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« Junkyu-kun! Tu as vu la peluche la bas? Tu veux bien me la gagner, dit?

Pour seule réponse le plus grand lui embrassa légèrement la joue avant de se diriger vers l'attraction qu'avait désigné Mashiho auparavant. Son petit ami le rejoignit bientôt, l'encourageant comme si sa vie était en jeu. Quelques instants après, Mashiho ouvrait les bras pour recevoir la grande (géante) peluche Koala qu'il avait repéré plutôt.

- Je suis d'accord qu'elle est adorable, mais pourquoi est-ce que tu aimes autant les peluches Koala Shiho-kun?

Le brunet tourna sa petite tête vers son copain et lui fit un sourire doux

- Parce qu'elles me font penser à toi. Et ça m'aide quand tu es loin de moi, quand je n'arrive pas à dormir.

Junkyu regarda le petit être qui était à présent blotti contre lui, les yeux tristes. Il lui caressa doucement les cheveux tout en le collant à lui avec son autre main.

- Je suis désolé petit chat...

Junkyu s'en voulait. De devoir autant partir en le laissant derrière, de ne pas pouvoir veiller sur lui. De l'abandonner comme il le faisait.

Mashiho souffrait d'un traumatisme mais sous une forme autant connue qu'inconnue; les cauchemars. Seul ses deux meilleurs amis et Junkyu pouvait calmer les crises d'angoisse qui suivaient ses derniers. Ils étaient même devenu rare quand Junkyu dormait avec Mashiho.

- Tu veux une barbe à papa chaton? Demanda le plus âgé afin de faire revenir la bonne humeur de l'amour de sa vie.

- Ui!

Le plus âgé lui sourit avant de prendre sa main et de se diriger avec lui en direction du stand de bonbons.

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- Alors Jennie, qu'est-ce qui nous demande autant de discrétion?

La jeune brune ne répondit pas er sortit un papier de bonbon de son sac. On pourrait croire que c'est quelque chose de tout à fait banal, et pourtant... les trois autre regardèrent l'avocate, plus sérieuses que jamais.

- C'était dans mon sac ce matin. Et aucun trace de mon téléphone.

- Il n'est pas censé être en prison?

Les quatre filles se regardèrent d'un air soucieux.

- Et si... on avait eu tord auparavant? Dit doucement Rosé, et si celui qui est en prison n'est pas le vrai coupable?

- Impossible. Tout matchais... l'ADN, les empreintes-

- Commençons par nous renseigner sur sa captivité, on avisera après. Et je pense qu'on devrait en parler à Jessi-unnie.

- Je vais l'appeler

Lisa s'éloigna de quelques afin de contacter leur ancienne cheffe, aujourd'hui haut-gradée dans la police internationale.

"Oui? Lali c'est toi?

Hey! Oui oui, on a besoin de toi..

C'est à propos de lui? J'allais justement vous appeler pour vous annoncer qu'il a été libérer pour bonne conduite. Enfin je n'y crois pas personnellement, connaissant l'individu. Je suppose qu'il vous a déjà rendu visite vu ton appel.

Oui. Enfin, il ne s'est pas montré directement. Mais il a laissé un papier de bonbon. Comme lorsqu'il nous faisait tourner en bourrique durant notre enquête

Tu veux dire, la marque qui a fermé?

Oui... Comment est-ce que c'est possible??

Je ferai mes recherches. En attendant restez toutes les quatre sur vos gardes. Je tiens pas à ce qu'il vous
arrive quelque chose.

Promis"

Après avoir raccroché la maknae retourna vers les Blackpink et leur rapporta sa discussion avec leur senior.

- Donc on reste juste sur nos garde? Alors qu'il pourrait recommencer à tout moment des agissements?

La noiraude sourit à la réaction de Rosé. La blonde s'en aperçu et  lui demanda, vexée

- Quoi?

- Unnie avait prédit ta réaction.

Jennie et Jisoo éclatèrent de rire alors que l'australienne recommençait à bouder.

- Enfin. Elle a dit que même si elle comprenait que ça allait être dur, on devait faire profil bas en tant qu'agent et continuer nos activités habituelles. Et que si l'une de nous ne lui obéissait pas elle ferait en sorte de prendre l'avion jusqu'en Corée et de lui botter les fesses.

- Du Jessi tout craché, rigola Jisoo

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Un énorme fracas retentit au moment où la petite cabine toucha le sol. Le métal contre le bitume, les étincelles rouges s'échappant vers les spectateurs de ce terrifiant spectacle.

La grande roue vient de perdre une cabine, laquelle était remplie de cris de joie et d'émerveillement il y a encore quelques secondes. Personne ne bougeait, personne n'osait s'approcher ou même parler. Tous s'efforçaient de rester calme, les parents emmenaient les plus jeunes aux différents stands de nourriture afin de les éloigner. Les gens n'avaient pas besoin d'ouvrir la cage de fer pour savoir quoi y voir.

Quelques heures plus tard l'affaire est bouclée. La cabine est réparé, la police partie et c'est comme si il ne s'était jamais rien passé. L'affaire est étouffé et le parc d'attractions reprend sa routine habituelle.

Mais deux personnes sont restées là. Elles n'ont pas bougées depuis l'accident. Elles ont vu le visage défiguré de la mère qui dans un dernier élan de courage à essayer de protéger son enfant. Elles ont vu la jeune fille, le visage encore souriant tandis que sa nuque est brisée. Et ils sont dégoûtés. Ils étaient venu pour une sortie en amoureux et ont finit par assister à un drame. Pourtant ils ne sont pas surpris. Après tout, Junkyu a longtemps été policier au Japon, il savait comment ça marchait lorsqu'il y avait une famille riche et puissante dans l'équation.

- Tu as remarqué toi aussi?

- Oui Mashi.. il est de retour. Et il veut me le faire savoir.

Leurs mains se serrèrent ensemble en une multitude de sentiments. Peur. Amour. Haine. Soutien.

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Tu n'aurais pas du appeler... tu sais que la police peut tout traquer...

Ne t'inquiète pas pour ça love, j'ai été prudent et je t'appelle avec un numéro qu'on ne peux pas traquer.

Mais même. Tu es inconscient..

Non juste amoureux.. tu me manques. J'ai hâte que tout cela se termine.

Moi aussi...

(967 mots)
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Moi avoir presque oublié de poster?

Je vois pas de quoi vous parlez-

Désolé pour ça-

Enfin j'espère que ça vous auras quand même plus et j'espère que vous allez bien aussi!
Biz ♥︎♥︎
Lia'