Chapitre 141
Hello la family !!!
Comment vous allez ?Je voulais écrire depuis un moment mais je devais sortir et chaque fois je reportais parce que j'attendais quelque chose mais j'ai finalement pu régler mon problème donc voilà enfin le chapitre.
Au passage, j'ai récemment créé un groupe WhatsApp anglais pour aider ceux qui désirent mieux maîtriser cette langue.Si l'idée vous branche, écrivez moi en PV tout en me donnant vos phone numbers.
Big kiss er très bonne lecture,love you a lot ♥️💕💕❤️❤️
PDV Fatou
Nous venions de sortir de l'agence de voyage qui sera chargée de m'aider à franchir le sol américain.Les personnes présentes là bas nous avaient gentiment accueillies et ont tout expliqué clairement.Nous partons ensuite à l'Ecobank où on m'ouvre un compte et mon oncle y met la somme nécessaire.Ils m'expliquent puis je fais le transfert à l'agence.Celle ci m'envoie un SMS pour me dire qu'ils ont reçu et que je pouvais venir le lendemain pour déposer mon dossier.Je les remercie puis en parle à mon oncle.J'étais tellement excitée,je n'arrivais pas à croire que j'allais réaliser mon rêve.
-Veux tu une glace Fatou,me demande mon oncle alors qu'on n'était pas loin de Mamamia.
-C'est pas grave mon oncle,fis-je.
-T'es sûre parce que c'est pas ce que dit ton visage.
J'ai honte et le manifeste en baissant la tête.
-Tu n'as pas à te soucier de toutes les dépenses que j'ai faites Fatou et ainsi te priver de glace alors que tu en veux une.
-Je ne veux pas te fatiguer mon oncle,tu en fais suffisamment pour moi.
Il soupire puis m'encourage à le suivre dedans.
J'étais contente, c'est la première fois que j'y entrais.
Je ne l'ai vu qu'à la télé, c'est tout.
Je choisis mon parfum,il paye puis la dame prépare ma glace et me la passe
Nous sortons ensuite, j'ai l'impression de retourner à l'époque où j'étais enfant.
La différence c'est que je ne suis pas avec mon père mais mon beau père.
Je le vois subitement s'arrêter et je fais de même.Je suis très étonnée de voir la personne en face de nous.
-Bonjour Monsieur Fall,vous allez bien ?
Il le regarde très mal puis s'adresse à moi.
-Qu'est ce que tu fais avec cet homme Fatou ?Méfie toi de lui, c'est pas ton père,il pourrait te faire des choses indécentes.On a vu ça tellement de fois.
Je vois rouge,je ne supporte pas qu'il parle ainsi de l'homme qui s'occupe de nous depuis presque deux ans.
-Papa, contrôle ton langage,cet homme est l'un des plus honnêtes qui vit sur terre,tu....
-Fatou,calme toi,ton père s'inquiète seulement pour toi et il a raison,me coupe mon oncle.
J'en suis sidérée mon père s'est montré blessant avec lui et pourtant il prend sa défense.
-Vous,taisez vous.Cessez de faire semblant.Vous êtes celui qui les monte contre moi donc n'essayez même pas de me faire croire le contraire.Vous me dégoûtez tellement.
-Papa,tu arrêtes,enfin tu te crois où là ? Personne ne nous a montés contre toi,c'est tes actions qui nous éloignés de toi.
-Ma fille,tu ne sais pas de quoi tu parles.
Il prit une pause puis continua :
-J'ai fait des erreurs mais je vous aime.Vous êtes mes enfants et ça ne changera jamais.D'ailleurs,tout ce que j'ai sur cette terre sera à vous un jour, déclare-t-il.
Mon oncle s'éloigne sûrement pour nous laisser discuter.Je l'écoute parler longtemps.Il semblait souffrir et ça me poussait à avoir pitié de lui.
Est ce qu'il changera un jour ?Sera-t-il à nouveau le père qu'il était antan ?
-Fatou,est ce que tu m'écoutes ?Est ce que tu vas parler à ton frère pour qu'il me laisse revenir dans vos vies ?
