Tout vient à point à qui sera tendre

ATTENTION : Si vous avez moins de 18 ans, ne lisez pas ce chapitre !

Adrien sonna à la porte des Dupain-Cheng. La mère de Marinette vint l'accueillir tout sourire.

- Bonsoir Madame Cheng !

- Bonsoir Adrien. Appelle-moi Sabine.

- Merci de m'avoir invité !

- Tu es le bienvenu Adrien, c'est un plaisir de t'avoir avec nous pour le réveillon dit Sabine en souriant. 

- Bonsoir Adrien fit le père de Marinette

- Bonsoir Mr Dupain.

- C'est Tom, mon garçon. répondit Mr Dupain.

Marinette se tenait dans la cuisine, elle était occupée à disposer des toasts sur un plateau.

Adrien n'en croyait pas ses yeux.

Marinette était tellement rayonnante. Elle portait un magnifique robe rouge. C'était une robe bustier qui dévoilait ses fines épaules. Elle marquait parfaitement sa taille, partait en évasé à partir des hanches puis s'arrêtait juste au-dessus du genou, dévoilant des jambes fines et galbées. Quand elle se tourna, il observa une chute de rein incroyable qu'il ne lui soupçonnait pas.

Son sang ne fit qu'un tour, et son habituelle vague de chaleur revint s'installer au bas de son ventre.

Ses cheveux était relevés en un chignon brouillon d'où quelques mèches folles s'échappaient, ce qui dévoilait une nuque très sensuelle. Elle riait avec une dame âgée qui devait probablement être sa grand-mère, ce qui la rendait encore plus belle. Il remarqua quelques traits de maquillage sur ses yeux et une touche de rouge à lèvre sur sa bouche, ce qui ne la rendait que plus magnifique.

Adrien connaissait Marinette depuis tellement d'années, où était passé la jeune fille timide et frêle de son collège ? Quand s'était-elle transformée en jeune femme sensuelle et pleine d'assurance ? Adrien ne put réprimer un sourire béa en s'approchant d'elle.

- Bonsoir Adrien. fit-elle en lui adressant un sourire charmeur.

- Bonsoir Mari. Tu es ... cette robe ... elle te va vraiment très bien.

- Merci Adrien dit-elle en penchant légèrement la tête sur le côté. Tu es très élégant aussi !

Adrien portait un pull bleu marine sur une chemise grise, et un pantalon noir.

- Viens, je vais te présenter à ma famille. dit la jeune femme.

Marinette fit les présentations avec sa famille, et ils commencèrent à diner. La soirée se déroula parfaitement bien, Adrien passait une superbe soirée en compagnie de la famille de Marinette qui était très accueillante. Il était heureux de voir une famille si unie, lui qui avait l'habitude de la solitude.

Juste avant le dessert, le père de Maerinette avait poussé les meubles du salon pour tenter de créer une piste de danse. Les cousins et l'oncle de Marinette ne s'étaient pas fait prier pour prendre d'assaut la pseudo piste de danse et se déhanchaient comme des fous. Marinette et l'un de ses cousines sautèrent à leur tour sur la piste de danse.

Adrien ne cacha pas son plaisir d'observer Marinette se mouvoir dans sa robe rouge sur le rythme de la musique. Il la regarda se déhancher sensuellement sur une chanson de Justin Timberlake avec l'une de ses cousines. Inconsciemment, il mordit sa lèvre inférieure et ne put la quitter des yeux. Ses hanches qui se balançaient de gauche à droite, d'avant en arrière attisait son imagination.

