Il connaissait Perona depuis longtemps et savait parfaitement qu'elle aimait passer un bon moment avec qui quiconque était partant. Il a donc décidé d'aller lui demander quelques petites choses.
Perona avait accepté son offre, mais elle l'a averti qu'il allait devoir être mignon cette fois-ci, puisqu'elle faisait ça pour lui faire plaisir.

*-*-*-*-*-*-*-*-*

La chambre de Perona était tellement extravagante... Il y avait tellement de roses et de choses mignonnes, c'était presque dur à regarder par moment. Il dut faire un effort énorme pour s'empêcher d'ouvrir sa bouche pour la critiquer. Perona portait un sous-vêtement rose et noir, et des bas mi-longs à motifs floraux. Elle avait le même air espiègle que d'habitude, et lui décocha un regard aguicheur alors qu'elle le regardait entrer dans sa chambre.

"C'est la première fois que tu fais ça ? Où tu as déjà couché avec des femmes ?"

Il bégaye en l'écoutant lui demander ça, il n'était pas sûr de savoir quoi répondre.

"Je... non, ce n'est pas la première fois que je fais ça..."

"Déshabille toi, Princesse Perona va prendre soin de toi."

"C'est à dire que je suis plus souvent celui qui prend soin des autres..."

"Tu n'es pas mignon du tout ! Tu crois que seul les hommes peuvent dominé les femmes ?"

Il écarquilla les yeux en sentant le fouet de Perona le fesser sur les cuisses, il nageait totalement en pleine confusion. Et quand il l'entendit dire qu'il croyait que seuls les hommes pouvaient dominer les femmes, il a un peu paniqué.

"N-non, n-non, bien sûr que non !"

"Qu'est-ce que tu attends ? Déshabille toi, tu n'es pas mignon a regardé bêtement comme ça."

Il déglutit en l'écoutant répéter qu'il devait se dévêtir et qu'il ne faisait pas mignon, il hésita un instant, mais il finit par commencer à se dévêtir lentement, un peu mal à l'aise.

"Mets toi, face contre le matelas mains dans le dos."

Il ce mets visage contre le matelas et de mettre ses mains dans le dos et, après un instant d'hésitation, il finit par obtempérer et se plaqua sur le matelas, face contre le lit et posa ses mains dans le dos.

"Tu as déjà été attaché ?"

Il n'était pas sûr de savoir comment y répondre, il était honnêtement un peu mal à l'aise. Il n'était pas contre l'idée, mais il n'était jamais vraiment été attaché avant.

"N-non, non, je n'ai jamais été attaché avant."

"Ne t'inquiète pas. Dis-moi si c'est trop serré Dame Perona sera gentille avec toi."

"J-je te dirais si c'est trop serré."

Il se sentit immédiatement plus mal à l'aise alors qu'il se retrouvait attaché serré, en sentant ses poignets attachés à ses chevilles, et il se sentit exposé dans cette vulnérabilité.

"Si tu veux arrêté crie le mots "papillon" tu as compris ?"

"O-okay j'ai compris."

"Je ne réponds qu'à princesse Perona ou Dame Perona. Tu risque d'être puni si c'est pas le cas."

"D'accord princesse Perona."

*-*-*-*-*-*-*-*

Il n'aurait jamais cru non plus qu'il se retrouverait attaché et soumis par Perona. Ça ne ressemblait à rien de ce qu'il a expérimenté avant. Et il se sentait un peu dépassé par la rapidité avec laquelle cette jeune fille prenait le contrôle de la situation mais il décida d'explorer cette nouvelle expérience plutôt que de juste la refuser en bloc.

Il sortie un son qui ressemblait à une jérémiades alors qu'il sentait les doigts minces de Perona glisser en lui, haletant lorsqu'elle touchait sa prostate. Il gémit de nouveau la sentant titiller son point sensible.

"D-doucement...c'est b-bien....continue."

"Ne me donne pas d'ordre."

Il arqua son corps lorsqu'il reçut une gifle sur ses fesses qui résonne dans toute la chambre. "Pardon, princesse je n'ai p-pas voulu..."

