chapitre 1

L'appartement était vide. Vide et sans vie, c'était bien ça. Le cadavre de la jeune femme gisait sur le sol, les cheveux baignant dans le sang. La peau pâle de cette jeune femme rappelait la neige qui tombait à travers sa fenêtre. Ce spectacle se déroulait au environs de 6 heure du matin, alors que personnes ne réclamait la victime. 24 heures plus tard, les flic était sur le pas de la porte, admirant avec dégout le cadavre. Le chef de la brigade avait donné des ordres et chacun c'était mis à sa tâche.

_ de qui s'agit il?

_ D'après les voisins, la victime s'appelait Olga Ducan.

_ Dis m'en plus.

_ Elle est née à Roubaix, elle avait 23 ans, et est là pour ses études, une artiste apparament. D'après le voisinage elle n'avait jamais eu aucun problème, pas de tapage nocturne, pas de factures impayés, totalement réglo.

_ Elle avait un job?

_ Ouais, surveillante dans un collège du 14ème. Une situation plutôt stable...

_ ok, je veux qu'on envoie une équipe dans ce foutu collège, on intérroge les collègues, les élèves qui lui était familier, je veux aussi le noms des parents des élèves proches! Je veux qu'on me sorte tout de sa vie, amis, petit ami, parents ect, je veux tous ça sur mon bureau!

L'homme prenait de rapide notes puis fila, sont téléphone en main. Le chef regarda encore le cadavre, puis leva la tête. Sur le mur, face à lui, se trouvait une énorme trace de sang. Cela aurait put être la giclée violente de sang quant le tueur avait égorger Olga, mais c'était fait à la main. Une pate de loup, dessiné avec le sang de la victime.

_ encore toi... laissa filer le chef.

Menant sa vie courante, Ruby sortit en hâte de sa fac et se dirrigea d'un pas rapide vers le métro. Les écouteur dans les oreilles, elle ruminait sa lamentable journée. Sa fac ne l'interressait pas le moins du monde, et pourtant... Quelques cours avait parfois le don de l'interresser, et elle notait quelques petits choses sur sont carnet. Elle se consolait, se disant que c'était à cause de cette dernière année, après tout, les autres années n'étaient pas aussi dures. Elle fronça les sourcils et attendit sont métro sur le quaie. A l'arriver du train, elle augmenta la musique, comme ci elle voulait que ses timpants exploses.

Elle descendit pour un changement, remontant vers le nord Parisien et sortie à Place de Clichy. Poussant quelques personne elle courut jusqu'"au petit poucet", le café dans lequel elle travaillait à mis temps. Elle saluat quelques collègues, dit bonjour au chef de service, et posa ses affaires dans les vestiaires. Elle enfila sont tablier et passa derrière le bar. A cette heure, le café n'était pas trop remplit, mais cela n'allait pas durée. L'hiver avait beau avoir posé ses marques, les gens ne se décourageaient pas à sortir prendre un bon café sur cette place. Elle executa les ordres données, tantôt à servire au bar, tantôt à aller les servires à leurs table, puis commença à prendre commande des dîners. Les quelques habitués la saluaient, et elle répondait gentiment. Vers 1h30, le café ferma. Elle et trois autres serveures rangèrent les chaises qui restait dehors. Une fois fini, ils se rhabillèrent et partirent chacun chez eux. Olivia, l'une des serveuses appela un taxi, mais ce ne fut pas le cas de Ruby. Celle ci sauta dans la bouche de metro mais une fois sur le quai, vit le dernier metro partir. Pleine de dépit, elle remonta lassivement les marches retomba sur la place. Sortant sont paquet de cigarette, elle craqua et en alluma une. Rien qu'à la première bouffer, elle sentit une partie du poids sur ses épaules, s'envoler, l'espace d'un instant, certe, mais c'était trop bon, il fallait qu'elle recommence. Elle entama une longue marche dans la nuit froide, cigarette à la bouche, quant une voix l'appela dans sont dos.

_ ruby? tu ne prend pas le métro?

Elle se retourna et regarda sans surprise Rodolph, un de ses collègues, casque de moto en main. Elle decida de s'approcher de lui pour lui expliquer la situation.

_ Le dernier métro m'a filer sous le nez...

_ T'habites où?

Ruby sentit l'hésitation lui monter à l'esprit, mais l'a chassa un revers de pensée. Elle connaissait bine Rodolph, c'était un type sympa.

