♤ Chapter nineteen ♤

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[TU NE ME DIS PLUS RIEN !]

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Seijun ouvrit lentement les yeux, sentant une douleur sourde à son épaule blessée. La lumière douce du matin se faufilait à travers les rideaux, éclairant faiblement la pièce. Elle tourna la tête et vit Chishiya endormi à ses côtés, son visage était calme et détendu. Seijun se souvint de la veille, de sa blessure et de la manière dont Chishiya avait veillé sur elle. Elle dessina un léger sourire en se remémorant ce souvenir.

Avec précaution, elle tendit la main pour effleurer la joue de Chishiya. Malgré que ses doutes persistaient, elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'elle pouvait s'autoriser à cette légère liberté. Lorsque Chishiya lui autorisait à toucher à chacune de ses parcelles, Seijun ressentait un peu plus cette chaleur cachée dans sa poitrine.

Ses doigts glissèrent contre sa joue, tracèrent la ligne de sa mâchoire, effleurèrent le bas de ses lèvres. Mais alors qu'elle contemplait chacun de ses gestes, à ce moment-là, il ouvrit les yeux, ses prunelles perçantes fixant les siennes.

Un léger sourire apparut sur ses lèvres.

- Bonjour, murmura-t-il, sa voix encore rauque de sommeil.

- Bonjour. Seijun sourit en retour, retirant ses doigts de sa joue, un embarras naissant.

Chishiya tendit la main et caressa doucement son bras de manière hésitante, son regard s'adoucissant.

- Comment te sens-tu ? Dit-il en jetant un coup d'œil à son épaule bandée.

- Ça va mieux, répondit-elle, consciente de la proximité de leurs corps. La chaleur de Chishiya semblait presque magnétique, attirant Seijun malgré sa propre réticence.

Leurs visages étaient si proches que Seijun pouvait sentir le souffle léger de Chishiya sur sa peau. Il inclina légèrement la tête, ses lèvres frôlant presque les siennes. Seijun sentit son cœur s'emballer, chaque fibre de son être tiraillée entre le désir et la prudence. Chishiya jonglait entre ses deux yeux et glissait son regard vers ses lèvres, mélangeant tentation et retenue.

Elle ferma les yeux, savourant ce moment suspendu dans le temps. Elle sentit son nez caressait le sien alors qu'il s'approchait un peu plus. L'atmosphère était dense, chaque respiration, chaque battement de cœur, amplifiés par le silence autour d'eux.

Soudain, Chishiya céda à l'impulsion et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser hésitant, mais chargé de passion refoulée. Ce fut un mélange de douceur et d'urgence, chaque mouvement exprimant des sentiments qu'aucun d'eux n'était prêt à avouer.

Le baiser devint plus intense, la main de Chishiya se posant sur la nuque de Seijun, la rapprochant encore davantage. Mais, alors qu'ils s'abandonnaient à cet instant, la réalité les rattrapa. Seijun sentit une vague de regret la submerger. Elle s'écarta brusquement, les yeux écarquillés par la confusion et la culpabilité.

Elle se leva précipitamment, ignorant la douleur à son épaule. Elle sentait son cœur battre à tout rompre, confuse par les émotions qui tourbillonnaient en elle.

- Je dois y aller, dit-elle rapidement, quittant la pièce avant que Chishiya ne puisse répondre.

Le blond laissa échapper un soupir et fit retomber sa tête contre l'oreiller, une main venant se poser contre son front.

En sortant de la pièce, Seijun croisa Aika dans le couloir. Le regard de son amie était chargé de questions et de reproches, une tempête silencieuse dans ses yeux. Seijun sentit un nœud se former dans son estomac, elle venait de fuir un problème pour se retrouver face à un autre. Malgré tout, elle savait qu'elle ne pourrait pas éviter cette conversation. Aika était sa meilleure amie, et la distance qui s'était installée entre elles depuis deux jours devait être réparée.

- Seijun...