Elle s'approcha de lui sur le rythme de la chanson « Thrift shop de Macklemore » et attrapa ses mains. Elle l'entraina avec elle sur la piste et Adrien se prit rapidement au jeu. Cela faisait une éternité qu'il ne s'était pas amusé comme cela. Et cela lui faisait un bien fou. Marinette mima une danse rapproché et, se laissant emporté par la musique, attrapa le col de son pull pour l'attirer contre elle. Adrien se saisit de sa taille, et colla son bassin contre le sien, se mouvant au rythme de la musique. Marinette l'observa d'abord avec de grand yeux interrogateurs, avant de se laisser aller, bougeant en rythme avec lui. Adrien sentait que la situation était un peu trop explicite pour qu'il puisse garder son sang-froid, et relâcha son étreinte. Marinette chanta la chanson en play back, ce qui le fit rire spontanément.

Tom, qui s'était improvisé DJ, décida de changer l'ambiance de la soirée et passa une musique plus douce, invitant aux danses plus romantique. Les couples se formèrent instantanément. Deux cousins s'amusèrent même à danser entre eux, mimant de façon exagéré un couple amoureux, sous les rires du reste de la famille. La chanson de Ed Sheeran « Thinking out loud » raisonna alors dans le salon des Dupain-Cheng.

Adrien tendit la main vers Marinette qui ne refusa pas l'invitation et se laissa entrainer à nouveau sur la piste. Elle enroula ses mains autour de ses épaules, tandis qu'il posa les siennes sur ses hanches.

- Tu sais pour tout à l'heure, je voulais m'excuser Adrien. Je t'ai un peu sauté dessus, je ne voulais pas te faire peur. s'excusa t-elle

- Qui t'as dit que j'ai eu peur ? s'étonna t-il

- J'imagine que mon geste t'as surpris en tout cas.

- C'est moi qui devrais m'excuser.

- Pourquoi ?

- De ne pas t'avoir embrassé plus tôt. J'aurais pu le faire au moins cent fois avant que tu ne le fasse.

- Et pourquoi tu ne l'as pas fait ? 

- Parce que j'avais peur.

- De quoi donc, Adrien ?

- Que tu me rejette, que tu sois vexée, que tu me colle une gifle, que tu t'enfuie. Je sais pas vraiment.

- Ca ne me viendrais même pas à l'idée.

- Tu es très belle ce soir Marinette. Le rouge te va bien.

- Merci Adrien.

- Si je pouvais t'embrasser là tout de suite, je le ferais sans hésiter.

La chanson pris fin, et Tom remit une chanson dansante pour redonner de l'énergie à son public et il lança «Call me maybe » ce qui eut pour effet de faire chanter tout le monde en coeur.

Marinette pris la main d'Adrien et en profitant pour s'éclipser discrètement. Ils montèrent dans sa chambre, sans que personne ne les remarque.

- Je ne te savais pas si audacieuse Marinette. Tu m'emmènes dans ta chambre le premier soir ? plaisanta Adrien.

- Ne te fais pas de faux espoirs Adrien. C'est juste pour rester loin des oreilles indiscrètes de la famille Dupain-Cheng ! répondit-elle avec hâte en rougissant.

- Oh bien sûre, Mari. fit-il en lui adressant un clin d'oeil. D'ailleurs j'ai un cadeau pour toi !

- C'est vrai ? s'étonna t-elle

Adrien sortit de sa poche une boite en velours bleu, qu'il tendit à Marinette. Elle le dévisagea avec étonnement, et prit la boite entre ses mains. Quand elle l'ouvrit, elle vit un magnifique collier en fine maille doré, et au bout une petite perle blanche.

- Oh Adrien, il est magnifique ! Mais c'est trop, je ne peux pas accepter ...

- Pourquoi ? Je l'ai acheté pour toi !

- Mais ...

- Pas de discussion, Mari !

