37. Epilogue
Les hôpitaux étaient débordés, ce n'était pas tous les jours que plusieurs centaines de personnes revenaient à la vie. Ils vérifiaient tout le monde, et même les autres, plus personne ne semblait malade.
C'est ce qui permit à Couria d'échapper aux questions sur son miraculeux réveil à son plein potentiel. Elle devait simplement être la première à revivre. C'est ce qu'on conclue les médecins dépassés par la situation.
Les patrons de l'entreprise de parfum furent ravis de la tournure des événements, ils retrouvèrent tous leurs employés.
Pour éviter tout problème leur laboratoire fut délocalisé dans la diagonale du vide, dans la partie est de la France.
Les deux amoureux s'installèrent ensemble dans une vaste maison avec leurs mères.
Isabelle et Valérie étaient heureuses de revoir leurs enfants, c'était même un bonheur immense. Elles étaient encore plus heureuse de voir qu'ils avaient enfin accepter leurs sentiments.
Cela faisait un mois désormais qu'ils y vivaient.
Ils venaient d'ailleurs de lancer leur dernier parfum qui rencontrer un franc succès. C'était celui de Zoé, que Couria avait aidé à terminer. Les deux femmes adoraient travailler ensemble. Et quand on les regardait faire, on avait l'impression qu'elles dansaient.
Le soleil était au rendez vous. Billy se prélasser dans le jacuzzi nouvellement acheté, tandis que Couria lisait sur un transat.
Ils étaient seuls, leurs mères étaient aller chercher de quoi manger ce soir. Il faut dire que depuis quelques temps Couria à un appétit d'ogre.
Billy sorti de l'eau, Couria ne put s'empêcher de se rincer l'oeil, sur son corps.
- On profite de la vue ? Lui lança-t-il
- Si tu ne veux pas, je comprends...
Elle prit une voix moqueuse en détournant les yeux.
Mais il en décida autrement.
Il s'allongea sur elle. Il l'aimait tant que même dans le jacuzzi il avait l'impression qu'elle n'était pas là...
Personne n'a jamais su que c'était Couria qui avait fait revenir les morts, mais Billy l'en a toujours remerciée.
- Et si on allait concevoir cet fillette que tu as vu là-bas ?
Il embrassait le cou de sa bien aimée. Il voulait qu'elle cède à son caprice. Il avait besoin et envie d'elle.
Couria était très réceptive à ces arguments, mais elle rit doucement à son oreille, en comprenant ses pensées, avant de lui murmurer.
- C'est déjà fait ça mon amour.
Fin
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