La voix d'Aika était douce mais empreinte de tristesse. Seijun hocha de la tête, acceptant de suivre Aika pour discuter. Elles savaient toutes les deux que rester éloignées n'était pas bon pour elles, surtout dans ce monde dangereux et imprévisible. Elles se dirigèrent au bout du couloir, où se trouvait une porte menant vers un petit balcon. Aika se tourna vers Seijun, le regard sérieux et déterminé.

- Seijun, tu te souviens lorsqu'on attendait le soir du dernier jeu ? demanda-t-elle, sa voix tremblant légèrement.

Seijun acquiesça, sentant son cœur commençant à comprendre ce que son amie allait lui reprocher.

- Tu avais l'air... absente.

Aika détourna les yeux, perdue dans ses souvenirs. Elle revit ce moment où elle avait demandé à Seijun si elle voulait jouer, où elle avait été surprise de l'hésitation inhabituelle de son amie. Seijun, qui d'habitude n'aimait pas les jeux et attendait la fin de son visa avec impatience, avait cette fois-là été différente. Puis, Aika se souvenait de la douleur ressentie quand Seijun l'avait complètement ignorée, se précipitant vers la sortie.

Flashback : le soir des jeux

Seijun venait de partir précipitamment, laissant Aika seule. Désemparée, Aika s'était tournée vers le balcon d'en face, espérant y voir Chishiya, mais il était vide. Un sentiment d'inquiétude et de trahison s'était emparé d'elle. Pourquoi Seijun ne lui avait-elle rien dit ? Qu'est-ce qui se passait entre elle et Chishiya ? La douleur de ne pas savoir, de se sentir exclue, avait envahi Aika.

Les poings serrés et la mâchoire contractée par la colère et la tristesse, Aika s'était dirigée vers l'extérieur, prête à jouer pour évacuer sa frustration. Elle était en colère, se sentant incapable de rester enfermée dans cette immense bâtisse pleine de secrets.

Du coin de l'œil, elle avait aperçu Niragi prenant une route solitaire. La gorge serrée, elle l'avait suivi, cherchant une échappatoire à sa peine.

Fin du Flashback

- Je ne comprends pas, qu'est-ce qui t'arrive ? Qu'est-ce que c'était cette réaction ? demanda Aika, la voix brisée par l'émotion.

Seijun baissa la tête, honteuse.

- Je suis désolée, Aika... Je... je n'ai pas réfléchi, murmura-t-elle.

Aika ouvrit les yeux en grand, surprise par l'excuse de Seijun. Malgré le comportement protecteur parfois étouffant de son amie, elle s'y était habituée et en tirait même un certain réconfort. Mais cette fois, Seijun l'avait ignorée, et cela faisait mal. Très mal.

- C'est Chishiya, hein ? dit-elle d'un ton sarcastique, les larmes menaçant de couler. Depuis que vous vous parlez, il se passe quelque chose.

- Non, ce n'est pas ça, Aika.

- Tu ne me dis plus rien, Seijun. Tu es distante, et ça depuis qu'il est là. Tu ne parles plus de rien... surtout pas de Chishiya. J'ai l'impression...

J'ai l'impression d'être remplacée, pensa-t-elle, mais elle n'osa pas le dire à voix haute. La pensée seule était trop douloureuse.

Seijun baissa les yeux, cherchant ses mots, sentant son cœur se briser un peu plus à chaque seconde. Comment expliquer ce qu'elle-même ne comprenait pas ?

- Ce n'est pas ce que tu crois. Chishiya et moi, c'est... Je n'arrive pas à y mettre des mots. T'en parler serait trop compliqué !

Aika croisa les bras, son regard perçant comme une lame.

- Compliqué ? C'est tout ce que tu as à dire ? Je suis ta meilleure amie, Seijun. On était censées tout partager, mais là, tu me laisses à l'écart.

Seijun se mordit la lèvre, sentant la culpabilité la ronger. Elle se rappelait parfaitement le soir des jeux, où elle n'avait pensé qu'à retrouver Chishiya, à ressentir sa présence, à comprendre ses propres sentiments confus.

