EPILOGUE
NON CORRIGE
« Ce n'est pas l'homme qui arrête le temps, c'est le temps qui arrête l'homme.»
Mémoires d'outre tombe (Livres I à XII), Livre de Poche, p. 301. - Chateaubriand
Notre vie est un océan de souvenir. Nous y plongeons tête en avant sans prendre le temps d'admirer ce qui nous entoure. Nous connaîtrons des moments douloureux ainsi que d'autres merveilleux. C'est cela une vie, une toile teintée de fantaisie. Nous ne choisissons pas qui nous sommes, mais l'on devient la personne que l'on souhaite. On ne choisit pas ou l'on né ni même où l'on disparaît. Mais s'il y a bien une chose que nous contrôlons, ce sont nos regrets.
La vie est fourbe. Mais nous avons ce pouvoir en nous, celui de tout changer. Foncez tête baissé. Arrêtez de réfléchir l'espace d'un instant. Faites le. Ne regrettez rien.
Dîtes leurs que vous les aimez. Demandez leurs pardon. Apprenez à vous accepter. Vivez.
Vous n'aurez pas de deuxième chance.
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Le bruit de ses pas résonnaient à intervalle régulier. L'homme vêtu de noir marchait dans ce long couloir. Au fond de celui-ci, se trouvait un être passionné. Il avait bravé les lois de sa propre destiné, afin de pouvoir rester pour l'éternité avec son aimé. Se fut en arrivant, qu'il aperçut son regard envoutant.
"Te voila!"
Il l'accueillit dans une accolade des plus romantique. Ses pupilles ne pouvaient s'empêcher de refléter tout l'amour qu'il renfermé. L'homme à la cape noir resserra leur étreinte, profitant autant qu'il le pouvait de ce petit être adoré.
"Que faisais-tu?
-Je t'attendais, assis devant le miroir. Je ne pouvais m'empêcher de me demander quand allaient-ils se réveiller. Que penses-tu qu'il se passera?
-Je n'en sais rien Taehyung. Seul le futur nous le dira."
L'homme ôta sa cape, dévoilant son doux visage.Un visage reflétant paix et sérénité. De petits yeux amoureux, un sourire digne des plus beaux rayons de soleil. Celui que le garçon aimait tant. Celui pour lequel il avait craqué depuis une éternité.
Ils s'assirent tout deux devant ce miroir. Cette glace avait la capacité de refléter le monde réel. Leur permettant ainsi de surveiller ceux qui avaient autrefois fait parti de leurs vies. Ceux qui durant un court instant, leurs avaient ouvert leurs coeurs, leurs avaient offert une famille. Les deux amoureux passèrent la journée entière blottit l'un contre l'autre fixant le reflet des vies nouvelles.
"Tu ne regrettes rien?
-Non. Rien. Je t'aime Hoseok. C'est tout ce qui suffit à mon bonheur."
Quelque part dans Séoul, un jeune homme émergea de son long sommeil. Ses yeux peinaient à s'ouvrir, la lumière du soleil l'éblouissait. Ses prunelles noisettes fixèrent le soleil un court instant, il faisait beau aujourd'hui. Le noiraud étira ses membres engourdies dût à sa sieste improvisé. Lorsque son regard se posa sur l'heure, le jeune homme se précipita en courant vers la sortie du cyber café.
Ses pas étaient rapide et son souffle erratique. Il avait promis à ses parents de reprendre ses études, et de trouver un travail stable. Par chance, l'étudiant arriva pile à temps dans l'établissement. Quelques places étaient encore disponible dans l'amphi théâtre. Sa motivation était telle, qu'il décida de se rapprocher au plus près du professeur.
Il buvait ses paroles, ses yeux ne pouvant s'empêcher de fixer les nombreux schémas défilant sur le tableau. Son investissement était miraculeux. Ses calculs étaient rapides, ses réponses étaient pertinentes, son esprit était des plus vifs. Comme s'il avait passé les derniers jours de sa vie à travailler en tant que bras droit d'un grand homme.
Le cour prit finalement fin, libérant une masse aberrante d'étudiants. Ils avaient dès à présent une semaine pour se trouver une entreprise dans laquelle exercer leurs stages de six mois. Le noiraud n'avait pas hésité une seule seconde, il savait où il devait se rendre. Son coeur battait à tout rompe, espérant du plus profond de son être d'être pris en tant qu'apprentis.