-Papa,je ne sais pas,Abdoul ne veut pas te voir en peinture,pas après tout ce que tu as fait.
-Et toi ?
-Moi,tu as monté tout un plan pour que je sorte avec Djibi et qu'il me trompe ensuite.Tu as même incendié sa maison.Imagine s'il avait perdu la vie de même que sa famille.Je ne peux toujours pas croire que c'est mon propre père qui a fait tout ça.C'est juste incroyable.
-Ma chérie,si j'ai fait cela c'est parce que j'étais désespéré.En plus,tout a changé,tu es à nouveau avec Djibi et tout va bien n'est ce pas ?
-Pas grâce à toi, contrairement à toi,Djibi a été honnête et il m'a dit toute la vérité et a su s'arrêter au bon moment,au revoir papa,mon oncle m'attend.
Il me tire subitement la main,j'en ai même peur.
-Tu ne vas nulle part avec cet homme,je t'ai dit de t'en méfier parce qu'il était dangereux.
-Papa lâche moi,ne m'oblige pas à crier.
-Tu ne ferais pas cela n'est ce pas ?Tu sais très bien que je ne te veux aucun mal.
Je fais mon possible pour libérer ma main mais je n'y arrive pas.
Tonton Badara arrive à ce moment et lui demande calmement de me libérer et que c'est pas de cette façon que les choses allaient s'arranger.
Il s'énerve puis me lâche la main.
-Je vous hais tellement Badara,un jour vous payerez pour tout ce que vous faites.On n'arrache pas les enfants d'un autre.Si vous n'avez pas pu en avoir étant jeune, c'est votre problème mais vous lâcherez les miens, c'est sûr.
-Vous devriez cesser d'éprouver autant de haine à mon égard.C'est pas bon pour votre cœur.C'est vrai j'ai pas d'enfant.J'ai tellement été submergé par le travail que je ne me suis pas rapidement marié et malheureusement,je ne suis pas tombé sur de bonnes femmes, elles n'en voulaient qu'à mon argent mais ma chance a fini par tourner car j'ai aujourd'hui dans ma vie Khadija,je n'ai pas besoin de la complimenter parce que vous savez déjà comment elle est.Et je ne vous ai pas arraché vos enfants,je leur ai même dit que mon objectif n'était pas de remplacer leur père parce qu'il était en vie,je les ai même encouragés à s'approcher de vous mais j'ai l'impression que c'est vous qui faites tout pour les éloigner.Revoyez votre façon de faire Monsieur parce que vous n'êtes pas heureux et ça ne laisse pas indifferents vos pauvres enfants.Réfléchissez à tout ça.
Il se met subitement devant tonton Badara avec beaucoup de colère dans les yeux.
-Espèce de connard,je vais tout de suite vous faire avaler tous ces mots.Vous osez me dénigrer devant ma fille,quel imbécile,quel sadique.
Heureusement des gens s'interposent et nous en profitons pour rentrer.
Mon père a quand même le temps de hurler ces mots :
-C'est pas encore fini vieux con,vous allez payer pour tout ça,je peux vous l'assurer.
L'envie de pleurer est en moi.Je ne peux pas croire que mon propre père agisse ainsi, surtout devant un homme qui nous a fait que du bien depuis son entrée dans nos vies comparé à lui qui nous a fait tant de mal et j'ai l'impression qu'on est loin d'en avoir fini.
J'étais sur le point de sortir de la voiture quand mon oncle m'arrête d'une main.
-Je suis désolé Fatou,tu te sens certainement très mal alors que tu étais si heureuse lorsqu'on est sorti de l'agence de voyage et qu'on est ensuite allé payer une glace.
-C'est plutôt à moi de m'excuser mon oncle pour tout ce que mon père a dit.Il est allé tellement loin Mon Dieu !
-Ne t'inquiète pas ma princesse, c'est les paroles de quelqu'un de désespéré, espérons qu'il retrouve la vérité et se repentisse.Et gardons ça pour nous car si Abdoul l'apprend,il va s'en prendre à lui et ça va envenimer la situation.
J'hoche la tête complètement dépassée pour parler.
Je me ressaisis quand même car je veux lui dire cela tout de suite.
