Meet me halfway

Commande pour Phoenisux (Avec panache !🎈)

"Tu es sûr que c'est une bonne idée, Stark ?" demanda Steve, suspicieux.

"Mais oui, Steve ! Je te dis que tout est sous contrôle !"

"Je ne le sens pas du tout, ton plan !" soupira Clint.

"C'est Stark qui fait cette machine, ça ne peut qu'être un truc tordu !" lui répondit Bucky.

"Laissez-le donc s'entêter dans sa bêtise ! Quand ça lui explosera au visage, on s'amusera !" déclara Loki avec un sourire narquois.

Ce qui provoquait un tel débat chez les Avengers était la nouvelle création de Tony Stark : une machine à voyager dans le temps ! Comment lui était venue cette lubie, me demanderez-vous ? 

Et bien, disons que cette idée lui vint à l'esprit un jour où Peter était en train de réviser son cours d'histoire et se demandait à quoi ressemblait la vie à Londres au XIXe siècle : était-ce la même chose que dans les films ou pas ? Il n'en fallait pas plus pour convaincre Stark de commencer ce nouveau projet... qui n'était pas du goût de tout le monde !

"Tony, fais attention ! Ce genre d'inventions a tendance à provoquer des catastrophes !" l'avertit Pepper.

"Mais ne t'inquiète pas, Pepper ! Je sais ce que je fais !"

"C'est bien ça qui m'inquiète : il ne faut SURTOUT pas prendre les voyages dans le temps à la légère !" lui répondit Strange.

"Franchement, les gars, vous êtes vraiment une bande de rabat-joies quand vous vous y mettez !"

"Mais Monsieur Stark, vous n'étiez pas obligé de faire cette machine !" fit remarquer Peter.

"Ne t'en fais pas, Peter : grâce à cette machine, tu auras des points supplémentaires à tes devoirs d'histoire !"

"Plus têtu que lui, tu meurs !" soupira Natasha qui fixait la scène de son regard observateur.

"On va bien rigoler quand ça va lui péter à la gueule !" ricana Wade.

"Silence, le barge, ou je te fous dehors !"

Au même instant, Bruce entra dans la pièce et vit Tony en train de peaufiner son étrange machine. Soupirant, il se tourna vers les autres :

"Laissez-moi deviner : il est encore en train de travailler sur sa machine à voyager dans le temps, c'est ça ?"

"Malheureusement pour nous, oui !" lui répondit T'Challa.

"Homme de métal, vous devriez écouter vos amis : ce genre d'idées ne sont pas toujours sources de progrès, mais plutôt de problèmes !" suggéra Thor.

Agacé par la remarque du Dieu du tonnerre, Tony se retourna et lança :

"Entre ton frère qui me souhaite d'échouer et toi qui ne veut pas que je continue sur ma lancée, je vais finir par croire que vous êtes contre le progrès sur Asgard !"

"Ne mélangez pas tout, Stark : nous ne sommes pas opposés au progrès, mais au non-sens dont vous faites preuve !" lui répondit Sam.

En entendant la discussion, Rhodey arriva, suivi de Morgan. En constatant que son meilleur ami fabriquait ce qu'il craignait, il s'exclama :

"Dites-moi que je rêve ! Tu es encore en train de fabriquer cet engin de malheur ?"

"Pitié, Rhodey ! J'ai besoin d'être soutenu !"

"Très bien, alors je vais te soutenir l'idée que tu es en train de commettre une énorme bêtise !"

"On ne peut vraiment pas compter sur toi, Rhodey !"

"Mais papa, ils ne veulent pas t'embêter ! Ils ont simplement peur que tu ais un accident ou que tu sois blessé !" 

"Je sais, ma puce ! Mais il faut bien que je tente quelque chose qu'on ne pensait être possible que dans les films ! C'est ainsi que les pionniers comme moi font avancer les choses !"

"Ouais, et c'est comme ça qu'ils ont des emmerdes !" ironisa Scott qui mangeait une orange.

"Si une seule goutte de jus d'orange tombe sur mon tapis, je t'expédie direct chez les Romains, dans le Colisée au milieu des gladiateurs ! Suis-je clair ?"

"Je ne suis pas sûr que ça soit une bonne idée..." murmura Vision.

"Tu peux le dire franchement : Stark n'est pas un génie tous les jours !" ricana Pietro.

"Il va se rendre compte de sa bêtise lorsque ce sera trop tard !" ajouta Wanda.

