Voilà que nous toquons sur la lourde porte, l'air abruti. Puis le temps s'écoula et c'est seulement quelques minutes après que nous entendons une voie. Nous nous échangeons des regards. Pierre et moi pensons à la voie de Monsieur Gilbert Bad. Enfin la porte s'ouvrit et j'aperçus une ombre avec un objet à la main, certainement une bouteille. Comme ça Mr Bad voudrait nous inviter à prendre un verre de vin ? L'ombre s'approcha, l'ombre d'un homme. Elle me frôla et se plaça devant mon compagnon. Et l'assomma. J'aurai bien aimé quitter la salle mais l'homme me prit le bras, se rapprocha de moi et m'assomma à mon tour. Après je n'en sais rien. Quoi c'est le matin ? Je me levai doucement. Pierre ou était –il ? Je sortis de la salle, dévala l'escalier lors ce que j'aperçus dans la foule Mr Bad. Je décidai de le suivre. Après avoir gravi une vingtaine de marches, il sortit de l'escalier pour aller dans une salle de recherche. Il commença une discussion avec un jeune étudiant et lorsque qu'il m'aperçut, il interrompit sa conversation. Il s'approcha de moi. Et dit :

- Il parait que vous auriez aimé avoir une conversation avec moi ?

- En effet

- En quoi consiste-t-elle ?

Je restais bouche bée.

- Alors, parlez Mademoiselle.

- Il s'agit d'une affaire grave. Pour tout le peuple. La Joconde a été dérobée ces derniers jours et hier Midi nous avons été victime d'une agression.

- Nous ?

- Pierre un nouveau et moi-même.

- Cela n'est pas tombé au bon moment, vu que la Joconde a aussi des soucis. Je propose de mener ces 2 enquêtes en même temps car nous risquons d'être en retard dans nos projets.

Je ne fis aucun commentaire pour ne pas le déranger mais je demandai où était Pierre ? Il me répondit qu'il n'en savait rien. Puis il alla dans son bureau, quand il entra et il découvrit le corps de Pierre. Il alla dans le réfectoire pour me prévenir. Lorsque que je le vis, il se réveillait. Je me jetai dans ses bras en le serrant bien fort pour le réconforter, lui dire qu'il ne devait pas s'inquiéter car j'étais là. Il me fit un léger sourire. J'aidais Pierre à mettre son bras autour de mon cou et Mr Bad fit de même. Une fois dans l'hôpital du Louvre, un gentil infirmier nous assura que Pierre serait dans de bonne main. Mais maintenant il y avait d'autres problèmes qui concernaient tout le Louvre. La Joconde. Voilà dix jours que nous menons l'enquête. De mon côté je menais aussi l'enquête. Car celui qui m'a agressé, a certainement quelque chose à voir dans le vol du tableau de la Joconde. Après ce n'est qu'une hypothèse. Puis un jour, à Paris, je toquais à la porte de Louis Casso, un jeune venu faire des études. Et je l'interrogeais sur son style de Peinture. Un style Picasso parait-il. Je le remerciais de m'avoir invité. Lorsque je m'apprêtais à sortir, la police entra brusquement pour arrêter le jeune peintre. Je voulus le défendre mais impossible. Car il est suspecté d'avoir volé la Joconde. Et c'est seulement le ou les voleur(s) qui mérite(nt) la prison. Le lendemain Pierre se portait beaucoup mieux. Les infirmiers étaient contents de l'avoir guéri mais cependant il était toujours fragile. Une fois sorti de l'hôpital, Pierre me questionna.

- Où est la Joconde, a-t-elle disparue ... ?

Ces questions ne font qu'éveiller mes soupçons.

- Désolé Pierre, mais je n'ai aucune nouvelle de cette énigme. Mais Mr Bad et les autres mènent les enquêtes.

Je crois qu'en disant cela j'ai déçu Pierre. Mais passons cette discussion, car il faut maintenant que je lui explique le déroulement de l'enquête.