Chapitre 8

/Les chapitre que vont suivre ne seront pas adaptée au sensible !/

Je venais de sortir du café avec Alastor nous ne promènons tout deux dans les rue en neiger Alastor garda le regard baissé sur le sol. Cette Mary va vraiment passer un sale quart-heure s'il la recroise. je regardé avec mes deux yeux au tour de moi la neige qui brillait Cettais tellement beau que on se croié dans un merveilleux livre ! Alastor tourna légèrement le regard vers toi. Te voir comme ça lui rendait toujours le sourire.

-{t/p}: Hey Alastor sa te dit que je te donne un autre cours sur la nouvelle technologie ?

dis Je en souriant

Alastor rigola nerveusement

- Oui, pourquoi pas ! Par contre, je ne te promet pas d'être un très bon élève en la matière !

- D'accord, ça me va !

je sourit et l'amèna a la maison dans ma chambre et ouvrir mon ordinateur portable je commença mes explications peux a peux en aident Alastor. Alastor faisait de son mieux pour suivre tes conseils jusqu'à qu'une conversation apparue sans fair expert la conversation avec Mary....et {t/p} qui se faisait prendre pour qu'elle qu'un d'autre vous fermier instinctivement l'ordinateur.Alastor retira ses doigts de justesse du clavier

- Euh... est-ce que ça va ?

-{t/p}: Ouais je tes juste fait une mauvaise manipulation Hehehe....

Je rigola nerveusement se qui prouva bien que je cacher qu'elle que chose tant qu'il a rien vue

Alastor ne s'y connaissait pas beaucoup en technologie, mais il vit bien que ton comportement n'était pas normal

- Juste une mauvaise manipulation ?

-{t/p}: Oui c'est ça !

oh bordel shui dans la merde....

Alastor te fixa, pas très convaincu

- Alors tu pourrais me montrer. Toute enseignement est bon à prendre.

Alastor posa doucement ses doigts sur le haut de l'ordinateur

- Tu ne me cacherais pas quelques chose, par hasard ?

-{t/p}: Non Non ne t'inquiète pas !

dis-je d'un ton rapide et assé nerveusement

- {t/p}, je sais pas ce que tu me caches, mais tu le caches très mal...

je rie nerveusement jusqu'a que je reçois une notification d'un message le pire c'est que j'ai appris à Alastor....fait chié Alastor haussa un sourcil

- Maintenant, j'ai ma preuve de la cachoterie.

-{t/p}: c'est juste un message de ma ma maaaaaaaa........

Je chercher une éscuse mais rien ne sortir

Alastor te regarda, visiblement pas très convaincu

- Ta ?

jusqu'à

- {t/p}: Ma patrone !

- Et qu'y a-t-il de si confidentielle dans ta relation purement professionnelle entre toi et ta patronne ?

-{t/p}: j-je...

Je ne savais pas quoi dire je baisa la garde sur mon ordinateur Alastor soupira et finit par retourner l'ordinateur vers lui de force. je le pris directement avent même qui ne puisse le lire et ferma la discussion

- Qu'est-ce que tu me caches à la fin ?!

-{t/p}: J'ai mes secret Al c'est ma vie privée et sa restera ainsi point final !

Alastor s'emporta

- Tu es à moi {t/p}, et tu n'as rien à me cacher !

Se rendant compte après coup de la bourde monumentale qu'il venait de faire, Alastor partit s'enfermer dans sa chambre. j'étais....abasourdie....IL MA PRIS POUR UN OBJET OU QUOI ?!?!??!?! Se qui m'énerva je repris mon ordinateur et continua mes activités prenant soin de m'être Mona casque sous mes oreilles pour y écouter de la music Alastor s'allongea dans son lit, tentant vainement de reprendre son calme... sans succès. Il n'allait clairement pas y arriver comme ça. Il se prit le visage dans les mains, essayant de réfléchir. Quand soudain Alastor trouva qu'elle que chose sous sont lit Il se pencha pour le ramasser. cettais une boite poussièreuse vérouillé Alastor prit fermement le petit cadenas entre ses mains jusqu'à ce qu'il fonde.

la boîte matenant ouvert Alastor pourra voir se que contient cette boîte il l'ouvrir et remarqua des vieux papier médico a propos de {t/p} parlent de traitements assé lourd. Il se trouve que si vous ne les prenais pas vos année se racouciré en gros il ne vous reste actuellement plus que qu'elle que année 3 à 4 ans Voyant ta mort proche, Alastor eu idée. Il repartit en Enfer et voulut préparer ta venue le mieux possible, au détails près. a que que que 4 ans passa depuis le départ d'Alastor et bien des choses se sont passé Au bout de 4 ans, les choses avait également bien changée pour Alastor... mais, quelque chose l'inquiéta... pourquoi n'étais-tu toujours pas là ? Il décida de revenir sur Terre pour voir l'évolution de la situation.

