Eleonore
Traversant le hall pour y rejoindre le salon, il pouvait constater que l'intérieur était mieux entretenu que l'extérieur des meubles anciens était disposés à chaque coin de la maison des fleurs ornées les pièces ce qui donné un parfum agréable, arpentant chaque pièce Zahir ne perdait pas à l'esprit sa venu ici.
- voici le salon votre altesse annonça Catherine. Il entra dans la pièce suivi de Jamal, ne prenant la peine de regarder autour de lui, il se concentrait sur la femme debout au centre.
- Et je vous présente Eléonore reprit-elle. L'obervant de la tête au pied Zahir la détaillait les sourcils fronces, environ un mètre soixante-dix son corps était bien élancé les cheveux blond claire détaché lui arrivé aux épaules, les yeux marron, elle le regardait avec le même regard que sa mère "telle mère tel fille" pensa-t-il. Avançant vers elle, il lui tourna autour mains dans les poches sans un mot. Elle était belle, il devait l'admettre, mais sa beauté n'était que superficiel comme toutes les autres femmes qu'il avait côtoyé jusque-là, mais il lui fallait une épouse. S'arrêtant devant elle, il la dépassait de plusieurs têtes, il la regardait dans les yeux puis lui prit la main pour la saluer.
- mademoiselle dit-il d'une voix calme
- votre altesse, c'est un plaisir de vous rencontrer. Minauda Eléonore
- le plaisir est partagé Eleonor. Répondit Zahir d'une voix neutre
- je vous en prie asseyez-vous votre altesse. Intervient Catherine. Prennent place sur l'un des fauteuils Eléonore prit place en face de lui pour lui lancer des regards aguichants, ne la quittant pas du regard,Zahir demanda à Jamal de prendre place à son tour.
- voulez-vous un café ? Demanda Catherine avec une voix suave.
- volontiers, Jamal ?
- avec plaisir madame. Prenant également sa place sur le canapé à côté de sa fille, elle lança.
- Maja ne devrait plus tarder à arriver.
- combien de personne avez vous à votre service ? demanda Zahir.
- trois répondit aussitôt Eléonore un peu trop vite pour sa mère
- deux ! S' écrira sa mère
- mais ...
- ont en avaient trois jusque-là, mais Tom est partit il y a peu coupa Catherine. Sa fille lui lança un regard étonné et il comprit que sa mère tentait de rattraper une erreur commise par cette dernière.
- nous avons Maja et Léon comme domestique, mais Léon s'occupe plus de l'extérieur. Reprit-elle. Zahir perdait patience les points serrés, il lança.
- que les choses soit clair mesdames, je suis venu ici dans le but de vous poser une série de questions pour savoir si votre fille et digne de porter la couronne d'alcantar et diriger tout un peuple, pas pour entendre des mensonges alors à partir de maintenant j'espère que vous allez faire preuve de bon sens et de me répondre honnêtement. Siffla-t-il.
L'une comme l'autre, elles devinrent rouges et s'affaissèrent dans le canapé.Après quelque seconde de silence, la mère répondit d'une voix tremblante
- bien-sûr, votre majesté jamais ne nous permettrons de vous mentir. Réussit-elle à articuler. Lissant son tailler d'un revers de la main, elle le regardait la tête relevé. Zahir inclina la tête puis reprit d'une voix dure et ferme.
- bien, je suppose que vous avez conscience de l'importance et les engagements de ce mariage mademoiselle ? Il s'adressa à Eléonore la fixant froidement, il attendait sa réponse. Elle passait sa main nerveusement dans ses cheveux.
- oui, votre majesté, je suis tout à fait consciente de ce qui m'attend et je serais heureuse d'être à vos côtés pour assurer tout le bien-être de votre peuple.
Il voyait son visage afficher un grand sourire de victoire, mais ce n'était pas suffisant pour lui les bien-être de son peuple étaient importants, mais son bien-être aussi, sa réputation et sa famille.
Dans son pays la famille était sacré et il espérait avoir aussi la sienne le plus vite possible, son envie d'avoir des enfants était de plus en plus présent dans son esprit , la ligné des falkir devait se prolonger certes, mais il désirait des enfants depuis son plus jeune âge se promettant de leurs donner une vie des plus comblée et il était donc exclu que sa femme ne sache pas assumer son rôle d'épouse, de mère et de reine.
