Chapitre 11: Réconfort après le match
Arrivé devant chez moi, je le tire jusque dans l'appartement. "J'en ai pour deux petites minutes. Du coup fait comme chez toi" lui dis-je. J'avance pour aller dans ma chambre mais une main me retient. Je fronce les sourcils et regarde ma main. C'est à ce moment précis que nous remarquons tous les deux que depuis que je lui avais pris la main aucun de nous n'avaient lâché l'autre. Sans le vouloir je rougis violemment et en parfaite synchronisation nous lâchons la main de l'autre. Je lève mon regard vers Kasamatsu qui lui aussi est rouge, lorsqu'on se rend compte que l'autre rougis nous détournons le regard chacun de notre côté.
"heu...Je vais...Je reviens !
- Ouais... Moi...Je vais boire un coup !" Exclamons nous en même temps gêner tout en montrant du doigts la direction. Puis chacun va à son occupation. En allant dans ma chambre, je jette un oeil au miroir. Mon visage est tellement rouge qu'on pourrait me confondre avec une tomate. Mais qu'est-ce qu'il se passe ? Me demandais-je. Je secoue la tête de droite à gauche et me concentre sur mon objectif. D'un pas rapide j'attrape les différents objets puis pose le tout sur la table de la cuisine. Je repars vers un placard du salon que je fouille pour trouver du papier cadeau, dans un tiroir je prend du scotch, du ruban et une paire de ciseau. Je décale les objets sur un coin de la table tandis que je déroule une partie du papier cadeau.
"Qu'est-ce que tu fais ? Me demande Kasamatsu
- J'emballe des cadeaux. Tiens viens m'aider ce sera plus rapide !" Il s'approche et tient une boite que je suis sur le point d'emballer. Il la maintient le temps que je scotch le papier ensemble. Une fois les trois objets emballer, j'ajoute un jolie ruban. Heureuse de mon travaille je souris puis range ce qui ne me sert plus à rien.
"C'est pour qui tout ça ?
- Tu verras !
- T'as pas plus vague comme réponse ?
- Le temps nous le dira ! Ça te vas comme ça ?" Demandais-je en rigolant. Kasamatsu me souris en secouant la tête désespérer. Je prend mon sac de cours et le pose dans un coin du salon. Ensuite j'ouvre l'armoire de ma chambre pour y trouver une housse à guitare que je prend ainsi qu'un sac à dos. Je me dirige de nouveau vers la cuisine, pose la housse délicatement dans un coin pour pas qu'elle tombe et mets les cadeaux emballer dans le sac à dos pour pouvoir les transporter tout ça sous le regard observateur du numéro 4 de Kaijo. Il a l'air de ne plus penser à la défaite. Pensais-je à la fois heureuse pour lui et triste pour le match. Je soupire et m'exclame:
"Aller c'est bon on peut y aller !
- Où ça ?
- Chez toi !
- Quoi ? S'exclame Kasamatsu sans comprendre.
- Du calme. Je dois juste donner quelques choses à ton petit frère. Je lui ai promis de revenir.
- D'accord alors allons-y. Ma mère et mes frères doivent sûrement déjà être rentré" m'annonce t-il.
Mon bon capitaine m'a pris le sac à dos remplis de cadeau puisque je ne voulais pas qu'il porte la housse à guitare. On arrive chez lui, en entrant comme la dernière fois, les deux petits monstres sautent sur leur grand frère. Quand le plus petit me vois il crie:
"Ouais ! T'as ramené Aoi-nee !! Maman ! Maman ! Yukio-nii et Aoi-nee sont là !"
Ichiro me saute dessus pour un gros câlin tout en me demandant ce que je transporte.
Je lui demande d'attendre que je salue sa mère pour lui montrer.
"Bonjour madame Kasamatsu !
- Bonjour Aoi ! Je t'ai demander la dernière fois de m'appeler Izumi.
- Ah oui c'est vrai pardon... m'excusais je
- Aoi-nee c'est quoi dans ton sac maintenant que tu as dit bonjour à maman ?
