Histoire intitulée dans mes brouillons "Nouvelles Harry Potter"
Écrit le 18/04/2018
« 19 ans plus tard. »
Les dessins accrochaient aux murs de la chambre montrait un enfant pleine d'imagination. Un château. Une forêt. Des formes géométriques sur un autre papier. Un dragon même. Les phares, des voitures qui passaient, éclairaient chaque dessins d'un halo de lumière. C'était comme plonger dans un album de souvenirs. Tout était là. Chaque objets, chaque meubles dans cette chambre faisaient partis de sa vie. Cette nuit là, une fillette de 11 ans dormait profondément. En se réveillant le lendemain, elle se rappelait vaguement avoir fait un rêve. Elle avait vu un bel oiseau déposer une enveloppe à la teinte orangée se glisser sur le tapis d'entrée de sa maison.
Plusieurs petits coups viennent rencontrer le bois de la porte de sa chambre. En ouvrant lentement les yeux, la fille voyait la pièce se baigner dans le soleil. Un rayon caressait son pied qui dépassait du draps moelleux et doux. Elle pouvait sentir la chaleur sur son pied. Elle adorait vraiment cette sensation. Un sourire se dessine sur ses fines lèvres.
« Aglaé, allez réveille-toi, il est déjà presque 9h. » annonce-t-elle d'une voix joyeuse.
Grand-mère Eugeiny savait que sa petite fille n'était pas une lève tard. La jeune Aglaé soulève son drap et pose ses pieds sur le sol froid. Elle s'étire lentement, laissant échapper un soupire et se lève, traînant des pieds. La porte de sa chambre grince légèrement ainsi que le bois dans le couloir. Elle n'y pouvait rien si elle vivait dans une vieille maison ! Mais elle adorait cette maison.
En descendant les escaliers, elle pouvait sentir l'odeur du sucré et de la fraîcheur. Il y avait aussi une odeur chaude. Sa grand-mère lui avait préparé un déjeuner royal, comme à chaque fois. Avec un sourire enchanteur, elle accueille la femme l'ayant élevé. La jeune petite blonde s'assoit sur une chaise. Ses yeux turquoises se baladaient le long de la table : fruits, crêpes, pancakes, jus de fruit. De quoi ne pas manger pendant plusieurs jours.
« Merci grand-mère pour ce festin. » déclare-t-elle.
La vieille femme s'était assise en face d'elle, la joie collée au visage. Elle observait sa petite fille.
« Aglaé te souviens-tu de l'Histoire de Po... » commence-t-elle.
« Poudlard, l'École de Sorcellerie ? Oui, tu me la raconte depuis que je comprends les mots. » coupe la jeune fille.
Elle avait entendu ces nombreuses histoires des centaines de fois et d'ailleurs, les dessins de sa chambre le montraient bien. Mais, [Prénom] allait laissé sa grand-mère parler. Elle avait le don d'embarquer les gens avec elle. Sa voix était si douce et apaisante.
« Je me souviens quand Charles Marin a reçu sa première lettre. Nous étions en train de jouer dans la ruelle avec un vieux ballons rouges. Le hiboux était sorti de nul part ! Certains d'entre nous avait déjà entendu parlé de cette école mais beaucoup de nos parents en avant peur. Quand il a eu sa lettre, j'ai tout de suite compris et j'étais fascinée. Je trouvais ça tellement merveilleux que quelqu'un appartienne à un monde si extraordinaire. A toutes les vacances, je le voyais revenir chez ses parents, le sourire joyeux. Il me racontait ce qu'il faisait là-bas et j'adorais ça. Puis le temps a passé et je l'ai perdu de vue. A mon avis, c'est devenu un très bon sorcier ce Charles ! »
Elle marque une pause laissant à sa petite fille le temps d'avaler quelques bouchées de sucres et de potassium. Aglaé lui souriait, attendant la suite.