- je suppose que vous n'êtes plus vierge.
La question était sorti comme un couperet. La jeune femme déstabilisée regardait sa mère puis Zahir.
- et bien, j'attends s'impatienta ce dernier.
- euh et bien, j'ai eu quelque aventure, mais...Balbutia-t-elle
- quelque aventure ? Répéta Zahir en croisant les jambes.
- oui, mais rien de sérieux votre altesse.Sa voix était que l'ombre d'elle-même. Bien-sûr qu'elle était plus vierge à quoi s'attendait-il, normalement, elle devait se donner à lui comme la tradition l'exiger, mais il devrait faire avec furieux, il reprit
- et avec moi ce sera sérieux ou bien vous avez l'intention de me fausser compagnie ?
- non votre majesté, je vous serais fidèle et...
- j'espère bien parce que si c'était le cas, je ruinerais votre existence d'un claquement de doigt. Dit-il d'un ton menaçant.
N'osant dire un seul mot, la mère et la fille avalaient tant bien que mal les paroles du Prince, le silence s'installa dans la pièce seul la trotteuse de l'horloge s'entendait, Jamal croisa les mains sur ces genoux et lança un regard vers le Prince puis vers les hôtes qui ne cessée de s'enfoncer dans le canapé.
- compris insista le prince. Un léger oui se fit entendre dans la pièce.
-une fois dans mon pays vous serez officiellement présenté comme ma fiancée, vous devrez m'obéir respecter ma famille et conquérir le peuple pour mériter votre titre.Se levant d'un mouvement gracieux, il rajusta sa veste noire en dirigeant vers l'une des fenêtres puis continua.
-Je veux un héritier rapidement donc étant donné que vous n'êtes plus vierge, nous n'attendrons pas le mariage pour ça , pour le reste, nous en parlerons à Alcantar, Avez-vous des questions ? Il se retourna pour lui faire face.
- non votre majesté répondit-elle tandis que sa mère souriait à sa fille.Regardant sa montre Zahir s'avança vers elles et Jamal puis repris place sur le fauteuil.
- nous partons demain matin lança-t-il. Les yeux écarquillés, Eléonore s'écria si tôt !
- cela vous pose-t-il un problème dit-il le regard noir.
- non, il faut que nous nous organisions tout simplement s'exclama Catherine avec enthousiasme.
- votre personnels vient aussi à Alcantar. Précisa Zahir. D'un mouvement qui n'avait rien d'élégant, elle se leva d'un bon, surpris Zahir se leva à son tour la dominant de sa hauteur, Jamal pris de stupeur par la tournure que prener la situation mit une main sur l'épaule de Zahir pour que se dernier garde son calme.
- pourquoi ? demanda-t-elle
- parce que ces personnes sont à votre service depuis longtemps, il est hors de question qu'il perde leurs travaille à cause de moi, je leur offrirais un emplois dans le palais qui leurs conviendra parfaitement ainsi ils seront à vos côtés cela ne vous satisfait pas madame rétorqua-t-il d'une voix dure
- cette proposition et très aimable à vous votre majesté, mais je doute qu'il l'accepte. Riposta Catherine
- je ne leurs donne pas le choix ! À moins qu'il n'existe pas, car à en juger le temps que ce café prend pour arriver, je doute qu'il y ai d'autre personnes ici s'écria-t-il les poings serrés. Zahir en avait assez entendu sa patience avait des limites et cette femme les dépassés, pour qui se prenait-elle pour contredire ses ordres. Serrant la mâchoire, il se retenait pour ne pas la gifler pour avoir osé lui manquer de respect. Rouge de la tête au pied Catherine baissa le regard ne sachant quoi répondre, ne la quittant pas des yeux il pouvait apercevoir sa fille se lever terrorisée. S'avancent vers lui, elle mit sa main sur son torse.
- calmer-vous votre altesse excusé ma mère pour cette attitude elle et surprise tout simplement. Dit-elle d'une voix suave.
- oui veuillez m'excuser votre grâce, je ne savais pas que vous vous montreriez aussi généreux avec eux. Grommela-t-elle.
Il lui prit la main puis la retira d'un geste furieux, il se retourna et se mit à marcher de long en large à travers la pièce en tentant en vain de se calmer de cet affront.
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