Chapitre 7
Souvent, je suis entourée.
Sur mes lèvres teintées, je pose un sourire presque parfait. Juste assez pour dissimuler, pour ne pas m'exposer.
Mais mes yeux, eux, parlaient.
Ils disaient ce qui me rongeait, ce qui grignotait tout à l'intérieur.
Personne ne lisait.
Personne ne regardait, ou plutôt, tout le monde fuyait.
La peine est un poids qu'on évite de partager.
Je ne sais plus quand le monde a changé.
Est-ce depuis toujours qu'on ne tend pas la main à une âme effritée?
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