Le jeune homme se dirigea vers l'enseigne. Un grand bâtiment digne des plus grands buildings se tenait droit devant lui. Entièrement recouvert de verre, donnant un effet moderne, une oeuvre d'un architecte de renom.
"Bonjour, j'avais rendez vous avec monsieur Kim pour 17h s'il vous plaît.
-Troisièmes étages monsieur."
L'attente dans l'ascenseur lui paru durer une éternité. Son anxiété montait au fil des étages. Ses mains devenaient moites tandis que sa jambes émettait des tremblements à échelle régulière. Les battements de son organe vitale ne pouvait se taire, préférant d'avantage ouvrir un opéra.
Tout s'était passé beaucoup trop vite pour son esprit embué. Il était là assis devant le gérant de cet empire magistral. Il lui avait expliqué ses plans, ses idées, ses atouts aussi. L'homme lui faisant face n'avait pas émis un seul geste ni même une parole. Restant statique les yeux rivés sur le plus jeune. Le noiraud ne pouvait s'empêcher d'imaginer toutes sortes de scénario. S'était-il planté quelques part?
Un main le sortit de son état de transe, une main tendue vers lui. Ses yeux se levèrent vers l'homme en face de lui, peut sûr de comprendre ce qu'il se passait.
"Vous m'avez convaincu. Je n'avais encore jamais vu un étudiant tel que vous. Etes vous sur de seulement débuter?"
Un baume de chaleur enveloppa tout son coeur. Il avait réussit. Il allait enfin pouvoir devenir pour un court laps de temps un des membres de cette entreprise. Un rêve d'enfant enfin accompli. Ses joues se tintèrent de rouge tandis que son sourire s'élargit dévoilant ses deux dents de devant.
"Cependant, j'aimerai viser plus grands."
Son enthousiasme chuta d'un coup. Son expression se renfrogna. Avait-il crier victoire trop vite?
"Vous avez largement les capacités d'entrer dans les meilleures écoles d'architecture du pays. Et pourtant vous êtes là devant moi à me demander un pauvre stage de six petits mois. Voilà ce que je vous propose. Travaillez pour moi en tant que bras droit. J'aime votre fraîcheur et votre savoir. Vous m'apporterez votre jeunesse créative tandis que je me chargerais des plans. Je m'engage à régler les frais de toute votre scolarité. En échange vous me promettez de passer chacun de vos stages au sein de mon entreprises, de plus se serait avec joie de vous accueillir parmi nous une fois l'obtention de votre diplôme. Qu'en pensez vous? "
Etait-il en train de rêver? Cela ne pouvait être réel. Lui qui avait toujours préféré passer ses journées au cyber café, lui qui n'avait jamais aimé travailler, lui, cet homme là se trouvait devant la proposition la plus alléchante de toute sa vie.
Il se mit à mouvoir sa tête de haut en bas le plus rapidement possible. Oui c'était un grand oui! Son rêve allait enfin voir le jour. Le noiraud était le plus heureux de tous les hommes. Son sourire en devint même contagieux. D'un force déconcertante il attrapa la main que l'homme lui tendait et la serra sans jamais s'arrêter.
"Dans ce cas affaire régler. Je vous propose de se revoir très prochainement pour la signature du contrat. Cela vous convient-il Monsieur..
-Jeon Jungkook!
-Dans ce cas je vous recontacte le plus rapidement possible Jungkook. Bienvenu dans l'entreprise Kim Namjoon."
°-°-°-°-°-°-°-°
Dans l'un des nombreux hôpitaux de la capitale se trouvait un jeune garçon fixant l'horizon. Cela faisait presqu'un mois qu'il se trouvait dans cette chambre d'un blanc immaculé. Les jours étaient long et lui paraissaient tous semblable. Une routine s'était installé au fil de ses jours passaient. Il se réveillait, lire quelques chapitres, se faire une mise en beauté, manger, dessiner, fixer l'horizon par sa fenêtre de chambre puis dormir. Le même schéma répétitif et cela depuis de nombreux jours.
Il ne recevait que très peu de visite. Des amis, il n'en avait jamais réellement eu. Seuls les médecins et les infirmières prenaient la peine de lui adresser quelques mots. Sans doute par pitié pour ce jeune homme seul depuis de nombreuses semaines. Mais il leur était tout de même reconnaissant de consacrer du temps à sa personne.
La porte de sa chambre s'ouvrit, venant perturber la contemplation du nouvellement blond. Il se retourna sans trop de surprise sur le médecin. Celui-ci venait surement lui annoncer les résultats de ses derniers exactement. Même si le blond ne le montrait pas, son coeur battait à tout rompre. Allait-il enfin pouvoir envisager sa sortie?