- Ichiro ! gronde Kasamatsu et sa mère en même temps
- C'est ton frère qui porte le sac mais fais attention c'est fragile." dis je en rigolant. L'aîné donne le sac à son plus petit frère qui l'ouvre doucement. Ses yeux s'illuminent quand il voit les cadeaux.
"C'est pour qui tout ça ? Demande Tadashi, le cadet.
- Mon petit doigts m'a dit qu'il y en a un pour Izumi, un pour Tadashi et un pour Ichiro ! M'exclamais je devant les regards surpris de Izumi et du plus vieux de la fratrie.
- Aoi... il ne fallait pas... fait gênée la mère des garçons
- Je vois pas de quoi vous parlez dis je en jouant l'innocente. Et si je faisais la distribution de cadeau ?
- Oui !" Font les deux plus jeunes en même temps.
Je m'avance vers Ichiro pour récupérer les cadeaux et donnent à chacun le sien sauf à mon capitaine, lui, il ne sait pas encore qu'il en a un. On s'assoit sur le canapé, je prends la housse que j'ai sur le dos pour la caler entre mes jambes et regarde attentivement la réaction de chacun. Le premier a commencer est le Benjamin. Ichiro ouvre son cadeau et sautille de joie en montrant les nombreuses voitures à sa famille. "Ichiro, approche. Une fois à ma hauteur je sors une petite boîte transparente dans laquelle se trouve une voiture de course. je te confie cette voiture, tu ne peux pas jouer avec, elle sert de décoration. Tu me promet dans prendre soin ?
- Promis Aoi-nee!" je lui souris et lui donne la belle voiture. Elle me rappel tant de souvenir mais je ne m'y attarde pas.
C'est au tour de Tadashi d'ouvrir son cadeau, qui est plus gros que celui de son frère. Le papier cadeau enlever, il reste surpris puis vient me faire un gros c lin en remerciement.
"Comment tu as su ?
- Un soupçon d'intuition et un coup de main d'un petit monstre. Dis je en faisant un clin d'œil à Ichiro. Alors ça te plaît ?
- Oui beaucoup ! Il me manquer plus que cela pour finir ma collection ! Je vais les ranger dans ma bibliothèque de ce pas !" Répond le cadet en prenant ces manga préféré en main.
On attend que Tadashi descende pour que Izumi ouvre son cadeau. Une fois là, elle n'attend pas plus longtemps et découvre diverses moules de pâtisserie ainsi qu'un cahier de recette. Elle me regarde surprise. "Une certaine personne m'a dit que tu rêve de faire de la pâtisserie française alors voilà les moules à gâteau ainsi qu'un livre de recette écrit à la main par un ami. Je l'ai bien sûre traduit pour te faciliter la tâche.
-Merci beaucoup pour les enfants et moi. Dit Izumi en venant me faire elle aussi un c lin.
- Mais Yukio-nii n'a pas eu de cadeau
- J'attendais justement que quelqu'un le remarque dis je en souriant au concerné qui fronce les sourcils. Kasamatsu fermé les yeux s'il te plaît !
- On est tous des Kasamatsu ici ! Rétorque la mère en riant. Appel le Yukio ! Et lui t'appellera Aoi ! Je rougis sans le vouloir en regardant la mère puis le fils. J'étais habitué avant mais depuis mon retour j'ai repris cette manie d'appeler par le nom car le prénom rend les relations plus intimes.
- ...
- Allez les enfants c'est pas la mort non plus ! Rigole malicieusement Izumi. Je la soupçonne d'avoir fait exprès. Je prend une inspiration et me tourne vers l'aîné de la fratrie
- Yu... Yukio... Tu peux fermer les yeux jusqu'à ce qu'on te dit de les ouvrir s'il te plaît ?
- D'accord..." dit ce dernier les joues rouge en faisant ce que je lui demande. J'ouvre la housse pour en sortir une guitare classique de couleur brune. Je m'approche ensuite de lui.
