Chapitre 20
bonjour à tous et a toutes, je reviens aujourd'hui avec un nouveau chapitre qui j'en suis en laissera plus d'un sur sa faim. Et j'en suis vraiment désolé. Les choses se précisent enfin entre Austin et Lucy et j'espère que cela vous plaira. En tout cas j'ai pris plaisir a écrire ce chapitre et le prochain sera encore plus intense et déterminant de la suite de l'histoire.
Voilà je vous laisse a votre lecture, mais n'hésitez pas à me laisser un commentaire et à me donner votre avis ou alors juste à me laisser une petite étoile pour que je sache si vous appréciez ou non cette.
A bientôt pour un nouveau chapitre.
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PDV Austin
Ce soir-là je ne me suis pas endormi tout de suite, j'ai préféré attendre de voir si Lucy ne refaisait pas de cauchemar. Je profitais donc de ce moment pour la regarder. Même endormie, elle était magnifique, ses cheveux éparpillés sur l'oreiller, son visage délicat qui semblait comme apaisé. Je ne sais pas ce qu'elle a vécu de si traumatisant pour en faire de tels cauchemar mais la voir comme ça complètement désemparée et hagarde m'avait vraiment fait peur l'autre soir. Lucy dormait au boule, recroquevillée sur elle-même, telle une petite fille. Je n'avais qu'une envie c'était de la prendre dans mes bras mais il en était hors de question, non seulement j'allais la réveiller mais en plus de ça je n'étais pas sûr qu'elle soit vraiment d'accord avec cela. Déjà qu'elle avait accepté qu'on partage le même, en tout bien tout honneur, je ne voulais pas risquer de m'en faire éjecter. Vers 2heures du matin je finis par m'endormir, la fatigue étant plus forte.
Cette nuit-là Lucy n'avait fait aucun cauchemar, lorsque je me suis réveillée, elle n'était plus là. Après m'être habillé je suis descendu à la cuisine pour prendre un truc à manger avant de rejoindre Jo pour l'aider dans ses tâches quotidiennes. Lucy était là, en pleine discussion avec ma grand-mère et l'une de mes tantes. Pour faire bonne figure, je l'embrasser sur le haut du crâne avant d'attraper une pomme dans la corbeille et de sortir par la porte donnant sur le paddock.
Jo et moi avons passé la matinée à remettre en état une partie de la clôture qui avait été dégradée quelques semaines auparavant par des vents violents et plusieurs de nos chevaux avaient alors pris la poudre d'escampette.
Ce n'est que vers que midi que nous avons pris une pause, entre temps ma grand-mère nous avez apporté notre déjeuné.
On s'installa sur une botte de paille dans la grange pour savourer le délicieux panier repas. Ma grand-mère ne faisait rien comme les autres, alors qu'elle aurait pu se contenter de nous apporter des simples sandwiches tous les midis elle apportait à Jo un vrai repas avec salade composées, de vrais couverts, de la viande froide, des fruits et souvent un part de gâteau ou autres biscuits qu'elle aura préparés.
- Bon alors dis-moi tout mon petit.
- Que veux-tu que je te dise Jo ?
- Fait pas semblant avec moi ! c'est sérieux avec Lucy ? Je la trouve vraiment géniale cette fille.
- Disons que c'est un peu compliqué, c'est...je crois...la première fois que je suis fou d'une fille. Avec elle c'est sérieux mais des fois je ne sais pas si c'est vraiment réciproque ou bien si elle m'aime juste bien. Comme un ami quoi. Enfin je ne sais pas... expliquai-je en mordant dans une part de gâteau au chocolat.
- Je comprends tout à fait j'ai vécu la même chose avec Violette et tu vois aujourd'hui on est marié et j'ai deux filles adorables. Alors fonce dis-lui ce que tu ressens. Madame Joséphine a dû te le dire, cette fille est une perle, elle plait à toute la famille alors ne fait pas l'idiot, ne fait pas comme ton père.
- Que veux-tu dire ?
