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Le peuple est un troupeau de moutons qu'il faut égorger
Ce sont mes pensées quand je souris au boulanger
C'est juste un problème personnel
Mais il semblerait que même ses yeux font partis du tableau
J'offre mes rêves à qui veut bien les lire
Et j'observe les flammes vertes engloutir tout ce qui est de ma main
Demain je verrai le plafond se rapprocher
Je sens que je serai dans le déni une nouvelle fois
Ça ne me ressemble plus
On se déteste de plus en plus au fil du temps
J'irai étrangler les cadenas de ma mémoire
Pars demain et reviens vite
J'ai du pétrole au bord des lèvres
Et je pleure du liquide aux effluves d'essence
Mes yeux me brûlent
Je ne crierai plus jamais au secours
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