Chapitre 6

Après le déjeuner, je me dirige vers ma chambre afin de me changer et je demande à Aubrey de me laisser seule. J'ouvre ma penderie et regarde son intérieure afin de trouver la tenue parfaite pour aller marcher. Le trois quart de ma garde-robe est trop chic ou je me sens pas assez à l'aise pour aller dans les jardins. Le doute arrive soudainement a moi. Je suis plutôt indiscrète d'avoir invité un sélectionné de ma sœur. Et si on nous verrais ensemble et de faux bruit circule? Je ne peux pas permettre ceci. Et à quoi j'avais pensé au juste, je le savais que sa avait pas de sens mais je voulais seulement être gentille avec lui apprend la faveur qu'il m'a fait en me disant rien sur la soirée d'avant. Vu de se point, je dois me forcer pour lui donner une faveur car il m'en n'a fait une, je ne le connaît pas et il ne faudrait pas qu'il me fasse des menaces à la place sur ce point, les conséquence qui pourrait résulté de tout ça pourrais être dangereuse pour ma famille. Le choix est maintenant évidant: je ne peux me défiler pour cette fois. Comment cette promenade va t'elle se dérouler? Je pourrais m'assoir sur un banc pour lire et il pourrais rester de son côté et il pourrais visiter les jardins et dire qu'il est avec moi donc il pourrais rester, je pourrais être tranquille. Mais si il décide de rester avec moi, je ne veux pas faire de malaise donc de quoi pourrais-je lui parler? Je pourrais diriger la conversation vers lui, ça pourrais être moin compliquer pour moi, je ne veux pas qu'il me connaisse plus que se qu'il connaît déjà de moi. La question première revient, ques se que je met? J'étudie mon garde robe de fond en comble pour trouver une robe de couleur azur que je n'avais pas mis depuis un an au moins. À mon souvenir je l'avait fait préparer pour Noël dernier. Elle est simple avec une ceinture perlé et en bustier. Je pense me sentir bien dans cette robe pour aller au jardin. Je me change, me maquille un peu et remets mes soulier plat. je coiffe. Anxieuse, je quitte ma chambre en direction du fumoir. À la porte, je vois un valet entré avec un plateau de thé et ne exclame Aston intention:

- Pouvez-vous dire à Sir Willow Shelves de venir me voir, s'il vous plait?

- Oui mademoiselle, me répondit-il.

Il rentre dans la salle et j'entends quelque minute pour que la porte se ouvre sur Willow qui en sort et en me voyant, je vois un sourire apparaître sur ses lèvre et il commença:

- Reboujours Hailee.

- Rebonjours Willow, dis-je en riant de ce mot et je recommence:

On se dirige à l'extérieur du palais ensemble. On sort du palais puis Willow commence:

- Vous êtes ravissante.

- Merci, dis-je en souriant.

- Je vous remercie moi aussi, vous auriez pu ne pas m'amener dehors et j'en suis reconnaissant.

Comme à mon plan, je m'assois sur le bord de la fontaine avec un livre en main et commence à le feuilleter. Willow me regarde perplexe et je lui dit:

- Vous pouvez vous promener dans le jardin je vais rester ici à vous attendre.

Il s'assoit à côté de moi en regardant le somptueux paysage devant lui. Je décide de peine et de misère de lui dire:

- Vous venez de où?

- Je viens d'Allens, es se que vous y êtes déjà aller?

- Non, mais j'en n'ai déjà entendu parler par mon père.

- Vous ne voyagez pas dans le pays?

- Non pas vraiment, quand je voyage sa ressemble plus en Suèdie ou bien en république de France.

- Moi je n'est jamais voyager car ma famille n'ont pas assez d'argent.

- Je croyais que vous étiez un Trois, à l'habitude les Trois voyage un peu, non?

- Euh... Oui, mais pas ma famille, dit-il en regardant le sol.

- Pourquoi?

- Eh bien... Il y a quelque années, il fait une pause et dégluti, ma petite sœur à été diagnostiquée Leucémie myélite aigu, mais il y a six mois, les médecins nous ont dis qu'elle étais en phase terminal et qu'il lui reste peu de temps à vivre et tout l'argent que mes parent gagne vont aux traitement, dit-il avec les larmes aux yeux.

- Je suis désolée, sincèrement désolée pour votre sœur, elle à quelle âge?

- 14 ans, elle s'appelle daphné, dit-il.

- Vous avez d'autres sœurs et frères?

- Non, j'ai juste Daphné.

- Je veux pas être indiscrète, mais pourquoi avez-vous participé à la sélection? Vu la situation de votre sœur.

- Je me disais que j'avais pas beaucoup de chance d'être choisi mais si je l'étais, une bonne compensation financière arriverais à ma famille pour aider dans les traitements à ma sœur.

- Donc vous n'êtes pas là pour Bay?

- C'est un peu sa, quand je voyait votre sœur a la télévision je les jamais trouver à mon goût, elle est très belle, mais pas de mon genre, je me disais que quand j'allais la rencontrer, peut-être sa allais changé mais non, elle me fait peur, dit-il en riant.

- Par moment à moi aussi, dis-je a me rejoignant a lui pour rire.

On reprend notre souffle d'avoir trop rit et je recommence:

- Parler moi un peu de vous?

- Je ne sais pas trop quoi vous dire.

- Vos passion, intérêts, vos amis, le reste de votre famille ou bien votre chien, je ne sais plus trop!

- Je suis plutôt solitaire, je n'ai pas beaucoup d'ami et mes parents mon toujours dit de me concentrer sur mes études, ce que je fais. Mes parents sont tous les deux journalistes et n'étais peu présent avant le diagnostique et pour mon chien, et bien, j'ai pas de chien, dit-il en riant.

- Vous étudier en quoi?

- Pédiatre, avec tout se que j'ai vécu avec ma sœur, ceci me donne un but, j'aimerais bien créé une fondation pour aider les enfants dans le besoin sans se soucié des castes et vous?

Je le regarde l'air rêveuse de ses rêves d'avenir, moi j'ai encore rien de prévu et je n'ai pas un million de choix en étant une princesse et en n'étais pas l'héritière, je fini donc par lui répondre:

- Je ne sais pas, il y a pas beaucoup de chose qui se présente à moi en étant une princesse.

- Je comprend, dit-il.

Je me lève et commence à marcher vers le palais avec Willow à mes côté. A l'entrée, je quitte la compagnie a Willow pour me préparer pour le souper. A l'heure du souper, je me dirrige vers la salle à manger. Je m'assois a ma place habituelle a côté de mon frère qui me rend encore mal à l'aise. Durant se succulent souper, mon père commença à dire à l'attention de notre famille:

- Dans un mois, nous allons accueillir le roi, la reine et l'héritier de la république du Brésil ici à Illéa pour solidifié les relations politiques. Et Hailee, pourrais-tu venir me voir dans mon bureau après le souper?

Je manque m'ettouffeur avec le morceaux d'asperge que j'avais dans la bouche et je lui repond confuse:

- Moi?

- Oui toi, je n'ai pas 2 enfant qui s'appelle Hailee, dit-il décourager.

Je suis très confuse par les paroles de mon père parce qu'il n'emploie pas souvent se ton autoritaire sur moi en temps normal.

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