Chapitre~2

Il est trop proche à mon goût et je dégrise. Je suis seule, dans le fond d'un bois avec un parfait inconnu qui m'a suivit et qui à traîné une corde avec lui. J'arrête de sourire et recule les sens en alerte.

-Reste où tu es.

Sa ne l'arrête pas et il continu avec ce sourire effrayant. Pourtant il sourit comme tantôt. Prise de peur je me tourne et commence à courir en me foutant de tomber dans un ravin mais en une fration de seconde encore une fois je suis progeté sur le sol par une masse incroyablement lourde.

-Merde mais arrête de vouloir t'enfuir je ne te veux pas de mal!

Je tente de recracher la terre qui s'est accumulée dans ma bouche mais il me tient fermement les bras dans mon dos. La position pourrait paraître à confusion et c'est gênant.

-Débarque de sur moi! Dis-je entre deux crachats.

Très classe mon affaire..

Il s'enlève en riant, comprenant mon malaise et il s'excusa en voyant mes yeux le foudroyer.

-Pourquoi tu m'as suivit? Chuchotais-je en me plaçant à genous.

-Je t'attendais en bas des marches je voulais te dire quelque chose mais tu n'est jamais descendue.

-Et..ta corde tu sors sa d'où? Dis-je d'une voix non convaincue.

Il rit doucement et je le vois tresser sa corde et étonnemment elle diminue jusqu'à devenir un bout d'une vingtaine de centimètres.

-On appelle sa la corde du parachute. Je la place autour de mon poignet et j'attendais avec impatience le moment de pouvoir l'utiliser.

Impressionnée sans le laisser paraître je me relève et lui fait face.

-De..de quoi voulais-tu me parler?

-Suis-moi.

Ais-je le choix? Je suis perdu ici.. alors je marche dans ses pas.

C'est pas vrai?! Si j'aurais longé la falaise une dizaine de minutes à peine je serais arrivé directement dans un des stationnement du parc.

Heureuse d'être sur un chemin que je connaîs je souris.

-As tu peur?

Déstabilisée par sa question je me fige et l'observe en arquant un sourcil.

-Aurais-je une raison d'avoir peur?

Il sourit et merde qu'il est beau! Je dois absolument regarder ailleur il est vraiment intimidant même si je n'en laisse pas paraître.

-Non du tout. Tu veux venir avec moi?

-Tu penses vraiment qu'après m'avoir sauvé que je vais tomber dans tes filets? Répliquais-je en souriant à mon tour.

-Je te promets que tu vas adorer.

Je scrute ses yeux qui paraissent sincères et accepte de le suivre en inspirant un bon coup.

Surpris que j'accepte il s'approche de moi et prend ma main en me tirant vers sa voiture qui est au fond du stationnement.

Suis-je vraiment en train de suivre un parfait inconnu? Je souris en me trouvant carrément folle. Il s'arrête devant la porte côté passagé et me demande d'y entrer.

Incertaine j'hésite .

-Écoute..c'est quoi ton nom? Me demanda t-il en accotant un coude sur le toît de sa belle voiture noire.

-Leyla Hanson.

-Alors Leila je te promet de te faire aucun mal je veux juste aller te reconduire car il fait noir et c'est dangereux se promener seul..

Je ne vois que sincérité dans sa voix alors j'embarque dans cette voiture hors de prix.

L'appolon referme ma porte et va de son côté et il y entre rapidement en se frottant les mains. Je me rends comptes maintenant que les mienne aussi son gelée mais trop impressionnée par ce que je vois j'observe chaque boutons dont je n'en connaîs pas la signification.

-C'est une Austin Martin.

-Wow..elle est magnifique!

il m'observe un instant et mal à l'aise je détourne mon regard.

-Tout comme toi.

De ma main gauche je le pousse mais il la rattrape et m'attire vers lui. Je suis presque rendue sur son siège et son visage est à quelques centimètres du mien. Ses yeux expriment du désirs et de la colère. Je tente de reculer mais il me tire encore plus vers lui. Je sens le frein à main entrer dans ma cuisse et c'est douleureux. Il passe la tête sur le côté et sa joue glisse sensuellememt contre la mienne, créeant une décharge électrique dans tout mon corps. Sa bouche frôla mon oreille et sa voix suave résonna dans le petit habitacle.

-Ne me refait plus jamais sa Leyla.

Je souris et j'approche ma bouche de son oreille à mon tour en frôlant sa joue et rendue à son oreille je sens sa respiration accélerer. À chaque souffle chaud que je déverses dans son cou sa prise sur mon bras augmente.

