Changement de cap part 2
Dans une nuit terriblement agitée, Jane le lendemain toucher sa cuisse nue en ayant la nette impression qu'elle était marquée à jamais de la main d'Angelos qui s'y était glissé dans la nuit dans bruit sourd à force de la sentir se retourner.
Face à son déjeuner l'atmosphère n'était pas mieux sauvée par un coup de téléphone, Jane avait pu finir son déjeuner tranquillement tout en observant Angelos visiblement énervé au loin faire de grand geste.
Cherchant à fuir celui qui faisait battre son cœur plus fort chaque seconde, Jane poussait sa visite avant d'ouvrir une porte en y découvrant Angelos en plein travail sur point de refermer la porte Angelos la stoppa d'une phrase.
- tu me chercher ?
- n.. Non, je me suis trompée de porte.
- moi je te cherche ça tombe bien entre assied toi.
Prise à la gorge, Jane pénétra dans le bureau sans broncher en prenant place.
- ce soir, tu appelleras Rose pour la rassurer si tu vois de quoi je parle.
À la fois heureuse et contrariée, Jane attendait qu'il finisse.
- Drake lui a dit que mon bateau s'était trouvé en difficulté, par chance, on a pu se mettre à l'abri sur cette île donc inutile de l'inquiéter plus qu'elle ne l'est déjà.
Jane savait que son amie était de nature inquiète, elle n'avait pas l'intention de perturber un peu plus cette pauvre Rose.
- Rose fait partie des raisons pour lesquelles je ne t'épouserai jamais lança Jane.
L'expression contrariée d'Angelos, n'avait duré que quelque seconde avant qu'il ne la dévisage.
- je t'en prie Jane développe cette raison que je puisse y remédier rapidement.
- Rose est la seule famille qu'il me reste, si tu crois une seule seconde que je vais l'abandonner, tu te trompes de retour en Italie, je repartirai avec elle.
Dans un rire bref presque sarcastique, Angelos calé dans son fauteuil la fixait en silence avant de répondre.
- Rose reste en Italie et pour longtemps, il se trouve que mon frère est tombé en amour pour elle.
Comme une bombe lâchée en plein ciel, les yeux écarquillés Jane avait cru mal comprendre.
- quoi ?
- oui, moi aussi, j'étais extrêmement surpris, Drake est un homme solitaire, mais il se trouve que Rose a brisé la barrière de son cœur.
Posant une main sur son bureau en avançant son corps gracieusement Angelos reprit.
- donc Rose risque de rester en Italie pendant un long, long moment.
Bouche baie Jane baissa les yeux.
- ne lui en parle pas, Drake ne veut pas la brusquer, il a perçu une jeune femme fragile un peu comme toi ma douce Jane rajouta Angelos d'une voix rauque.
Sans répondre, elle voyait l'homme gagner encore une bataille déjà bien préparée.
Balayant d'un revers de la main ce problème résolu Angelos repris.
- il y a d'autre raison qui m'empêche de t'épouser que tu souhaites me faire part ?
- je suis beaucoup trop jeune pour me marier.
- est-ce la vraie raison où c'est mon âge le problème rétorqua-t-il rapidement.
- je vois inutile de répondre ton visage te trahit gronda Angelos en ce levant agacé, face à la mer Angelos cherchait à se détendre en vain.
- pourquoi ? Demanda Angelos
- on sait tous les deux comment ça va se finir.
- oui par un mariage assura Angelos en se retournant.
- je sais comment tu es, je lis la presse, tu sais.
Dans un soupir d'exaspération Angelos sentait la colère remonter.
- ce ne sont que des torchons des mensonges comment tu peux croire des choses pareilles !
- tu es un homme voulu et je...
- et c'est toi que j'ai choisi, tu penses que je fais tout ça pour te jeter après coupa Angelos les poings serrés.
Se levant de sa chaise, la jeune femme droite dont la poitrine se soulever à chaque respiration, laisser entrevoit dans son chemisier la pointe de ses seins durcis.
- je pense surtout que tu fais ça pour te donner bonne conscience.
Ses fantasmes évaporés comme une fumée épaisse, Angelos toisait la jeune femme sévèrement.
- je te demande pardon.
- tu es pris de remord par ce qui c'est dans le passé si tu penses que m'épouser va soulager ta conscience tu te trompes.
le passé n'a rien avoir avec le fait de vouloir faire de toi ma femme reprit-il la seule chose que je regrette, c'est d'avoir mis tant de temps à venir te chercher.
- je savais que ton intelligence était remarquable Jane, mais en ce qui concerne ton imagination, elle se trouve défectueuse siffla Angelos
- le passé n'a rien avoir avec le fait de vouloir faire de toi ma femme reprit-il la seule chose que je regrette, c'est d'avoir mis tant de temps à venir te chercher.
Jane le souffle court écoutait le propos de l'homme qui se tenait face à elle avec une telle assurance qu'elle crut un instant s'enfonçait dans le sol,
- je me plais dans cet appartement si c'est de cela que tu fais allusion rétorqua Jane le menton levé en cachant un visage qui pourrait la trahir
- je t'en prie Jane, n'appelle plus ce taudis un appartement de toute façon, je les fais condamner.
- Tu as fait quoi !
- Tu as parfaitement bien entendus, je l'ai fait condamner, tu as de la chance que je m'en sois tenu à ça !
Honteuse d'elle-même qu'il ait pu voir l'endroit où elle dormait depuis des années,Jane serra les poings.
- je peux savoir pourquoi tu es parti fouiller dans ma vie.
- J'ai récupérai tes affaires tout simplement sauf que j'ai eu un choc en y rentrant, je réitère... J'aurai dû venir te chercher plus tôt fit-il d'une voix sourde.
- Où sont-elles ?
Les mains dans les poches, le regard planté dans le siens, Jane fit un pas en arrière sous son regard dure.
- chez moi
- chez toi répéta Jane dans un souffle d'incompréhension.
- Oui chez moi affirma Angelos les traits durcis et quand tu seras décidé à accepter ce que je veux, tu pourras les revoir.
- Tu utilises le chantage maintenant s'écria Jane sur le point de taper du pied
- parfaitement, Jane, je te l'ai dit, j'ai tout mon temps...
Rouge, pour la première fois de sa vie Jane sentait un sentiment colère envahir tout son corps avant de se retourner brusquement en direction de la porte.
Retenue par le bras forcé de lui faire face Angelos secoua de la tête un léger sourire forcé affiché sur son visage avant de prendre la parole.
- première chose à savoir sur moi, je déteste qu'on me tourne le dos.
- et moi, j'en ai fini avec cette conversation, je suis fatigué rétorqua-t-elle la voix brisé.
Lâchant son bras, il la regardait partir les muscles contractés submergé par la colère.
D'une rage sourde, il frappa son poing dans le mur en claquant la porte.
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