Il gémit alors qu'il sentait toujours ses doigts bouger en lui, en le caressant, il se sentait tellement confus par sa situation qu'il ne pouvait quasiment plus articuler un mot cohérent. Il se sentit presque un peu soulagé en sentant Perona retirer ses doigts de lui, tout en essayant de reprendre sa respiration, alors qu'il la voyait chercher quelque chose dans sa chambre. Perona revient rapidement en rigole joyeusement avec une bouteille de lubrifiant senteur fraise à la main, et quelques choses d'autres.

"H-hum, p-princesse Perona ? C-c'est quoi ça ?" Il ne comprenait pas ce qu'elle faisait.

"Boule de geisha."

"Oh...tu vas m-m'enfoncer des boules de geisha ?"

"Oui."

"E-et ça v-vibre ?"

Il gémit juste en y réfléchissant, en pensant aux sensations qu'il pourrait ressentir s'il se faisait insérer ces boules. Il était à la fois excité et un peu apeuré, sachant qu'elles se trouvaient entre les mains de Perona.

"Ouais je suis généreuse pas vrai ?"

"Oui, j-je suppose es-tu sûre de ce que tu fais, princesse...?" Il hésitait encore, il se sentait très très soumis a elle il veut pas ce faire fessé et il avait du mal à lui faire totalement confiance et pourtant, il voulait explorer ça.

"Tu doutes moi ?"

"N-non, princesse ! S-sorry princesse je ne voulais pas vous offenser."

Il sursauta en sentant plusieurs  fessées sur son cul, ce qui rendait son corps déjà bien éveillé et il gémissait fort alors qu'il prenait en volume et en érection. Il ne s'était pas attendu à aimer ce faire fessée par Perona ou même rétrogradé.
Il gémissait doucement et rougissait. Perona se pencha sur lui, faisant courir ses ongles manucurés le long de son dos musclé. Il avait un peu honte, penchant son cul en l'air, et serrant sa mâchoire. Ses joues étaient maintenant teintées d'un rouge cramoisi. Il frisonna quand la boule de geisha pénétra son trou, sa tête retombant contre le coussin rose devant lui et cette peluche de chat mignonne été subitement intéressante. Il gémissait, pressant son visage contre le lit, sentant son corps tout entier le brûler d'embarras et de désir. Perona continua de jouer avec sa chair, l'allumant comme un brasier, son esprit embrouillé de plus en plus avec chaque seconde jusqu'à ce qu'il perdit complètement la capacité de réfléchir.

Une fois qu'elles étaient toutes en place, Mihawk gémissait à chaque expiration. Ses yeux étaient grands et vitreux, son cœur battait si fort qu'il sentait qu'il était sur le point d'exploser. Il tremblait violemment, luttant contre le poids de ses propres désirs. Mihawk grogna, ses orteils s'enroulèrent en réponse aux vibrations et il agrippa les liens avec une telle force qu'il ne serait pas surpris s'il les déchire et s'abîme les poignets. Son corps se tendit, les vibrations l'envoyant des étincelles de plaisir dans chaque nerfs et fibre de son être. Il gémit fortement, son visage brûlant, le reste de sa honte dévoré par le désir. Il avait l'impression que son esprit se brisait, que les cordes autour de ses poignets étaient le seul lien entre lui et le monde extérieur. Il se tordit violemment, ses hanches bougeant contre sa volonté. Les larmes s'accumulèrent au coin de ses yeux, mais il ne semblait pas s'en rendre compte. Son monde avait été rétabli à cette petite chambre, son seul but était de chercher du plaisir et il ne se souciait plus de ses années de solitude, ne se souciant pas de quoi que ce soit, sinon de s'apaiser.