Ignorant superbement les remarques de ses collègues, Tony Stark ajouta la touche finale à son nouveau projet. Après avoir jeté un dernier coup d'œil, il se redressa et déclara fièrement :

"Mesdames et messieurs, je vous présente Temporex, la machine à voyager dans le temps uniquement conçue par les Industries Stark !"

"Le nom que tu lui as donné me fait penser à une marque de suppositoires !" déclara Wade, faisant hurler de rire Clint, Pietro et Sam... et mettant mal à l'aise les autres.

"Merci pour cette intervention tout à fait pertinente, Wilson ! Bon, où en étais-je ? Ah oui : je disais donc que cette machine, créée par moi-même, va nous permettre de voyager à travers le temps et l'espace et de résoudre les plus grands mystères de l'histoire de l'humanité... ou éventuellement aider de jeunes gens brillants à avoir des bonnes notes à l'école !"

"C'est gentil de vouloir m'aider, mais vous n'étiez pas obligé !" répondit Peter.

"Allons, Peter ! Ne dis pas de bêtises : il est normal qu'en tant que ta figure paternelle, je fasse tout ce qui est en mon pouvoir pour t'aider !"

"En créant la prochaine catastrophe mondiale ?"

"Silence, Marraine la bonne fée !"

En punition de cette insulte, l'ingénieur reçut un chausson dans la figure de la part de Levi qui n'était pas ravie qu'on insulte son propriétaire.

"Et comment fonctionne cette machine, papa ?"

"C'est tout simple, ma chérie : tu vois cet écran ? Il me permet de choisir la date et le lieu où je veux me rendre. Et le plus beau, c'est qu'il offre aux utilisateurs la possibilité de voyager incognito en adaptant leurs vêtements ! Avouez que c'est bien pensé !"

"J'ai l'horrible pressentiment que ça va mal finir !" répondit Pepper.

"Pepper, fais moi confiance s'il te plaît !" couina Tony.

Soudain, une petite lumière clignota et la machine commença à vrombir de manière particulièrement inquiétante pour les personnes présentes.

"Euh, Tony, c'est normal, ça ?" demanda Clint qui commença à reculer.

"Pas vraiment, non !" répondit l'ingénieur.

Mais avant qu'il ait pu faire quoique ce soit, une lumière aveuglante éblouit toute l'assemblée. Et lorsqu'elle s'estompa, tous constatèrent que Tony avait disparu.

"Très drôle, Tony ! Maintenant, sors de ta cachette !"

Pas de réponse. 

"Tony, cesse tes enfantillages !" ordonna Pepper qui commença à s'inquiéter.

Mais l'ingénieur ne se fit pas entendre, ce qui angoissa sérieusement les autres Avengers.

"Là, ça commence à être vraiment flippant !" marmonna Pietro.

"Mais qu'est-ce qui s'est passé ?"

"Je n'en sais rien !"

De plus en plus intriguée, Natasha se dirigea vers l'écran de contrôle et découvrit la vérité avec stupeur.

"On a un problème ! La machine a fonctionné et elle a envoyé Tony ailleurs !"

"QUOI ?" s'écrièrent ses camarades.

"Vite, il faut qu'on le sauve ! Loki, Wanda, je vais avoir besoin de votre aide !" déclara Strange qui se prépara à invoquer sa magie.

"Et où est-ce qu'elle a expédié Tony ? Chez les Romains, comme il m'a menacé de le faire ?" demanda Scott.

"Non... Elle l'a expédiée en 1890, en plein Londres victorien."


Pendant ce temps, à Londres, en 1890.

Lorsque la lumière s'en alla, Tony constata qu'il n'était plus à New York, au XXIe siècle et qu'il avait atterri en plein milieu de .Londres, au XIXe siècle. Par chance, Temporex l'avait habillé dans les canons de la mode victorienne, mais elle lui avait laissé ses gants cybernétiques, dissimulés sous l'apparence de gants noirs. 

"Au pire, ça pourra toujours m'être utile ! Mais comment ai-je pu atterrir ici ? Je ne me souviens pas d'avoir programmé cela dans l'écran de contrôle ! Bon, en attendant, comment je fais pour rentrer chez moi ?"

Une excellente question qui resta sans réponse pour le moment. En attendant de trouver une solution, il se promena dans les rues de la capitale britannique, laissant traîner son regard sur l'imposant décor que lui offrait les immeubles victoriens et les grandes armatures métalliques des ponts qui reliaient les berges de la Tamise.

