Chapitre XIV : Disparition = on vous envoie ailleurs.
ATTENTION ATTENTION ATTENTION. Chapitre long d'environ 3000 mots. Il ne sert à rien de le lire sans quiétude d'esprit. Bonne lecture, yé vous aime.
Lumi-chan.
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_ Attends Lucy. J'ai presque terminé. Il a vraiment mis beaucoup de détails sur moi. Laissez-moi deviner...l'auteur...Grrrr ! S'il était encore vivant je l'aurais tué, lui et son espoir à la con.
_ Tu...tu le connais ?
_ Beurk !!! Il est en même temps génial et horrible. Comment est-ce qu'on peut admirer et être dégoutée par une personne à ce point ?
_ Wendy ! Tu sais qui c'est ?!
_ Je ne veux pas parler de lui. Dis Lucy... ?
_ ...oui ?
_ Depuis quand la dernière page de la partie « esprit » du livre est déchirée ?
_ Euh...je n'en sais pas grand-chose. Lorsque le livre a été découvert, il semblerait que personne n'ait été au courant de son contenu, fit Lucy en plongeant profondément dans ses souvenirs.
_ C'est parfait. J'ai à faire. Bonne fin de journée bolndy.
Sur ses mots, Wendy tourna le dos à son amie. Lucy la vit inspirer profondément. Ensuite, ses pas résonnèrent sur le plancher de la pièce. Doucement, à rythme régulier. Lucy voulu l'arrêter pour lui poser des questions mais un semblant d'aura étrangement noire se dégageait d'elle. Un frisson d'angoisse parcouru la nuque de la princesse et elle se retrouva seule, dans la bibliothèque.
Wendy avait quitté la pièce, laissant la blonde dans un silence effrayant. Celle-ci rencontra dans son champ de vision, le livre que Wendy avait simplement posé sur la table. Instinctivement, elle le prit entre ses doigts fins et l'ouvrit à la page déchirée. Lorsque son doigt fut en contact avec le morceau arraché, elle frissonna tout en essayant de trouver ce qui aurait pu être inscrit sur la page disparue.
La plupart des gens pensaient tout savoir sur les esprits. Lucy aussi même si cette question continuait de trotter dans son esprit. Qu'y avait-il de plus ?
Lucy laissa son regard se promener sur les pages précédentes. Une minuscule description de chaque esprit y était. Par exemple, pour Wendy, ce que l'on pouvait lire était une sorte de description de son état mental. D'habitude, cela amusait Lucy de trouver fondés les points communs entre les écrits du livre et de la réalité. Une petite preuve que l'écrivain n'était pas n'importe qui. Lucy avait plusieurs fois essayé d'imaginer à quoi pouvaient ressembler à titre d'exemple les autres esprits. Mais c'était assez compliqué. Le livre ne donnait pas énormément d'informations. La description de Wendy faisait à peine trois lignes, comme celle de l'esprit de la foudre. Celui du métal n'en faisait que deux et celui du venin une seule et unique.
Il n'y avait pas de description pour l'esprit du feu.
Un simple « Enfin scellé ».
C'est bien étrange n'est-ce pas, disait Lucy à qui voulait bien l'entendre. Peu de gens, en vérité.
_ Mademoiselle Lucy ! Mademoiselle Lucy !
C'était une domestique. On voyait bien qu'elle était essoufflée, mais aussi paniquée. Venue carrément en quatrième vitesse pour apporter une nouvelle à la blonde, toujours noyée dans ses profonds démons, la pauvre dame peinait à retrouver son souffle.
_ ... Excusez-moi. Je vous écoute, fit calmement Lucy, ailleurs.
_ On vous appelle en urgence dans la salle de soin. Cela a l'air vraiment très important.
_ Merci beaucoup. J'y vais de ce pas.
_ Entendu.
Lucy attendit que la domestique ait disparu puis s'élança comme une demeurée jusqu'à la salle de soins. Elle pouvait déjà entendre une masse de gens en train de discuter sans faire attention au volume de leur voix. Tenant sa robe de sorte à ne pas trébucher, Lucy arriva rapidement à la pièce convoitée. Elle failli trébucher sur la pauvre Polyussica dont le visage montrait tout, sauf la joie et la bonne humeur.