- Tu ne connais pas l'histoire ?
- Mais de quoi tu parles bon sang ! M'énervais-je. Je ne comprenais pas de quoi il parlait en quoi ma relation avec Lucy ressemblait à celle de mon père ?
- Je ne crois pas que ce soit à moi de te raconter tout cela mon petit.
- Tu en as trop dit ou pas assez alors maintenant parles Jo !
Jo travaillait pour la famille depuis des années et son père avant lui avait aussi travaillé au Triple G, il connaissait toutes les histoires de la famille et il avait grandi avec mon père et je sais qu'à une époque ; avant que mon père ne parte définitivement en ville ; ils étaient très proches.
- Ton père était un peu plus jeune que toi à l'époque, il devait avoir 17 ou 18ans il a rencontré une certaine Jillian il est tombé fou amoureux, ils sont sortis ensemble pendant plusieurs mois. Mais la famille de Jillian ne voulait pas qu'elle sorte avec ton père, car à l'époque il avait une réputation plutôt décousue, un peu comme toi. Mais ils ont bravé l'interdit ils ont voulu s'enfuir, ils avaient tout prévu mais la veille il a renoncé, il a quitté Jillian.
- Pourquoi ? J'étais totalement abasourdi.
- Le père de Jillian est venu le trouver et l'a menacé de ruiner sa vie et sa famille. Or comme tu le sais la famille pour lui est très important. Et il ne voulait pas que Jillian subisse les représailles de son père. Alors il a capitulé et ne s'est pas battu. Ensuite ton père n'a plus jamais été vraiment le même il s'est enfermé dans le travail. Puis il a rencontré ta mère. On pensait alors tous qu'il allait redevenir le type sympa et détendu qu'il était avant, mais tu sais ce qu'il s'est passé. Ta mère est tombée enceinte, t'a mis au monde et est partie avec son amant, tout cela en 1an et demi.
J'étais littéralement sur le cul, je ne connaissais pas du tout cette facette de la personnalité de mon père. Mon père détendu ? je ne peux pas du tout l'imaginer, lui qui est tout le temps sérieux et qui depuis le départ de ma mère passe de femme en femme comme quand il change de chemise.
Pourquoi ne m'a-t-il jamais raconté cela ? en fait c'est pas si étonnant que ça quand on y réfléchie mon père on ne partage presque rien sauf depuis quelques semaines.
- Donc tu comprends où je veux en venir gamin ?
Je haïssais cette façon dont Jo avait de m'appeler gamin mais depuis que mon grand-père n'est plus là j'adore discuter avec lui et qu'il m'apprenne tout ce que j'ai à savoir pour tenir un ranch.
Je réfléchissais à ce qu'il venait de dire, mais au même moment j'entendis des rires parvenir de dehors, je m'approchais alors d'une des fenêtres de la grange, pour apercevoir Lucy jouant avec les enfants à Colin Maillard. Ils étaient tous en éclat de rire, c'était adorable. Lucy était adorable dans son jean serré et avec cette petite chemise à carreau style cow-boy.
Soudain une main se posa sur mon épaule.
- C'est bien ce que je dis gamin, bat toi pour elle, ne la laisse pas filer sinon tu le regretteras toute ta vie. Il a fallu des années à ton père pour recommencer à vivre, regarde !
Jo me montra du doigt un coin du porche de la maison où Anna et mon père se trouvaient discutant. Mais ce qui était le plus frappant c'était la proximité entre eux deux et le sourire de mon père. Alors je compris que Lucy avait raison lorsqu'elle me disait qu'il y avait quelque chose entre Anna et mon père et que c'était surement pour cela qu'il était plus détendu ces derniers temps et qu'on s'était rapprochés lui et moi.
Jo avait raison je devais me battre pour Lucy et j'allais le faire. A ce moment-là je me fis la promesse qu'avant notre retour à Austin Lucy et moi seront vraiment ensemble et que nous n'aurions plus à mentir. Mais pour cela je devais me la jouer finement.
