Une fois sorti de la voiture bras dessus bras dessous avec eleonor, zahir salua son peuple les gens se précipiter sur lui pour le toucher avant que zahir leur ordonne de s'éloigner, tous observée la femme qui était accrocher à son bras, il jeta un coup d'œil à la jeune femme qui semblait  apprécier cette foule et jouée à la princesse, la mère n'était pas mieux mais autre chose attira son attention tout avançant il ne voyait ni belle ni madja les suivre , il stoppa nette son avancé et rebroussa chemin jusqu'à la voiture sans doute trop timides elles n'osaient pas sortir pensa-t-il

En ouvrant la portière Zahir ne s'attendait pas à la trouver vide d'un mouvement de panique, il regardait partout autour de lui puis se tourna vers Jamal.

- où sont-elles ?

Jamal se précipita vers la voiture pour constater à son tour qu'elle était vide.

Elles étaient parties seules au milieu de nul part sans savoir où se diriger le sang de Zahir ne fit qu'un tour.

- retrouver les hurla Zahir à ses gardes Jamal ramène les immédiatement en parlant de la mère et de sa fille.

La foule s'écarter au passage du futur roi, Zahir cherchait partout sans savoir où chercher exactement. Bon sang ! Mais qu'est-ce qui leurs avaient pris voulaient-elles s'enfuir ? Impossible elles ne seraient jamais parties sans Léon. Belle était tellement fragile que l'idée qu'elle soit perdu le rendait fou de rage.

- monsieur avez vous vu une jeune femme au cheveux très très long brune les yeux bleus turquoise avec une femme âgée d'une quarantaine d'années demanda Zahir à un passant

- non votre majesté, je suis désolé l'homme s'inclina

Zahir repartit vers le marché en répétant cette phrase à plusieurs personnes au bout de trente minutes Zahir repartit vers ses gardes.

- vous n'avez rien ?

- non aucune trace votre majesté ont a chercher partout.

Ce n'est pas vrai souffla-t-il

- il va falloir lancer un avis de recherche et continué de chercher appeler Jamal ordonna-t-il

Il n'aurait jamais dû la laisser jamais se répétait Zahir.

- elles sont au palais votre majesté s' écria un garde

Soulagé, il mit quelques secondes à assimiler.

- mademoiselle belle est blessée quelqu'un les a raccompagnés reprit le garde

- comment ça blessée ? Sans avoir écouté la suite Zahir pris l'une des voitures et fonça jusqu'au palais.

- Ne bougez pas mademoiselle, je vais trouver ce qu'il faut pour soigner ça dit Salomé qui était partie vers la porte, Maja caresser les cheveux de la jeune femme, tandis qu'elle tendait sa jambe blessé.

- je n'ai vraiment pas de chance soupira la jeune femme désespérée.

En effet Jamal était revenue précipitamment avec Catherine et Eleonor et Zahir était restait là bas pour les chercher, c'était la catastrophe.

Jamal entra dans sa chambre.

- sa majesté et prévenue il est en chemin declara Jamal à bout de souffle.

- je suppose qu'il est en colère.

- je ne l'ai pas eu directement au téléphone, mais je pense que c'est probable avoua l'homme.

Belle baissa la tête prête à fondre en sanglot.

- ce n'est pas de sa faute, vous savez, elle voulait faire bien, elle pensait que s'éloigner serait une bonne chose intervient Maja

- je sais répondit Jamal comme si il le savait déjà

Salomé rentra dans la chambre avec des bandages et tous les soins nécessaire, une voiture se mit gronder dehors depuis la chambre de belle, on pouvait entendre les pneus couiner au freinage, c'était lui. Malgré l'immense palais qui lui appartenait Zahir ne mis pas longtemps à rejoindre sa chambre. Une fois à l'intérieur belle n'osait pas le regarder.

- veuillez nous laisser s'il vous plaît ordonna Zahir

Sans attendre les trois prirent le chemin de la sortie sans un mot, Zahir ferma la porte toujours le regard baisser belle attendait à ce que la foudre s'abatte sur elle.

- je peux savoir ce qu'il vous a pris de vous enfuir comme ça s'emporta Zahir

- je ne me suis pas enfuit, j'étais avec Maja est...

-alors pourquoi êtes-vous parti ? Vous vous rendez compte de ce qui aurait put vous arriver seule.

- j'ai pensé qu'il était préférable de rester à l'écart pendant que...

- assez, j'en ai suffisamment entendu coupa-t-il en colère

Belle baissa la tête son corps tremblé de peur, son genou lui faisait terriblement mal au bord des larmes elle tentait de se retenir pour ne pas pleurer.

Zahir arpentait la pièce à grande enjambé, il était terriblement en colère, comment avait elle pue croire un seul instant une telle chose, tout ce qu'il espérait aujourd'hui c'était pouvoir, lui faire découvrir sa culture et tout avait échoué, son plan était pourtant parfaitement mis en place dans sa tête marcher quelque mètres avec Eleonor pendu à son bras et ensuite, il se serait éclipsé avec belle, et avait demandait à Jamal de s'occuper de Maja et de garder un œil sur Catherine et sa fille. Furieux Zahir reporta son regard vers la jeune femme puis la colère s'effaça en quelque second.

