Je me prépare, un drôle de type est arrivé en ville. C'est un utilisateur de Nen, je le sens déjà d'ici. Je dois voir qu'il est.

Je me mets en Zetsu, si cela se trouve, il est un ennemi de l'étoile filante et donc il me voudra peut-être du mal vu que j'en fais partie. Il ne faut pas que je baisse ma garde une seule seconde dans se monde.

Une chose me turlipine depuis que je suis venu dans ce monde, je n'ai trouve aucune trace de Kuroro...

Je commence à me douter que ce n'est pas normal. J'ai demandé aux autres de me présenter tous les enfants de la ville. Mais je ne l'ai vu nulle part.

Je commence à me douter de ce qu'il se passe, je suis censé être à la place de Kuroro Lucifer. Je ne suis pas dans la merde.

Donc si je veux que tous se passe bien, je dois devenir au moins aussi fort que lui. Lui qui est un hunter professionnel extrêmement fort.

Gloups. Je sens que je vais devoir en plus fonder moi-même la brigade fantôme. Tout en faisant en sorte de ne pas reproduire leurs erreurs.

Comme massacrer le clan Kuruta. Pas envie d'avoir un Kurapika comme ennemi avec ces chaines. Je ne suis pas idiot quand même.

Donc je vais voir le type qui se nomme Oboro. Merde, on dirait le nom d'un personnage de MHA. S'il crée des nuages, j'appelle Shota Aizawa pour qu'il le ramène.

Je fais semblant de rien et je dépose le livre de Nen pas loin de lui à la table où il mange.

Il le trouve et le lit. Il a l'air étonné.

Il finit par réfléchir.

Le but de la manœuvre, le pousser à me chercher et voir s'il ne veut pas m'apprendre le Nen. Je n'ai pas dix milles solution pour me trouver un instructeur.

Au moins, j'ai eu le temps d'apprendre tous ce qu'il y avait dans le livre. Donc pour la suite, il ne me reste plus qu'à trouver un professeur.

-Oboro : Alors comme ça, on se cache, petite souris.

Il est apparu derrière moi. Merde, m'aurait-il perçu à jour ?

-Oboro : Alors tu as appris visiblement les bases du Nen as-tu appris ta nature de Nen ?

- ???: Non, je n'ai pas appris ma nature de Nen.

Il met sa main sur mon épaule.

-Oboro : Tu t'appelles comment ?

- ???: Je n'ai pas de nom.

Enfin je n'en ai pas dans cette vie. Avant j'en avais un. Maintenant je n'ai pas de nom.

Je ne suis plus rien. Je n'ai pas de nom.

-Oboro : Alors je vais te trouver un nom, petit garnement.

Il m'ébouriffe les cheveux. Alors c'est lui qui va être mon sensei.