Laughing jack (partie 2)


Dans les semaines suivantes Isaac apporta plusieurs améliorations à son petit atelier des horreurs. Il enleva le matelas du lit et posa une rangée de planches de bois épais à la place, puis il attacha des bras et des jambes au fond et sur les côtés. Isaac n'avait besoin que d'une dernière chose avant de planifier une autre partie grotesque. Il avait travaillé sur elle pendant une semaine d'affilée, la main sculptée dans le bois. Une fois appliquée la couche de peinture blanche, la création d'Isaac fut complète. C'était un masque ressemblant à quelque chose que l'on peut porter à un bal masqué. Il avait un front plissé et un long nez de troll, qui lui permettrait de frapper sans crainte dans le cœur de ses clients bien-aimés. Avec son nouveau visage et la salle transformée en un nid d'assassinat, il était enfin temps pour Isaac Lee Grossman de ramener à la maison un nouveau compagnon de jeu.


La nuit suivante, Laughing Jack regarda Isaac Grossman, masqué, piétinant les escaliers, emportant avec lui un grand sac de jute avec tous ses hôtes à l'intérieur. Il vida le sac sur son lit de torture, et laissa échapper un jeune garçon attaché et bâillonné. Il avait très peur, et probablement à peine 5 ou 6 ans. Isaac dénoua rapidement les liens du garçon et lui coinça les pieds et les bras dans le cadre du lit d'acier. Les larmes coulaient sans cesse sur le visage impuissant du garçon. Isaac posa ses outils sur l'établi. Il revint en brandissant une paire de tenailles rouillées, et, sans perdre de temps, il glissa la mâchoire inférieure de la pince sous l'ongle de l'index droit et serra fermement. Les yeux de l'enfant tremblaient, il commença à supplier Isaac de le laisser s'en aller. Isaac sourit en arrachant péniblement le premier ongle. Le garçon cria de toute son âme, se tordant de douleur sur les planches de bois, le sang commença à jaillir de son doigt. Isaac plaça ensuite la pince sur le majeur, tenant fermement l'ongle avec ses tenailles rouillées. Une fois encore, il tira la pince en arrière, mais cette fois l'ongle ne s'arracha qu'à moitié. Le garçon cria de douleur, ses doigts se crispaient, en sang. Isaac donna un autre coup sec. Le reste de l'ongle s'arracha, mais pas sans une bonne dose de peau avec. Même Isaac était un peu rebuté par ce spectacle douloureux, contrairement à Laughing Jack qui caquetait de joie à la vue de ce spectacle qu'il voyait depuis son ancienne boîte poussiéreuse. Isaac retourna à l'atelier et troqua la pince pour un grand marteau de fer. Il fit ensuite son chemin vers le pied du lit de torture, où, d'une main, il enfonça la jambe gauche de l'enfant .

Il souleva le marteau au-dessus de sa tête. Le jeune garçon continuait de pleurer, alors, de toutes ses forces, Isaac abattit le marteau vers le bas nu du garçon, brisant l'os avec un craquement. L'enfant convulsait dans la douleur et poussait des cris stridents, le bâillon de tissu attaché étroitement à son visage l'étouffait. Comme l'enfant subissait une douleur intense, Isaac plaça le marteau sur le lit en bois et retourna une fois de plus à l'atelier où il se munit d'un long couteau pointu. Sans tarder, il commença à sculpter les mots "ver inutile" dans la poitrine de l'enfant. Quand il eut fini, le garçon était à peine conscient. Isaac s'agenouilla alors et murmura à l'oreille de l'enfant:

"C'est ce qui arrive aux enfants pourris qui font face aux gens désagréables ..."

Les yeux de l'enfant étaient remplis de larmes. Isaac se mit à tailler la peau du visage de l'enfant, mais il fut surpris de voir que le garçon s'accrochait encore à la vie.
L'enfant mutilé regarda Isaac avec ses grands yeux ronds, qui lui remplit son cœur noir de rage et de haine.

"Même sans VISAGE TU ES TOUJOURS LAID COMME UNE MERDE!"

Isaac cria, ramassa le marteau au pied du lit et commença à frapper le crâne du pauvre garçon qu'il brisa encore et encore, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien qu'une masse de chair sanglante. À travers la pièce, Jack riait joyeusement: ce spectacle avait été à la hauteur de ses attentes.

Le second convive d'Isaac était une vieille femme aveugle qu'il avait invité pour boire le thé. Il lui fallut à peu près cinq minutes pour réaliser que la chaise sur laquelle elle était assise était faite de restes humains, et encore six minutes pour trouver l'escalier. Elle tomba en agitant les bras et en criant comme une dingue. Isaac décida de mettre fin à cette cruelle plaisanterie, avec un choix simple. Il lui enfonça du verre à travers l'orbite.