il se trouve que vous aviez déménagé vous n'étiez donc plus la ou vous étiez avent Alastor se concentra sur ton énergie afin de ce téléporter non loin de ta nouvelle maison.
il se trouvais que vous vivez dans la magnifique ville de Paris dans une jolie maison et un jardin Alastor évalua la situation depuis un coin discret... il ressentait quelque chose de pas net...jusqu'a une femme au cheuveu {c/c} et {c/l} au yeux {y/c} avec un belle homme qui vous tenais la main avec un main un panier mais une chose étais étrange vous aviez tout deux une bague aux doigt Alastor garda un air neutre. Il ne savait pas comment réagir. Mais au fond de lui, il brûlait de l'intérieur... il brûlait de rage. ils discutaire tout deux joyeusement avent d'arrivé dans un parc et il s'installa pour manger un bout

Ne prêtant pas attention à l'homme, Alastor te prit dans ses bras en retour... mais il savait très bien comment allait finir celui qui t'avait volé ton cœur. Vous commencez à présenter votre Mari oui oui vous étiez bien Marié l'homme en question lui présente sa main pour une poigné de main amical

-Mari: enchanté !

Toujours aussi poli, malgré les circonstances, Alastor lui rendit sa poignée de main

- Moi de même !

Peu importe le temps qu'il attendrait, Alastor se jetterait sur la moindre occasion de se retrouver seul avec ton mari. Alastor ainsi que vous discuter votre Mari vous laissa profite de votre ami il retrouva un véritable sourire

- Qu'es-tu devenue depuis tout ce temps ?

- et bien disont que j'ai enfin gagné les jeux olympique !

dit vous d'un air fier

Alastor te répondit

- C'est fantastique ! Tu peux être fière de toi, tu le mérites vraiment !

-{t/p}: Merci beaucoup ! Et toi ?

Alastor rigola nerveusement

- Rien de vraiment extraordinaire... je suis assez encré dans la routine !

-{t/p}: oh d'accord Je vois !

Alastor hésita quelque instants avant de te demander

- Vous êtes ensemble depuis combien de temps ?

-{t/p}: 3 ans !

-Mari: et demain sa faira 4 ans !

Alastor détourna le regard, ne voulant pas péter un plomb. 4 ans... donc, vous vous étiez mit ensemble peu de temps après le départ d'Alastor... tu l'avais complètement balayé de ta vie. Alastor balança de but en blanc avant de partir

- Je crois que j'ai besoin d'assimiler les informations.

Vous étiez assé surprise de sa réaction mais accica Une fois à l'abri des regards, Alastor se passait les mains dans les cheveux, tentant de réfléchir à une solution. la nuit commenca a tomber et vous etiez deja rentré chez vous mais votre Mari travailler de nuit et dit la grave erreur de sortir
Alastor le regarda s'éloigner de votre maison, un sourire malsain au visage. Une fois dans une rue plus discrète, il vint l'aborder

- Que faites-vous à vous balader dans la nuit ? Cela pourrait être dangereux !

Alastor lui tînt fermement l'épaule

- Oui, malheureusement...

-Mari: euh...il y a un soucis....?

Alastor se montra de plus en plus menaçant. Ses bois s'agrandirent

- Je crains que oui...

L'homme recula

-Mari: j-je suis navré m-mais je doit vraiment y allé je doit finir ma nuit p-pour rejoindre {t/p} au plus vite !

Alastor lui attrapa fermement le bras

- Pas si vite. J'aimerai savoir une chose : Dans quelle circonstances vous êtes-vous rencontré toi et {t/p} ?

-Mari: j-je la connaiser depuis l-longtemp e-et j-j'etais donc revenu e-et quand j-je les revu e-elle étais d-dévastée d-donc j-je lui est remonter le moral !

Alastor le força à avancer au fond d'une ruelle. Après ça, il lui planta ses griffes dans le bras. Il ne put s'empêcher de lâcher un rire

- Je sens que l'on va bien s'amuser tous les deux...