_ Quai de la Garonne, dans le 19ème.

_ Tu comptais y aller à pied, c'est à l'autre bout de Paris!

Ruby ne répondit rien, y avait il quelque chose à répondre? Elle laissa couler un certain temps, faisant comprendre à Rodolph qu'elle ne dirait pas un mot.

_ Bon... j'ai pas de deuxième casque, prend le miens! lui dit il en lui lançant presque sont casque.

_ T'es sur que tu en as pas plus besoin que moi?

_ Non, aller, monte, je te ramène!

Remontant par la rue Guy Môquet, il s'engagea à une vitesse normal rue Ordener avant de passer de rue en rue. Le trajet fut long, Rodolph ne voulait pas se tuer ce soir, il ne voulait pas mourir de toute façon. Arrivé à destination, il déposa Ruby, lui faisant remarquer qu'il connaissait à présent sont adresse, et il n'eu le droit qu'à un soupir et un sourire comme réponse. Il n'en n'était néanmoins pas déçut, c'était pour lui un début. Il saluat sont amie, et repartit.

Ruby le regarda s'éloigner et marcha jusqu'à sont immeuble. Elle monta tranquillement chez elle et se coucha directement.

Jonas Horn, le chef de la briguade, finissait sa cigarette sur sont balcon. Le cadvre de ce matin le hantait encore. Pour lui, ce tueur était le pire. Cela le frustrait qu'il ne l'ai toujours pas trouver. Il renonçait à envisager que ce tueur n'agisssait pas seul. Il voulait le traquer, quitte à rester, mais il voulait au moins voir le visage de ce monstre.

La porte fenêtre s'ouvrit et sa femme arriva à ses côtés, l'aire fatiguée. Il chassa aussitôt Olga, et toute les autres victimes de sa tête.

_ Tu vas dormir cette nuit?

_ J'allais justement me coucher... l'a rassura t'il avec un faux sourire.

Sa femme lui embrassa la joue et rentra, grellottant. Il jetta sont mégo, le regardant tomber, puis rentra aussi. Même aux côtés de sa femme, dans le noir complet, il revoyait les victimes. Leurs points commun était très dure à lier. Il n'avait violer et tuer que des rousses, ou des brunes très foncées. le poids était variable, et les études lui était indifferent. Il les tuait entre leurs 20/27 ans. Cela laissait trop de victime potentiel dehors, et Jonas s'en voulait. Habituellement c'était un très bon flic, mais cette affaire...

Il laissa le monde des cauchemar prendre possession de sont ésprit pour quelques heures avant d'être sauver par le reveil.

Le lendamain, sa routine continuait. Il eteind sont reveille une minute avant que celui sonne, et regarda sa femme dormir. C'était comme une thérapie pour lui. Sa repiration le rassurait, surtout quant celle ci était lente et posé. Une vie, calme, se tenait à ses côtés, de quoi pouvait il rêver de mieux?

Malgré tout, il se leva, mis la table et commença à préparer le petit déjener. 30 minutes plus tard, il reveilla sa femme, et partit reveiller leurs enfants. Tous se préparèrent, Jonas le premier, et proposa à sa fille de l'a déposer. Celle ci accepta volontière. Il souhaita une bonne journée à sont fils, embrassa sa femme, et pris sa fille avec lui. En voiture, celle ci monta juste côté de lui.

_ Lisa, attache toi.

La jeune ado obéis.

_ Tu commence avec quoi aujourd'hui?

_ Physique chimie... deux heures...

_ Tu as l'aire ravis.

_ Le prof explique mal! j'y pige rien.

_ Je t'ai déjà dis, si tu ne comprend pas, viens me voir, dis le moi, je peux t'aider...

_ Papa, j'ai 17 ans, je suis plus en CP, je peux me debrouiller.

Jonas leva les yeux au ciel.

_ Papa?

il répondit d'un grognement, comme ci parler allait causer un accident.

_ Il y a eu un meurtre hier?

_ Tu sais que je ne parles pas de ça à la maison...

_ On est dans la voiture...

_ Je préfère rester vague, un meutre c'est tout. Ne pose pas plus de questions, je n'y répondrait pas.

_ Pourquoi?

_ Parce que c'est comme ça! moins tu en sait, mieux tu te portes! souffla sont père dans un virage.

Lisa leva les yeux au ciel.

