Je m'excuse pour l'énorme retard et également pour ce chapitre très court. J'essayerais de poster le prochain chapitre ce week-end vu que il dure 4 jours (du moins pour moi). Encore désolé et bonne lecture !
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Aujourd'hui c'est notre dernier jour à la mer avant le départ qui est demain. Durant cette semaine, nous avons visité, fait la fête, nous nous sommes rapprochés et plein d'autres choses. Actuellement, nous sommes à la plage. Je suis à l'ombre du parasol habillée, ne souhaitant pas être en maillot de bain. Tandis que je cherche mon bouquin dans mon sac, des mains me portent en sac à patate et cours vers l'océan.

"Non ! Non ! Je suis habillée !
- Si je te poses tu te mets en maillot ?
- Oui." Mentis-je à Kobori. Lorsque je suis à terre, je pars en courant rapidement attraper par le joueur que je considère désormais comme un grand-frère. Yuri arrive, tire ma robe et je me retrouve en maillot de bain bleu 2 pièces choisis par la brune. Le couple court vers la plage avec moi dans les bras. Arrivé au niveau des garçons ils me jettent sur Yukio qui tombe à l'eau moi au dessus de lui désormais à califourchon. Je rougis immédiatement, nos regards se rencontrent et je contemple ses prunelles azures. "Le bisous ! Le bisous !" S'exclame nos amis nous faisant rougir encore plus. Rapidement, je me relève mais glisse et rencontre son torse de nouveau. Je m'excuse et fuis.

"Une planche s'il vous plait !
- Voilà mademoiselle !" Fait le vieux monsieur en me tendant ce que j'ai demandée. Je rejoins le bord de l'eau où sont mes amis. Je les dépasses rapidement. Une fois que je n'ai plus pied, je m'allonge sur la planche de surf en avançant assez près des vagues. Je me tourne face à la plage, j'attend assise sur ma planche l'arriver d'une vague assez grosse pour surfer. Les yeux fermés, je plonge mes mains dans l'eau pour ressentir le courant. J'ouvre les yeux, tourne le regard et voit la vague arriver. Une fois à mon niveau, je me mets debout sur ma planche et me laisse guider par l'élément. Ça me rappel l'Australie. Pensais-je en retrouvant cette sensation qu'est la liberté. Lorsque la vague se termine, je m'allonge et plonge avec ma planche sous l'eau et réapparait prêt de mes amis qui n'ont presque pas pied.

"Bouh !
- C'était impressionnant ! S'extasie Hayakawa
- Où as-tu appris ça ? Me demande Kise
- En Australie, il n'y a pas mieux comme endroit pour apprendre à surfer.
- Mais c'est pas possible ! Tu dois faire de l'ombre à toutes les filles du monde avec tous tes talents ! S'exclame Yuri.
- Loin de là ! Je suis plus celle qu'on évite d'approcher. Je n'écoute pas sa réponse et met la tête sous l'eau puis sors en plaquant mes cheveux pour ne pas être gêné. Bon je vais rendre la planche, je reviens.
- C'est de la triche ! Tu esquives ma réponse !" S'exclame la brune tandis que je rigole.

Je rend la planche au vieux monsieur qui me félicite, je retourne dans l'eau et à quelques mètres des autres je me fais interpeller par deux garçons.

"Oui ?
- Salut, Bella ! Fait le blond avec un accent.
- Italien je présume. Je l'observe cherchant son nom dans ma mémoire.
- En plus d'être d'une déesse au surf, tu es intelligente.
- Bon bah ciao !
- Attends une minute, on en a pas fini avec toi. Me retient le deuxième garçon.
- Lâchez-là ! Intervient Yukio.
- Vas voir ailleurs si on y est ! Rétorque l'italien.
- Lâche ma copine !
- Ah ouais sinon quoi ? S'approche dangereusement le blond de mon capitaine
- Tu touches à un seul de ses cheveux et ta mère ne te reconnaitra plus ! Dis-je en italien.
- On va partir ! Viens !" Répond le blond en attrapant son ami.

On rejoins nos amis.

"Qu'est-ce que tu lui as dit ? Demande Yukio
- Qu'il n'avait pas intérêt à te toucher parce que sinon sa mère ne le reconnaitrai plus. Me demande Yuri en traduisant mes dires.
- Tu aurais pu le garder pour toi. Marmonnais-je
- Mais c'est trop mignon de vous voir vous protéger l'un l'autre.
- Tss.
- Pourquoi avoir prétendu être son copain ? Questionne la brune au noiraud
- Euh... C'est le seule truc qui m'ai venu. Avoue-t-il les joues légèrement rosies me faisant sourire avant de reprendre une tête énervé. T'étais pas obligé de le menacer, je sais très bien me défendre !
- Je peux te dire la même chose ! Rétorquais-je Mais bon, maintenant que c'est fait amusons-nous ! C'est l'été, il faut faire la fiesta !" M'enthousiasmais-je faisant rire les autres.