"Bonjour! Comment vas tu? Je t'apporte une bonne nouvelle. Tes poumons sont presque totalement guéris. Tu pourras sortir d'ici plus tôt que prévu. Sans doute dans la semaine. Félicitation mon garçon."
Pour la première fois depuis son accident, un éblouissant sourire vint illuminer son visage. Celui qui réchaufferait le coeur de n'importe qu'elle personne sur terre. Sans prendre le temps de réfléchir, le petit blond se mit à sauter dans les bras du docteur. Le couvrant de merci en tout genre. Les deux hommes passèrent ainsi quelques minutes entres bonheur et petits rires.
Pour fêter cette sortie, il décida de casser sa routine devenue beaucoup trop morose. Il voulait profiter une dernière fois de cette endroit à l'odeur de désinfectant anti-bactérien. Qui sait, peut être qu'il en deviendrait ému de quitter sa chambre?
Sur cette pensée, le blond quitta sa chambre en sautillant. Sa mélodieuse voix résonnait dans les tristes couloirs de l'hôpital. Sa joie de voulait guère redescendre. Sur le chemin, il croisa son infirmière préférée. Elle avait toujours était adorable avec lui, lui apportant de nouveaux livres chaque semaines. La femme, ne put s'empêcher de le serrer dans ses bras à l'entente de la bonne nouvelle.
"Tient. Pour fêter ce magnifique envol que tu t'apprêtes à prendre."
Elle déposa trois petites pièces dans sa main. Ce n'était pas grand chose mais le blond en fut touché. Il s'élança alors toujours suivit de sa petite chanson du bonheur vers le distributeur de confiserie. Malgré son âge, son âme d'enfant persistait de se montrer.
Dévalant les escaliers à toutes allure, il se demandait ce qu'il pourrait bien prendre. Gâteaux? bonbons? Salé? Sucré?
Il n'était plus qu'a quelques pas de la machine de ses rêves. Le blond ralentit sa course quand celui-ci vit qu'un homme y était déjà. L'homme avait l'air d'hésiter entre de nombreux choix. Ses mains tremblantes n'échappèrent pas au blond.
"Si j'étais vous je prendrais la brioche à la mangue. Elle est vraiment délicieuse."
L'inconnu sursauta suite aux paroles du blond. Son coeur venait de rater un battement tant celui-ci l'avait surpris. Le grisé platine en avait même lâché sa pièce qui roula sous la machine. Le blond s'excusa immédiatement. Jamais il n'avait pensé provoquer une telle frayeur au jeune homme.
"Tenez pour m'excuser laissez moi vous payer votre gourmandise. Je suis vraiment navré."
L'inconnu aux cheveux de platine fut attendri par l'attention du petit blond. Un léger sourire se plaqua sur ses fines lèvres. Quel garçon étrange avait-il pensé. Se fut en relevant son regard qu'il tomba nez à nez avec le blond, lui tendant fièrement la friandise.
Les deux hommes se trouvaient tout deux dans le parc de l'hôpital. Chacun dégustant silencieusement leur petit encas. La brise était douce, venant tendrement caresser leurs cheveux colorés.
Voilà déjà un bon moment que le blond avait finit sa brioche. Il était bien connu pour son estomac sur pattes. Il décida donc de regarder autour de lui en attendant son nouvel inconnu. Ses pupilles divaguèrent, elle admirèrent le ciel bleu, les autres patients, les immeubles de la ville qui lui faisait face. Puis elle finirent par se poser sur les mains du grisé. Elles n'avaient cessés de trembler. Son attitude entière démontrait une anxiété profonde.
"Pourquoi es-tu ici ? Tu m'as pourtant l'air en bonne santé."
La curiosité du malade avait pris le dessus. Il se frappa intérieurement pour ne pas avoir su tenir sa langue. Et s'il le trouvait bizarre? Ils ne se connaissaient pas après tout.
"Je ne suis pas ici pour moi. Ma mère souffre d'une maladie depuis de nombreuses années et se trouve actuellement en salle d'opération. Je sais que cela peut paraître bête mais je suis terrorisé. Si je venais à la perdre, je n'aurais plus aucune raison d'exister."
Cet homme venait de toucher en plein coeur le petit blond. L'amour que le grisé voué à sa mère était d'une pureté sans nom. Un sentiment si puissant avait l'air de les unir. Il trouvait ça incroyablement beau et en était même jaloux. Lui aussi aurait voulu qu'une personne s'inquiète à ce point pour sa personne.