Il se tortillait, haletant, gémissant, se cambrant, gémissant et tremblant, le visage rouge vif. Il répondait aux mots coquins de Perona, la suppliant d's'arrêter et de continuer en même temps, incapable de savoir ce qu'il voulait en cet instant. Ses mains étaient trempées de sueur et d'autres fluides, agrippant les liens comme un homme qui se noie en mer, dans l'espoir désespéré de s'accrocher à quelque chose. Il était pris de spasmes, se tordant, s'agrippant violemment aux liens, ne pouvant plus supporter un plaisir si intense, à tel point que sa vue se brouillait, comme si un voile épais l'empêcher de voir, la salle autour de lui virant de plus en plus au flou à chacun de ses gémissements et halètements. Il poussa un dernier petit cri. Il s'écroula, haletant, tremblant, le visage rougie d'embarras et de honte, même si il était trop épuisé pour formuler des mots ou des pensées cohérentes. Son cœur battait violemment contre ses côtes, comme s'il essayait de s'échapper.

"Tu n'as pas demandé à ta princesse si tu pouvait jouir. Retourne toi salope."

Il gémit fortement, la douleur de sa fessée montant à peine à la surface de sa conscience. Il se retourna difficilement, se tourna sur le dos et le fixa, trop épuisé pour parler. Ses yeux étaient flous, son cœur martelant toujours dans sa poitrine, la honte et le plaisir embrouillant son esprit. Il geint, se penchant en avant et ouvrant la bouche, sa langue sortit. Il avait un air presque avide, le regard fixé vers le bas. Ses yeux s'écarquillèrent, les derniers lambeaux de sa volonté disparaissant comme fumée. Il s'étouffa, un gémissement fort et lourd qui venait de sa poitrine alors que son visage s'introduisait entre les lèvres intime de Perona. Il commença à lécher et à sucer à tâtonné, les yeux clos, gémissant et vibrant de besoin, la sensation de la jeune femme contre sa bouche été délicieuse.

Ses yeux se fermant alors qu'il dévorait Perona comme s'il avait passé toute son existence dans le désert. Il avait abandonné toute notion de honte, se fichant de l'avoir sur le visage, il se fichait de ses gémissements et des sons qu'il faisait, il se fichait de sa propre humiliation. Il se fichait à peu près de tout en cet instant, uniquement obsédé par un besoin intense et inapprivoisé. Sa langue allait et venait, enroulant et titillant, sa bouche suçant son clitoris. Le besoin brûlant son esprit alors qu'il léchait désespérément, essayant d'en prendre le plus possible.

Il gémit, le nez et la bouche humide de la jouissance de la jeune femme. Il aspira une grande inspiration, tremblant, son esprit embrouillé par le besoin et la chaleur, complètement perdu dans son désir, ses pensées tourbillonnantes en cercle.

*-*-*-*-*-*-*

Il gémit doucement, ses muscles douloureux lui disant que l' "entrainement" qui venait de s'ensuivre a été vigoureux. Il avait les yeux mi-clos, le regard embrouillé sous l'assaut de la lumière rose et des ongles de Perona qui faisait un bruit régulier en claquant sur le téléphone.

"Hm, il est quelle heure ?"

"21h00 prends tes cliques et tes claques rentre chez toi. Tu as été plutôt bien. On ce revoit à l'Université."

Il cligna lentement des yeux, se redressant difficilement en prenant appui sur ses mains. Il sentait chaque muscle de son corps protester. Il se passa une main sur le visage, le sentant toujours humide.

"Hm... bien." Il commença difficilement à se relever, essayant de rassembler ses vêtements éparpillés à travers la chambre.

Il resta silencieux, se débattant avec ses habits. Il était épuisé, les muscles tremblants, ses articulations grinçant sous l'effort. Il gémissait doucement, pas seulement de douleur mais de honte et d'embarras. C'était la première fois qu'il avait vécu un tel moment et il se sentait encore groggy, la tête embrouillées et enivré.

"Tu es une sadique."

"Et tu n'es pas mignon, sors maintenant."

Il serra les dents, se passant de nouveau une main sur le visage, soupirant fortement. Il se vêtit, enfonçant les bras dans les manches de son manteau.

"Ouais, Ouais. A plus" Il s'éjecta de la chambre et marcha vers la porte d'entrée, tremblant et gémissant discrètement sous l'effort.

Une fois dehors il prit une inspiration, la nuit plus fraîche aidant à apaiser sa tête embrouillé, mais il gémissait toujours à chaque pas.

"Bordel, elle m'a complètement défoncé."

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