-Tonton, demain j'irai faire le reste à l'agence,ce n'est pas la peine que vous vous déplaciez.
-Non je viens c'est plus sûr.S'ils te voient seule, l'idée de t'arnaquer peut leur prendre.On ne sait jamais avec les gens et ne t'en fais pas pour ton père,tout ce qu'il m'a dit s'est évaporé et même si on se revoyait demain et qu'il recommençait,je ne dirai rien.Je suis prêt à subir sa colère, peut être qu'il finira par comprendre que je ne suis pas son ennemie.
-Mon oncle,tu es très gentille mais n'accepte pas d'être le souffre douleur de papa, c'est lui qui s'est mis dans cette galère et c'est à lui de s'en sortir.Si jamais on le croise demain et qu'il dise ne serait ce qu'un mot déplacé,je lui réponds et je serai beaucoup plus dure qu'aujourd'hui,dis-je très furieuse.
-Non non non,tu ne vas rien faire de tout cela Fatou,on va se calmer,ok ? Lorsqu'on te donne de la colère et que toi aussi tu en manifestes,cette colère ne va que croître.Ne pense pas que j'agis ainsi avec ton père parce que j'ai peur qu'il me casse la gueule.J'ai été jeune,je me suis souvent mis en colère,tu vois ces cicatrices,on me les a fait à l'école ou à la rue.J'ai fini par comprendre avec l'âge que toute cette colère et cette violence ne servaientt à rien et qu'il fallait régler les choses par la discussion.
J'acquiesce véritablement impressionnée puis on sort de voiture.
-Je t'admire beaucoup et j'aurais vraiment aimé que tu sois mon père.
-Sache que c'est réciproque et ton père a du bon en lui,il ne sait peut être pas comment en tirer profit.
Je me contente d'hausser les épaules n'y croyant pas trop.
Quand je vois ma mère,je lui fais aussitôt un gros câlin.Heureusement qu'elle n'a jamais changé et a toujours été là même femme aimante et protectrice sinon je crois qu'actuellement,je serais perdue et désespérée.
-Qu'est ce qui te prend ma puce,tu sembles très émotive ?Ne me dis pas que tu ne veux plus voyager,demande-t-elle très inquiète en me touchant même le front pour vérifier si je n'avais pas de fièvre.
-Je suis seulement reconnaissante de t'avoir maman.Je t'aime tant et je te souhaite une très longue vie.Pourvu que tu sois là quand j'aurai mes diplômes universitaires, lorsque je me marierai et que j'aurai des enfants.Sois sûre que ma première fille va s'appeler comme toi, ainsi elle aura toutes tes qualités.Mon mari n'a pas d'autres choix que d'accepter.
-Tu me fais peur là Fatou.Badara,on n'a fait aucun diagnostic sur moi, demande-t-elle en regardant son mari.
-Mais non ma chérie,rassure toi, tout va bien,toi reste seulement zen et prend tes médicaments, c'est tout ce que veut le docteur.
-Fatou,tu n'as fait aucun rêve sur moi n'est ce pas ?
-Non maman je t'assure,ne te fais aucun souci comme l'a dit mon oncle.
Je dis le reste en chuchotant voulant pas que mon oncle l'entende.
-Tu as un excellent mari et il s'occupe très bien de nous machallah,toi prends en soin surtout.
-T'as pas à t'en faire pour moi ma puce.
-Ah bon maintenant, c'est des messes basses,je vais appeler Abdoul ainsi vous ne serez pas les seules à vous livrer à ce petit jeu, fait mon oncle et nous explosions de rire.
J'ai une merveilleuse famille et je ferai tout pour elle inchallah.
PDV extérieur
Il marchait dans la rue depuis longtemps.
Sa colère ne faisait que s'intensifier quand il pensait à tout ce que ce bouffon avait dit.
Comment osait-il le traiter de la sorte et pourquoi Fatou refusait d'ouvrir les yeux sur ce guignol ? Était-ce son argent qui l'hypnotisait ?
Non sa fille n'était pas comme ça et Abdoul non plus sinon ils seraient avec lui car il était loin de manquer d'argent.