Le trajet se continue dans le silence. Jonas déposa sa fille dans sont lycée,e t continua sont chemin. Il gara sa voiture sur un parking publique, et marcha jusqu'au 36 quai des orfèvres. Sur le chemin, il passa devant un kiosque à journaux et ne fut pas étonné de voir la première de couverture. "Le loup parisien à encore frappé!" affichait Libération en rouge. Jonas acheta le journal, s'alluma une cigarette et continua de marcher. Arriver devant la grande porte du poste de police, il ne pretta aucune attention au journal et termina sa cigarette avant de l'a jetter sur le route. Il s'engouffra dans l'immense bâtiment et monta les éscaliers rapidement.

_ Salut Jonas! le saluèrent ses collègues. Arriver au 5ème étage, Il croisa Charli, un collègue.

_ Jonas, tu es le seul fumeur qui arrive à monter 5 étages sans s'arrêter et à la vitesse d'une voiture de courses...

_ Des années d'entrainement Charli! lui répondit il. Comment va ta famille?

_ maria est à la maternité, elle sort dans deux jours, je vais poser un conger pour profité du bébé...

_ Profite, c'est mignon à cet âge là, à 17 ans ça l'est moins!

Charli riat, laissant passer Jonas pour accéder à sont bureau. Jonas s'assit pendant que Chharli déposa un gros dossier sur sont bureau.

_ Alors, qu'avons nous au programme?

_ Intérogatoire! On a regrouper ce qu'on a pu, parents d'élèves, offusqués bien evidement, surveillants, profs, CPE, directeur ect... Ha et une partie de la famille aujourd'hui, le reste suremen demain...

_ Génial... j'adore voir les gens pleurer, c'est ce dont j'ai justement besoin... dit il avec irronie. Charlie lui répondit d'un sourire du même style.

_ Bon bah allons y, en salle d'intérogatoire... lança Jonas en se levant. Charli le suivi.

Ruby n'avait, heureusement, pas beaucoup d'heures de cours aujourd'hui. Une fois sortie de la fac, elle traina avec quelques amis à elle, discutant du programme. La conversation, contrairement au cours, était loin d'être ennuyeuse. Les 4 jeunes adultes se posèrent en terrasse d'un café, malgré le froid. Commandant des boissons chaudes, l'une d'eux proposa de sortir ce soir.

_ Je peux pas, je taf place clichy jusqu'à 1 heure minimum!

_ Ha merde, tu peux pas tirer au cul et sortir plus tôt?

_ Je ne pense pas... Si je veux garder mon apparte, faut bine que je boss...

_ Quand est ce que tu ne boss pas le soir..? demanda alors le seul homme du groupe.

_ Le dimanche... Mais lundi, étude!

ses trois amis levèrent les yeux au ciel, déséspérés.

_ Tu peux pas négocier des horraires? tu fais que le soir le samedi?

_ ouais, c'est vrai que je pourrais demander à bosser le samedi midi... c'est pas une mauvaise idée...

_ voilà! bah ce soir tu en parles à ton boss...

Ruby ne répondit pas. Pour elle ce n'était que des parole en l'aire. Elle ne trouvait pas de grand plaisir à sortir danser au milieu de la foule, seulement pour ramener un homme chez elle, ou pour se retrouver dans le lit de quelqu'un sans savoir vraiment ce qui c'est passé. Elle aimait bine sont taff, même ci elle rêvait de finir ses études et de travailler sur l'étude du comportement humain avec des scientifiques, ou ouvrir sont cabinet de psychologie au coeur de Paris. Serveuse lui plaisait bien, elle avait de bonnes relations avec tout le monde, et des amis en clients régulier.

Alors qu'une amie sortait sont paquet de cigarettes, elle lui en empreinta une et fumèrent silencieusement. Quant les amis se quitèrent, Ruby partie rapidement vers le metro et rentra chez elle. Elle avait encore quelques heures de repos avant sa lourde soirée. Le vendredi et samedi soir étaient les soirées les plus remplits, et majoritairement, le restaurant restait ouvert plus longtemps. Une fois chez elle, elle posa sont sac et sont manteau sur sont lit, puis, prenant sont ordinateur, ouvrit un onglet internet.

