Et oui je suis d'humeur super généreuse ces derniers temps 😄😄
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Louis ronchonna en sentant quelque chose de mouillée sur son visage, il se retourna toujours endormi pour échapper à cette chose mais se réveilla en trombe après avoir entendu un couinement.
Il s'assit et scruta autour de lui pour voir le chiot enroulé dans les draps près de lui.
—Oh Flocon c'est toi! Viens par là mon bébé. Il prit le chiot et le serra contre lui. Il avait choisi ce prenom parce-qu'il était tout aussi blanc que la neige.
Il sortit du lit et le prit avec lui dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Il s'étonna de ne pas y trouver Harry et après l'avoir cherché pendant des minutes dans toutes les pièces, il trouva un post it à son non sur le réfrigérateur. Il le prit et le lu.
Désolé pour mon absence bébé, j'ai une urgence. Rassure toi de bien manger et surtout de manger équilibré. Bisous je te ne tarderai pas. 
Louis sourit et mit le papier dans la poubelle, il espérait que ce ne soit rien qu'il ne puisse régler.
—Viens prendre ton petit dèj Flocon. Il renversa une poignet de croquette dans la gamelle et la poussa vers lui. Le chiot trotina vers son repas et le renifla avant de se mettre à manger avec entrain.
Louis sourit et ouvrit le frigo pensant à un plat qu'il pourrait préparer sans risquer de se suicider et finit par se saisit d'un pot de glace à l'orange, d'une boite de chocolat, deux bananes, des fraises et un paquet de noix. 
—Ce repas est parfaitement équilibré, tout y est. Fit il en bavant sur sa trouvaille. De l'orange, de la banane, des fraises, des noix et si je pars du fait que le chocolat provient du cacao qui est un fruit je pense que tout y est concernant les cinq fruits et légumes. Bon il y a pas de légumes mais on va dire que je compense avec le lait dans la glace pour les produits laitiers. Dit-il joyeusement au chiot puis mélangea le tout dans un saladier. Il chantonnait content de  son petit déjeuner quand il sentit une légère brûlure au bas ventre. Il grimaça puis caressa son ventre comme si ce geste pouvait calmer la douleur puis prit son petit déjeuner et retourna dans la chambre suivi de Flocon qui stalonnait entre ces pieds.
Il s'arrêta brusquement après avoir sentit un liquide tiède couler sur ses cuisses. Faisant fi de la douleur naissante et il se baissa légèrement pour voir ce que c'était puis laissa tomber le saladier qui se brisa après avoir vu la flaque de sang sur le parquet. Il émit un cri après qu'une douleur lancinante ait traversé ses reins jusqu'à son bas ventre.
Il se tint au mur pour éviter de tomber, mais la douleur était si forte qu'il ne tenait plus, de plus il perdait beaucoup de sang.
Il se rendit dans la chambre en se tenant tant bien que mal au mur sans faire attention aux débris de verre qui s'enfoncaient dans son pieds. La douleur de son ventre était bien pire.
—Que quelqu'un m'aide s'il vous plait. Gémit-il en pleure. Je veux pas perdre mon bébé...
Après un moment qui lui parut comme une éternité, il entendit un cri puis son prenom. Il eu le temps de voir le visage inondé de larmes de sa mère avant de sombrer dans un trou noir.