Il alluma une cigarette et l'envie de boire lui prit subitement.
Il eut la flemme de marcher et appela son imbécile de chauffeur et homme de main.
-Oui patron,dit celui ci d'une voix rauque.
-Ramène toi tout de suite avec ma caisse.Tu n'as même pas idée de la journée que je viens de vivre et tu es l'unique responsable parce que tu n'as rien trouvé de compromettant sur cet idiot de Badara.Il continue de mener sa belle vie tranquillement et se permet même de me donner des leçons de morale et j'ai l'impression qu'il a oublié les coups qu'il a reçus, ça m'énerve tellement.
-J'arrive tout de suite patron et désolé pour cette sale journée.Dommage que je n'étais pas là, je lui aurais bien réglé son compte,il n'osera plus vous regarder dans les yeux.Ce n'est pas trop tard patron,donnez moi l'ordre et cette fois il y passera.Plus de Badara et vous pourrez récupérer votre femme et vos enfants voilà.
Il éclata de rire,Idrissa était agacé et se dit qu'il se débarrassera de cet homme prochainement mais le problème c'est qu'il était informé de plein de ses magouilles et pouvait l'ouvrir.Il y réfléchirait plus tard,tout ce qu'il voulait actuellement c'est aller au bar et se saouler.Ce n'était pas son genre mais là il était vraiment à bout et ne voyait aucune autre solution pour le moment.
Il cria donc très fort à son chauffeur :
-Sois là dans cinq minutes ou crois moi que tu ne pourras plus coucher avec aucune fille.
Celui ci coupa et se mit en route.Il savait de quoi était capable la patron donc il ne fallait pas trop l'énerver.Il aurait pourtant bien aimé s'en prendre à Badara et le tuer cette fois et ainsi plus de frein pour que le patron retrouve sa femme car c'est elle qu'il aime véritablement,il ne l'a jamais oubliée, même en étant avec la petite jeune.Il était sûr qu'il pouvait facilement réussir cette mission mais puisque l'idée ne plaisait pas à Monsieur Fall, autant l'oublier.
Il le vit et s'arrêta aussitôt.
Il fit baisser la vitre et déverrouiller la porte sauf qu'Idrissa ne voulait pas entrer.
Il lui fit des gestes pour qu'il sorte et l'homme de main obéit perdu.
-Je n'ai pas besoin de tes services,prends ces billets et va te chercher des meufs puisque tes couilles sont intacts pour le moment.
-Vous êtes sûr de vouloir y aller seul patron ?On peut vous attaquer on ne sait jamais.Avec toutes les racailles qui traînent.
-Je sais me défendre qu'est ce que tu crois et j'ai toujours mon arme sur moi, dégage !
Il hésita puis finit par le faire.
Il s'était attaché à Idrissa bien que celui ci ne lui parlait gentiment que très rarement.Il n'a pas vraiment connu de famille et au moins Idrissa le payait bien,se dit-il en comptant les billets qu'il lui avait donné et ce ci n'avait rien à voir avec son salaire.
Idrissa était enfin au bar.
Des gens étaient saouls et déblatéraient du n'importe quoi en riant fort.
Quelqu'un l'arrêta et dit :
-Eh monsieur vous me payez un verre,juste un seul ?
-Quand on ne supporte pas l'alcool,on s'abstient et on n'embête pas les autres, dit-il durement pour ensuite avancer.
-Non mais vous vous prenez pour qui vous là,juste pour un verre,vous me parlez ainsi?Allez vous faire foutre.Quelqu'un d'autre m'en payera un c'est sûr.Heureusement tout le monde n'est pas comme vous.
-Ils sont tous pareils ces hommes riches,ils se croient au dessus des autres et pourtant,ils se retrouvent au même endroit que nous,cela prouve qu'il n'est point heureux malgré tout son fric, fait quelqu'un de la table voisine.
Idrissa venait de se rappeler pourquoi il n'aimait pas ce type d'endroits et il se dit que la prochaine fois que l'envie de boire lui prendrait,il demandera à cet imbécile de chauffeur d'aller lui chercher une bouteille.
