Jeté loin dans une ruelle, Simon se retrouve dans une flaque de boue. Observant les agents de recherche payés par le gouverneur de le section beauté. Il n'épprouvait pour eux que du dégoût envers ces hommes non-libres. Il se relève, les injures puis retourne à l'hôtel après avoir renoncé à leur tirer une balle dan la tête avec son blood devil. Il s'en voulait affreusement de ne pas avoir été assez prudent et de ne pas avoir su protéger Idéla. Maintenant elle est loin de lui. Il rejoint son groupe d'ami qui s'apprêtait à sortir de la chambre.

-Simon, où est Idéla?demande Fabrice inquiet de ne pas la voir à la suite de son leader.

-Elle a été capturée.

-Par la police anti-musique?questionne Askdo.

-Non, par son père.

-Lâchez-moi. C'est un ordre. ordonne Idéla indifférente à cette capture dans la voiture qui roule à présent vers sa section d'origine.

Les adultes qui l'entouraient ne lui répondent pas et font comme s'ils n'avaient rien entendu. Imobilisée par les quatre membres, elle ne peu plus rien faire contre eux. La peur la gagne doucement. La colère vient faire son entrer pour la seconde fois de sa vie. Elle ne veut pour rien au monde retourner auprès de son père. Au bout de plusieurs heures dans ce désert au sol brut et à la chaleur étouffante. Ils pénètresnt enfin dans la section qui domine toutes les autres. La section beauté. Ils arrivent devant la grande demeure du gouverneur qui les accueilli à bras ouvert.

-Idéla, mon enfant, j'étais si inquiet.

-Inquiet que la SS ne se déroule pas, non?dit-elle dégoutée par cette personne en repoussant ses mains d'une fausse chaleur qu'il lui tendait.

Il esquisse un sourire remarquant que sa fille était loin d'être dupe. Il demande à ses gardes de l'emmener dans sa chambre. Deux hommes musclés en tenues noirs l'escortèrent à travers le hall qui sert de salle de bal principalement. Aux murs décorés de feuilles d'or, aux escaliers aux marches de velours, aux vitrail de cristal, aux fleurs pâles. Ils montent les escaliers et traversent les couloirs dont un côté était une longue vitre du sol au plafond, sans fin qui donnait sur le jardin intérieur de la demeure. Un jardin dont e vert des feuilles rivalisent avec le rose des bougainvilliers. Dont une fontaine central donnait un côté princier aux lieux ainsi que ce sol de mosaïc dévoilant du haut le symbole de la section beauté. Ils entr'ent dans un chambre, aux murs et au mobilier blanc paré de dorures. La prison dorée a refait son apparition. Ce qu'elle fuyait réapparait devant elle.

Ils la laissèrent dans sa chambre, déposant sur le lit une robe qu'elle devait porter. Elle reprend son calme puis regard l'extérieur rêvant de nouveau. Voulant s'éloigner de la réalité. Quel était ce sentiment amer au fond de son corps qu'elle ressentait de tout son être. Elle ne l'avait jamais ressentit par le passé. Pourquoi fallait-il qu'elle naisse fille du gouverneur de la section beauté? Elle n'a jamais demandé ça. Le seul visage qui lui traversé était celui de ...

-Simon...marmonne-t-elle tout en faisant appel à lui souhaitant qu'il vienne la libérer de ces lieux maudits.

Que devait-elle faire maintenant? Se résigner et obéir ou se rebeller pour se libérer de ses chaînes? Elle y réfléchie pendait qu'elle enfilait la sublime robe de soie et de dentelle qui lui était donné. Elle faillit cracher dessus tant ça la dégoutait de porter sur elle quelque chose donné par cet homme qu'elle surnommait par le passé "papa". Elle coiffe ses longues cheveux en tresse puis s'assit sur le lit. Le porte s'ouvre puis se referme. Sans même regarder, à l'écoute de ces talons de chaussures de cuir, elle savait déjà que c'était le gouverneur. S'il portait des chaussures de cuir, cela veut dire qu'il avait la tenue qui allait avec. Donc il vient de passer aux médias ou quelque chose dans ce genre, sûrement pour annoncer le retour de sa "fille bien-aimée". Elle ne daigne même pas le regarder comme si le regarder serait comme perdre la vue.

-Comme tu es jolie ma fille.

Elle ne répond pas et ignora ses paroles qui la fait presque vomir.

-Ce soir il y aura une réception pour fêter ton retour.

-Pff. Vous êtes si pressez que ça de préparer la SS?

-C'est pour ton bien ma fille.essai-t-il de la berner.

-C'est pour le bien de votre fortune personnelle et de l'union entre les sections surtout.

-Que tu le veuilles ou non, tu participeras à la SS. Même si je dois m'y prendre de force. Ce soir il y aura les fils de ducs des sections qui font parti de la SS. C'est l'occasion de les rencontrer.

