Chapitre 11


Bonsoir 😘

Ne vous inquietez pas toutes les questions que vous vous posez seront dans les prochains chapitre que ce soit sur le physique de Rosalie ou les doutes de Dakhir tout sera mis 😘 patience il faut bien un peu de suspense. Gros bisous merci pour tous vos commentaires. 



- vous allez tout de même faire ce à quoi je pense ! S'écria Rosalie.

- chut ! Moins fort enfin il va nous entendre.

Rosalie était consternée.

- vous oublier que vos papiers, votre carte d'identité, révèle votre vrai nom. Rétorqua Rosalie en vérifiant qu'il n'était pas dans les parages.

Elle secoua de la tête en passant une main devant elle pour balayer sa remarque.

- je sais ce que je fait très chère !

- vous avez détruit son père vous êtes ignoble de vouloir faire une chose pareille.

Emilie Claherfild, la fusilla du regard.

- prenez donc ça ! Dit-elle en glissant des billets dans son tablier. Et taisez-vous tout ce que l'on vous demande c'est de vous taire !

Rosalie plongea sa main dans son tablier pour y compter les billets.

- deux cent dollars ! Mais ça ne couvre même pas une semaine à l'hôpital !

La porte d'entrée c'était brusquement refermée.

Rosalie s'était précipitée vers ses piles d'assiettes pour n'éveiller aucun soupçon. Des pas lourd se rapprochaient et Rosalie réprima un frisson, quand elle releva les yeux pour le voir accoudé avec nonchalance contre la porte.

- de quoi parliez-vous ?

- de rien s'empressa de dire Emilie en s'approchant de lui. Je disais simplement à Emilie qu'elle aurait dû mettre un peu plus de sel dans son plat.

Rosalie se retourna pour s'appuyer sur le rebord de l'évier en étouffant son envie de rétorquer.

- je pense que c'est à moi de lui dire ce genre de chose maintenant venez.

La froideur de ses mots lui avait quand même réchauffé le cœur, de son élan de bonté envers elle mais pas assez quand elle avait entendu Emilie rire de bon cœur en le suivant. Et elle connaissait la suite de ce qu'il allait se passer. Soudain Rosalie était prise d'une jalousie telle qu'elle avait dû se gifler intérieurement pour cesser de ressentir ce genre de sentiment, après tout ceci ne la regarder pas et surtout elle n'en avait rien à faire.

Rosalie s'était mordue l'intérieur de la joue pour retenir tout sentiment envers cet homme sans cœur.

Retirant son tablier ridicule, Rosalie avait récupéré l'argent qui couvrait à peine les frais d'hospitalisation, pour le cacher dans son sace rapidement.

Grimpant à l'étage sur la pointe des pieds et piqué par la curiosité, Rosalie se glissa près de la porte d'une chambre voisine. Les gloussements d'Emilie étaient loin de passer inaperçus, et Rosalie était tentée d'aller plus loin tellement loin qu'elle se risqua à jeter un œil dans la chambre, quand une ombre imposante était passée près de la porte.

Troublée Rosalie porta une main à sa gorge pour déglutir, le souverain avait pris place dans un fauteuil près de la fenêtre.

Torse nu.

Son grand corps avait pris possession du fauteuil, ses jambes longues et musclés s'étendaient aisément infiniment dangereux et tout en muscles, il n'avait pas remarqué sa présence mais Rosalie avait décidé de reculer quand Emilie s'était approchée de lui.

Inutile de voir la suite songea-t-elle en s'en allant sur la pointe des pieds pour s'isoler seule.

Dakhir pensait pouvoir éteindre toutes tentations en faisait de cette femme sa maitresse, mais rien n'avait changé, il éprouvait toujours la même et folle envie de céder à ce désir qui l'empêchait de réfléchir.

<< je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi belle Dakhir. >> avait dit sa tante au moment s'en aller.

Son corps s'était raidit de se rappeler les paroles de sa tante cette remarque, se constat, il n'avait pas eu besoin d'elle pour s'en rendre compte au premier regard dans cette église lui avait suffit.

Elle était à se damner.

- à quoi vous pensez ? Murmura l'employée des claherfild en glissant une main sur son torse.

Dakhir serra les dents.

- rien qui puisse vous concerner.

Dakhir tourna sa tête vers elle.

Blond, grande, taille mannequin, Dakhir avait plissé les yeux sur la femme qui venait de partager son lit.

- depuis quand travaillez-vous pour les Claherfild ?

Sa question semblait l'avoir dérouté.

- depuis trois ans.

- et pourquoi tenir tant à cette famille ? Poursuiva Dakhir en continuant son interrogatoire.

Elle se releva nue sans même cacher son corps.

Une manière de le provoquer.

- madame Claherfild est très gentille avec moi.

- et sa fille ? Enchaîna-t-il.

Un sourire se dessina sur ses lèvres, avant de faire une moue désintéressée.

- pas très intéressante. Répondit-elle enfin en baladant ses mains sur son torse.

Sa réponse était loin de le satisfaire.

Dakhir lui agrippa les poignets.

- plus ! Dite moi en plus ! Ordonna-t-il.

- que voulez-vous savoir ! S'emporta cette dernière en soufflant.

Dakhir se redressa sur le lit.

- cela va faire trois ans que vous la connaissait c'est à vous de me le dire. Gronda-t-il en relevant son menton.

Dakhir voulez percer Emilie et la seule façon de le faire c'était de connaître sa vie.

- elle aime faire les boutiques ne s'intéresse qu'à......

- des amants ? Combien elle en a eu ? Coupa Dakhir impatient de le savoir.

Piqué par la possessivité.

- Beaucoup je suppose. Soupira-t-elle en souriant.

Le corps de Dakhir devenait douloureux tandis qu'il l'observait se jouir qu'il l'apprenne.

- vous supposez ? Cracha Dakhir en relâchant son menton.

Les doigts de la femme avait couru sur son torse alors qu'il réfléchissait à cette courte description de sa femme

Sa femme.

Un goût amère envahissait sa gorge, qu'il avait serré de lui même d'une simple pression. Douteux et soucieux, Dakhir ne faisait guère attention aux caresses de cette femme, qui lui avait apporté que trop peu d'information.

- arrêtez s'il vous plait ! Commanda-t-il en la repoussant sur le lit.

Il pencha son corps vers le siens pour la regarder.

excédé.

- vous n'avez pas l'air d'être une femme de ménage. Commenta Dakhir en plissant les yeux.

- pourtant je le suis. Lança-t-elle d'une voix suave.

- quel âge avez-vous Rosalie ? Questionna Dakhir en glissant une main sur sa gorge.

- vingt-sept ans et vous votre majesté ? Minauda cette dernière.

- trente-deux ans très chère et je vous demanderais d'être moins tactile avec moi je déteste ça ! Siffla-t-il.

Une lueur d'incompréhension transperça ses yeux, assez pour avoir la satisfaction d'avoir été compris.

Relâchant sa gorge, Dakhir s'était vêtu de son caleçon pour se lever.

- où allez-vous !

- dans ma chambre.

- et moi alors ? S'écria-t-elle.

Actionnant la poignée de la porte, Dakhir lui adressa un rapide regarde en secouant de la tête.

- rester donc ici pour la nuit il se fait tard. Lâcha Dakhir en partant. 

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