Chapitre1:
Tout histoire, tout conte et toute vie à un début, et voici la mienne.
Au début je n'étais qu'une jeune adolescente craintive, timide et peureuse, je l'étais du moins avant ce jour funeste ou pas.
C'était le jour de la mort de mon père, le 18 mai 2015. Je me souviens encore de cette journée, je me souviens de la façon dont ma mère me l'a annoncé. Si froidement, sans la moindre émotion. Et je savais pourquoi.
Mes parents avaient divorcé depuis mes 6 ans. Et aucun d'eux n'avais voulu me garder, pourquoi? Je ne l'ai jamais su. Seul ma grand mère avait voulu de moi. Elle m'a élevé pendant 10 longues années, m'a éduquer et m'a donné tout l'amour qu'une mère donnerai à son enfant. Je ne voyais ma mère qu'occasionnellement et jamais mon père.
Mon père était aller faire une nouvelle vie avec une autre femme. Il a donc couper les ponts avec son ancienne famille et sa fille y compris.
Ma mère aussi c'était refait une vie, elle était mariée avec un plombier, puis un policier et actuellement elle est mariée à un boulanger. Aucun de ses mariages ne durait assez longtemps.
Le jour où ma mère m'annonçait le décès de mon père, était un lundi. C'était un jour de pluie, je rentrais de l'école un parapluie à la main. J'ouvris la clôture et rentrais dans le jardin. Rubis me sautait dessus, ses pattes couvertes de boues donnèrent une autre teinte à mes vêtements . Rubis était notre chien, il était le petit de la chienne de ma grand mère, Safir. Il était brun le museau blanc et les yeux noirs. Il avait deux ans et pourtant paraissait avoir quelques mois .
Après mettre relever, je me dirigeais vers la porte d'entrée Rubis, suivis de Rubis. J'ouvris la porte et entrais dans le couloir. Je rangeait mon manteau sur la porte manteau enlevait mes chaussures essuyaient mes pieds mouillés. Ensuite, je me rendait dans le salon afin de saluer ma grand mère. J'ouvris la porte et criais je:
Moi: Salut mami! Je suis...
Je n'eut pas le temps de finir ma phrase que j'aperçu ma mère. J'étais choquer et contente de la voir. Cela faisait 3 ans que je ne l'ai pas vu, je voulais lui sauter au cou, mais... ma joie pris fin quand je vis qu'elle n'était pas venu seul.
Elle était venu avec Anne. Sa fille. Elle l'a eu avec son deuxième mari et elle a insisté afin d'avoir la garde de celle ci. L'amour qu'elle ne ma jamais donner, elle la donner à une autre, une autre que moi. Car moi elle m'a abandonner, elle m'a laisser comme un moin que rien et... à aucun moment de sa vie elle ne s'est retourneée, elle n'a voulu faire marche arrière, elle n'a voulu me récupérer, elle n'a jamais voulu de moi. A cette seule pensé mes yeux, bleu, se rempli de larme, mais yeux qui étaient les mêmes que les siens.
Ma mère me regarda, elle me fixait et ensuite elle baissa son regard, se regard rempli de dégoût qu'elle me lança. En voyant son regard, la tristesse que j'éprouvais s'en alla et donna sa place à la colère. La haine fit place dans mon coeur, la haine que j'éprouvais à son égard, la haine que j'éprouvais à l'égard de mon père...
Je regardais une dernière fois ma mère et me tournait ensuite vers ma grand mère en lui disant:
Moi: Que fait elle ici? La haine s'empara de chaque mot et se fit sentir dans le ton de ma voix.
Mami: Voyons ma chérie, ce n'est pas des manières de parl...
Moi: Que fait elle ici? Repetait je en l'interrompant.
Ma mère: Je suis venu pour...
Moi: Tu es venue pour abandonner ton deuxième enfant, n'est ce pas?
Ma mère: Je ne...
Moi: Ah! Oui où avais je la tête, pourquoi abandonnerait tu le seule enfant que tu es aimé?
Ma mère: Je...
Moi: La seule que tu aime, la seule qui ne te dégoûte pas, la seule dont tu n'a jamais eu honte.
Ma mère: Tu te trompe...
Moi: Je me trompe? Je me trompe? Où me suis je tromper en dehors du faite que tu ne l'abandonnera pas.
Ma mère: Escuse moi...
Moi: Pourquoi demande tu pardon? Tu n'a jamais rien fait de mal, puisque je ne suis pas si importante pour toi qu'elle ne l'est elle.
La Fille: Lily ne parle pas à notre mère ainsi...