L'homme grogne de douleur avent de riposté et de partir loin il commencé à s'épuiser et trouva une bonne cachette il décida donc de se cacher Alastor arriva dans les alentours de sa cachette. Son sourire lui défigurait le visage

- Allons, sort de ta cachette ! J'essaierai de faire en sorte que la douleur ne dure pas trop longtemps, promis !

aucun son ne sortir juste des tremblements une foix qu'il étais de dos il décida de sortir et de courir vers chez la ou vous étiez Alastor le suivit jusque chez vous, quand une idée lui vînt. S'il vous tuait tous les deux, il se défoulerait sur ton mari, et toi, tu le rejoindrais en Enfer. L'homme rentra chez lui et ferme la porte vous l'avez questionnés mais il ne vous a rien dit vous prené vos traitements mais...le risque étais toujour trop de stress,peur,colère,tristésse ou de joie il vous dit juste de fair attention à vous il vous pris dans les bras ne comprenons pas vraiment vous lui rendi

Alastor s'immisça dans la maison par le sous-sol. Il remonta discrètement les marches jusqu'au salon. la jeune femme remarquant la bléssur que son Mari avait lui posa encore plus de question en prenant soin de le soigné bien entendu Alastor se déplaça discrètement, tel une ombre, jusqu'à ce trouver derrière vous. Il s'écria, avec son large sourire jovial habituel

- Enfin, te voila ! Tu sais que c'est très mal élevé de fuir les gens de la sorte ?

-Mari: OH BORDEL !

il se mis carrière sa femme qui elle commença à comprendre

-{t/p}: ....Al ?

Il te regarda, tout en sourient

- Serais-tu surprise ?

la jeune femme ne raipondi pas...se souvenant de la dernière phrase qu'il lui avait dit l'homme pris sa main et couru hors de la maison Alastor vous poursuivait aisément dans la rue. Vite lassé de ce petit jeu, il se téléporta de sorte à vous bloquer le passage

- Je commence à en avoir marre de vos pitrerie...

le Mari fit signe un signe du regard a sa femme elle ocha la tête et il partis tout deux dans deux sanse contrére Le sourire d'Alastor s'élargit. Il se lança à la poursuite de ton mari. Une fois suffisamment éloigné de ta position, il le rattrapa et le plaqua contre un mur

- Cette fois, tu ne m'échapperas pas !

il se débata

-Mari: LACHE MOI !

- Maintenant, je t'ordonne de te taire.

Alastor lui arracha la langue. Il continua

- Et de ne plus bouger.

A ses mots, Il lui brisa les chevilles. Il rigola

- Eh bien tu vois, quand tu veux, tu peux obéir docilement !

Alastor s'accroupit en face de lui

- Je vais te faire souffrir autant que tu m'as fais souffrir.

Alastor passa délicatement ses doigt entre les siens et se mit à lui serrer la mains jusqu'à la broyer. Il lui entailla les bras et les jambes. Il garda la meilleur partie pour la fin. Il enroula ses tentacules noirs autour des côtes de ton mari et commença à les lui broyer

- Maintenant, tu sais ce que ça fait d'être brisé en morceau.

Une fois son jouet trop abîmé, il lui ouvrit le ventre, comme à son habitude, et le dévora vivant. de votre coter vous aviez peur pour vous et votre Mari vous courrez autent que vous le pouvez éssaient de trouvais un endroit ave beaucoup de monde pour vous y cacher mais étend donne que il faisait nuit perssone ne sortais donc vous continué à courir Alastor se redressa et se mit à te chercher dans toute la ville, sans même prendre le soin de se nettoyer. Quand soudain vous entendi dit Alastor arrivé vers vous votre œil vous faisait tellement mal que vous n'arrive plus à l'ouvrir, vous trouvez une bonne cachet pour reprendre votre soufle

Entendant votre respiration paniquée, Alastor ralentit le pas. Il marchait maintenant d'un pas lent et pesant

- {t/p}, je n'ai pas envie de jouer à ça. Je serai radical, promis. Pour toi, mon but n'est pas de te faire souffrir après tout.

elle mis sa main sur sa bouche étouffant sa respiration pleurent de panique puis mis sa main qui tenais son bouche que son œil qui faisait terriblement mal Alastor te trouvant enfin, se mit accroupit devant toi. Il prit ta tête entre ses mains

- Je suis désolé d'en arriver à de tel mesures, mais tu ne m'as pas laisser le choix...
A ses mots, Alastor te brisa le cou.

sur le coup votre corp vous lacha tombant dans c'est bras mes vous ne lâche Rien tenant désespérément à votre vie même si la douleur étais insupportable vous continué à lâche rien Alastor soupira

- Pitié, ne m'obliges pas te faire souffrir d'avantages.

vous trembliez de tout votre corp gardent vos yeux fermer qui eux vous faisait mal Alastor baissa la tête dans le creux de ton cou, attristé. Il te mordit et te déchira la trachée et une de tes artères. Un crie de douleur ressona dans les rues ne peuvent pas cette foici résisté a votre déstin Alastor serra ton cadavre dans ses bras une dernière fois, avant de repartir en Enfer. Vous tombait enfin en enfer vous relèvent de votre chute vous regarde autour de vous encore plus apeurés que vous ne létie vous commençais à marche a la recherche d'une perssone vous saviez très bien ou vous étiez la perssone que vous chercher étais votre Mari comment vous la saviez qu'il étais mort ? Le sang sur Alastor à tout dit...