Comme toute personne sensée, on se doit de regarder devant soi quand on se promène dans la rue pour être sûr de ne pas entrer en collision avec un lampadaire ou une autre personne. Or, quand on s'appelle Tony Stark, on a souvent la tête ailleurs et on ne regarde pas ce qui se passe. Résultat : il entra en collision avec une personne qui venait du coin de la rue. Le choc fut tel que les deux hommes se retrouvèrent les fesses sur le pavé : heureusement qu'un certain dieu fourbe, un sorcier, un archer et un mercenaire dingue n'étaient pas là pour admirer cette chute peu glorieuse, sinon qui sait ce qu'ils auraient pu lancer comme moqueries.

Se relevant, Tony tenta de faire amende honorable :

"Je suis désolé ! Je ne vous avais pas vu..."

"Oh, ça n'a pas d'importance..."

Au moment où leurs regards se croisèrent, les deux hommes eurent un choc puissant : ça ne pouvait pas être possible ! Ils se ressemblaient comme des jumeaux ! Toujours surpris, Tony bredouilla :

"Mais qu'est-ce que c'est que ce délire ?"

"C'est scientifiquement impossible !"

Tout à coup, un homme fit son arrivée près d'eux. Au vu de son ensemble impeccablement mis et de son apparence athlétique, Tony en conclut rapidement qu'il devait être un militaire.

"Holmes, tout va bien ?"

"Oui, oui, Watson, je vais bien ! Pas la peine de vous inquiéter pour si peu !"

L'ingénieur n'en crut pas ses oreilles : il venait de percuter Sherlock Holmes, le grand détective anglais ! Si Strange - qui était un fan de l'oeuvre d'Arthur Conan Doyle - venait à l'apprendre, il en deviendrait fou !

Levant la tête vers Stark, le dénommé Watson crut que sa mâchoire allait se décrocher : jamais de sa vie, il n'aurait imaginé rencontrer le sosie exact de Sherlock Holmes !

"Mais qu'est-ce que..."

"Economisez votre salive, Watson ! Moi aussi, j'ai constaté que cet étrange individu me ressemble !"

"Hé, vous savez ce qu'il vous dit, l'étrange individu ?" s'agaça Tony.

Se remettant debout, le détective scruta attentivement son vis à vis, cherchant tout ce qui pourrait lui en apprendre plus sur cet étrange clone venu de nulle part. De plus en plus énervé par le regard fixé sur lui, Stark perdit patience :

"Quoi ? J'ai un truc coincé entre les dents ?"

"Non, je vous rassure, vos dents sont impeccables. Je dirais même que vous en prenez grand soin, comme tout le reste de votre personne, ce qui me laisse à penser que vous aimez être remarqué par tout le monde !"

"Vraiment ? Faites-moi penser à vous présenter un certain docteur...."

"Mais cependant, on peut noter la présence de petites rides au coin de vos yeux et sur votre front. Ce sont des signes de fatigue... Vous seriez bien du genre à mener une vie de débauche !"

"Vu votre tête de déterré, vous n'avez aucune leçon à me donner !"

"Il n'a pas tort, Holmes !"

"Ai-je demandé votre avis, Watson ?"

"Si vous croyez que j'ai besoin de votre permission..."

"Bon, dites les amoureux, vous n'allez pas me faire profiter de votre scène de ménage ? Parce que ça devient gênant..."

Le duo du 221B Baker Street le foudroya du regard. Puis le détective reprit son analyse à chaud de Stark :

"A en juger par votre accent, vous n'êtes pas anglais... Américain ?"

"Bien joué ! Je viens de New York !"

"Intéressant, un New Yorkais en vadrouille ! Et vu la qualité de votre accoutrement, vous devez plutôt bien gagner votre vie !"

"En effet, je suis ingénieur !"

"Pourtant, vous êtes plutôt irréprochable !"

"Ce n'est pas ce que dit mon épouse !" ricana Tony.

"Je ne veux pas savoir..." grommela le médecin.

"Peu importe ! Que faites-vous donc à Londres, monsieur..."

"Anthony Stark. Et je suis ici pour... des vacances ! Je voulais découvrir par moi-même la capitale de l'Empire Britannique !"

"Charmant programme !"

"Et vous ? Vu la vitesse à laquelle vous m'avez percuté, vous deviez être pressé ! Qu'est-ce qui peut bien mettre le grand Sherlock Holmes et son acolyte le Docteur John Watson dans tous leurs états ?"

