Défis n•1
Sur son étiquette accroché à sa poitrine, on pouvait lire Mevena Rozenn. Elle portait une tenue stricte composée d'un ensemble d'un costume enfermant ses formes dedans, lui donnant une modernité sérieuse.
Ses cheveux attachés dans une queue de cheval basse un peu flou faisait découvrir son visage aux courbes armonieuse. Son petit nez tacheté et ses cheveux roux flamboyant lui donnait un air enfantin. Elle paraissait avoir la trentaine, pas plus. En réalité, elle en avait 31.
Elle posa ses douces mains sur la couette et la remit en place. Minutieusement, elle passa sa main sur la couverture pour enlever tout les plis qui se serait créer.
Elle était maniaque, pas une saleté devait rester. Elle tapota les coussins pour les regonfler. Une fois la chambre totalement propre, elle laissa un mot de son écriture courbue pour remercier Freija qui l'avait laisser dans un état pas trop mal. Elle passa au dressing, vérifia que les vêtements étaient tous propres et bien plier par tas.
Elle passa sa main dans ses cheveux pour remettre en place une mèche de ses cheveux qu'elle avait lisser le matin même. Elle reprit son téléphone portable , un peu vieux certes mais elle s'y était attachée. Elle mit une autre musique dans ses écouteurs. Et commença à danser en s'occupant de la salle de bain. Elle adorait danser. C'était sa plus grande passion. Peu importe le style. Elle avait d'ailleurs tout d'une danseuse: rigueur, souplesse et le rythme.
Son nez en trompette frémissait au son entrant dans ses oreilles. Son corps ondulait tout en nettoyant. Elle n'était pas maladroite, bien heureusement sinon elle aurait déjà tout casser. Elle soulevait des produits de beauté passant habilement son torchon dessous tout en tournoyant sur elle même.
Puis la musique se termina et passa à la suivante. Elle arriva devant le miroir et arrêta de danser. Ses yeux vairons vert et marron lui allait à merveille. Cela la rendait différente. Elle aimait avoir ce je ne sais quoi. Elle sourit à la vue de son regard, ses sourcils étaient épilés, son sourire était éclatant et son teint était caramélisé. Ses pommettes était mises en valeur par ses fines lèvres rosés Et son grain de beauté au dessus de sa lèvre supérieur. Puis elle détacha ses cheveux et les remit dans un queue de cheval plus stricte. Son corps svelte et cette coiffure la rendait comme une danseuse étoile mis à part la tenue.
Elle astiqua bien avant de faire une pose ayant finit la suite de Freija dans son entièreté. Elle se posa sur une chaise, dos droit, tête haute, jambe croisée et mains posés sur le genou. Elle inspira un bon coup, ce spectacle de danse qu'elle venait de faire dans la salle de bain l'avait totalement fatigué, toute forme d'énergie était partie d'elle. Elle se leva, détestant la fainéantise, elle se servit un verre d'eau, qu'elle avala goulûment. Puis repartit travailler. Elle passa gracieusement le balai devant les chambres.
Petite, elle aidait beaucoup sa mère pour les tâches ménagère, ça ne l'avait jamais embêter. Le reste de son temps, elle sortait dehors jouer et faire du sport. Sa mère lui avait payer des cours de danse moderne jazz. Elle avait adorée, tout les soirs elle répétait la chorégraphie. Un jour, son père fit faillite, alors pour s'échapper de la misère, elle sortait et dansait au son du tempo. Ses gestes étaient précis et exprimés se qu'elle ressentait: la peur. Mais ses parents lui ont apprit tout ce qu'elle devait savoir: la bravoure de ne pas avoir peur de s'exprimer, la bienveillance, la politesse, le respect, le sérieux et la générosité. Six piliers, qu'elle a toujours respecter même dans les moments les plus sombres.
Elle s'est mit en tête assez jeune de travailler pour la famille royale. Elle devait gagner de l'argent pour aider ses parents pendant la crise. Elle a travailler dur pour y arriver et elle y est arriver. Son but maintenant a changer, c'est de devenir danseuse. Elle rêve de vivre de sa passion.
Mais pour le moment, elle fait un travail qui lui plaît, loin de ses deux sœurs et de son frère ainsi que ses parents. Mais le destin a fait qu'elle empreinte cette voix en tant qu'aînée. Elle l'assume pleinement , sinon elle ne serait jamais devenue cette femme forte n'ayant ni peur des araignées ni d'être indépendante.
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