Chapitre 7

25 décembre 1915

    Je vous écrit seulement maintenant car hier j'ai profiter a fond! Nous sommes allé nous promener dans le parc d'à coté, puis nous avons parlé et parlé.

    Le soir nous avons préparer un très bon repas car c'était le réveillons de noël.

    Ce matin à la radio j'entendis les informations, par rapport à la guerre, il y a eu des morts, mais nous avons gagné du terrain, sans vouloir vexé tous les autres soldats, je ne veux pas m'en occupé aujourd'hui et durant le reste de mon séjour chez moi. Je veux profiter de ma femme et de ma fille, car après peut être que je ne l'ai verrais plus.

    Une fois que Lise fut réveillé, elle descendit hâteuse d'ouvrir ses cadeaux que le père noël lui a offert.

    Rose me tendit un cadeau. Je n'avais pas prévu le coup, je ne lui ai rien offert...

    Je le déballa avec attention, et elle m'avait offert de très belles photo, avec nous trois dessus. Je crois que c'est le plus beau cadeau de ma vie.

    Elle c'était assise à coté de moi, tout en me soufflant :

"Comme ça tu aura d'autres photo de nous, quand tu repartiras."

    Lise était aussi contente de ses cadeaux. 

    Je vais me coucher.

***

28 décembre 1915, dans la nuit

    Le téléphone sonna, je suis descendu le plus vite possible pour ne pas réveiller les filles. Après avoir décroché, une personne se présenta comme un commandant, et m'a dit de prendre demain le train pour retourné dans la somme.

    Il fallait donc que je prépare mes affaires. Je fis arrêter le sommeil de Rose et lui explique. Elle fut inondé de larmes.

    Il fallait que moi aussi je parte, car le train passe dans une heure.

    Après avoir dit un au-revoir, pour moi considéré comme un adieu, je partit. Mais ne voulant pas quitter les seules personnes qui compte énormément pour moi, je fis demi-tour en courant. Je supplia Rose de rester, mais ne voulant pas que je meurt en vain, elle refusa. Tout en disant que c'est pour le bien de ma fille, et que c'est parce qu'elle ne veut pas me perdre, sans m'avoir battu.

    Lorsque j'écris ces lignes je suis dans le train. Tout en me demandant toujours, qu'est ce que j'ai fais pour mérité ça?

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