Adrien saisit la boite et sortit le collier de son écrin. Il ouvrit le fermoir, se plaça derrière elle et passa délicatement le bijou autour du son cou. Ses doigts effleurèrent sa nuque, et Adrien perçut le frisson qu'il avait provoqué chez elle. Il glissa ses mains de sa nuque à ses épaules, prolongeant volontairement ce contact charnel. Sans mesurer les conséquences de son geste, il déposa un baiser furtif sur son épaule. Marinette sentit tout son corps s'embraser. Elle sentait son coeur s'emballer, elle le supplia intérieurement de continuer. Comme si il avait lu dans ses pensées, il effleura sa nuque de ses lèvres, respirant son parfum. Une décharge électrique la traversa soudainement.

Un silence s'installa entre eux.

- J'espère qu'il te plait. murmura t-il à son oreille.

- Je l'adore.

- On devrait redescendre, Mari.

- Non, reste.

Marinette s'était agrippée spontanément au pull d'Adrien. Ils se dévisagèrent un long moment, planter au milieu la chambre de Marinette.

Marinette se mordit la lèvre inférieure ce à quoi Adrien ne put résister. Il s'approcha brusquement d'elle et s'empara de ses lèvres, collant avec un empressement peu mesuré ses lèvres contre les siennes. Marinette répondit aussitôt à son baiser, et entrouvrit sa bouche laissant l'accès à la langue du jeune homme. Il s'empressa de caresser sa langue avec la sienne, dans un ballet frénétique. une de ses mains appuyant au bas de ses reins, pour maintenir un contact agréable entre leurs bassins, et l'autre à la base de la nuque, permettant de soutenir ce baiser déchainé. Marinette quant à elle passa ses mains dans les cheveux blonds de son camarade de classe, tirant parfois d'excitation sur quelques mèches qui arrachait un léger grognement à leur propriétaire.

Adrien rapprocha son étreinte à son maximum, en enserrant la taille de la jeune femme avec son bras ce qui fit la fit gémir de surprise. Marinette glissa ses mains le long de son dos musclé, agrippant au passage l'étoffe de son pull, descendant jusqu'à ses reins. Ses mains descendirent le long des hanches de la jeune femme jusqu'à ses jambes. Le tissu de la robe étant légèrement remonté dévoilait à présent un peu plus de peau et ses doigt effleurèrent ses cuisses. Adrien sentit son coeur s'accélérer à ce contact. Ses doigts étaient inconsciemment guidés par son désir. Il glissèrent lentement, remontant le long de sa cuisse, emportant au passage toujours un peu plus de tissu avec lui. Il remonta jusqu'au haut de ses cuisses, s'arrêtant seulement quand il toucha la dentelle de son sous-vêtement.

Une vague de chaleur plus intense que celles qu'ils avaient connu jusqu'ici le submergea, et il sentit son pantalon devenir horriblement serré. Sa bouche quitta celle de sa partenaire dont les lèvres étaient rosies par leur baiser passionné, pour venir se perdre sur sa mâchoire, puis le long de son cou, sur sa clavicule. Il déposa des sillons brûlants sur son passage, chaque contact de ses lèvres sur sa peau, arrachait un léger soupir de plaisir à la jeune femme.

Adrien agrippa ses cuisses et les remonta sur sa taille. Marinette enroula instinctivement ses jambes autour de sa taille, et agrippa à nouveau ses cheveux. Sa robe relevée jusqu'à la taille, elle pouvait à présent sentir distinctement entre ses jambes, le désir qu'Adrien éprouvait à cet instant pour elle. Ce contact plus que sensuel lui arracha un léger gémissement et elle sentit la respiration de son partenaire s'accélérer.

Les choses étaient à présent difficiles à maitriser pour les deux héros. Adrien appuya un peu plus le contact de son bassin contre l'entrejambe de sa partenaire mais qui n'eut pour effet que d'accroitre son désir pour elle. Marinette se sentait troublé par cette bosse dure qu'elle pouvait distinctement sentir à travers le tissu de sa culotte et qui frottait contre son entrejambe de façon de plus en plus prononcé. Elle trouva cette sensation des plus agréables, et tendit qu'Adrien délaissa à nouveau ses lèvres pour son épaule, elle glissa ses mains entre leurs deux corps en ébullition pour venir se saisir de la ceinture de son camarade. Elle déboutonnait à présent son pantalon sous le regard étonné d'Adrien. Marinette ne savait pas exactement ce qu'elle était entrain de faire mais le plaisir qu'elle ressentait à cet instant, elle ne voulait pas y mettre un terme. Le pantalon se défit suffisamment pour soulager la pression qu'exerçait le vêtement sur son membre à présent douloureux, bien que toujours emprisonné dans son boxer.