Après cela, il ne resta plus qu'une petite fille qu'il avait gavée de verre brisé avant d'utiliser son ventre comme un punching-ball. Au fil des semaines de plus en plus d'âmes plus malchanceuses atteignirent leur fin dans le grenier d'Isaac Grossman. La personnalité de Grossman était devenue plus sombre et sadique, et Jack suivait son évolution alors qu'il pourrissait dans sa boîte poussiéreuse... jusqu'à une nuit très froide de décembre.

Les clous rouillés qui tenaient le plateau de bibelots oubliés cédèrent enfin, tout chuta au sol. Isaac entendit le bruit sourd d'en bas, et décida de monter au grenier. Il marcha sur le plancher souillé de sang vers le plateau tombé. Isaac écarta certains des bibelots qui étaient tombés, quand il vit finalement le Jack in a box de son enfance. Isaac reconnut à peine la vieille boîte en lambeaux. Il la ramassa et enleva une partie de la poussière. Ensuite, par une quelconque nostalgie, il saisit la boîte et commença à tourner la manivelle. Un horrible son de "Pop Goes The Weasel" sortit de la vieille boîte, et comme il avait fait pour la première fois, Isaac chanta le dernier verset, "Pop Goes the Weasel"...

Le haut de la boîte s'ouvrit, mais rien ne se passa, elle était vide. Il jeta la vieille boîte à la poubelle avec les autres bibelots cassés, et alla ouvrir la porte pour retourner en bas.
Mais il était bloqué. Isaac tira sur la poignée, mais la porte ne voulait pas bouger. À ce moment, il entendit une voix rauque horrible crier derrière lui. "IsSsaAac..." Une secousse froide parcourut l'échine d'Isaac et les poils sur son dos se dressèrent, il se retourna lentement... Balayant du regard toute la pièce jusqu'à la poubelle, il finit par voir un cauchemardesque Laughing Jack. Il était complètement monochrome, ses cheveux noirs pendaient en mèches tordues, des dents pointues décoraient son sourire tordu, et ses bras pendaient comme ceux d'une poupée de chiffons avec ses longs doigts grotesques tombant au sol. Puis, d'un ton froid, sa voix rauque de clown diabolique parla. "Que c'est bon d'être libre!... je t'ai manqué, Isaac?" Isaac était paralysé par la peur. "M-mais... je croyais que tu n'étais pas réel.. .mais... IMAGINAIRE..." bégaya Isaac.

Jack répondit par un long ricanement effroyable. "HAHAHAHA! Oh, je suis tout à fait réel gamin... En fait, j'ai attendu si longtemps pour cette journée... pour que je puisse jouer avec mon meilleur ami pour la vie... Une. Dernière. Fois."

Avant qu'Isaac ne puisse répondre, les longs bras de Jack se tendirent à travers la pièce et il les enroula autour de ses jambes. Le clown tordu commença à le rapprocher de lui, le traînant vers ​​son lit de torture en bois. Les ongles d'Isaac grattaient le sol tout le long de la chaussée. Ignorant cette faible résistance, Jack attrapa rapidement quatre clous de fer longs de trois pouces dans l'atelier et les pressa droit sur les mains et les pieds d'Isaac, le clouant au lit.

Isaac grogna de douleur comme il criait à son ravisseur: "AAAH ! VA TE FAIRE FOUTRE! PUTAIN DE CLOWN BIZARRE!"

Jack se contenta de rire. "Si tu ne peux pas dire quelque chose de gentil, alors ne dis rien du tout!" Jack mit ses longs doigts crochus dans la bouche d'Isaac, saisit fermement sa langue, et l'étira aussi loin qu'elle pouvait aller. Le clown attrapa ensuite son dos, saisit un couteau pointu de la table et commença lentement à couper la chair de la langue d'Isaac. Meurtrie, la bouche d'Isaac commença à déborder de sang. Jack poussa un petit tube de métal dans la gorge d'Isaac. À ce stade, Isaac était déjà dans une grande douleur, et avait les yeux fermés serré pour éviter de voir les horreurs nauséabondes qu'on lui faisait sur son corps.

"Allez, ce n'est pas drôle si tu ne regardes pas!" dit Jack d'un ton ludique, mais Isaac garda les yeux fermés. Jack soupira. "Comme tu voudras."

Jack maintint ensuite l'un des yeux d'Isaac ouvert. Il allongea son bras et prit quelques longs hameçons pointus dans l'atelier. Lentement, Jack poussa l'extrémité pointue du hameçon à travers la paupière supérieure droite et attacha la pointe au niveau du sourcil, pour le laisser en permanence ouvert. Puis il sortit un second crochet, poussant à travers la paupière inférieure, et l'épingla à la joue. Jack répéta le processus pour l'autre œil, pour qu'Isaac ne manque rien de l'action. Laughing Jack prit ensuite le même couteau qu'il avait utilisé pour arracher la langue d'Isaac et commença à se concentrer sur l'élimination des lèvres. Jack trancha soigneusement deux longues bandes de chair, montrant ses dents et gencives complètement exposées.