-Dans tes rêves.grognait-elle au départ de l'adulte.

À présent elle ne peut plus jouer dans la cour des enfants. Elle va devoir faire son entrée en scène dans la cour des grands si elle veut réussir. Le rideau du jour s'ouvre pour donner place à la nuit et ses projecteurs étoilés. Idéla avait longuement médité sur ce qu'elle allait fait à partir de maintenant. Dans la salle de bal était remplie de monde, de grandes personnes, ducs, leur femme, fils de ducs, serviteurs des ducs et de leurs descendants, célébrités tels que les acteurs et autres. Le gouverneur saluait chaque invité en serrant la mains, hommes, femmes confondus. La chaleur devenait si étouffante qu'ils dûrent ouvrir les fenêtres. Certaines personnes prenaient l'air en sortant dans le jardin. Ils discutent de politique, d'argent, de mariage et principalement de la SS et la fille sans égale du gouverneur. Idéla traversent les couloirs lumineux accrochant ses boucle d'oreille pendantes en or et diamant. Portant sa robe rouge à grand récolté qui fera loucher les garçon de la salle. Le glosse donnant envie de l'embrasser pour goûter à ces lèvres si belles. Les yeux avec du mascara battant comme des ails de papillon. Le bas de la robe avait une vue goûteuse sur le flan de sa jambe gauche. Elle fait son apparition au sommet des escaliers. la foule n'ayantb pas encore remarqué sa présence continuait les conversations. Le père qu'elle avait renié de sa paternité l'ayant vu interpelle l'intégralité de la salle. Il gravit les escaliers et tend la main vers sa fille.

-Tout le monde! Je vous présente ma fille Idéla Stella.

Chaque individu applaudit les yeux brillant de pouvoir toucher cette peau si délicate ou de discuter avec elle. Elle sourit, se penche pour faire la révérence puis dépose sa main dans celle de l'homme qui se tenait devant lui.

-Finalement tu es venue.

-C'est loin d'être pour vous que je l'ai fait monsieur.

Un sourire se dessine sur le visage de l'homme et ils descendirent les marche d'escaliers. Les salutations interminables débutèrent lorsqu'il la laissa seul pour aller parler avec des influent hommes d'affaires. Elle porte son second masque qui n'était autre que l'hypocrisie qu'elle avait forgeait pendant son temps de réflexe dans sa chambre. Elle repère les visages des adultes autant que les jeunes gens de son âge. Son père a décidé de jouer avec elle sur son échiquier? Alors elle aussi le fera, elle se servira de cet homme et de tous ces adultes qui se montrent aussi hypocrite qu'elle pensant pouvoir la duper. Elle repère de loin les 5 personnes les plus influentes du pays, les membres du conseil de la tour central. Elle s'approche d'eux et les salut poliment. Elle s'avait parfaitement ce à quoi ils pensaient en la voyant. Qu'ils pourront l'utiliser elle aussi. Sauf qu'elle ne se soumettra jamais à eux sans stratagème derrière. Elle s'élogne pour aller prendre un verre lorsque qu'elle se fait bousculer. Elle tourne la tête pour regarder la personne. De dos; il avait des cheveux blonds ondulés tombant juste sous les oreilles, coiffés, aplatit avec du gel pour parraître plus sérieux. Ces yeux bleu ciel... Askdo?!

-Excusez-moi?dit-elle en tapotant l'épaule de celui-ci.

-Oui mademoiselle Stella?répond-t-il en se retournant vers elle.

C'est bien lui. Elle l'emmène discrètement à l'extérieur, cachés derrière un arbre.

-Mais qu'est-ce que tu fais ici?chuchote-t-elle.

-Mon père m'a appelé disant que je devais absolument participer à cette récéption qui fera l'annonce du début de la SS. Je me suis dit pourquoi pas y aller.

-Et tu trouve ça normal que tu te montre ici alors que tu joues toi aussi de la musique dans les lieux où c'est interdit et que tu es un ancien tueur en série?

-Personne ne le sait pour mon passé. Pour ce qui est de la musique mon père n'y est pas contre vu que c'est autorisé dans ma section.

-Tout de même tu trouve ça normal de venir pour participer à la SS?

-Oui.affirme-t-il amusé.

Voici voilà le 10ème chapitre! 10! Je suis fière de moi =P, j'espère que ça vous a plu. désolé pour l'attente. l'inspiration ne venait plus. -_-. bref. merci de lire, en petit cadeau j'ai mis dans les média de ce chapitre l'image montrant le symbole de la section légende. j'espère que ça vous plaira vu que le précédent était celui de la section beauté. donc votez, commentez et aimez ma page facebook: Gadjiml livres . bye bye tout le monde et à la prochaine pour le chapitre 11 de LS ^_^