La tête baissée comme un enfant, ses cheveux sur le côté descendaient en cascade près à toucher le sol puis il porta son attention sur sa jambe tendue le sang sur sa plaie coulé encore légèrement, il s'avança et prit la trousse de secours et les bandages, s'agenouillant au sol Zahir pris sa jambe belle recula légèrement sur la défensive.

- laissez moi regarder

Il prit sa jambe pour observer la plaie de plus prêt glissant ses deux mains sur sa jambe Zahir profita de se moment pour sentir sa peau si douce.

- vous êtes tombée comment demanda-t-il

- je... Quelqu'un m'a bousculée très fort

- vous avez vu qui était cette personne ?

- non qu'elle importance 

- cela en a pour moi belle quand on bouscule une personne la moindre des choses, c'est de s'excuser et de vérifier qu'elle n'a rien.

- oh répondit-elle comme si elle réfléchissait

Seigneur cette femme allait le rendre dingue Jura-t-il

Compresse en main Zahir la posa délicatement sur la plaie ,elle grimaça légèrement.

-dite-moi si je vous fais mal d'accord

- j'ai vu pire vous savais murmura-t-elle

- à bon demanda-t-il curieux d'en savoir plus

Mal à l'aise la jeune femme cherchait ses mots comme-ci elle regretter ce qu'elle venait de dire

- enfin, je veux dire vous savez quand on tombe enfant, on se fait mal, je suis déjà tombée et j'ai eu exactement la même chose balbutia-t-elle .Aucunement convaincu, Zahir l'observer avec insistance mal à l'aise, elle regardait son genou ses yeux magnifiques chercher à chaque fois un moyen de lui échapper.

Une fois le bandage terminé, il lui demanda de se lever.la jeune femme boitée légèrement.

- il est préférable que vous vous allongiez pour le moment déclara-t-il

- oui, vous avez raison. Elle prit la direction de son lit

Zahir l'aida à marcher en prenant son bras une fois allongé, il positionna sa jambe à l'aide d'un coussin.

- je vais appeler le médecin pour qu' il vous examine

- non ce n'est pas nécessaire, je vous assure, je vais bien assura-t-elle

- est moi, je préfère qu'il vienne vous examiner déclara-t-il d'un ton sans appeler

Sans lui laisser le temps de répliquer il sorti son téléphone, le médecin mis une demi-heur à arriver après avoir examiné belle sur toutes les coutures sous l'ordre de Zahir. Il attendait le verdict du médecin.

- sa jambe va bien par contre je lui ai prescrit une pommade pour ses cicatrices qu'elle a dans le dos, après quelques applications, elles partiront facilement déclara le médecin

- des cicatrices qu'elle cicatrices demanda Zahir un peu trop fort

- oui, elle m'a dit qu'elle était tombée dans des ronces il y a peu.

- des égratignures de ronce, sa part au bout d'un moment n'est-ce pas ? Demanda-t-il

Le médecin acquiesça mal à l'aise

- mais elle m'a dit qu'elle s'était soignée, mais que ça n'était jamais parti ajouta le médecin pour que le prince ne s' inquiète pas

- c'est impossible souffla-t-il

- je vous remercie monsieur d'être passé dit- il en lui serrant la main.

- de rien, votre altesse.

Après que le médecin fut parti Zahir rentra dans la suite de belle en colère, la jeune femme assise sur le lit tourna la tête vers lui un léger sourire aux lèvres, mais il disparut rapidement quand elle vit le regarde sombre de celui-ci,

- faite moi voir votre dos ordonna-t-il

- quoi non répondu belle paniquée

Sans lui laisser le choix, il s'approcha d'elle et lui enleva la fermeture de sa robe

- arretez qu'est-ce que vous faites ! Elle tenta de remonter sa robe, mais Zahir lui attrapa le bras.

Une fois la fermeture ouverte Zahir constatait les cicatrices qui longer son dos en plusieurs coupures,

-ce n'est pas des ronces qui vous a fait ça siffla-t-il la mâchoire serrer

Cachant sa poitrine la jeune femme se tourna vers lui

- si je l'ai dit au médecin et....

- non, vous mentez coupa ce dernier si vous étiez tombée dans des ronces, vous auriez des cicatrices sur les bras les jambes, s'emporta Zahir ceci ne ressemble en rien à des blessures causé par des ronces.

- Je vous dis que si rétorqua belle le regard dans le vide

Prenant son visage en coupe avec ses mains, il plongea son regard dans le siens, il pouvait sentir son souffle parcourir son visage,

- vous mentez belle et si vous ne me dites pas la vérité toute suite, je la découvrirai tôt ou tard exigea-t-il

- je ... Je vous dis que je suis tombée arrêtez s'il vous plaît implora-t-elle

-très bien, je trouverai mes réponses tout seul déclara zahir en s'éloignant