« Et puis, pendant très longtemps, il n'y a plus eu aucune magie dans ma vie. Jusqu'à ce que je rencontre ton grand-père ! Avec lui, tout était magique. L'Amour est magique ma douce enfant. Ton père est né, il a grandit comme un garçon normal et il a épousé ta mère. Et puis, un beau jour, tu es arrivée dans notre famille. Un vrai petit miracle. Et la magie a de nouveau été présente. Oh la la.. Je me souviens quand d'un coup tu as transformé leur voiture en jouet pour enfant. Ils avaient eu peur et heureusement, ils n'ont jamais compris.. Mais moi si ! »
Aglaé fronce des sourcils. Sa grand-mère ne lui avait jamais dit ça. Elle aurait donc... Miniaturiser une voiture quand elle était petite ? La jeune fille n'avait pas vraiment connu ses parents. En vérité, ils n'étaient là que pour les grandes occasions. Ils travaillaient beaucoup et Aglaé avait été éduqué par sa grand-mère.
« Mamie, je ne comprends pas. Pourquoi tu ne me l'a jamais dis ? » demande-t-elle presque inquiète mais surprise.
La vieille femme sort de son tablier de cuisine une enveloppe. Comme... Comme celle de son rêve. Aglaé avait les yeux tout rond... Non.. Était-ce possible ? Mamie Eugeiny lui sourit.
« Comme je te l'ai dis mon sucre, la Magie n'a jamais cessé d'exister tout le long de ma vie. »
Elle lui tend l'enveloppe. Aglaé la saisit lentement, ayant peur qu'elle s'évapore, comme un rêve. Sa main tremblait légèrement. Elle lit sur le papier :
Mademoiselle Aglaé Hauch
2715 Threeponds
Closed farm
En retournant l'enveloppe, elle pouvait reconnaître le tampon, signe des Quatre Maisons : un lion, un aigle, un blaireau et un serpent.
«Mais noooon ! » s'écrit-elle par surprise et avec une pointe de joie.
Elle l'ouvre proprement le papier et lit :
« COLLEGE POUDLARD, ECOLE DE SORCELLERIE
Cher Mademoiselle Aglaé Hauch,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez-ci joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée le 1er Septembre, nous attendons votre hibou le 31 Juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher Mademoiselle Hauch, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice et professeur de métamorphose »
La jeune fille en resta bouche bée devant cette lettre. Elle.. Une sorcière ? Elle lève son regard sur sa grand-mère.
« Au fond de moi, je l'ai su dé que j'ai croisé des beaux yeux turquoises. Et avec le temps, mes doutes sont devenus des affirmations... Ma petite fille, une sorcière ! »
Elle la prend dans ses bras en la serrant. Aglaé était aux anges mais elle se ressaisit.
« Oh mais, je dois leur répondre ! »
Elle prend la présentation de la lettre, laissant les autres documents plus importants sur la table et la retourne. Elle prend un stylo bille et commence à écrire dessus.. Mais l'encre disparaissait aussitôt. Aglaé se redresse. Elle comprenait bien trop vite.
« Mamie, j'aurais besoin d'une encre et de l'une de tes vieilles plumes s'il te plaît. »
Après avoir tous les outils nécessaires, elle commence à écrire, en s'appliquant, avec l'aide de sa grand-mère.
« Cher Directrice Minerva McGonagall,
C'est avec un immense plaisir et une nouveauté pour moi que je réponds à votre lettre. Vous devez déjà savoir que je suis la première sorcière de ma famille mais aussi que ma grand-mère m'a tant parlé de votre monde, elle-même n'étant pas une sorcière, mais connaissant un ami sorcier de longue date.
Elle m'accompagnera acheter toutes les fournitures nécessaires. Elle m'a dit qu'elle pourrait contacter son ami pour qu'il nous ouvre le « Chemin de Traverse », dont j'ignorais encore l'existence jusqu'à ce jour. Une nouvelle nouveauté.
J'ai hâte de connaître votre monde et de faire partie de votre grande famille de sorciers.
Avec tout mon respect, Aglaé Hauch. »
Elle remet ensuite la lettre dans l'enveloppe et la scotche soigneusement avant de se figer. Comment allait-elle envoyer la lettre. Elle regarde par la fenêtre, dans le ciel. Le hiboux était-il encore là ? Elle avait vu juste.
« Il m'attendait. » sourit-elle.