"Tu peux ouvrir les yeux" affirmais je. Il fait ce que je lui demande puis pose son regard sur moi. Je lui souris en lui montrant son cadeau. Si ces yeux pouvaient sortir de leur orbite ils le seraient actuellement. Je ris face à sa tête, Yukio ne réagis toujours pas alors je lui prend la main droite et la pose sur le manche de la guitare qu'il saisit. Délicatement, mon capitaine l'a ramène vers lui pour l'observer attentivement. Je me décale vers la housse pour ouvrir une poche et en sortir un médiator avec l'image d'un ballon de basket. Une fois en main, je le tend à l'aîné concentrer sur la guitare. Il me le prend en regardant le dessin dessus puis ancre ses prunelles bleu dans les miennes noisettes. Je lui fais un grand sourire. Il me remercie gêné et heureux de cette attention.
Après l'ouverture des cadeaux, Izumi a insister pour que je reste manger. J'ai accepté lorsque les deux petits on commençait à me faire les yeux doux. Actuellement, je suis dans la chambre de Ichiro que j'aide à ranger les voitures tout en parlant de manga à Tadashi. Une voix nous interrompt:
"Vous avez fini de la monopoliser ?
- Yukio-nii est jaloux" chantonne les petits monstres tandis que je rigole. Le concerner rougit puis se reprend. Il s'approche de moi, m'attrape le poignet et m'en mène jusque dans sa chambre dont il ferme la porte empêchant ses frère de me récupérer. Je m'assois sur son lit en rigolant.
"Arrête de rigoler je t'ai sauvé la vie !
- Pas du tout. Tu sais ça me dérange pas d'être avec eux. Ils sont mignons ces petits monstres. Ils me rappellent mes petits frères.
- Comment as tu su pour la guitare, la pâtisserie, les voitures et les manga ? Demande le numéro 4 en s'asseyant à côté de moi.
- Pour les voitures c'est simple quand je suis venue l'autre jour Ichiro m'avait montré toutes ces voitures avec les yeux brillants. J'en ai conclu qu'il adorait vraiment ça. Ensuite pour les manga, Tadashi a cette image sur son cahier de maths et en plus ton plus petit frère râlait parce qu'il passait plus de temps à lire qu'à jouer avec lui.
- Pour la pâtisserie ?
- Un livre de cuisine française traînait sur la table du salon et Ichiro m'a dit que votre mère aimerait faire des pâtisseries françaises car une fois elle avait eu l'occasion d'en manger et qu'elle avait adorée.
- Une vraie pipelette celui là. Et pour la guitare ?
- T'as vraiment envie de tout savoir. Rigolais je. Et si je garder ça pour moi ?
- Aller dis le moi ! S'il te plaît... Aoi ! Hésite il en prononçant mon prénom. Sans le vouloir je sentis une bouffée de chaleur m'envahir.
- Tss... Y a un porte guitare dans le coin de ta chambre, tu as plusieurs album de musique, un cahier avec des notes de composition traîner sur ta bibliothèque et ton frère m'a avoué qu'un jour tu lui avais plus parlé pendant un moment parce qu'il avait cassé ta précieuse guitare. Il en avait les larmes aux yeux... avouais je honteuse et gênée qu'il me regarde fixement.
- Quel sens de l'observation." Remarque-t-il.
La voix d'Izumi criant qu'on passait à table nous interrompt. On se lève et descendons manger.
À table les discussions ne cessent, les deux plus jeunes sont partis se laver et se mettre en pyjama tandis que nous discutons tous les trois tranquillement.
"Dites moi, comment vous connaissez vous ? Demande soudainement Izumi
- Euh..." hésitais je à raconter mais l'aîné s'en charge à ma place. Au cours de son récit, j'apprends qu'en faite lui et Kise était présent depuis le début et qu'il voulait voir ce qui allait se passer. Le noiraud avait décidé d'intervenir malgré les risques. Sa mère lui fait la réflexion mais finalement est heureuse de son intervention car il m'a sauvé littéralement la cheville. Il continue sur sa lancé en racontant mon intégration à l'équipe puis le fait que je l'ai battu pour ensuite quitter l'équipe jusqu'à raconter le match d'aujourd'hui.