Au moment où Holmes s'apprêtait à lui répondre, Watson lui fit un signe négatif de la tête.

"Je ne suis pas sûr que ce soit prudent de lui dire..."

"Oh, allons, Watson ! Puisque ce monsieur Stark me ressemble, il doit sans doute être aussi intègre que moi !"

"Je vous trouve très optimiste..."

"Et vous, sinistre, comme à votre habitude ! Pour répondre à votre question, Sir Stark, le docteur Watson et moi-même étions en train de résoudre une affaire !"

Cette révélation piqua immédiatement l'intérêt de Tony.

"Dites moi en plus !"

"Et bien, nous étions en train d'enquêter sur les meurtres de plusieurs ouvriers issus des usines métallurgiques de la partie Est de la Tamise. Et au bout de quelques jours d'enquête - je vous passe les détails - nous avons découvert que ces ouvriers avaient travaillé sur un nouveau modèle d'arme qui pourrait éliminer des personnes ciblées rien qu'en envoyant une onde qui provoquerait des accès de folie et pousser les victimes au suicide !"

"Wouah ! Mais ça a l'air fou !" s'écria l'inventeur.

"Comme vous dites ! Et bien entendu, le commanditaire de cette sinistre invention s'est arrangé pour éliminer des témoins trop gênants. Mais il n'a pas été assez attentif aux petits détails. Or, les petits détails étant ma spécialité, j'ai pu remonter sa trace... Enfin, nous avons remonté sa trace et avons découvert que le responsable n'était autre que Lord Hamilton, le ministre de l'Industrie, qui veut éliminer ses plus virulents opposants !"

"Il y a des façons un peu moins morbides de se débarrasser des gens qu'on déteste !" soupira Tony en repensant à Loki... Non, ce n'était pas un bon exemple !

"Nous étions en train de suivre à la trace un des hommes de main de Hamilton quand Holmes vous a percuté !"

"Et c'est de ma faute, peut-être ?"

"En partie, puisqu'on a perdu leur trace !"

"Vous ne manquez pas de souffle, le toubib !"

"BREF ! Et si nous reprenions notre poursuite, Watson ? J'ai ma petite idée de l'endroit où il s'est rendu !"

"Je vous accompagne ! Au pire, ça pimentera mes vacances !"

"Pourquoi pas ? Allons-y tout de suite ! En route, Watson !"

"Quoi ? Mais... Oh, et puis merde !" lâcha le médecin qui suivit le détective et l'ingénieur.

Les trois hommes parcoururent les rues londoniennes jusque dans les bas-fonds de WhiteChapel où Holmes, Stark et Watson virent l'individu que les enquêteurs suivaient disparaître dans les sous-sols du quartier.

Essayant de rester discrets, ils se faufilèrent dans le dédale qu'étaient les souterrains de Londres avant de tomber sur une réunion de sinistres individus. Cachés derrière le mur, Watson essaya de préparer une stratégie :

"Bon, il nous faut un plan d'attaque..."

"J'ai un plan... On attaque !" répondit Holmes qui se lança à l'assaut.

"Hé ! Mais c'est ma phrase !" s'indigna Tony.

Mais devant le courage des deux enquêteurs de Baker Street, il eut d'autres préoccupations. Là, il avait la désagréable impression de ne pas être utile à ses deux nouvelles connaissances : il n'était pas armé et n'avait aucune idée de comment aborder ce combat : ils n'étaient que trois face à une dizaine de sales types.

Soudain, il vit un homme arriver derrière le Docteur Watson, armé d'un poignard. N'écoutant que son courage, Tony se précipita à son secours :

"Watson, attention !"

Et à sa grande surprise, son gant métallique se mit en route et propulsa un rayon aveuglant qui expédia l'agresseur à l'autre bout de la pièce. Ce geste surprit Holmes et Watson, ainsi que Tony qui avait complètement oublié qu'il avait toujours ses gants métalliques sur lui et qu'ils avaient juste changé d'apparence. Mais pas le temps de s'attarder sur le sujet : il faut mettre les méchants au tapis !

Ce qui fut chose faite quelques minutes plus tard. Une fois leurs ennemis au sol et l'ignoble machine mise hors d'état de nuire, Sherlock se tourna vers Stark et demanda :

"Quel est donc cette étrange invention ?"