Dès le soir même j'invitais Lucy à venir faire à nouveau une balade à cheval avec moi, elle accepta avec plaisir. Le lendemain nous sommes donc partis tous les deux en balade, cette fois Lucy avait pris beaucoup plus d'assurance et a même tenté de me battre à la course mais j'ai été meilleur. J'aurai peut-être dû la laisser gagner car après elle s'est vengé sur moi. Après notre balade ma Mima lui a proposé de venir l'aider en cuisine pour préparer le dîner. Et je n'ai pas tout de suite compris pourquoi j'étais le seul à m'être étouffé tellement le plat était épicé. Mais en voyant le sourire mutin qu'elle me lança j'ai compris que seul mon plat avait cette chance d'avoir été pimenté à souhait.
Toute la semaine fut comme cela. Toutes les occasions étaient bonnes pour qu'elle se venge de mon manque de galanterie comme elle me l'avait fait remarqué. J'ai même subi ma pire humiliation lorsque devant toute ma famille elle m'a battu au poker. Moi qui n'avait encore jamais perdu une partie contre les membres de ma famille, mais là elle nous a tous soufflé. Elle a raflé la mise et pourtant j'avais une quinte flush en dame de carreau, mais elle m'a mis au tapis avec une quinte flush en roi de pique. J'étais totalement abattu.
Ma famille par contre était morte de rire de voir que j'avais été battu.
Finalement le jour de l'an arriva plus vite que prévu, pendant ces 4 jours Lucy avions passé beaucoup de temps ensemble à rigoler, à se charrier mais surtout à partager de vrais moments de complicité et rien que ça c'était magique pour moi. Mais il ne me restait pas beaucoup de temps, je savais qu'une fois de retour à Austin j'aurai perdu toutes mes chances de lui prouver qu'on pouvait être un vrai couple.
Ma grand-mère avait organisé une soirée pour le nouvel an où elle avait convié des amis rancher ainsi que tous les employés et leur famille.
Pour l'occasion je m'étais mis sur mon 31 et avais rejoint les hommes autour du bar du salon, mon père et mon oncle nous avaient rejoint. On discuta un moment, puis mon cousin me frappa l'épaule pour que je me retourne vers la porte du salon, où Lucy venait d'apparaître.
- Purée mon vieux, tu en as de la chance, crois-moi.
- Touches à tes fesses et va te trouver une fille.
Je m'éloignais du groupe pour aller rejoindre sa « petite-amie ». Elle portait une magnifique robe rouge bordeaux toute simple mais qui lui allait à la perfection et ses talons étaient si vertigineux que cela donnait l'impression qu'elle avait des jambes interminables alors que théoriquement elle n'est pas très grande, mais là...elle était juste waouh !!
- Lucy ? tu es... je n'ai pas de mot...tu es vraiment splendide.
- Merci c'est gentil. Tu n'es pas mal non plus dans ce smoking, mais...
Lucy tendit les mains vers mon nœud papillon pour le défaire puis elle défit les deux premiers boutons de ma chemise.
- Voilà là c'est vraiment toi !
Je lui embrassais la joue chastement, ce qui la fit rougir. Puis je passais mon bras autour de sa taille pour rejoindre les invités qui se trouvait dehors. Mima avait fait installé une immense tente à l'extérieur pour pouvoir accueillir tous les invités.
- C'est vraiment magnifique, ta grand-mère a vraiment beaucoup de goût, elle est généreuse et tout ça c'est juste parfait.
- Tu as raison Lucy, j'ai vraiment beaucoup de chance d'avoir une grand-mère comme elle, même si parfois elle se mêle un peu trop de nos vies mais à part ça on l'adore tous.
Lucy regardait partout autour d'elle, les lumières des lanternes se reflétaient dans ses yeux.
On s'installa à une table avec mon père, Anna et mon oncle Philippe. Comme chaque année ma grand-mère prononça un discours sur cette année écoulée et sur l'année à venir. A un moment du discours j'ai même eu l'impression qu'elle m'adressait un message personnel pour me dire de foncer et de me déclarer officiellement. Elle me fit même un clin d'œil que je lui renvoyai en signe de connivence. Quand je dis qu'elle sait tout sur tout et qu'elle se mêle toujours de tout, ce n'est pas croyable.
