Chapitre 9: La muet
Inconsciemment, Idéla s'attendait déjà à ce genre de réponse. Le fait que Askdo soit un tueur en série ne la choquait presque pas. Maintenant qu'elle connaissait la véritable nature de Rémi, plus rien ne l'étonnait, même pas l'ancienne fonction du blond.
Askdo revient lorsque le reste du groupe dormait profondément, Simon dormait dans le lit du jeune homme qui venait de débarquer parce que Idéla squattait le lit du chef. Il met dans un sac deux skritchs qui n'étaient autre que sa moto et son cross inferno. Il réveil Simon et l'emmène à l'extérieur sans même le laisser ne serait-ce mettre ses bras dans une chemise quelconque.
-Tu ne reviens que maintenant? Puant le sang à trois kilomètres?demande pertinent Simon avec un sourire dans le coins tout de même contente de le revoir.
-Au moins, je suis revenu.
-Pourquoi as-tu essayé de tuer Idéla?le fusille-t-il du regard.
-Je ne veux pas que tu meurs pour elle ou à cause d'elle.
-Je mourrais sans elle. Me l'arracher serait comme me dérober la vie.
Askdo ne dit plus rien. Il n'avait pas prit conscience à quel point Idéla était importante pour son ami. Peut être ou même sûrement était une bétise de tenter d'ôter la vie à la jeune fille. Il s'excuse pour finir avant de retourner à l'intérieur du bus où Sion cède le lit pour aller sur le canapé du bus.
Idéla ouvre les yeux, les jeux de lumières du soleil sur son visage aux traits fins et les vibrations du véhicule l'avait réveillé. Elle saisit la robe rouge dégradant noir vers le bas de la robe qui était moulante, courte et à bretelle très fines tendue donnée par Fabrice. Elle le remercit et la laissa s'habiller seule dans la pièce. Elle rejoind par la suite les garçons et s'aperçois que le garçon qui avait tenté de la tuer la veille était présent. Elle passe devant lui sans une once de peur, l'ignore et rejoind Simon à l'avant de la voiture. Celui-ci était torse nu tout comme cette nuit. Elle évite de le regarder encore gênée par sa tenue et tourne la tête dans le sens opposé à Simon. Toujours au volant, il se penche vers elle.
-Je peux t'embrasser ma chère?
Idéla pique un fard que personne n'a vu.
-Non...quand on sera dans un hôtel.
-D'accord ma chérie.l'embête-t-il avec ce petit nom affectif qui embarrassa la jeune fille plus qu'elle ne l'était.
Elle finit par aperçevoir au loin l'entrée d'une ville. C'était celle de la section silencieuse, elle reconnaissait bien le signe sur le mur d'une maison. Simon gare le bus à l'extrémité de la ville et ils sortirent. Cette ville doit être "silencieuse" comme vous le pensez, en voici la raison pourquoi Simon de conduit pas le bus à l'intérieure de la ville.
-Tu restes avec moi coûte que coûte Idéla parce qu'ils parlent le langage des signes... Et je ne pense pas que ce soit une des choses que tu sais faire.lance Simon avant de sortir du véhicule.
-Non.
-On y va et plus un mot.
Ils s'aventurèrent dans les rues sombres et calmes de la section. Il n'y avait que peut de monde dans les ruelles. Ce silence angoissait Idéla. Le ciel était gris, les rues vides. Rien, c'était sans vie. Comme une ville fantôme. Ils finirent par trouver un petit hôtel où ils entrèrent aussi discrètement que des voleurs. Simon s'avance vers le comptoire et commence à parler avec un homme en langage des signes. L'hôtel n'était pas le plus luxieux, ni le plus délabré. Mais il n'y avait aucune couleur gaie qui rèchauffait le coeur, c'était seulement des murs blancs, du mobilier en bois vernillé.
Ils montèrent à l'étage où comme le précédent hôtel à la section linguistique, Simon et Idéla avaient leur chambre et les trois garçons la leur. Simon s'instal sur le lit et tend les bras à Idéla qui la rejoind.
-Maintenant je peux.demande-t-il tout en posant ses lèvres sensuellement sur l'épaule nue de la jeune fille.
-Oui.accepte-t-elle timidement.
Elle se retourne contre lui, ses mains se pose ses épaules, celles de Simon sur ses hanches apres avoir placé les jambes éffilée du la jeune fille autour de sa taille. Les visages se rapproche et leurs lèvres se rencontrent. Leurs langues s'entrelacent, leurs yeux clos ils se laissaient guidés par leurs autres sens. Leur souffle devenant halétant. Ils tombes sur le lit, les jambes entre-mêlées, Idéla s'agrippait aux courts cheveux de son partenaire. Progressivement les mains de Simon déboutonnaient sa propre chemise pour ensuite la retirer le plus vite possible pour la prendre encore plus contre lui. De ces même mains il retire la robe d'Idéla sans qu'elle ne le repousse. Elle se sentie un peu honteuse dans cette tenue face à lui et se tourne dos à lui.