"Hmm... On dirait que quelqu'un ne se brosse pas les dents..." Jack ricana dans sa barbe et saisit le marteau. Isaac le suppliait d'arrêter, mais seuls des gémissements s'échappaient de sa gorge. Jack souleva le marteau en l'air et, avec un sourire tordu, il frappa le bras et les dents d'Isaac qui éclatèrent comme de l'argile sèche. Jack laissa tomber le marteau et se mit à hurler de rire. Il déchira la chemise d'Isaac, prit le plus gros couteau, et il découpa le haut de la poitrine d'Isaac de haut en bas, jusqu'à l'estomac. Isaac gémit de douleur. Le monstre monochrome enfonça ses doigts misérables sous la peau de la poitrine d'Isaac, et la pela jusqu'au dos, pendant qu'Isaac observait ce spectacle en direct.

Jack commença ensuite à sortir les intestins d'Isaac de la même manière qu'un magicien qui se met à tirer une série de tissus colorés de sa poche. Jack commença à souffler de l'air dans l'intestin. Une fois gonflé, il le tordit en sorte de faire un caniche, et il s'écria en un petit rire bruyant: "Je peux faire lesgirafes aussi!"

Isaac restait toujours dans la douleur et le choc. La créature posa doucement le ballon macabre à côté de la tête d'Isaac. Pour son prochain tour, Jack enfonça sa main dans la cavité de l'estomac ouvert d'Isaac et tira sur l'un de ses reins. Le tenant dans sa main, Jack se tourna vers son ami captif et haussa les épaules en déclarant: "Les reins ne sont pas vraiment mon truc..."

Il jeta l'organe de côté. Laughing Jack remarqua qu'Isaac commençait à dériver dans la mort. "Déjà fatigué? Pourquoi? On était presque au grand final!", s'écria Jack. Il sortit une aiguille de sa manche. "Ça devrait te requinquer un peu." Jack enfonça l'aiguille dans la rétine d'Isaac et injecta le liquide dans son orbite de droite. Jack se tortilla et tordit l'aiguille dans le globe oculaire de son ancien camarade de jeu.

Isaac était toujours en vie. Avec un petit rire sinistre, Jack tira l'aiguille, tirant sur le globe oculaire avec elle. L'œil droit d'Isaac était accroché hors de son support et pendait sur le côté de son visage . Jack sourit : "Eh bien, maintenant que j'ai ton attention... " Le clown prit ensuite son long index tordu et le poussa dans un trou dans l'estomac d'Isaac. Jack baissa la tête vers la cavité de la poitrine ouverte et étendit sa bouche béante. En quelques secondes, un torrent de cafards commença à ramper hors de la gueule du clown, se renversant sur la poitrine ouverte d'Isaac. Ils rampèrent tous dans la petite ouverture de l'estomac d'Isaac. Comme son ventre devenait gonflé d'insectes, les cafards commencèrent à se précipiter vers sa gorge, pour sortir de sa bouche et de la cavité nasale .

Isaac était à quelques centimètres de la mort quand son ravisseur s'agenouilla à côté de lui et lui parla à l'oreille: "Ça faisait longtemps gamin, mais je crois que tout est fini maintenant. Pas besoin de pleurer. Cependant, j'ai l'intention de répandre mon amitié à tous les enfants solitaires du monde", lui dit Jack.

Il enfonça son bras dans la poitrine d'Isaac et tira son cœur encore battant. La vie d'Isaac passa devant ses yeux. Il vit sa mère, son père, le pensionnat, ses victimes, et la dernière pensée qui flotta dans son esprit fut ce Noël très spécial où il s'était réveillé pour trouver la magnifique boîte de bois sculpté qui contenait son premier ami...

Il y a des rumeurs qui disent que lorsque la police a finalement trouvé le corps pourri d'Isaac Grossman infesté de cafards, des semaines plus tard la veille de Noël, même si son visage avait été défoncé et déchiré en morceaux... Il semblait presque... Heureux.

💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗
Je vous avez prévenu, c'est totalement gore, et il est aussi le meilleur ...
Bon vos impressions, est ce que vous avez aimer, ou pas? Et pourquoi? Vous préféré quel crepypasta ? RT surtout pourquoi? Qui vote pour laughing jack contre Jeff the killer? Et de même pour le contraire...
Vos commentaires compte beaucoup car :
Votes + commentaires =un groos bisou sur la joue 😘😘😘
Comment ça vous ne voulez pas de mon bisou😂😂😂😢😢

#bipollaire

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top