Dans un élan d'audace, Marinette enserra la taille de son partenaire plus fortement avec ses jambes ce qui rapprocha brusquement leur étreinte. Son entrejambe se trouva en contact très rapproché avec ce membre dur qu'elle convoitait, séparer dorénavant que par deux simples bouts de tissu. Adrien bougea ses hanches afin d'accentuer le plaisir qu'il pouvait ressentir à ce contact charnel, ce qui fit à nouveau gémir sa partenaire. Bien que Marinette pensait que le simple fait de retirer ce pantalon qui l'empêchait de ressentir entièrement le désir de son camarade pour elle suffirait à la contenter mais elle du se rendre à l'évidence, elle se trompait fortement. Au contraire, ce contact ne fit qu'accentuer son besoin de proximité.

Elle déposa quelques baisers dans sa nuque, tout en passant sa main sous le pull du jeune homme, qui frissonna en sentant ses doigts joueurs se balader sur sa peau. 
La sensation de ses mains sur son corps jouait dangereusement avec les nerfs d'Adrien. Il s'avança vers le lit et s'allongea dessus. Il s'assit en face d'elle pour admirer la jeune fille. Elle était tellement belle, son chignon défait, les lèvres humides et les joues rosées, le regard brillant, la bouche entrouverte, ses jambes fines et galbées que dévoilait cette sublime robe rouge. Il la désirait tellement. Il avait tellement envie d'elle, elle le rendait fou. Marinette s'avança vers lui et déposa un baiser furtif sur ses lèvres tout en tirant son pull pour l'en débarrasser. Adrien commença à déboutonner sa chemise tout en observant Marinette se mordre la lèvre inférieure.

- Ca me rend fou quand tu fais ça dit-il d'une voix rauque trahissant son désir.

- Quoi ? ça ? fit-elle innocemment tout en réitérant son geste

Adrien s'empara à nouveau de ses lèvres étouffant le petit rire amusé de Marinette, mordant légèrement cette lèvre inférieure qui le rendait fou. Elle l'aida à déboutonner cette chemise dont elle trouvait qu'il mettait un temps fou à l'ouvrir. Adrien ne pouvait contenir les tremblements de ses doigts, ce qui lui rendait cette tâche bien trop difficile. Marinette finit de déboutonner cette maudite chemise, et ne put retenir son soupir de satisfaction quand ses doigts touchèrent enfin son torse.

Elle s'écarta légèrement, admirant son partenaire comme si elle venait d'ouvrir son cadeau de Noel. Ce torse imberbe et dessiné et ses abdominaux saillants, cette peau velouté exactement comme elle l'avait imaginé.

Adrien n'était plus l'adolescent dont elle était amoureuse depuis le collège, il était devenu un homme.

Elle se rapprocha de lui, s'agenouillant entre ses jambes et déposa quelques baisers furtifs sur son torse, sa clavicule, dans son cou sous les gémissements discrets de son partenaire. Un violent courant électrique parcouru sa colonne vertébrale quand Marinette fit glisser sa langue de sa clavicule jusqu'à sa mâchoire. Elle le regarda dans les yeux en souriant et émit un petit rire d'excitation qu'Adrien trouva très sexy. Elle se mit alors à califourchon sur lui, entourant ses jambes de sa taille et l'embrassa fougueusement.

Adrien fut surpris de découvrir une Marinette très entreprenante et à priori aussi excité que lui l'était.