- Je suis désolée, Aika. Je ne voulais pas te blesser. C'est juste que... tout est devenu tellement bizarre. Je ne sais plus quoi penser, avoua-t-elle, le ton de sa voix étant faible, rempli d'un regret naissant.

Sa relation avec Chishiya prenait toute la place dans son esprit. Elle ne savait pas comment la définir, elle ne savait même pas ce qu'elle ressentait vraiment. C'était un tourbillon d'émotions contradictoires qui la laissait épuisée et perdue.

Aika secoua la tête, son expression s'adoucissant légèrement, mais la douleur restait visible.

- J'aimerais te comprendre, Seijun... mais il faut que tu me parles. Tu es la seule personne sur qui je peux compter ici. Ne me laisse pas seule.

Les mots d'Aika pénétrèrent profondément dans le cœur de Seijun. Elle sentit les larmes monter, mais elle les retint, déterminée à ne pas laisser sa meilleure amie dans le doute et la souffrance.

- D'accord, dit-elle d'un air plus serein, je ferai attention à partir de maintenant. Je te promets de ne plus te laisser à l'écart.

Aika dessina un léger sourire et s'approcha de Seijun. Les deux amies se prirent dans les bras, laissant le poids de la tension s'évanouir dans cette étreinte réconfortante. Aika sourit, rassuré de ses paroles. Elle sait que Seijun ne dit pas des paroles en l'air.

- Ce n'est pas seulement ça, ajouta Aika en se retirant de l'étreinte, il y a aussi Niragi. Je sais qu'il a fait quelque chose d'horrible, mais je veux comprendre. Et ça me travaille aussi...

Seijun fronça les sourcils, surprise.

- Niragi ? Que s'est-il passé, Aika ?

Aika détourna le regard, ses épaules se contractant légèrement.

- Lors de notre avant dernier jeu, Niragi... il a agi de manière inappropriée envers moi. Il m'a touchée. Je sais qu'il n'était pas dans son état normal, mais je ne peux pas simplement oublier. Je veux comprendre pourquoi il a fait ça.

Seijun sentit une colère sourde monter en elle.

- Aika, je suis tellement désolée que tu aies eu à traverser ça. Tu aurais dû me le dire plus tôt.

Aika hocha la tête, des larmes montant à ses yeux.

- Je sais...on a toutes les deux nos tords, rigola-t-elle faussement.

Seijun prit une profonde inspiration, essayant de calmer ses propres émotions.

- Aika, tu es ma meilleure amie. Rien n'est plus important pour moi que toi. Je suis désolée d'avoir été distante. J'ai été troublé et je n'ai pensé qu'à moi alors que je n'aurais pas dû. Je savais que c'était risqué.

Aika essuya ses larmes, posant une main réconfortante sur l'épaule de Seijun.

- Je comprends, Seijun. Mais on doit se soutenir. On doit être là l'une pour l'autre. On a déjà perdu deux de nos proches dans ce monde, je ne veux pas te perdre toi.

Seijun déglutissa nerveusement, la mention de leurs anciens amis la mettant toujours mal à l'aise. Elle attrapa son poignet, sentant sa main trembler sous les nouveaux sentiments qui pénétrèrent son corps. Son regard voyagea autour d'elle, le poids de son corps devenant bizarrement lourd, oppressant.

Seijun acquiesça pour autant.

- Tu as raison. Je ne te laisserai plus à l'écart. Je te promets de tout te dire à partir de maintenant. Dit-elle alors que sa voix se mit à légèrement trembler à la fin de sa phrase.

- Merci, Seijun. Aika sourit faiblement, son regard se faisant plus doux.

Les deux amies restèrent silencieuses un moment, avoir parler leur avait fait grand bien et toutes deux se sentaient maintenant plus légères. Elles savaient que leur amitié serait mise à l'épreuve encore et encore, mais tant qu'elles se faisaient confiance, elles pourraient surmonter toutes les épreuves.