Avant de sortir sous le soleil matinale, la jeune fille avait pris quelques framboises avec elle. Elle se dirige ensuite lentement vers l'oiseau pour ne pas lui faire peur. De sa main, elle lui montre les fruits, en gisent de récompense, que le hiboux mangea. Aglaé souriait. Elle tend ensuite l'enveloppe et se rapproche de lui pour lui souffler.
« Envole-toi oiseau de mes rêves. »
Le hiboux déploie ces ailes et s'envole vers une contrée inconnue. La jeune blonde le regardait s'éloigner dans le ciel, jusqu'à devenir un tout petit point noir. Un moment particulièrement merveilleux. Elle se tourne alors vers sa grand-mère.
« Il est l'heure de contacter Monsieur Marin. »
En attendant l'ami de sa grand-mère dans le jardin, Aglaé réfléchissait. L'Argent Moldu et l'Argent Sorciers n'était pas les mêmes. Alors, comment allait-elle se payer tout ça ? Sa grand-mère semblait lire en elle et avait répondu à sa question. Elle n'avait jamais douté des capacités de sa petite fille, alors, elle avait demandé à son ami sorcier de lui ouvrir un compte. La modernité avait tout de même évoluer et pour les enfants Né-Moldus, une conversion pouvait se faire. Alors, depuis sa naissance, sa grand-mère lui avait mit de l'argent de côté, dans la banque de Gringotts. L'Ami de sa grand-mère venait tout juste d'apparaître. Dire « comme par magie » aurait été bien ironique, mais c'était la stricte vérité. Aglaé n'en revenait pas.
« Charles ! Quel plaisir ! » dit-elle en s'avançant, les bras ouverts.
« Eugeiny ! Oh mais c'est Aglaé, n'est-ce pas ? Bravo ma grande ! Jamais je n'aurais douté que ta grand-mère allait avoir une sorcière dans sa famille un jour ! »
Aglaé n'arrivait pas à détacher son regard de l'endroit où il était apparu. Elle lève les yeux vers lui.
« Vous vous êtes téléporté ? »
Il acquiesce.
« Dans notre monde, nous préférons le terme transplaner. Mais oui, c'est le même principe. »
Aglaé jette un coup d'œil à sa grand-mère qui semblait trouver ça très normal. Charles met ensuite sa main au milieu.
« Prêtes ? » demande-t-il.
La jeune fille pose timidement sa main sur la sienne. Voulait-il lancé un cri de joie ? Voulait-il qu'ils lancent leurs mains en l'air comme s'ils étaient meilleurs amis ? Mais non. Ce n'était pas ça et Aglée aurait du sans douter. Dé que sa grand-mère les a rejoint, tout est devenu tourbillon. C'était assez violent en réalité et Aglaé avait une drôle de sensation dans l'estomac. Mais il était arrivé dans une petite ruelle illuminée par le soleil. Aglaé s'était rattrapé à un mur en pierre. Elle avait maintenant la nausée. Sa grand-mère avait l'air de ressentir la même chose. Aglaé lève le nez vers Charles.
« Transplaner hein ? C'est pire que des montagnes russes ! »
Le vieil homme se tourne vers elle, les sourcils froncés.
« Des montagnes russes ? »
Ah oui, c'est vrai. La jeune fille secoue la tête, l'air de dire « Non rien. » Elle pose un regard sur le monde qui l'entourait. Elle entendait plusieurs voix, comme sur un marché. La petite blonde s'avance et se retrouve dans une ruelle bardée de monde. Son estomac lui jouait encore des tours mais ça allait passé. Étrangement.. Elle se sentait à l'aise ici. Sa grand-mère la tire doucement par le bras. Ils se dirigeaient vers un grand bâtiment blanc un peu penché sur le coté, comme la Tour de Pise. Aglaé l'admirait. Ils sont alors entrés pour retirer de l'argent sorciers avant de ressortir. La jeune sorcière avait sortie sa liste et commençait à dicter à voix haute. Elles avaient d'abord commencé leur course dans un magasin de vêtement, pour la robe de sorcier. Puis ensuite, les manuels scolaires. Aglaé avait vraiment hâte d'apprendre ces choses ! Elle allait probablement les lire en rentrant avant la rentrée. Charles les avait accompagné dans un petit pub pour manger et se désaltérer avant de repartir. A un moment, en marchant, Aglaé regardait sa grand-mère. Elle semblait comblé.