"Tu m'impressionne Aoi !
- Tu oublie que tu t'es jeté devant Aomine ! Rappelais je à mon capitaine sans faire attention au compliment de sa mère.
- Et toi alors ! Je te rappel que tu l'as littéralement défier !
- C'est moins risqué que de se prendre un coup !
- Rappel moi qui c'est mis devant l'autre lorsqu'une brute a voulu donner un coup de coude dans le ventre ? C'est toi qui t'es pris le coup en pleine poitrine pour m'éviter de me le prendre alors que tu t'étais déjà pris plein de coup avant !
- Mais moi j'ai l'habitude ! J'ai déjà eu à faire à des gens comme ça qui en pleine action te foute un coup et que l'arbitre ne le voit pas !
- Quoi ?! Hurlent la mère et le fils choqué en même temps
- Mince ça m'a échappée... marmonnais je
- Où ça ?
- Je... Je veux pas en parler...
- Raconte ! Qui t'as fait ça ? Gronde Yukio
- Ça te regarde pas ! criais-je
- STOP ! On va arrêter cette discussion et parler d'autre chose d'accord ?
- Je vais pas vous déranger plus longtemps il faut que je rentre." Avouais je. Je quitte la pièce et monte à l'étage. Je dis au revoir à Ichiro et Tadashi qui me font promettre de revenir.
Je vais dans la chambre de leur frère, prend un papier et y note:
"Désolé je me suis emportée. Je n'aurais pas dû te parler ainsi. Pardonne-moi.
P.S: J'espère que ton cadeau te plaît.
Bisous Aoi"
Je sors de la pièce en glissant le mot entre les cordes de la guitare. Je passe devant la chambre du benjamin qui m'interpelle pour raconter une histoire. Je lui accorde en m'asseyant à côté de lui le dos collé à la tête de lit. Je commence à lui conter une histoire de voiture dans laquelle son grand frère est le héros. Il me demande de me rajouter en temps qu'amoureuse de Yukio, ce que je fais sans broncher.
Au bout d'un moment, je sens un poids sur mes cuisses, c'est Ichiro qui s'est endormi. Je prend délicatement sa tête et la pose sur son coussin en me relevant. Je le couvre de sa couverture et lui embrasse le front. Je marche à reculons à pas de loup jusque dans le couloir, je suis stopper dans ma fuite par un torse musclé. Je relève la tête et rencontre des yeux bleus. Je souris comme si j'étais prise en flagrant délit de vol. Ses doigts s'enroulent autour de mon poignet et me tire sans bruit vers sa chambre. Arriver dans celle-ci, il me montre le mot en haussant un sourcil. Pour toute réponse j'hausse les épaules. Il lève les yeux au ciel en soupirant, je lui souris, fait un signe de la main et descend dire au revoir à Izumi qui s'excuse mais je l'a rassure en disant que c'était rien. Une fois fait, je sors de la maison. L'air frais fait bouger mes mèches qui se sont échappés. J'observe le ciel étoilé rêveuse sans bouger.
"Tu m'attendais ? Demande Kasamatsu en rigolant.
- Non je regardais les étoiles.
- Allez je te ramène chez toi !
- Ordre de ta mère je suppose.
- Tu suppose mal Aoi. Je rougis lorsqu'il prononce mon prénom.
- Maintenant tu veux me raccompagner et en plus tu m'appelle par mon prénom ? Qui êtes vous et qu'avez vous fait du Kasamatsu timide avec les filles ? rigolais-je moqueuse
- Arrête tes conneries et avance !
- Plus sérieusement. On vas vraiment s'appeler par nos prénoms ?
- Pourquoi ça te dérange ?
- Non non mais j'en connais un qui va nous poser un milliard de questions. Et puis comment ça se fait que j'ai l'honneur de t'appeler Yukio ?