Moi: Anne, notre mère, notre? Non c'est la tienne ce n'es pas la mienne, elle n'a jamais pris son rôle de mère avec moi. Quand elle a eu l'occasion elle ma amener a la campagne pour m'y laisser, et la dernière fois qu'elle est venu me voir ces il y a 3 ans.
Mamie: Ma chérie...
Moi: Mamie dit moi pourquoi elle est venue ici, pour qu'elle puisse vite s'en aller.
Ma mère: C'est ton père.
Moi: Quest ce qu'il veut? Il veut me tuer afin d'avoir l'âme tranquille?
Ma mère: Non, il vient de mourrir et...
Moi: Et quoi? Il espère que j'aille à son enterrement, ça jamais plutôt mourrir.
A ces mots je sortis de la pièce, pris mon parapluie, mon manteau enfilais mes chaussures et sortis sous l'orage.
J'entendais les cris de Mamie, de Anne et de ma mère. En aucune seconde je me suis retournée. Suivis de Rubis, je commençais à courir, loin de cette maison, loin de cette vie, loin de cette mère.
La pluie battait de tout son fort, l'orage grognait, les oiseaux allèrent se réfugiés. Le sol mouillé devenait de la boue à chacun de mes pas. Le soleil était cacher par les nuages qui pleurais tout comme mon coeur.
Après quelques minutes de course, j'arrivais à côté d'une forêt. Cette forêt était interdite d'accès et pourtant j'y suis allée. Rubis ne voulu pas me suivre, il avait un mauvais pressentiment, il aboyait pour me faire signe de sortir, mais je ne fit pas attention.
Les arbres de la forêt était si haut qu'ils empêchaient la pluis d'y rentrer. Je ne voyais ni trace d'animaux et encore moins d'hommes. J'en levais mon manteau et jeta mon parapluie. Je m'assit sur une souche d'arbre et commençais à pleurer, pleurer toute les larmes que j'ai toujours retenu, pleurer la haine que j'ai toujours ressenti.
Je pleurais de toute mon âme, quand... une main me toucha l'épaule. Je me levait en sursaut et vis une femme à la beauté indescriptible. Elle avait une robe noir qui epousait parfaitement ses formes. Ses cheveux d'un noir de jais lui descendait jusqu'au fesses. Elle avait des ailes qui ressemblait à celle d'une chauve souris, noir.
Elle me regarda et ensuite elle me dit:
Elle: Pourquoi t'enfuis tu? Je n'es nul intention de te manger. Elle ricana
Moi: ...
Elle: As tu peur?
Moi: Que voulez vous? Dis je d'une voix tremblante.
Elle: Ce que je veux? Eh bien!
Elle se volatilisa comme par enchantement. Je la cherchais du regard, jusqu'au moment où j'entendis sa voix par derrière.
Elle: C'est toi que je veux.
Je me retounais brusquement et la fit face, son regard était aussi sombre que ses ailes.
Moi: Pourquoi?
Elle: J'ai besoin d'une remplaçante et tu es parfaite. Tu es belle, téméraire et plein de haine.
Ma peur se remplaça en surprise, la remplacer en quoi, et pourquoi ?
Moi: En quoi devrais je vous remplacer?
Elle: Je suis la reine de la mort. Et je me fais vieille, j'aurais donc besoin d'une remplaçante.
Comment ça elle se fait vieille. Elle est si belle, si jeune et elle dit qu'elle se fait vieille.
Elle: Quand pense tu?
Moi: Comment ça ce que j'en pense?
Elle: Tu ne veut pas prendre ma place et contrôler la mort?
Moi: Eh bien...
Elle: Tu pourra te venger de tout ce qui te font du mal, tu sera la maîtresse de la mort.
Moi: ...
Elle: Pour être reine il te suffit juste de me serrer la main.
Moi: Ceci est un sorte de pacte, n'est ce pas?
Elle: Si tu veux, tu peux l'appeler ainsi.
Moi: Où sont les conséquences?
Elle: Il n'y en a pas. Il te suffit juste de me serrer la main et tu sera une reine.
Moi: Pourquoi moi?
Elle: La réel question est pourquoi pas?
Moi:...
Elle: Tu te vengera!
J'hésitais une seconde et je lui serrait la main. A ce même moment des ailes me poussèrent du dos, mon pantalon et ma chemise se changèrent en une robe toute noir. Mes cheveux poussèrentjusqu'à atteignirent mes fesses. Tout sentiment d'amour ou de joie s'effacèrent laissant place à la haine et à la colère.
Après ma transformation, l'ex reine de la mort me sourit, de toute ses plus belles dents. Dès qu'elle cogna son ceptre a terre une porte fut ouverte devant moi. L'ex reine emboîta le pas et S'écria:
Elle: Une nouvelle reine est né, la votre.
J'étais à présent la reine de la mort .
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