« Mamie ? Est-ce que Papie était au courant de tout ça aussi ? Et pourquoi Papa et Maman détestent-ils ce monde ? »
Elle s'était arrêté et mis sur le côté pour ne pas gêner les sorciers qui passaient par là.
« Ton grand-père était au courant oui. Il ne m'a jamais jugé sur ça mais, crois-moi, il serait bien surpris d'apprendre que tu es la première sorcière de la famille. Quant à tes parents.. Et bien.. Ils étaient ensemble au collège et ils ont vu des camarades partir ici. Jalousie ? Haine ? Franchement, je n'en sais rien ? Mais au début, ta mère y croyait et ton père l'en a dissuadé. » explique-t-elle en soupirant et haussant les épaules.
Aglaé fait une petite moue. C'était bien dommage que certains personnes comme ses parents étaient contre cette forme de magie.
« Regardez là-bas ! Allons chez Ollivander ! Oh, vous auriez vu la première boutique. Indémodable ! Mais un jour, celle de Garrick Ollivander a été détruite et ils en ont refait une là-bas. Maintenant, c'est son fils qui garde la boutique ! John Ollivander.» déclare-t-il en pointant un bâtiment en bois légèrement vert au coin de la rue.
Aglaé entre et la cloche au dessus de la porte sonne. Sa grand-mère lui prend ses livres et elle s'avance timidement, encouragé par Charles. Un homme aux cheveux bruns apparaît entre ce qui semblait être des rayons avec de nombreuses boîtes de couleurs. Il s'approche tout sourire, venant serrer la main de ma jeune sorcière.
« Première année, n'est ce pas ? Ravi, ravi ! »
Il repart aussitôt pour aller chercher quelque chose. Il fait signe à Aglaé de s'approcher du comptoir. Il sort une boîte vert foncée et la pose sur le bois. Il l'ouvre. Il y avait une baguette marron. Il la prend dans ces mains et tend l'oreille. Il la donne ensuite à Aglaé et la fixe. Celle-ci se tourne vers sa grand-mère qui hausse les épaules. L'homme se met à parler, faisant sursauter la plus jeune.
« Baguette en bois de sorbier contenant du crin de licorne, 23 cm, étonnamment flexible. » annonce-t-il.
Aglaé hausse les épaules et décide de faire tourner la baguette. L'homme attend quelques secondes avant de la reprendre aussitôt.
« Non malheureuse ! »
Elle se recule légèrement, étonné par la réaction de Ollivander. Elle se tourne vers Charles qui avait un sourire aux lèvres. L'homme se met ensuite à chercher dans un rayon de droite. Il en sort avec un boîte légèrement orangée. Aglaé se rapproche intriguée. La baguette était..
« Baguette en bois d'érable contenant du crin de licorne, 26,03 cm, étonnamment flexible, elle aussi. »
Aglaé la saisit lentement et elle ressent comme une chaleur qui parcourt tout son corps. Ollivander applaudis.
« Oui ! Je le savais ! Félicitation ! »
Il serre la main de la jeune fille en la faisant bouger dans tous les sens. Aglaé riait. Ils paient puis sortent de la boutique. Aglaé se sentait parfaitement bien.
« Je crois que c'est tout. » déclare-t-elle.
Elle était légèrement triste et ne voulait pas déjà quitter ce monde de féerie. Sa grand-mère se tourne vers Charles, avec un sourire complice.
« Il te manque un compagnon pour ces prochaines années, non ? »
Le cœur d'Aglaé avait fait un grand bon. Ses parents n'avaient jamais voulu qu'elle est un animal, même pas un pauvre poisson rouge.. Alors, la jeune fille était heureuse. Mais qu'allait-elle pouvoir acheter ? Si elle se souvenait bien, les élèves de Poudlard avait droit à toute sorte de volatile, d'amphibien et de félins.
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