- C'est vrai qu'il va bien nous faire chier Kise mais bon ça sera l'occasion de l'engueuler. Je rigole à ses propos. C'est parce que tu m'agace pas.
- Je dois le prendre comment ? Rigolais je
- Bien je suppose." Répond simplement le joueur.
"Dis Aoi ! Pourquoi tu ne veux pas parler du fait que t'es déjà eu à faire à des gens qui font des coups bas ?
-T'es sûre une pente glissante Kasamatsu prévenais je
- ..."
Je souffle. Il a bien le droit à une réponse... Pensais-je
"Aux États-Unis, dans certain quartier, les gens sont différents et leurs règles sont plus laxistes d'un endroit à l'autre. Un jour alors qu'on se rendait sur le terrain habituel pour s'entraîner, une bande de brutes défier tous ceux qui osait contester leur autorité. Ils disaient que c'était leur territoire. En grosse tête brûlé qu'il est, Taïga voulu les combattre. Pas en se bastonnant mais en faisant un match de basket. Pour ne pas qu'il se retrouve à un contre trois, Tatsuya et moi avons décidés de jouer avec.
-C'est qui Tatsuya ?
- Il a un an de plus que Taïga, il se considère comme des frères. C'est deux idiots sont mes frères de cœur. La bague que j'ai montré l'autre jour à Taïga pour prouver que je suis Aoi, et bien c'est ce qui nous relie tous les trois. Dis-je en entourant le collier.
Bref je disais donc... Le trois contre trois commençaient. Contrairement à ce que les brutes pensaient, notre trio était supérieurs au leur. Alors ils ont commençaient à faire des coup bas. J'ai étais la première touchée. Ils pensaient que j'étais un garçon mais bon je penses que même en sachant que j'étais une fille cela ne les aurait pas empêcher. Ensuite ils ont voulu faire la même chose aux garçons en faisant semblant de pas faire exprès. Sans prétention, j'étais la plus rapide et agile de nous trois, en plus d'avoir un sens aiguë de l'observation. J'avais la capacité d'empêcher mes deux idiots préférés de se prendre des coups alors je me mettais en travers de leur chemin tel un rempart. Je le vois près à dire quelque chose. Avant que tu ne me grondes, j'étais et je suis leur grande sœur que ce soit de cœur ou de sang ça change rien. Je ferais tous pour les protéger tout comme les personnes à qui je tiens. Si ça arrive en plein match, je me servirais de mon corps pour protéger mes coéquipiers ou même en dehors d'un match, je le ferai. Avouais-je en le regardant droit dans les yeux pour appuyer mes propos.
-Comment ça a fini ?
- Moi qui faisait semblant de ne rien avoir, faisant flipper les brutes. Ils sont partis en me traitant de monstre et de surhumain parce que pour eux personne ne pouvait résister à leur coup. Très bien placé d'ailleurs. Dès qu'ils sont partis, je me suis effondré à cause de la douleur et de la fatigue. Les garçons s'en sont voulus durant des jours. J'avais des bleus de partout, d'après un médecin j'ai échapper à des côtes cassés mais je m'étais foulé le poignet alors j'avais fini avec une attelle pour ne pas aggraver mon cas. Mes parents n'ont jamais rien su. Les seuls au courant sont Taïga, Tatsuya, Alex, le médecin et toi maintenant. Soupirais je a la fin de mon monologue.
- Je comprend mieux." m'avoue Yukio.
Quelques mètres plus loin, on s'arrête sur un banc discutant de la Winter Cup et des entraînements à venir. Voyant l'heure nous arrêtons de discuter et nous avançons vers la porte de mon appartement.
"Bonne nuit Aoi ! Me dit il en souriant
- Bonne nuit Yukio !" répondis je en lui retournant son sourire. Il part tandis que je rentre en jetant un dernier regard vers Yukio qui s'est retourné en me faisant un signe de la main que je lui rend avant qu'il se retourne et que je ferme ma porte. Je pose mes clés dans la coupole à l'entrée puis pars me doucher pour enfin aller me coucher en repensant à cette journée.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top