"Euh... C'est un prototype d'une arme de défense personnelle ! Elle marche à l'électricité et permet de neutraliser un ennemi grâce à une décharge de plusieurs volts ! Bien sûr, ça n'est pas fait pour tuer !" expliqua Tony en essayant de ne pas faire d'anachronismes.

"Et comment cette arme se charge ?"

"Voyez cette petite batterie ? Je la fais charger grâce à une manivelle et au bout de quelques minutes, elle est à bloc !"

"Vous vous rendez compte, Watson ? Cet appareil va révolutionner les armes !"

"C'est mon cerveau qui est en train de faire une révolution !" grommela le médecin qui se massa les tempes en entendant les deux hommes discuter avec passion de leur attrait commun pour la science.

Quelques instants plus tard, l'inspecteur Lestrade et plusieurs agents de police arrivèrent pour arrêter les criminels sous l'œil satisfait des trois hommes qui rejoignirent le 221B Baker Street - sous le regard stupéfait de Mrs Hudson qui se demandait si Mister Holmes n'avait pas de frère jumeau.

Tandis que Watson recevait ses patients dans son cabinet, Tony et Sherlock continuaient à parler de science et d'invention, allant même jusqu'à faire des expériences ensemble, au grand dam des autres locataires. Ils s'en donnaient à coeur joie quand Watson entra :

"Excusez-moi, Monsieur Stark, mais il y a quatre personnes qui disent vous rechercher !"

"Qui sont ?"

Au même instant, arrivèrent Wanda, Stephen, Loki et Peter, habillés comme à l'époque. Wanda se précipita la première dans les bras de Tony.

"Oncle Anthony, quelle joie de vous voir sain et sauf ! Vous n'imaginez pas notre inquiétude quand on ne vous a pas retrouvé à l'hôtel !"

"°°Redoutable comédienne !°°" s'amusa Tony avant de jouer le jeu.

"Excusez-moi, mais ces personnes sont-elles de votre famille ?" demanda Holmes.

Mais Wanda fut rapide à répondre.

"Oh, je vous prie de m'excuser. Permettez que je fasse les présentations : je suis Wanda Maximoff, la nièce de Monsieur Stark. Voici mon cousin, Peter, le fils d'Anthony ; mon père, le Docteur Stephen Maximoff et mon fiancé, Sire Loki Laufeyson !"

"Ah, vous êtes en vacances en famille ?"

"Et oui, et je me suis complètement perdu !"

"Vous n'êtes pas sérieux, cher beau-frère ! Et dire que nous avons bien failli prendre le bateau demain sans vous ! Une chance qu'on vous a retrouvé !" fit remarquer Stephen, amusé.

"Ce n'est pas grave. L'essentiel est qu'on vous a retrouvé, cher papa !" répondit Peter.

"Et bien dans ce cas, je crois qu'on peut prendre congé ! Mais avant, Mister Holmes, j'aimerais vous préciser que le Dr Maximoff est un grand admirateur de votre travail !"

"J'en suis flatté !" répondit Holmes qui serra la main d'un Stephen complètement surpris et honoré.

"Bien, maintenant, je crois que nous pouvons retourner à l'hôtel ! Merci encore d'avoir accueilli Mister Stark chez vous !" déclara Loki.

Raccompagnant ses invités vers la sortie, le duo du 221B Baker Street salua les cinq personnes. Mais juste avant de partir, Sherlock Holmes serra la main de Stark :

"C'était un véritable honneur et un plaisir de vous rencontrer, Monsieur Stark !"

"L'honneur était pour moi, Monsieur Holmes ! Je vous souhaite de réussir dans vos prochaines enquêtes !"

"Peu importe vos projets, Monsieur Stark, je vous souhaite qu'ils vous apportent le succès !"

Sur ces paroles amicales, les cinq héros s'en allèrent dans la rue... jusqu'à un coin sombre où Stephen fit apparaître un portail qui les ramena dans leur époque, au grand soulagement des autres héros.

"J'espère que cette fois, tu retiendras la leçon !" lui déclara Pepper.

Tony se contenta d'hausser les épaules avec un sourire en coin : d'accord, son invention n'a pas marché comme il voulait, mais au moins, il a fait une rencontre hors du commun !



Merci d'avoir lu ce one-shot, j'espère qu'il vous aura plu !

N'hésitez pas à me passer commande : c'est toujours un plaisir de découvrir vos idées et de les réaliser !

Bisous à tous et à la prochaine ! 😘

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