Harry gara sa voiture devant la clinique en faisant crisser les pneus de sa Maserati.
—Monsieur vous n'avez pas le droit de garer là, c'est la place de l'ambulance. Fit un infirmier le stoppant dans sa course folle.
—Je n'ai que faire, il faut que je rentre dans cette clinique. Rugit Harry.
—Je conçois que vous ayez sûrement une urgence mais vous devez enlever votre véhicule de là, l'ambulance arrive elle aussi pour une urgence.
Harry pesta entre ses dents puis remonta dans sa voiture et démarra en trombe pour se rendre dans le sous sol de la clinique.
Il n'attendit pas l'ascenseur et monta les escaliers quatre par quatre pour atteindre le service de gynécologie.
—Monsieur Styles je présume? Demanda un médecin en venant à sa rencontre alors qu'il se dirigeait à l'accueil.
—Oui c'est moi, où est-il? Je veux le voir. Exigea t-il.
—Vous le verrai mais tout d'abord je dois m'entretenir avec vous.
Harry examina le visage désolé du médecin puis son ventre se noua.
Harry hocha la tête et le suivit. Il pouvait entendre son coeur battre à la chamade dans sa poitrine.
—Je...votre petit ami est arrivé ici en mauvais état, ce fut une chance pour lui que cette dame soit arrivé à temps.
—Il...mon bébé, je...comment il va? Bégaya Harry.
—Nous avons faire tout ce qu'on a pût...
—Non taisez-vous. Hurla Harry. Les larmes qu'il s'était efforcé de retenir inondaient son visage. Je ne veux plus rien entendre. Harry se leva puis frappa dans le mur laissant entendre des craquements.
—Monsieur Styles vous vous êtes fait mal? Le médecin accouru vers lui pour inspecter ses doigts qui prenaient une couleur voilacé. Vous auriez dû me laisser terminer ma phrase, ça vous aurait éviter de vous mettre dans cette état. Le médecin le gronda.
—En quoi apprendre que mon fils ne verra jamais le jour arrangerait les choses? Harry s'était laissé glisser contre le mur. Dites moi en quoi entendre que mon bébé est mort aurait pû empêcher ça? Hurla t-il.
—Mais qui à parler de mort? Le médecin fronça les sourcils. Nous avons faire tout ce qu'on pouvait pour stopper l'hémorragie afin de limiter les dégâts. Votre compagnon et votre fils vont bien pour l'instant mais rien est gagné. Je vous ai faire venir pour vous annoncer que nous allons le garder pendant une période indéterminée afin d'être sûr qu'ils ne sont plus en danger. D'ici là si tout ne s'arrange pas nous serons obligé de mettre un terme à cette grossesse et mettre le bébé sous couveuse.
Harry s'était levé en trombe un sourire béat aux lèvres, son bébé était vivant.
—Je peux le voir maintenant? s'impatienta t-il.
—Oui, mais d'abord nous allons nous occuper de ces doigts qui si j'en juge par cette couleur sont fracturés.

Après s'être fait posé un plâtre contre son gré Harry s'était hâté dans la chambre de Louis. Il le trouva endormi dans les draps immaculés et le renflement de son ventre le rassurera de la présence de son bébé.
—Harry?
Il tourna sur le côté et vit mademoiselle Delvine. Cette dernière le visage boursouflé se jeta dans ses bras en retenant tant bien que mal ses sanglots. J'ai eu tellement peur, si tu avais vu tout ce sang.
—Tout va bien à présent calmez vous s'il vous plait, il faut vous reprendre pour lui.
—Vous avez raison. Dit elle en se dégageant de son étreinte. Mais c'est si dur de le voir étendre là et de me dire que j'aurai pût les perdre, je m'en serai jamais remise. Elle essuyait ses larmes qui étaient remplacées tout de suite par de nouvelles.
—Tout est de ma faute. Harry s'avança vers lui puis prit sa main froide dans la sienne et y déposa un baiser. Je n'aurais pas dû le laisser seul ce matin.
—Tu ne pouvais pas savoir, ce n'est la faute à personne.
Harry ne pût se contrôler et éclata une fois de plus en pleure.
—Pardonnez moi mes amours.
Mademoiselle Delvine passa derrière lui et lui donna une tape réconfortante puis sortit les laissant de l'intimité.

Louis papillonna ses yeux puis les ouvrit, son premier réflex fut de toucher son ventre. Il souffla de soulagement en le sentant encore rebondit.
—Il va bien. Fit une voix rocailleuse à ses côtés.
Il tourna la tête et vit Harry assit près de lui et sa mère endormie dans le canapé un peu plus loin.
—Je pensais que j'allais mourir, La douleur était horrible. Louis éclata en sanglot réveillant sa mère. Cette dernière se précipita vers lui prit son autre main.
—Comment te sens tu mon amour?
—Je vais bien maman, merci de nous avoir sauvé, j'ai pû te voir avant que tout ne devienne noir autour de moi.
—Tu n'as pas à me remercier mon ange, j'aurai donné ma vie pour toi. T'ai je déjà dit que tu étais la personne la plus importante pour moi au monde? Elle se leva et posa ses lèvres sur son front. Promets moi de ne plus me faire une telle frayeur, je crains que mon coeur ne puisse en supporter d'avantage.
Louis lui sourit puis apporta ses mains à ses lèvres.
—Promis maman. Sourit il. Il porta son regard sur Harry et haussa les sourcils en voyant sa main plâtré. Harry ta main?
—Ce n'est rien de grave juste une petite fracture, le médecin a dit que tout ira bien dans deux semaines ou trois. Harry tenta un sourire pour le réconforter.
—Je vais mieux maintenant, pouvons-nous rentrer? Supplia t-il.
—Je vais chercher le médecin et en profiter pour nous prendre un café Harry.
—Sans sucre s'il vous plait merci.
Elle acquiesca puis sortit.