-Sinon quoi? Dis-je en chuchotant directement dans le creux de son oreille.

Je le voix frissonner et sa respiration c'est coupé en laissant place à un léger gémissement, créant dans le bas de mon ventre une chaleur de bien-être.

Je décide de reprendre le contrôle avant lui et tire sur mon bras qu'il lâche à contrecoeur et on se rassit tous les deux à notre place respective en reprenant notre souffle en fixant loin devant nous. Je le vois secouer doucement la tête en souriant, il appuit sur un bouton et la voiture rugie.

-Tu..habites où?

-Continue ici, lui dis-je en pointant le chemin à gauche d'une petite voix.

Je ne veux pas lui montrer dans quel quartier je vis alors je fais semblant de lui montrer une maison plus loin.

-C'est drôle Leyla mais je ne crois pas une seconde que tu habites ici.

Je baisses les yeux mal à l'aise et sourit tristement.

-Comment tu sais?

-Parce que tu es assez intelligente je crois pour ne pas donner ton adresse à un inconnu.

Ce n'est pas pour cette raison en particulier mais je souris.

-En effet.. alors tu peux me déposer ici.

-Comme tu veux!

Il freina brusquement. La ceinture de sécurité me brûla le cou.

-Mais tu es fou?!

-Désolé il y avait un chat, dit t-il en levant les mains non coupable.

Je le fusilles et je vois un chat partir à toute vitesse. Je me calme aussitôt et enlève ma ceinture.

-C'est quoi ton nom?

-Nelson.

-Alors Nelson merci beaucoup de m'avoir sauvé tantôt! Dis-je en ouvrant la portière sans croire que c'est son vrai nom.

-Mais voyons ce n'est rien, passe une bonne fin de soirée et fait attention à toi.

-Oui ne t'inquiète pas, dis-je la vois tremblante en espérant qui ne le sente pas et referme la portière.

Je commence à marcher et me dirige vers ma rue qui n'est qu'à quelques minutes d'ici. Je tourne le coin de la rue et j'entend son moteur gronder et s'éloigner.

Ouff! Mais quelle soirée!

Je monte les quelques marches qui manque de s'écrouler sous la moisissure et j'inspire un bon coup. Sa ne me tente pas d'entrer..car le mois passé ne pouvant pas payer mon loyer à temps je me suis fait mettre dehors alors j'ai dû me trouver une autre place et se sont des junkis qui m'ont accueillis. Ils m'ont donné leur chambre et m'héberge gratuitement en échange de faire leur ménage. Chaques soirs ils invitent de différentes personnes et tous, sans exeption, sont entré au moin une fois dans ma chambre pour tenter de me coller et me toucher mais ils n'ont pas encore réussi ils sont tous sortis avec une douleur atroce entre les jambes. Je suis tannée de me battre contre eux. Je ne dors presque plus, cela affecte mon humeur et je me nourris mal. J'ai fais la gaffes une fois de faire une grande épicerie mais ces pas de classes ont tous dévorés avant même que je puisse manger quoique se soit alors je ne mange plus rien à part ce que eux ne mange pas comme des cannes de conserves.

On entend déjà de l'extérieur leurs rire et ce soir vu que nous sommes vendredi c'est la fête et il y aura beaucoup de monde comme d'habitude. J'ouvre la porte qui n'est jamais verrouillée et entre en la claquant. Un drôle de grincement se fait entendre et je vois la penture de la porte qui est sûr le bord de lâcher. J'hausse les épaules et traverse le couloir en me faisant petite. Pour aller à ma chambre je dois passer dans le salon où tout le monde y est. En fait il y en a partout. À soir Jeff à vraiment exagéré je ne pense pas que le sol va tenir longtemps on risque de s'effondrer sur l'étage du dessous.

-Ah te voilà ma chérie! M'attrape Jeff sortant de nul part en m'entraînant vers le salon.

-Mais arrête! Criais-je par dessus la musique.

Cela ne l'arrête pas plus et il me pousse au milieu de tout le monde et bien sûr il faut que je trébuche dans le vieux tapis et que je plante la tête directement sur le coin de la petite table. Je sens déjà des mains me tripoter pour me relever et je me défais rageusement de leur emprise. Ils éclatèrent de rire.

-Merde Leyla je suis désolé! M'aida Jeff.

-Mais lâche moi! Criais-je sur les nerfs en faisant rire encore tous ces hommes.

-Ok ok!

Il me lâche d'un coup et je le contourne en me tenant la tête pour aller m'enfermer dans ma chambre. Je sens un liquide chaud couler et je soupire. Ce crétin ma fendue le crâne!






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