_ Je suis là !, fit-elle.
_ Lucy, s'exclama la mère de cette dernière. Il était temps que tu viennes.
_ Qu'est-ce qui s'est passé de si grave pour que vous ayez tous besoin de mon aide.
_ On n'a pas besoin de ton aide, pauvre gamine, renchéri Polyussica. On a plutôt besoin de sauver tes fesses.
_ Toujours aussi aimable merci, fit Lucy alors que la vieille serrait les dents. Ah bon ? Mais qu'est-ce qu'il y a alors ?
_ Loki a disparu, asséna soudainement le roi. Il semblerait qu'il ait été enlevé.
_ ...Quoi ?! Ce...ce n'est pas possible. Polyussica était avec lui pendant tout ce temps.
La pauvre que tout le monde accusait tourna la tête, une grimace faussement joyeuse sur le visage. Plusieurs personnes la suspectaient d'avoir enlevé le soldat. Même le roi pensait à la faire surveiller de plus près. Lucy regarda autour d'elle. Tous, ou presque, fixaient la vieille avec animosité alors que celle-ci gardait son air noble et son regard dédaigneux. On pouvait néanmoins déceler dans son regard, une certaine crainte de toute cette pression. Elle n'avait plus vraiment l'âge de résister à des gens. Même lorsque la bataille était simplement dans l'ambiance et l'air.
_ Mais...il s'est peut-être enfui, s'enquit Lucy.
_ Non ! Je lui ai injecté un calmant lorsque vous étiez sortis de la pièce. Quelques secondes plus tard, il dormait comme un bébé, rétorqua Polyussica en plissant les yeux.
_ Il a peut-être fait semblant de dormir...
_ Non plus. Je terminais une nouvelle incision pour désenfler une de ses blessures et il n'a même pas ouvert l'œil. Je ne lui avais injecté aucune anesthésie auparavant et je peux assurer que se faire couper fait assez mal, désapprouva à nouveau la vieille aux cheveux roses en croisant ses bras sur sa poitrine.
Polyussica était vraiment étrange pensa Lucy. Pourquoi se mettait-elle en travers de chacune de ses paroles alors qu'elle essayait de l'innocenter pour voir sa réaction ? Elle était vraiment une femme étrange et sans pareil dans la région. Regardant ailleurs, on voyait un de ses sourcils tressauter. Sa nervosité était très visible mais Lucy doutait que la vieille ait pu faire quelque chose d'aussi grave.
_ Quand est-ce que c'est arrivé ?, demanda la blonde cette fois-ci, sans arrêter de fixer avec curiosité Polyussica.
_ Pendant que l'on parlait de Wendy, chuchota la femme aux cheveux roses, honteuse d'avoir failli à son devoir.
_ On parlait de moi ?, fit une voix que tout le monde reconnu avec peur.
Wendy était arrivée, les mains sur les hanches, observant la scène autour d'elle d'un œil septique. Avant même que quelqu'un ne puisse dire un mot, celle-ci renifla l'air, prenant une profonde respiration.
_ Majesté, comme vous me l'avez demandé, j'ai cherché partout. Loki n'est plus dans le château.
_ Ne me dit pas que quand tu étais à la bibliothèque, c'était pour le chercher, s'exclama Lucy.
_ Si pourquoi ?, fit innocemment la bleue.
_ Pourquoi tu ne m'as pas prévenue !
_ Oh, j'avais sûrement oublié, répondit Wendy en haussant les épaules tout en mettant ses mains derrière sa tête.
Lucy serra les dents, déstabilisée. Les habitants du château étaient tous aussi atypiques les uns que les autres. Wendy fixa Polyussica d'un air tranchant, la jaugeant de haut en bas pour finalement entrer dans la salle de soins. Personne n'y était à ce moment-là. Tout le monde était encore occupé à communiquer les dernières rumeurs entre eux.