Après le dîner j'invitais Lucy à danser avec moi, elle accepta avec grâce. Je me collais à elle, passais une main dans son dos et l'autre dans sa main. Elle passa sa main libre autour de mon cou. A cet instant je me félicitai à cet instant d'avoir laissé ma grand-mère m'apprendre à danser. Toutes ces heures où je rechignais à apprendre et à l'écouter me dire qu'il ne fallait pas que je regarde mes pieds mais les yeux de ma partenaire. Et qu'en apprenant à danser cela me servirait un jour. Je n'y aurais jamais cru, mais pourtant aujourd'hui je l'en remercie pour toutes ces heures de torture.
Avec ses talons, pour une fois Lucy était presque à ma hauteur et je pouvais la regarder dans les yeux. J'étais profondément troublé par son regard, elle semblait gênée mais j'avais aussi le profond sentiment qu'à cet instant elle ressentait la même chose que moi. Cette attirance inexorable qui nous mène l'un à l'autre.
Lorsque je la fis tournoyer elle me regarda surprise par mon aisance. Elle me sourit, un vrai sourire, un de ces sourire qui me donne envie de la mettre sur mon épaule tel un homme des cavernes et de l'emmener loin d'ici. Mais je n'étais pas sûr qu'elle soit vraiment d'accord avec moi.
La musique changea pour passer à une musique plus douce encore, plus sensuelle, un slow. Je relâchais alors doucement sa main pour pouvoir la rapprocher encore plus de moi et passer mes deux bras autour d'elle. Elle passa alors ses mains derrière ma nuque et posa sa tête sur mon épaule. Je pouvais sentir son souffle, son parfum m'enivrai telle une drogue. Mais surtout je sentais son cœur battre à l'unisson avec le mien.
Tout d'un coup elle se redressa légèrement et m'embrassa, alors que je ne m'y attendais pas du tout. Ce n'était pas un baisé fougueux mais un simple baisé tel une caresse, mais pour moi c'était déjà énorme. Je la regardais incrédule.
- En quel honneur ?
- Je...je ne sais pas, c'était comme ça. Désolé.
Lorsqu'elle prononça ce dernier mot, je la sentie s'éloigner de moi, je la rattrapais aussitôt pour la coller plus étroitement encore contre moi.
- Moi je ne suis pas désolé au contraire.
- Austin ! je ne sais pas ce qui m'a pris. C'est surement tout ça. Dit-elle en désignant du menton toute la salle. L'ambiance et toi.
- Moi ?
- Depuis qu'on est ici, tu es parfait avec moi. Tu es gentil, attentif, à l'écoute et tu me fais rire et sourire. Et ça pour moi ça n'a pas de prix. Mais il y a des moments où j'ai vraiment envie de t'étriper. Je me pose beaucoup de question sur toi, sur qui tu es. J'ai parfois l'impression que le Austin que j'ai en face de moi là maintenant n'est pas du tout le même que celui qui est à la fac. Et j'ai peur que cette bulle autour de nous éclate et que tu ne redeviennes ce type odieux.
Je comprenais parfaitement où elle voulait en venir. Lorsque je suis à la fac je joue un rôle, c'est comme ça que j'ai toujours fais, je préfère jouer le mec que rien n'atteint plutôt que de montrer qui je suis vraiment. Je ne porte pas le même nom que mon père pour pas qu'on sache ou du moins que trop de monde sache que je suis plein aux as. Je veux pouvoir me construire moi-même mais je suis obligé de cacher mes ambitions pour l'instant alors je joue ce rôle du type détestable qui couche avec tout le monde mais depuis que Lucy est apparue dans ma vie j'ai pris peu à peu conscience que je hais cette autre facette de moi et que je préfère largement celle qui ressort quand je suis avec Lucy.