Et le hasard fair bien les choses pourquoi allé vous me dire ? Les deux amoureux se retrouvais ils se pris tout deux dans les bras profitant de se moment

Alastor vous retrouva. Il ne s'attendait pas vraiment à ce que ton mari soit ici. Il s'approcha cependant de vous en rigolant

- Eh bien, il semblerait que la partie soit loin d'être finit !

Il s'apprêtait à attaquer de nouveau ton mari, quand quelqu'un le stoppa et le repoussa. C'était Maëlys. Elle supplia Alastor

- Pitié, Al, il faut que tu arrêtes avec ça ! Tu es déjà aller beaucoup trop loin ! Ne fait pas d'avantage empirer les choses...

les deux perssone étais assé surpris la jeune femme elle se mis à coter de Maëlys et dit

- Al il faut que tu arrête sa !

Voyant Alastor revenir à la charge, Maëlys l'entrava dans des ronces. Alastor grogna

- Lâche-moi ! Cet raclure n'aura que ce qu'il mérites !

- Alastor calme toi il n'a rien fait de mal !

Alastor se mit à rire de façon incontrôlée

- Il n'a rien fait ?! Il m'a tout prit !

Maëlys baissa légèrement la tête

- Al, arrêtes-toi là... tu sais que ça va mal finir... très mal finir... et tu seras le seul responsable...

- Elle a raison !

Alastor eu un sourire malsain sur le visage et commença à tirer sur les ronces, quitte à s'écorcher les mains et les bras. Maëlys pleurait

- Je suis désolé Alastor... vraiment désolé...

Maëlys fit un signe étrange. Un éclair blanc tomba non loin de vous... C'était Caveas. Il te regarda, d'un air calme, avant de s'approcher de sa sœur

- Je t'avais pourtant prévenu.

Maëlys grogna

- Ferma-la, et contentes-toi de faire ce que tu m'as promis...

Caveas se retourna pour vous faire face, à ton mari et toi. Alastor le supplia

- Ne me dis pas que avez convenu d'un truc pareil... Je t'interdis de faire ça !

Caveas soupira

- On m'a dit de mettre {t/p} et son conjoint en sécurité au paradis. Alors je fais ce qu'on me dis. Maëlys a proposé l'idée et mes supérieurs m'ont demandé de l'exécuter. Maëlys prendra soin de toi... même si je sais que tu ne feras pas long feu. Bon vent, Alastor !

A ses mots, il t'emporta avec ton mari. Maëlys vous regarda partir en pleurant. Elle savait pertinemment que ses efforts pour conserver la deuxième et ultime existence de son frère serait vains. le Mari ne comprit pas vraiment se qui se passe mais vous si vous regardez une dernière foix vos ami

En enfer, Maëlys arrivait tant bien que mal à maintenir Alastor dans le droit chemin. Mais il ne sortait plus de chez lui. Elle lui avait empêché de faire l'irréparable plus d'une fois, mais tout ne faisait qu'empirer. Alastor ne souriait plus. Un soir, Maëlys était dans le fauteuil du salon, tandis qu'Alastor était installé à la table non loin d'elle. Il était en train d'écrire. Maëlys le regardait, inquiète

- Al, tout va bien ?

Alastor lui répondit d'une voix morne

- Oui, ça va...

Il avait un mousquet sur les genoux, caché sous la table. Il écrivait les derniers mots d'une lettre. Maëlys insista

- Qu'est-ce tu fais ?

Alastor finit ce qu'il faisait avant de lui accorder son ultime sourire

- Je suis en train de te remercier, sœurette...

Sans crier gare, Alastor sortit son mousquet de sous la table et se tira une balle en pleine tête. Maëlys réussit à le rattraper avant qu'il ne percute le sol. Elle avait les yeux remplit de larmes. Elle avait le cadavre de son petit-frère dans les bras... pour la deuxième et dernière fois.

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Welp cette histoire et fini !

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NOPE je fairait plusieur bad et good ending ! ^^

Avec l'aide de GoldenFreddy514756

Elle sur se on vous fait des gros BIZOUUUU

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