Lucy suivi la petite bleue à l'intérieure de la pièce. Aucune trace de Loki. Nulle part.
Wendy commença à regarder partout, l'air en même temps désintéressé et insouciant. Lucy de son côté, jetait quelque coups d'œil vifs et rapides. Rien n'avait l'air anormal et pourtant, la situation était tout ce qu'il y avait de moins banal.
Le lit simple, aux draps blancs n'était pas rangé mais ça avait l'air naturel. Le sol brillait, propre comme un sou neuf. Autour, les commodes en bois semblaient ne servir à absolument rien à part renfermer des rouleaux de bandages blancs comme neige.
Soudain, Wendy sortit. Elle se dirigea rapidement vers le roi et s'arrêta devant avant de s'incliner très légèrement de la tête. Le fixant de ses yeux d'un air aiguisé, elle demanda.
_ Votre majesté. Où aviez-vous envoyé Loki avant que nous le retrouvions dans la forêt ?
_ Eh bien...
Le roi hésitait. Jetant des coups d'œil nerveux à côté de lui, il serra les dents en voyant les gens restants dans le couloir. Il se passa le bras derrière la tête avant pousser un long soupir. Il fit signe à sa famille et à la bleue de le suivre à l'intérieur de la pièce vide, jetant un regard réprobateur à Polyussica qui n'osa pas entrer. Baissant la voix du mieux qu'il pouvait tout en restant audible aux oreilles de Wendy et des personnes proches de la famille, le roi murmura :
_ Il a été envoyé en éclaireur pour le royaume voisin. Il semblerait que nous allons être attaqués dans les jours à venir et rien ne nous y a préparés malheureusement.
A ce moment-là, Layla donna un coup de coude à son mari. Il semblerait qu'en plus des potentielles attaques contre le royaume, le roi avait encore quelque chose à dire à sa fille. Ce dernier serra les lèvres tout en regardant piteusement vers le sol. Avec dépit, il releva les yeux vers la blondinette qui se tenait devant lui et fronçait les sourcils avec inquiétude.
_ Après avoir pris conscience du danger, nous avons rassemblé le conseil monarchique. A plusieurs reprises, il a été mentionné que se rendre serait plus sûr pour le peuple. Moins de morts...
Lorsque Lucy prit conscience des paroles de son père, elle éleva la voix, en complet désaccord.
_ ...Non ! Vous ne pouvez pas faire ça père ! On a plusieurs mages puissants dans nos rangs ! On a une chance de les battre.
_ Pas vraiment. Sur la vingtaine que comptent nos rangs, cinq se sont ralliés à l'ennemi, trois sont malheureusement morts et la moitié de ceux qui restent sont terrorisés.
_ Je suis là moi ! Je peux aider !
_ A propos de toi..., glissa Layla en fixant son mari d'un regard inquisiteur.
_ On en parlera demain, la coupa le roi d'un ton autoritaire.
_ Mais..., réessaya Layla.
_ J'ai dit ! Vous pouvez disposer.
Layla jeta un regard noir à son mari. Ce dernier s'en alla la tête haute et les bras croisés sur le torse. Ses pas lourds de sens étaient couverts par le reste des discussions entre les domestiques du palais. La reine secoua la tête de droite à gauche, serrant les lèvres avec frustration, puis couru rejoindre son époux afin d'avoir une sérieuse discussion avec lui.
_ Vous avez terminé vos discussions ?, demanda Polyussica, avec crainte.
_ ...Oui bon sang ! Oui nous en avons terminé pour aujourd'hui, fit Lucy tout en serrant les poings, furieuse de ne pas en savoir plus.
_ Attends !, ordonna Wendy. J'ai quelque chose à te montrer. Suis-moi.
Alors que Polyussica grommelait quelques mots dans sa barbe inexistante, Wendy attrapa un pan de la robe de Lucy pour pouvoir l'attirer à l'intérieur de la pièce encore une fois. Ne pouvant faire autrement, la blonde se laissa diriger vers la salle tout en se demandant si sa vie se stabiliserait un jour.