- Lucy regarde moi !
Elle releva ses grands yeux bleus vers moi.
- Je te promets que notre bulle n'éclatera, que jamais plus tu ne reverras mon alter égo, il est définitivement enterré. Je tiens à toi moi aussi.
J'allais à mon tour l'embrasser quand tout le monde commença à se presser vers la sortie. Je pris Lucy par la main pour l'emmener avec moi. Une fois dans le jardin tous les invités commencèrent à faire le décompte. Ce soir-là je n'avais vraiment pas vu le temps passer. Il était déjà minuit, une nouvelle année aller commencer. Lucy se colla contre mon torse lorsque le décompte fut fini et que le feu d'artifice tiré du centre de la ville éclaira le ciel de mille couleurs. Ce moment ne pouvait pas être plus parfait.
Une fois le feu d'artifice fini, les invités retournèrent dans la tente, j'allais y retourner à mon tour, lorsque Lucy m'attrapa par la manche et m'emmena dans la maison. Je me doutais à cet instant de ce qui allait suivre et j'en avais vraiment envi. Mais il fallait d'abord que je comprenne ce qui avait fait fuir Lucy la dernière fois. Il fallait qu'on en parle, il fallait crever l'abcès, car je ne suis pas sûr de supporter une nouvelle fois de me faire éconduire.
Nous montâmes les marches jusqu'à ma chambre, j'eu à peine le temps de refermer la porte que Lucy se jeta sur moi. Je pus enfin savourer ses lèvres sur la mienne, la chaleur de son corps contre mon corps. Ma veste tomba au sol ainsi que mon nœud papillon puis je sentis les mains tremblantes de Lucy détacher les boutons de ma chemise. Je lui attrapais les mains avant qu'elle ne me retire complétement ma chemise et lui embrassais les paumes. Puis je la poussai jusqu'à ce que ses jambes rencontrent le lit, je défi son chignon et repoussa ses cheveux sur le côté pour pouvoir poser mes lèvres là où son pouls battait à tout rompre. Elle s'accrocha à ma nuque et je la senti trembler contre moi. Je me stoppais sur l'instant et recula mon visage de son cou, pour la regarder dans les yeux. Je pouvais y voir du désir mais aussi de la peur, une peur indéchiffrable que je voulais à tout prix effacer pour ne laisser place qu'au désir, au plaisir et à ce sentiment de plénitude que je ressens quand je suis avec elle et que j'espère qui est partagé.
- Qu'est-ce...
- Lucy ? je ne peux pas...
- Tu ne peux pas quoi ? dit-elle véhémente en s'écartant brusquement de moi et en croisant ses bras sur sa poitrine. Tu ne veux pas de moi, c'est ça ?
- Au contraire. Je me mordais le poing. Lucy comme je te l'ai dit je tiens vraiment à toi et tu ne peux pas savoir à quel point j'ai envie de toi mais pas dans ces conditions.
- Austin... je...
Je m'approchais d'elle et attrapait son visage en coupe.
- Lucy, je ne veux pas qu'on couche ensemble si tu ne te sens pas prête. Je le sens qu'il y a quelque chose qui t'empêche d'être totalement avec moi. Je vois de la peur dans tes yeux lorsque je te touche, lorsque je t'embrasse. Tu peux dire que je suis égoïste mais je veux que lorsque je te ferai l'amour car il s'agira bien de ça et pas seulement de coucher ensemble, je veux que tu sois totalement sûre de toi et que tu le désir autant que moi.
Lucy s'effondra sur le lit et se pris la tête dans les mains.
- J'ai vraiment envie de toi Austin, j'ai envie que tu me prennes dans tes bras et que tu me dises que tout ira bien.
Je me suis alors assis sur le lit près d'elle et je l'ai pris dans mes bras comme on prend un enfant dans ses bras pour le réconforter.
- Raconte-moi tout.
A ce moment précis je ne pouvais pas me douter que ce qu'elle allait me raconter allé me bouleverser à ce point et me faire l'aimer encore plus.
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