Comme à mon habitude je me levais et je regardais nézuko allez viens et si elle dormait encore, sans la déranger j'ouvris la porte délicatement et me faufila vers la pièce à vivre.

J'ouvris la porte d'entrée et je vis sur le paillasson une lettre avec un timbre un peu spécifique.

J'ai demandé au vieil homme qui nous a accueilli de nous traduire le timbre, c'était un timbre qui était de Giomey.

Giomey était l'un des plus grands et des plus forts monstres que j'ai vaincu le petit homme me conseilla de ne pas y aller si je n'y en avait pas la force.

Je n'ai jamais combattu une force de telle mais je me dis qu'il fallait que je m'entraîne jusqu'à ce que j'y arrive.

Je repartais dans la chambre pour aller réveiller ma petite sœur mais je ne la vis guerre alors je sortis et je la vis dans son petit sac où je la portais à chaque ballade.

Pour moi nezuko était tout ma petite sœur tout d'abord celle qui a survécu et qui ne m'a pas fait du mal qui m'as sauvé...

Mais je la réconforta dans son petit sac où elle y  rentrée à peine, mais je me dis c'est soit ça ou la laisser avec cet inconnu.

Comme un monde d'habitude je la mis sur mes épaules et avant le coucher du soleil je la fais manger un peu dehors.

Après ce petit déjeuner je pris la route pour me rendre à mon endroit de marche habituelle pour continuer la route en courant jusqu'à ce que je sois totalement essoufflé que je ne puisse même plus faire un pas ou même plus respirer.

Je me souviens d'une phrase que le vieil homme m'a dit, même si tu sais que tu ne vas jamais réussir dis-toi que tu es là pour te battre et que l'on sait jamais le futur.

Je me souviens aussi qui m'avait donné toutes les précautions à voir avec tous les monstres dans un petit manuscrit mais je les lisais tous les soirs une page un monstre une histoire.

Arrivée au point de course je me mets à courir petit à petit et j'augmente ma vitesse.