Une fois à l'intérieur, l'enfant aux cheveux bleus se jeta sur le lit, à son aise et sans aucune retenue. Elle commença à batailler avec les draps pendant que la pauvre Lucy, laissée dans l'incompréhension la plus totale, bataillait avec la logique de la vie.
C'est alors que Wendy s'immobilisa. Telle une statue, elle était allongée en étoile de mer sur le lit et fixait le plafond tout en plissant les yeux pour pouvoir observer le minuscule mais incroyable phénomène qui se démenait devant ses yeux.
_ Dis-moi Lucy. Est-ce que je rêve en voyant ça ou tu le vois toi aussi ?
Au-dessus de Wendy, un peu comme de petites lucioles que l'on voit dans la nuit, de minuscules particules violettes flottaient paisiblement après avoir été expulsées par l'agitation de l'enfant. C'était joli à voir. Mais c'était aussi tellement étrange. Que faisaient ces lumières dans une infirmerie ? Interloquée, Lucy s'approcha tout doucement pour pouvoir les voir de plus près.
_ Non...je ne pense pas que tu rêves Wendy. Mais qu'est-ce que c'est ?
_ La preuve que quelqu'un est toujours vivant et que la pauvre Polyussica n'a rien à voir avec tout ça.
Wendy s'arrêta un moment pour réfléchir.
_ Mais pourquoi aurait-il fait ça ? Plus important, pourquoi ne s'est-il pas montré ?
_ Wendy ! Je t'en prie arrête ton monologue. Tu sais que je ne comprends rien.
L'enfant jeta un coup d'œil à la princesse. Dans son regard baignait une tristesse infinie. Lucy le remarquait pour la première fois de sa vie. Deux ou trois larmes coulaient sur ses joues...Pourquoi se demandait Lucy. Malheureusement, il semblait qu'aucune réponse ne veuille lui venir en aide.
_ Tu sais Lucy...Les choses ne sont pas aussi simples pour moi.
_ Mais pourquoi tu ne veux pas en parler alors ! et où est-ce que tu veux en venir ?
_ Je ne peux rien dire pour l'instant. Je ne pense pas qu'un jour je puisse en parler en fait, soupir fatidiquement la bleue.
_ Pourquoi ? Je ne suis pas digne de confiance ?, s'indigna Lucy.
_ Ce n'est pas ça. Disons que toute cette vie n'est qu'un puzzle. Moi, les autres esprits et certaines personnes font partie intégrante de l'image de ce jeu. Toi, tu n'es qu'une joueuse et tu n'as toujours pas entièrement ouvert la boîte du jeu. Tu as à peine entrevu quelques pièces, essaya d'expliquer Wendy.
_ Mais alors montre-moi toutes les pièces !
_ Je ne peux pas. Je ne les ai pas toutes, confia Wendy, honteuse, les joues rouges comme des tomates.
_ Donne-moi celles que tu connais alors.
_ Ce serait plus dangereux de te monter une partie que la totalité. Et qui me dit que tu réussiras à faire ce puzzle ?
_ Tu n'en as jamais parlé à personne ?
_ Ça fait mal de l'avouer mais personne n'a jamais posé la bonne question.
Tout à coups, la petite enfant se leva du lit, les pieds joints et les mains sur les hanches. Elle effaça brusquement ses larmes et fixa Lucy avec un sourire aux lèvres. Prenant une grande inspiration pour se reprendre, elle essaya sans doute de chasser cette horrible ambiance grise qui s'était installée.
_ Si je ne faisais que me plaindre toute ma vie, j'aurais déjà creusé un profond trou pour y dormir le reste du temps qui m'est donné.
_ Tu es vraiment étrange, Wendy. Je t'assure que je m'inquiète pour toi. Tu es certaine de ne pas vouloir en parler plus sérieusement ?
_ Absolument pas. Et à moins que tu ne veuilles pas jouer avec moi aux cartes dans ma chambre, je pars dormir.