Un garçon de bar vint à lui et fut étonné qu'il prenne une bouteille entière.
-Avez vous des invités,demande-t-il.
-Est ce que ça vous regarde pauvre con ?Contentez vous de me servir, l'essentiel est que je paye,non ?
Le gars se confondit en excuses et partit rapidement chercher au monsieur ce qu'il désirait.
Deux femmes en robes très courtes et talons aiguilles, décolletés plongeants tentèrent de s'approcher d'Idrissa mais il les rejeta,il ne voulait que Khadija et personne d'autre.Comment a-t-il pu être aussi con et perdre Khadija ?, Pourquoi a-t-il enceinté et épousé Ndeye Ami ?
-Minute ! C'était pas son enfant, dit-il en éclatant de rire,ce qui attira certains regards sur lui mais ils se laissèrent rapidement.C'était pratiquement quelque chose qu'on voyait tous les jours ici.
Il en était à la moitié de sa bouteille.Il fallait qu'il trouve une solution pour récupérer sa femme et ses enfants,Badara n'avait qu'à aller voir ailleurs s'il y était.Il était saoul mais savait quand même qu'il ne pouvait pas comenditer le meurtre de ce connard, ça pouvait se découvrir un jour ou l'autre surtout par Abdoul.
Ce fut très difficile pour Idrissa de retrouver le numéro de son chauffeur mais il le fallait,il savait très bien qu'il ne pouvait rentrer seul et il n'y avait personne autour de suffisamment rassurant dans ce bar pour lui demander d'accomplir cette tâche.
-Allô,dit cet idiot et il ne tarda pas à entendre une voix de femme.
"Allez chéri,laisse ce portable,t'es là pour moi non",dit cette pute.
-Oui mon amour,mais c'est mon boss faut que je réponde.Si je me retrouve sans travail,tu ne voudras plus de moi.
Idrissa leva les yeux au ciel très dégouté par ces propos qui ne l'intéressaient guerre.
-As-tu bientôt fini avec toutes ces conneries pauvre idiot ?
-Désole boss,que puis-je faire pour vous ?
-Retrouve moi tout de suite au bar *****.Dépêche,je crois que je vais m'endormir et faudrait pas que ces merdeux me volent quelque chose par ta faute.
-Euh patron,vous ne pourriez pas attendre quinze minutes,cette meuf est vraiment bonne; j'ai dû beaucoup payer et chaque fois que je venais,elle était prise par d'autres et pour des heures.Je veux garder les meilleurs souvenirs avec elle et j'ignore quand ça se répétera.
"Bien dit mon chou,il peut bien se débrouiller,quinze minutes,ce n'est rien",fit la voix très agaçante de la pute.
L'envie de les défoncer tous les deux le prit mais hélas la machine à téléporter n'existait pas encore où n'avait pas encore atteint le Tiers Monde.
-Profite bien de cette meuf sale con et aie de très beaux souvenirs parce que je pense que c'est tout ce qui te restera,tu risques de ne plus jamais toucher de femmes après ce que je vais te faire crois moi.
-J'arrive tout de suite patron,je vous en prie pardonnez moi,ne faites rien s'il vous plaît.Je veux au moins être père un jour, quand j'aurai une vie plus stable.
Il l'entendit ensuite s'adresser à la bitch.
-Chérie,il faut réellement que je parte mais tu dois considérer que j'ai pas consommé mon fric en entier donc je reviens et je ne payerai rien cette fois, d'accord ?Je dois aider mon boss à retrouver sa femme sinon personne autour ne sera heureux et moi sans sexe,je m'épanouis pas.
Elle lui claque les fesses en disant :
-Vas y file ne fais pas attendre le pauvre monsieur,on verra pour ton prochain passage.Si tu tombes sur un jour où les clients ont été généreux alors, c'est ok mais si c'est pas le cas,tu ne verras même pas mon visage et cette femme ferait mieux de renouer avec son mari avant qu'une autre ne le lui pique.Les prédatrices sont nombreuses.
Elle éclate de rire.
Idrissa coupe vénère,il était donc devenu le sujet de conversation de personnes aussi minables,il était plus que temps qu'il se reprenne en main.
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