Au même moment, quelques arrondissements plus loin, Liam Hunt ferma sont ordinateur. Il resta assit quelques minutes, contemplant le paysage depuis sa fenêtre, puis enfin se leva. Alors qu'il allait se faire un café, il regarda l'heure sur sa free box, et constata qu'il lui restait une demi heure avant d'aller voir sont psy. Il trouvait l'idée particulièrement déplacé. Comment pouvait on forcer quelqu'un à parler de sa plus grosse honte pour se "liberer". Il jouait le jeu, metant fin rapidement aux séances, et faisant comme si tout allait bien, mais en réalité, ça ne faisait qu'empirer.

Lançant sa machine en marche, il regarda le liquide noir couler dans sa tasse. Chaque son de gouttes lui rappellait le bruit des balles tirés depuis sont revolver. Il ferma les yeux, comme pour chasser ce son de sont esprit, et les réouvrit que pour prendre sa tasse, brulante. Il fit le tour du muret et s'intalla à sa table. Il prit tout sont temps, fixant la free box en face de lui. Chaque minute le rapprochait du psycologue, et chaque jour, il y allait à reculont. Il savait très bien que pour reprendre sont poste au saint de sa briguade il devait passer par le psy, et seul lui pourrait lui dire si il pouvait reprendre. D'un certain côté, tout les mauvais souvenirs lui revenait, le persuadant presque d'abandonner sont métier et de s'en trouver un autre, de l'autre, être flic le faisait vivre, il aimait ce jeu de piste, cette course contre la montre, celle qui le faisait vibrer, de peur comme de plaisir.

Quand l'heure fatal s'afficha, Liam bu d'un coup le fond de café qu'il lui restait et s'habilla chaudement pour sortir. Comme beaucoup d'autre, il prit le métro et arriva avec 5 petites minutes d'avance. Il n'eu même pas à patienter dans la salle d'attente du psycologue. Celui ci le fit entrer dans une pièce à part, où comme à sont habitude, il s'assit sur l'immonde fauteuille en velour vert vomi. Le psy s'installa dans le même fauteuille, en face de lui. Il affichait un grand sourire, comme ci il était heureux de revoir Liam, et ce à chaque scéance.

_ C'est votre dernière séance, vous vous souvenez? dit il lentement.

_ Oui... oui... Je l'avais noter quelque part, mentis Liam, en réalité, il l'avait graver dans sa mémoire comme ci c'était le jour le plus important de sa vie.

_ Bien... Alors... comment vous sentez vous?

_ Mieux... je comprend pourquoi mon suppérieur voulait que je vous vois. Je ne pense que très rarement à mon collègue, Alexendre, et quant j'y pense, c'est au bon moment, pas l'instant de sa mort... Mes cauchemars ont passés, je dors tranquillement, sans me reveiller...

_ Etes vous sortit ces derniers temps?

_ Oui, j'ai vu quelques amis, au bar comme chez moi, ou chez eux, et je me suis beaucoup rapproché de ma famille, je vois bien plus souvent mes parents, mon frère aussi...

Liam savait très bien mentir. Il n'en était pas spécialement fière, mais pour le coup, cela lui sauvait la mise. En réalité, il avait toujours des troubles du sommeil, se reveillant trois à quatre fois par nuit, il loupait quelques repas, il ne sortait pas, évitant ses amis, même ceux qui voulaient absolument le voir, et ne c'était en aucun cas rapprocher de sa famille, parfois il se demandait même si il n'y avait pas eu une naissance, ou un décès, sans qu'il en soit averti.

_ je même fais une rencontre...

encore un mensonge. Mais le psy eu l'aire de le croire car il sourit, comme ci il était maintenant attendri.

_ bien... votre comportement va beaucoup mieux... A quoi pensez vous pendant vos heures perdu..?

Liam souffla, faisant semblant de se creuser la tête. En réalité il ne pouvait que rarement s'enlever l'image d'alexendre tombant au sol, deux balles logé dans la poitrine. Même la machine à café lui rappelait le coup de feu.

_ Pas grand chose... ce que j'ai à faire, les courses que je dois faire, mes bricoles, ce que je pourrais faire... Qui je pourrais voir... ce que je mangerais le soir même, ect...

Le psy nota tous ce que Liam disait. il plaçait quelques "Huhum" pour laisser entendre qu'il écoutait sont patient, mais rien de plus. Quant Liam se taisait, il lui posait une nouvelle question, ne le laissant que rarement dans le silence. Une heure plus tard, le psy annonça la fin de la scéance, et Liam se retint de sourire. Il lui donna les 60€ demandé, comme à chaque séance, et attendit le verdicte.