-Ne me regarde pas s'il te plaît.
-Je préfère être aveuglé par la plus belle des lumières que resté dans l'ombre et ne rien connaître.
Il dépose son torse contre son dos puis lui retire le soutien-gorge qui tombe laissant place à des seins de déesse.
-Simon!
Il lui dépose des miliers de baisers dans la nuque décalant ses longs cheveux et prend dans une de ses mains l'un des seins de la jeune fille. Il pinça avidement le téton qui fit gémir Idéla. Il la retourne et embrasse ses seins en lui faisant sortir quelques sont érotiques. Il avait trouvé son point faible. Alors qu'il s'apprêtait à retirer le tissu qui cachait le secret que les femmes ne dévoile qu'a leur homme, quelqu'un frappe à la porte de leur chambre les dérangeant en pleine action. Il se décale de sa petite-amie qui se redresse cachant ses seins de son bras. Dos à la porte. Simon ouvre la porte les bras dans la chemise et c'était Rémi qui était venu les déranger en pleine action. Rémi esquisse un sourire.
-Je constate que je te dérange toi et Idéla.
-Pourquoi tu es là? C'est à cause des deux autres ou c'est autre chose?questionne Simon s'adossant contre la porte.
-Je pense qu'il faudrait commencer les recherches dès aujourd'hui avant que l'armée de recherche de la section Beauté débarque pour chercher Idéla.
-J'ai compris. Passe-moi le skritch F.T et j'y vais avec Idéla.
-D'accord.
Rémi revient quelques minutes après avec l'objet demandé. Il lui referme la porte après avoir saisit l'objet pour ensuite le jeter sur le lit pendant qu'il reboutonnait sa chemise. Idéla l'aide à ça pour après remettre correctement ses propres vêtements. Il lui prend la main après avoir pris deux skrichs, un qu'il possédait déjà et un autre qu'il venait de recevoir de son ami de la section technologique et sortent de l'hôtel. Il l'emmène sur la grand place de la section (chaque section a une grande place bien sûr). Il active le skrichs qui avait les initiales F.T. C'était un objet assez allongé, qui se tenait à l'horizontal d'après la façon dont prenait Simon avec l'instrument. À la tête de l'objet se trouvait une embouchure où le jeune homme s'apprêtait à souffler. Et sur le reste se trouvait des trous où on y posait ses doigts pour les boucher ou non. La matière était en maillechort argenté voir seulement en argent. C'était un objet qui intriguait Idéla. Lorsque Simon souffla dans l'instrument et appuya sur chaque trou en alternant, un son une mélodie se fit entendre. C'était un son mystérieux, une sorte de mélange entre... Le chant d'un oiseau et le bruit du vent d'après Idéla. Ce son donnait l'impression d'être dans une forêt, avec beaucoup de verdure et de hauts chênes. À la fin de la mélodie, Simon s'assoit à côté d'Idéla.
-Ça c'est une flûte traversière.chuchote-t-il pour faire le moins de bruit vocal.
-Je trouve que son son est... Poétique.imite Idéla.
-Si tu veux. Moi je le trouve... Sylvain.
-Je trouve aussi.
Il se relève et joue une autre musique. À mesure du temps, des gens s'approchaient de Simon par curiosité pour découvrire ce sont miraculeux. Soudain des hommes d'une armée arrivent, une dizaine. Simon range l'instrument et emmène Idéla. Mais celle-ci s'était faite attrappée avant lui par ces hommes en noir. Il tenta une perçé pour la récupérer mais ils le bousculairent sans pitié.
-Simon!
-Idéla!
Un autre homme saisit de force Simon et l'éloigna. Un homme qui était avec le groupe qui avait capturé Idéla dit dans un microphone.
-Monsieur, nous l'avons trouvé, elle était dans la section silencieuse... Oui, nous vous l'ammenons monsieur.
-Qui vous emploie?! Lâchez-moi!ordonne Idéla.
-Votre père nous a demandé de vous ramener chez vous.
-Mon père.souffle Idéla avec une rage qui se dégrade pour devenir une tristesse, mélangé à de la déception.
Coucou tout le monde, je sais j'ai mis du temps à écrire mais ce chapitre ne me venait pas en tête ces temps-ci jusqu'à maintenant. Je m'excuse pour l'attente. Donc voilà. J'espère que ça vous a plus. Avec ce chapitre, je vous présente en média le tatouage de la section Légende vu que le précédent était celui de la section beauté. Bon ba commentez et votez et à la prochaine everybody!
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