Impetueuse

Je marchais dans la rue, le regard baissé, les coudes en arrière, les genoux pliés, les pieds rentrés,... Et tchic et tchac et tchic et tchac et tchic et tchac han-han.

Bref. Tous ces aléas de la vie quand on est une personne aussi timide que moi...

Alors que j'écoutais la musique plus tôt citée vu que mes écouteurs étaient dans mes oreilles, un rayon de soleil traversa mon visage, me brûlant presque les yeux. Je déteste la lumière. Ma peau brille lorsqu'il y a contact avec le soleil. Comme Edward Cullen, je suis... une personne étrange. Mais lui n'est pas un vampire hein, sinon il aurait cramé plus d'une fois. M'enfin, ne nous éternisons pas dessus plus longtemps...

Donc je finis par regarder devant moi, aveuglée par la lumière du jouuuuur. Lorsque, là, assise sur un banc. Je vis une fille. Une fille magnifique. Cette fille. Juste magnifique. Magnifique comme une magnifique et la magnificance étant synonyme de magnifique waouh je suis éblouie par tant de beauté....... ah non c'est le Soleil pardon. Mais magnifique quand même.

Je bravai ma timidité pour m'asseoir à côté d'elle et sortir le livre que je lisais soit "WEntraide & moi" de plumedencre, merveilleuse auteure de la mort qui tue. Je jetai un coup d'œil à côté de moi, elle lisait un livre, c'est pourquoi je l'imitais. Et donc, elle lisait "La pire colonie". Je la regardai, ne connaissant pas ce livre et pris la parole, me chiant dessus à la fois (enfin, discrètement).

- C'est quoi "La pire colonie" ?

- En l'an 3000, mes amis et moi, les WEpeople, nous avons fondé notre propre maison d'édition. Et je lis ce livre aujourd'hui parce que c'est moi qui l'ai écrit et que l'écrit est l'écrit et la lecture est l'écrit parce que sinon c'est nul les autres écrits qui ne sont pas mes écrits.

Je la regardai, fascinée par tant d'intelligence. Elle avait sorti une phrase que je n'avais pas comprise. Et comme j'étais un peu lente à la détente, ce qu'elle avait dit était forcément savant. Waouh, je fonds.

- Tu t'appelles comment ? lui demandai-je, un regard enjôleur sur le visage.

- Aurélie, et toi ?

- Meg.

Je m'agenouillai alors sur le sol et pris ses mains dans les miennes.

- Aurélie, veux-tu m'épouser ? JE T'AIME AURÉLIE !!!!!!


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