_ Monsieur Hunt... vous avez 32 ans, vous êtes jeune, vous vous en êtes bien remis. Néanmoins, je demanderais à votre suppérieur des compte régilué sur votre santé mental et votre comportement au travail. Votre métier n'est pas de tout repos, j'espère que votre reprise ne sera pas trop brutal, si c'est le cas, je vous mettrait en arrête.

_ D'accrod... Je reprend à partir de quand?

_ Lundi pochain!

Liam retenait de toute ses forces le grand sourire qu'il voulait afficher, trop heureux de reprendre du service et de se debarasser de ce psycologue! Il se lamentait néamoins de ne reprendre que dans 2 jours et demi.

Il saluat le psy, acceptant toutes les démarches, puis rentra chez lui. Il marcha jusqu'à sont immeuble, dans le froid, laissant le vent l'aveugler à certain moment, mais il pouvait enfn sourire. Pour la première fois depuis 3 mois, Liam souriait.

Comme prévu, le restaurant était remplit de monde. Ruby courrait après les clients, assiettes en main. Elle prenait comande, balançait le nos des plats à bjibril, le cuisto, et déposait les assiette vide en cuisine, et prenait les remplit pour les apporter aux clients. Comme tout les vendredi sir, certain habituer venait, certains avec leurs compagnes, d'autres avec leurs famille, mais l'un d'eux demerait toujours seul. Un homme que Ruby connaissait bien. Il venait très souvent, et laissait toujours un pourboir à Ruby. Il s'appelait Ben, tout simplement, et on le lui avait jamais demander sont nom de famille. Il était simple, comme sont nom, et cherchait toujours à attirer l'attention de Ruby. Une fois, alors que quelques clients s'étaient mis à danser, il lui avait proposé une danse, et tout le service c'était marrer dans les vestiaires.

Cette fois, aucune danse, mais quelques phrases par ci par là, esseyant de taper la causette avec cette "belle serveuse", comme il disait. Non cette fois, il lui commanda des lasagnes, le plat qu'il prenait le plus régulièrement. Quant elle lui apporta, il l'a remercia d'un grand sourire, et commença à manger avec soins. Au moment de payer, il paya en liquide, et donna un pourboir de 20€ à ruby, avec un joli clin d'oeil. Ruby lui répondit d'un sourire et partie servire d'autre client. A la fin du service, elle rangea les rares chaises qui trainait dehors, aider par ses collègues, partie se changer, puis ferma le restaurant. ALors qu'elle allait mettre ses écouteurs, Rodolphe l'interpella.

_ Hey la miss!

Elle se retourna.

_ Je te ramène? Lui proposa t'il en lui tendant sont casque.

_ Ca va devenir une habitude... lui dit elle en le prenant, petit sourire au coin des lèvres.

_ J'y compte bien!

Encore une fois, il l'a raccompagna sans casque, et l'a laissa en bas de chez elle.

_ merci... dit elle doucement, baissant un peux les yeux.

_ Il n'y a pas de quoi...

Elle lui rendit sont casque et tapa sont code.

_ Ruby..?

Elle se retourna sans rien dire, s'attendant à n'importe quoi.

_ bonne nuit...


Ruby savait très bien qu'il voulait dire autre chose, mais fit comme ci de rien n'était, et lui rendit cette politesse. Elle ouvrit sa porte, traversa la petite cours de sont immeuble et entra chez elle. Elle se prit une douche et regarda un film sur sont ordinateur, directement dans sont lit. Elle se sentait mal à l'aise vis à vis de Rodolphe. Elle ne savait pas exactement ce qu'il voulait, et elle ne savait pas non plus ce qu'elle recherchait, ni ce qu'elle esperait. Pour elle, Ben n'était qu'un jeu, mais elle savait très bien que cela énervait Rodolphe. Elle se rassurait en se repetant qu'il avait perdu sa soeur, que depuis il était méfiant et protecteur. Au moment de se coucher, les 3 heures du matin étaient passés. Elle secoua sa couette, chassant les cendres de cigarette, et s'enveloppa dans sa couverture.










Merci à ceux qui lirons ce premier chapitre. Je ne suis pas passé eu peigne fin pour trouver mes fautes d'orthographe. Je poste cette histoire ici pour la partager, donc n'hésitez pas à laisser un commentaire, même pour une critique. J'aurais tendance à lire les critiques d'ailleurs :)

Je ne sais pas si je peux vous dire à bientôt, mais je vous laisse là dessus, encore merci à ceux qui lirons.


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