Aika quitta Seijun. Grâce à leur conversation, elle se mit en tête de parler à Niragi à son tour, espérant que ça ce passe tout aussi bien. Lorsqu'elle sortit dehors, elle l'aperçut contre le bar, un verre dans la main, l'air perdu dans ses pensées. L'air lourd qui l'entourait était presque palpable.

- Niragi ? demanda Aika en s'approchant, son ton plus doux qu'elle ne l'aurait pensé.

Il leva les yeux, visiblement surpris.

- Aika...

- On peut parler ?

Le noiraud hocha de la tête et Aika s'approcha, s'asseyant sur un tabouret. Elle prit une profonde inspiration.

- Niragi, est-ce que tu peux enfin m'expliquer pourquoi tu as fait ça ? Je pense que j'ai le droit de savoir. Commença-t-elle.

Niragi baissa la tête, quelque peu honteux.

- Tu as raison, je te dois des explications et...des excuses. Niragi prit une grande inspiration, regardant face à lui pour éviter le regard de la rousse. J'étais sous l'influence de la drogue, Aika. Je ne me suis pas contrôler. Mais ce n'est pas une excuse. Je m'en veux tellement. Dit-il en baissant la tête, un sentiment de regret prenant sa gorge.

Aika posa une main sur son bras, le geste plein de compassion.

- Je savais que tu n'étais pas toi-même. Je suis contente que tu me l'ai dit, merci.

Niragi releva les yeux, une lueur d'espoir dans son regard.

- Je sais que ce que j'ai fait est impardonnable. Je suis vraiment désolé Aika. Dit-il en se tournant vers elle.

Aika soupira, ses yeux tristes mais compréhensifs. Elle osa glisser sa main le long de son bras.

- Promet moi juste une chose Niragi...ce que tu as pris, ne le prend plus.

Niragi posa sa main contre celle d'Aika posé sur son bras.

- Bien sûr. Dit-il dans un murmure, le souvenir remontant dans son esprit.

Ils restèrent silencieux un moment, le poids de leurs mots flottant entre eux. Aika sentait que Niragi était sincère, et bien que la route vers la réconciliation soit longue, elle était prête à l'accompagner. Niragi, de son côté, savait qu'il devait faire face à ses erreurs et prouver à Aika qu'il méritait une seconde chance.

- Merci, Aika, murmura-t-il finalement. Merci de me donner cette chance.

Ils se séparèrent avec un nouvel espoir, bien que fragile, de pouvoir surmonter ce qu'il s'était passé. Aika, malgré la douleur, sentait qu'elle avait fait le bon choix. Niragi, quant à lui, savait qu'il devait travailler sur lui. Pour lui, Aika était celle qui aller le changer et en comprenant ça, il ne voulait pas laisser tomber.

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Chishiya avait quitté la chambre depuis un bon moment déjà. Kuina l'avait rejoint sur un canapé du hall, et tous deux discutaient à voix basse.

- Il est temps de finaliser notre plan. On doit récupérer les cartes du Chapelier, mais sans attirer l'attention, déclara Chishiya, les yeux fixant un point invisible devant lui.

Kuina hocha la tête, mais une lueur d'inquiétude traversa son regard.

- Oui, mais comment comptes-tu t'y prendre sans qu'on se fasse repérer ? murmura-t-elle, sa voix à peine audible.

Chishiya se pencha en avant, ses yeux brillant d'une détermination froide.

- Je pense utiliser Seijun. Elle est assez douée pour attirer l'attention loin de nous. Et Arisu, il est proche du Chapelier, ça peut nous être utile.

Kuina fronça les sourcils, sceptique.

- Tu es sûr de vouloir impliquer Seijun ? J'ai bien vu qu'il se passait quelque chose entre vous, fit-elle remarquer, scrutant Chishiya.

Il prit un moment pour réfléchir, son regard devenant plus intense. La tension entre les deux amis était palpable.

