. Votre technique n'a pas était la bonne, j'aurais opté pour une attaque plus furtive.

Moi : -Blablabla. Raph je ne suis pas en entraînement ! On est dans ta chambre ! Regarde !

Dis je en montrant son lit du bout du nez.
Après cette mini chamaillerie le temps passa très vite. Raphaël et moi attendions qu'une chose : voir se monde qui a fait de notre monde se qu'il est aujourd'hui. Je ne savais presque rien avant une sorte de réunion de remise au point, ils n'y avait pas grand monde ; Ma mère et Raphaël étaient les seuls personnes que je connaissais, 3 autres personnes étaient présentes 2 hommes et 1 femmes. Je suppose que c'était des "pros" de la mécanique pour ne pas nous laisser mourir dans cette chose. Même si j'avais déjà était dans un Animus au par avant je me sentais beaucoup moins à l'aise que Raphaël, il avait toujours cette même façon de se tenir : les bras croisés sur la pointrine, les yeux perçants et toujours à l'écoute de tout se qui se dit. Quand à moi j'étais l'alien, l'intrus, j'étais retirée au fond de la salle assise sur une pitoyable chaise en plastique. Pas besoin de vous faire un dessin : je ne comprenais rien ! J'ai réussis à retenir 3 choses : Nous allons nous retrouver en Italie, à la fin de la Renaissance et que le rois à cette époque en France est Louis 12. Je ne savais même pas que un certain "Louis 12" avait régné sur la France.
Je m'installe dans cette machine qui semblait plutôt être un fauteuil semi-allongé, Raphaël est dans un autre Animus à ma droite, il a déjà les yeux fermés, est t-il encore par mis nous ?

?? : -Le Garçon est arrivé. Cri une voix assez grave,c'était la femme de la réunion. Elle reprend. A ton tour ma belle. Évite de mourir ça te coûterait ta vie et celle de pleins d'autres gens, des innocents.

Si j'ai bien compris dans se monde de fou une seul chose compte : ne pas tuer des innocents. C'est comme si c'était la seul chose qui nous distinguait des Templiers.
Après ces dernières pensées je me sentis lentement partir vers un autre monde ; le passé.

A SUIVRE !
Je suis de retour très en retard mes amours désolé... j'espère que le chapitre vaux le coup. Merci d'être aussi nombreux et désolé pour les fautes et l'attente, je vous aime.
Quelques questions :
-Que va-t- il se passer dans l'animus ?
-Lisa va-t-elle être à la hauteur de cette énorme tâche ?
-Va-t-elle devoir avoir à faire à la personne qu'elle est censée détester le plus ?

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