Point de vue kankuro :

Kankuro : Je n'arrive pas à croire que je t'ai laissé me parler de ça, dis-je fermant la fenêtre derrière moi. Si quelqu'un me trouve ici...

Minato : Détends-toi kankuro.

La chemise de Minato n'est pas rentrée dans son slime, ses poignets sont déboutonnés et sa cravate est enlevée. Il a déjà l'air échevelé et peu importe à quel point kankuro peut être inquiet, il le veut toujours . Minato doit le savoir, car il sourit. « tu ne serais pas ici si tu ne le voulais pas.

Kankuro : C'est toujours une très mauvaise idée. Je regarde le mur à côté de moi. Gaara dort juste à côté. Je ne veux vraiment pas le réveiller par accident.

Minato : Dans ce cas, dit-il, traversant la pièce et pressant kankuro contre la fenêtre, nous devrions parler moins.

Les baisers de Minato commencent toujours doucement, lentement, prenant kankuro au dépourvu alors qu'ils deviennent plus désordonnés et plus exigeants. Au moment où ils se séparent, les lèvres de kankuro semblent gonflées et il halète doucement. Il a appris maintenant que la seule vraie façon de traiter avec Minato est de donner le meilleur de lui-même, alors il le fait. Il embrasse Minato jusqu'à ce qu'il en veuille plus, puis il est plus facile de ne pas penser à tout le reste autour d'eux et de se concentrer uniquement sur la mise à nu de l'autre.

Il étouffe ses grognements contre le matelas pendant que Minato le prépare, ses doigts lisses l'étirant pour l'ouvrir. Le coussinet de l'index du blond traîne contre sa prostate et il se sent si bien qu'il se sent sans cervelle, luttant juste pour se souvenir de ne pas faire de bruit.

Puis la bite de Minato remplace ses doigts et je mord sur mon oreiller, les dents s'enfonçant alors que j' essaie de ne pas crier. Les louanges murmurées de Minato, à bout de souffle et à peine audibles, tu es si bon, putain, si serré, juste comme ça, si bon .

Minato tend la main, commence à caresser, et kankuro vient presque immédiatement, ses doigts creusant dans les draps. Son corps tremble de plaisir, avec la maîtrise de soi dont il a besoin pour ne pas faire de bruit, et Minato s'enfonce en lui quelques fois de plus avant qu'il ne jouisse lui aussi.

Minato : Tellement magnifique, chuchote t'il, se retirant de kankuro et se débarrassant de son préservatif avant de s'allonger sur le lit à côté de lui. Tu es tellement bon pour moi.

Sa poitrine se soulève à chaque respiration qu'il prend, son esprit est encore trop en désordre pour qu'il puisse essayer de parler.

Minato : Tu sais, dit-il sur le ton de la conversation, j'aimerais te voir avec un bâillon, parfois.

Kankuro : Ouais. Son cœur s'emballe. D'accord.

Fin.