"Ne t'en fais pas. Tout se passera bien je te le promets. Je suis persuadé que de là où elle se trouve elle peut entendre ton coeur battre pour elle. Elle sait que quelqu'un attends avec impatience son retour."
L'homme se tourna profondément touché vers son "nouvel ami". Il avait réussit à le rassurer grâce à quelques mots. Ses mains cessèrent de trembler et un sourire naissant vint orner son visage. Sa peau pâle contrastait avec la chaleur du soleil haut dans le ciel.
"Je dois y aller. Merci beaucoup. Si tu es d'accord nous pourrions nous revoir? Voici mon numéro, appelles moi lorsque tu sortiras d'ici. Cette fois-ci ce sera à mon tour de t'inviter. "
L'inconnu partit d'un signe de main. Le coeur du blond venait de s'accélérer. Venait-il enfin de se faire un ami? Une fois la silhouette de l'homme complètement disparu, le jeune homme prit dans ses mots le petit bout de papier que le grisé lui avait laissé. Son nom y était inscrit ainsi que son numéro de téléphone.
"A bientôt, Min Yoongi."
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Les jours s'étaient lentement écoulés. Le soleil laissait tendrement place aux nuages. Les arbres perdaient lentement de leurs splendeur, préférant revêtir leurs manteaux colorés. La brise venait tendrement enlacer les feuilles mortes traînant sur le sol de la ville.
Ce jour là, un homme d'affaire avait rendez-vous avec un étudiant dans un café près d'un petit parc. Ils sirotaient leurs boissons tout en parlant de leurs futurs projets. Une conversation rythmé de sourire et ornait de rire. Un contrat était déposé sur le côté de leur table. Une délicate signature venait orné un des coins de la petite feuille.
Leur conversation fut coupée par un cri. Un garçon blond venait de franchir la porte du café en s'écriant le prénom de l'homme qui l'attendait patiemment.
"Yoongi! Je suis sortit!"
Le dit Yoongi, d'habitude beaucoup plus discrète que le blond baissa la tête de gêne. Bon dieu que cet enfant pouvait être bruyant. Le jeune homme continua son brouhaha en se mettant à courir vers son nouvel ami.
"Jimin... la discrétion. Crétin."
Le grisé s'excusa aux deux hommes de la table d'à côté. Ceux-ci semblait surtout amusé de la scène touchante qui venait de se dérouler devant leurs yeux. Une telle amitié donnait un baume au coeur.
Tous l'ignoraient et pourtant les voici tous rassemblés.
Ils avaient bravé l'interdit laissant leurs âmes autrefois meurtries reprendre un brun de gaieté au sein de ce café.
Personne n'en avait parlé, mais chacun avait ressentit son coeur dérailler. Dès l'instant ou leurs regards s'étaient croisés.
Une douce impression de déjà vu.
L'activité fascinante des quatre jeunes hommes fut une nouvelle fois coupée par la sonnette du café.
Leurs regards fixèrent la porte qui venait de se refermer sur un client pressé.
Ne laissant derrière lui, qu'une douce odeur de fruit d'été.
Fin
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Je ne sais pas réellement quoi vous dire. Je ne trouve pas mes mots moi même chamboulé par ce point final. C'est une page qui se tourne pour moi comme pour vous.
J'espère simplement et du plus profond de mon coeur que mon histoire vous aura quelque peu touchée. Que vous l'aurez apprécié. Et surtout, que je ne vous ai pas déçu.
Si vous avez des questions, je me ferai une joie d'y répondre.
Je ne m'attarderai pas d'avantage ici. Je publierai sous peu un chapitre de remerciement. Si vous pouviez prendre seulement trois petites minutes pour le lire, j'en serais vraiment touchées.
Une FAQ sortira aussi, ne vous inquiétez pas je ne l'ai pas oubliée. Alors si vous avez des questions pour nos chers personnage n'hésitez pas à les poser en commentaire.
OH JE PRÉCISE QUE VOUS RECEVREZ DES NOTIFICATIONS DE MISE A JOUR. EFFECTIVEMENT, JE VAIS PASSER TOUTE LA FANFICTION EN CORRECTION AINSI QUE REECRIRE TOUS LES PREMIERS CHAPITRES QUI DE BASE ÉTAIENT UN TROLL.
Merci pour tout.
Je vous aimes.
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