Il se laissa tomber sur le dos, entrainant la jeune fille avec lui. Cette position était agréable car elle lui permettait d'observer sa partenaire dans ses moindres détails. Il caressa ses hanches, ses cuisses, ses bras. Marinette tira la fermeture éclair de sa robe, et Adrien l'aida à la retirer. Le spectacle auquel il était entrain d'assister ne faisait qu'accroitre son désir, et Marinette sentait bien sous elle que les choses devenaient sérieuses. L'ensemble de lingerie en dentelle noire qu'elle portait mettait ses courbes en valeur. Sa taille marquée, son ventre plat et musclé, sa petite poitrine, ses fines épaules tout le rendait fou, il aurait pu l'observer pendant des heures. Marinette se pencha sur lui et déposa de furtifs baisers le long de son cou.

Adrien ne tenait plus, son excitation avait atteint son maximum. Il attrapa ses hanches et la fit basculer sur le côté. Il déposa de furtifs baisers le long de sa jambe, remontant lentement vers ses cuisses puis déposa un baiser plus appuyé un l'intérieur de celles-ci. Marinette se sentit fondre de plaisir. Cette sensation était inédite pour elle, elle sentit un brasier s'animer en elle. Adrien ne se contentait plus de simples baisers, il léchait et mordillait sa peau, et les traces humides sur sa peau lui laissait une sensation de brulures agréables. Surpris par ce geste, Marinette laissa échapper un gémissement plus profond. Tout son être s'embrasait. La vague de chaleur de son bas-ventre était à présent descendu jusqu'à son entrejambe. Elle pouvait sentir le souffle de la respiration de son partenaire à cet endroit sensible de son anatomie.

Adrien retira son pantalon mais Marinette n'y prêta pas attention, tellement emportée par toutes ces sensations qu'il lui faisait découvrir. Il s'allongea sur elle, son membre tendu, toujours emprisonné par son boxer, mais Marinette sentit distinctement ce dernier frotté sur son entrejambe. Elle ne put s'empêcher de lâcher un nouveau gémissement suite à ce contact. Inconsciemment, elle se cambra puis bougea les hanches de façon à prolonger ce frottement agréable. Adrien n'avait jamais été autant excité. Il avait tellement envie d'elle. La façon dont elle avait de réagir à ses caresses ne faisait qu'accroitre son excitation.

Adrien dégrafa son soutien-gorge, dévoilant sa poitrine. Il fit glisser ses doigts de son cou jusqu'à ses seins qu'il caressa ensuite doucement. La respiration de sa partenaire s'accéléra aux rythmes de ses caresses. Il déposa un baiser furtif sur l'un de ses seins, et vint ensuite lécher délicatement son téton dressé de désir avant de le mordiller tendrement. Les doigts de la jeune fille s'agrippèrent aux cheveux de son partenaire et son dos se cambra. Elle tenta désespérément de contrôler le volume sonore de ses gémissements. Adrien fut satisfait de l'effet qu'il produisait sur elle. Et tandis que sa bouche continuait l'exploration de sa poitrine, ses doigts descendirent de plus en plus bas et vinrent se poser sur l'entrejambe de Marinette. Celle-ci ouvrit les yeux et l'observa, l'air à la fois surpris et paniquée par la tournure que prenait les événements. Voyant l'expression se dessiner sur le visage de Marinette, Adrien s'approcha de son visage et caressa tendrement sa joue. Il n'y avait pas penser avant vu son assurance, mais pour Marinette, tout cela devait certainement être une première fois.

- Tu veux que j'arrête ? murmura t-il haletant.

- Non surtout pas. répondit elle dans un souffle, s'agrippant à ses cheveux. 

- Ne t'inquiète pas Mari, je serai doux. fit-il en l'embrassant sur le front.