- Je sais que c'est risqué, mais on n'a pas beaucoup d'options. Et ce qu'il y a entre elle et moi n'est pas sérieux, dit-il en déglutissant, une légère hésitation dans la voix.

Kuina le regarda longuement, tentant de percer à jour ses pensées. Pensait-il vraiment ce qu'il disait ?

- D'accord, soupira-t-elle enfin, mais fais juste attention à ne pas te perdre dans ce jeu, Chishiya.

Ils passèrent les prochaines minutes à peaufiner les détails de leur plan. Ils discutèrent des entrées et sorties possibles, des distractions à créer, et des rôles de chacun. L'atmosphère était tendue, mais emplie d'une détermination silencieuse. Chacun savait que l'échec n'était pas une option. Après avoir tout vérifié, les deux amis se séparèrent, un poids lourd sur les épaules mais une lueur de résolution dans les yeux.

Depuis leur dernier moment partagé, Chishiya commença à prendre ses distances avec Seijun. Cela ne passa pas inaperçu pour elle. Chaque interaction qu'ils ont semble désormais marquée par une froideur inhabituelle, et Seijun ne peut s'empêcher de remarquer à quel point il est devenu distant.

Chishiya, en réalité, est déchiré entre ses sentiments naissants pour Seijun et son plan stratégique. Il sait qu'impliquer Seijun dans ses machinations pourrait la mettre en danger. Pourtant, il a besoin d'elle pour réussir son coup contre le Chapelier. Il oscille constamment entre l'envie de la garder proche et la nécessité de maintenir une distance professionnelle pour ne pas se laisser distraire par ses émotions.

Seijun, de son côté, est perplexe et blessée par ce changement soudain de comportement. Elle repense à leurs moments passés ensemble, essayant de comprendre ce qui a bien pu causer cette rupture invisible mais palpable. Chaque regard qu'elle lui lance est accueilli par une indifférence apparente, ce qui ne fait qu'amplifier son désarroi.

Un jour, alors qu'elle le voit traverser un couloir sans même un regard pour elle, Seijun décide de l'aborder. Elle le suit rapidement et pose une main sur son bras, l'obligeant à s'arrêter.

- Chishiya, attends. Pourquoi tu m'évites ? Qu'est-ce qui se passe ?

Chishiya se tourne vers elle, ses yeux masquant toute émotion.

- Rien. Je suis juste occupé. Répondit-il d'un ton neutre.

Seijun fronce les sourcils, refusant d'accepter cette réponse.

- Ne me mens pas. On était...proches, et maintenant tu me traites comme si je n'existais pas.

Chishiya soupire, détournant le regard.

- Ce n'est pas le moment, Seijun. On a des choses plus importantes à gérer.

Seijun sentit sa frustration monter.

- Des choses plus importantes ? Comme quoi ?

Chishiya reste silencieux un instant, ses pensées tourbillonnant. Il sait qu'il ne peut pas révéler son plan s'il veut que tout ce passe bien. Pour l'instant, il a juste besoin de réfléchir, savoir ce qu'il allait vraiment faire. Il devait prendre ses distances, il ne savait pas ce qui était le mieux. Il a juste besoin d'un peu de temps pour savoir s'il devait l'utiliser ou pas.

- Comme quoi Chishiya ? Insista-t-elle.

- On se voit plus tard. Dit-il en commençant à partir.

Seijun le fixa d'un regard rempli de frustration, d'incompréhension. Sans un mot de plus, elle tourna les talons et s'éloigna. Tandis qu'elle s'éloigne, Chishiya se retourna vers elle. Il sentit une pointe de regret le traverser. Il était vraiment perdu.





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Bon c'est un chapitre de transition et pour un peu mettre en place le plus gros qui va très bientôt arriver. C'est une étape quand même important que je ne pouvais pas négliger. Je suis pas très fière mais bon, à voir si je modifie plus tard.

Prochain chapitre :

CHAPITRE VINGT

[LA CHUTE DU ROI]

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