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(Petite ellipse dont je n'ai pas l'habitude)
Le lendemain, à la salle du trône, une sérieuse discussion se mit en place entre le roi, la reine, Wendy et notre pauvre Lucy.
_ Si comme nous le prévoyons, le peuple rend les armes face au roi ennemi, la famille royale sera la cible des attaquants afin de détruire toute trace de l'ancienne monarchie.
_ Ce qui voudra dire que..., fit Lucy, ayant peur de la réponse.
_ Que tu es en danger, tout comme moi et ton père, asséna Layla.
Le silence claqua dans la pièce, comme l'aurait fait un fouet. Lucy recula de trois pas, interloquée. Elle déglutit péniblement en essayant de se reprendre mais même ses membres semblaient terrorisés. Elle se tordait les doigts alors qu'elle voulait arrêter de les voir trembloter. Même sa respiration s'était révoltée contre la situation dans laquelle le destin l'avait enfouie.
_ Tut tut tut tut tut ! Blablabla, en danger, gnagnagna, je suis d'accord, mais est-ce que vous avez cherché au moins un moyen de résoudre l'affaire « blondy est en danger de mort » ?, tonna Wendy, les mains sur les hanches.
Le roi se tourna doucement vers l'élément de l'air qui parlait avec ferveur. Il toussa un peu, raclant sa gorge par la même puis déclara :
_ Nous...disons que..., fît-il solennellement comme après un discours de guerre.
_ Dooooooooonnnnnnc ?, demanda Lucy avec impatience. C'est quand même de moi que l'on parle.
_ Et bien disons que tout a été décidé sans que tu ne sois au courant. Ton père veut t'envoyer incognito dans le royaume d'une de ses amies. Son pays est un des plus développés certes, mais personne ne penserait à te trouver là-bas, tonna Layla avec nonchalance. C'est un tout autre monde. Sinistre certes, mais tu y seras en sécurité.
_ ...Attendez une minute. Vous voulez dire que vous avez pris une décision sans mon accord pour m'envoyer je ne sais où alors que vous aussi vous êtes en danger ?
_ On dirait bien que oui, ricana Wendy.
_ Mais est-ce que ça ne va pas bien ? J'ai mon propre libre arbitre moi !
_ Mouais, ce n'est pas une poupée, ajouta Wendy, moqueuse.
_ Et je n'ai aucune envie d'aller seule dans un autre pays !
_ On a pensé à envoyer Wendy avec toi pour te surveiller...
_ Héhé, ouais c'est ça. ATTENDEZ QUOI ! Je n'étais pas au courant de tout ça moi !!!, s'exclama Wendy.
_ ...
_ J'insiste ! Je ne suis pas d'accord pour être chamboulée ainsi. Je suis tranquille depuis quelques années ici. On me donne à manger et j'ai où dormir. Je n'ai pas envie de m'en aller moi !
_ Mais moi non plus, je n'ai pas la moindre envie de faire quoi que ce soit !, insista Lucy.
Mais il était trop tard. En bas, surveillé par des gardes, le moyen de transport qui devait emmener les deux jeunes filles dans l'autre royaume attendait patiemment. Un simple chariot tiré par deux chevaux eux-mêmes guidés par un soldat. De quoi avoir l'air de gitanes en déplacement. Simple déguisement et bonne couverture. Le voyage promettait d'être compliqué et long.
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Quelles rencontres feront les deux enfants ? Comment allaient-elles être accueillies ? Que se passera-t-il dans les jours à venir ? Ceci est à savoir au prochain chapitre.
Spoiler qui peut-être n'en sera pas un (ça dépend de mon humeur) : Je prévois d'enfin faire en sorte que Lucy voit Natsu (for the first time WOW !)
J'ai tellement peur d'avoir mal géré mon chapitre. D'avoir écrit des dialogues incohérents et d'avoir fait chié plus d'un avec ma petite ellipse. T-T.
Mais bon, j'écris pour m'améliorer ! C'est ce qui compte le moins pour moi...je rigole.
Vos théories :
Vos avis :
Bonne journée :) Yé vous aime.
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