Marinette lui rendit son sourire et l'encouragea à continuer en faisant descendre sa main à l'endroit qu'il convoitait. Adrien retira le tissu de dentelle noire qui fit glisser doucement le long de ses jambes, laissant la jeune fille exposée complètement nue sous ses yeux admiratifs.

- Tu es tellement belle, je suis l'homme le plus chanceux du monde dit-il en faisant glisser ses doigts sur son ventre.

Marinette se détendait au fur et à mesure de ses paroles rassurantes. Il colla son torse contre sa poitrine, et l'embrassa tendrement. Ses doigts s'introduisaient dans son intimité sous les gémissements étouffés par ces baisers. Une fois qu'elle s'était habitué à sa présence, Il commença de lents mouvements de va-et-vient avec ses doigts qui ne pouvait que la faire cambrer de plaisir. Avec son autre main, il attrapa la main de Marinette qu'il guida jusqu'à son boxer. Il l'encouragea à s'introduire dans son boxer et le caresser. Guidée par la main de son partenaire, Marinette se saisit du membre imposant et se sentit rougir comme jamais. Elle réprima une vague de panique à l'idée que cette énorme chose allait s'introduire en elle. Elle ne put s'empêcher de rire nerveusement à cette idée. Adrien la regarda en souriant, légèrement étonné de sa réaction.

- C'est moi qui te fait rire ? demanda t-il

-Pardon. Je ris toujours quand je suis stressée.

- Tu es stressée à cause de moi ?

- Non à cause de ... ça.

- Il n'y a pas de quoi. dit-il en souriant.

Marinette amorça d'elle même les mouvements de va-et-vient avec sa main ce qui eut pour effet de crisper son partenaire qui laissa échappa un grognement de plaisir. Cela l'encouragea à bouger les siens en elle, et remplaça son rire par des gémissements. Adrien étouffa ses gémissements en l'embrassant fougueusement. Marinette tira alors sur son boxer pour l'en débarrasser. Adrien ne put attendre une seconde de plus et se plaça entre ses jambes, s'allongeant sur elle. D'une main, il attrapa son membre pour caresser l'entrée de l'intimité de sa partenaire, qui se crispa de plaisir en laissant échapper un nouveau gémissement. Il entoura alors le visage de Marinette de ses mains, l'embrassa tendrement et plongea son regard dans le sien tout en caressant ses joues. Doucement, il appuya son bassin contre le sien, et s'enfonça en elle. Il observa l'expression de plaisir intense qui se dessinait alors sur son visage, et laissa lui même échapper un râle de plaisir. Marinette ressentit un pincement douloureux quand il buta au fond d'elle mais qui fut bien vite remplacé par le plaisir qu'elle ressentait. Cette sensation inédite la faisait frémir de tout son être. Il bougeait ses hanches, d'abord lentement pour ne pas lui faire mal puis sentant les mains de Marinette accélérer le mouvement et son bassin se soulever sous lui, il osa quelques coups de reins plus appuyés. Ce qui eut pour effet d'arracher à Marinette des gémissements de plus en plus sonores, qui bientôt se transformaient en cris. Il plaqua sa main sur sa bouche pour étouffer les bruits de sa partenaire de peur d'alerter toute la maison. Et bizarrement, cela l'excita encore plus. Aussi bien lui, qui ne put s'empêcher d'accélérer ses coups de reins, mais elle aussi car elle se cambrait de plus en plus sous lui. Marinette sentait monter en elle une drôle de sensation. Comme une vague de plaisir plus puissante que les autres qui partait de son entrejambe et qui remonta d'un coup dans son ventre et parcouru son corps tout entier comme une explosion. Elle ne put retenir un cri bien plus fort que les autres, sentant tout son corps se crisper et se figer, enfonçant ses ongles dans la peau du dos de son partenaire. Sur un dernier coup de reins, Adrien se crispa et laissa échapper un râle presque bestiale avant de s'effondrer sur elle.

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