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J'avais pris un coup de couteau dans le dos. Finalement, le dire ça ne semblait plus aussi violent que cette vive douleur qui me condamnait. Cela ressemblait plus à la souffrance éprouvée par l'action de s'allonger sur un tapis de clous rouillés. Il n'y avait plus aucune chance d'y échapper et ce violent affront ne partira probablement pas de si tôt. Il fallait y faire face. C'était juste un retour à l'envoyeur.

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Pourquoi s'infliger ça ? Pourquoi avoir menti ? Pourquoi être à ce point stupide ?

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Ce n'était qu'un geste rancunier. Pourtant, la force utilisée était exceptionnelle. D'un point de vu extérieur, mentir ça permettait une zone de liberté ou de sûreté. C'était une mauvaise chose, mais vivre dans le mensonge, c'était horrible, affreux, atroce. C'était dur à décrire, mais si facile à exprimer. On se mettait à imaginer la peine que devait ressentir les gens qui avaient par le passé subit ce triste sort par notre faute. On se retrouvait recouvert de torts et ça nous bouffait l'esprit comme une simple souris qui grignotait son fromage. 

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Pourquoi avoir choisi ce chemin de vie ?

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J'ai menti, mais je ne savais pas que toi aussi ...

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