Le Jours se lève et il est 12 heure et vous êtes toujour au lit entrain de dormir même votre frère et réveiller Touuuuus le monde et réveil sauf vous Voulant éviter tout conflits, Alastor était partit faire un tour en ville assez tôt ce matin. Quand il rentra et qu'il vit que tu n'étais toujours pas levée, il repartit s'enfermer dans sa chambre sans demander son reste.le jeune homme toca a sa porte Alastor demanda

- Qui est-ce ?...

Frère: c'est moi.

Malgré qu'il ne c'était pas levé du bon pied, Alastor ouvrit et l'invita à rentrer avec un léger sourire

- Que se passe-t-il ?

Frère: Pourais tu réveiller grande sœur j'ai éssaie mais elle veut pas se levé du lit !

C'était exactement le genre de remarque qui avait le don d'inquiéter Alastor

- Je vais aller la voir.

Il sortit de sa chambre pour se diriger vers la tienne. Il toqua

- {t/p} ? Est-ce que tout va bien ?

il n'y avait aucune raiponse de votre pard La situation commençait sérieusement à inquiéter Alastor. Après vous avoir appelée plusieurs fois, il prit son courage à deux mains et décida d'entrer.vous étiez sous vos couverture votre ordinateur étais ouvert sur votre bureau mais se qui étais normal c'est que vous détestez avoir toute votre corps sous les couvertures Alastor s'avança timidement dans ta chambre. Voyant ton ordinateur allumé, il s'avança discrètement pour voir le contenu de ce sur quoi tu l'avais ouvert.il étais ouverts sur une page médical apparament de se que on peut y lire il excite un moyen pour que vous puissiez voir définitivement mais la somme pour fair cette opération risqué et énorme c'est 30x votre sallére il y a aussi un fichié mal cacher que Alastor vis. Alastor était vraiment attristé par ta situation. Voyant le deuxième dossier, il utilisa ce que tu lui avait appris sur la nouvelle technologie pour aller le lire. Il gardait un oeil sur toi pendant sa lecture, inquiété par ton état morale.

Cettais ouvert sur une définition la fameuse définition sur le sentiment de l'amour derrière l'ordinateur il y avait des postite drôle d'endroit pour en m'être. Alastor se retourna vers toi et vint s'assoir sur ton lit, à côté de toi. Il passa une main sur mon épaule, dissimuler sous la couette

- On trouvera une solution pour soigner ta vision... je te le promets...

il n'y avait aucune raiponse de votre pard encore une foix mais se qui étais encore plus c'est que vous étiez brûlante Alastor retira vivement sa main, surpris par ta chaleur corporelle. Il souleva un peu les drap pour dévoiler ton visage

- {t/p} ?

un léger bruille venais de vous sa resemblait a un grognement de douleur vous garder les yeux fermer la lumière vous aveugler Voyant ton état, Alastor s'allongea à côté de toi pour te prendre dans ses bras

- Je suis désolé... j'aurai dû te forcer à prendre ton traitement. Regarde dans quel état tu es maintenant...

Après quelques hésitations, Alastor se blottit contre toi et usa de sa magie pour apaiser la douleur.Elle le pris dans c'est bras et se blotisant contre lui et lui sourit

-{T/p}: Merci...

- C'était de ma faute si tu étais dans cet état. Je me devais de te soigner.

-{t/p}: c'est pas vraiment ta faute voyons je pense que je suis juste tomber malade Je pense !

Alastor rigola nerveusement

- Cela ne devais donc pas être quelque chose de si dramatique que ça ! J'ai tendance à me faire du soucis pour pas grand chose ses derniers temps !

Je lui sourit

-{t/p}: c'est gentil que tu t'inquiète pour moi mais vers la fin de l'hiver je suis généralement un peux malade

Bon vous étes énormément malade en fin d'hivers. Alastor finit par se redresser

- Tu devrais tout de même rester te reposer aujourd'hui, tu as dû passer une mauvaise nuit. Je vais revenir avec de quoi manger !

Il se releva complètement du lit pour partir en cuisine te préparer quelque chose à manger. je le remercie et resta dans le lit c'est parti pour 3 semaine au lit ! Je haï être malade....bon parcontre j'ai jamais eu autent de fiévre Pendant ces trois semaines, Alastor resta à la maison avec toi. Il te préparait tes repas, et t'aidait surtout à passer le temps autant que vous le pouviez. Il c'était également mit à de multiples activités plus personnelle pour passer le temps quand tu te reposais, tout en ayant la possibilité de garder un oeil sur toi, comme le dessin et l'écriture. Il c'était donc mit à tenir un carnet de croquis et un journal. Et le petit ? Ef bien la mere etais d'accord pour qu'il reste vivre avec sa grande sœur meme si le père et très très en colère de perdre deux enfants. Maëlys et ton petit frère passaient le plus clair de leur temps ensemble, à manigancer un plan pour rapprocher Alastor de toi. Mais Alastor avait été très clair sur le sujet ; à la moindre tentative de leur part, il partirait. Les deux farceurs se contentaient donc de comploter dans leur coin, sans pour autant arrêter d'ennuyer Alastor sur un tas d'autre sujet. et un jours j'étais enfin en forme j'allais voir donc Alastor avec un grand sourir je suis enfin sorti du lit !

-{t/p}: Bonjour Al !

Alastor releva le nez de son journal et te fit un sourire radieux

- Bonjour {t/p} ! Cela fait plaisir de te voir sur pieds !

-{t/p}: je suis en pleine forme et il y a tour de la neige je suis soulagé je vais pouvoir en profiter avent que les canicule arrive c'est l'un des dernier hiver avec de la neige donc il faut en profites

Alastor rangea son journal dans le tiroir d'une commode et te tendit tes patins à glaces avant de déclarer

- Alors qu'est-ce qu'on fait encore là ?

je sourit de plus belle mes yeux s'illuminé, je les pris et alla dans la salle de bain pour me préparé gâchent de bien me couvrir je sortir et me dirigea vers la rivière qui étais derrière chez moi Alastor te rejoignit et te regarda virvolter sur la glace, quand il eu une idée. Autrefois, sa mère lui disait tout le temps qu'il avait des passe-temps de fille, et que personne ne le prendrait jamais au sérieux. Aujourd'hui, après de longue années, Alastor avait décider de resortir son violon du grenier, pour jouer un morceau. Il espérait juste ne pas trop avoir perdu la main !

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Alastor rigola

- Et j'ai toute l'éternité devant moi pour tout savoir de toi !

il avait raison même si...il y a des chose qui serais mieu de pas lui dire....Maëlys arriva d'un pas rapide et interrompit votre discussion

- Hey... C'était pour vous dire qu'il y a deux "charmantes" personnes qui vous attendent tous les deux à l'entrée...

Alastor lui demanda

- Qui donc ?

Maëlys soupira

- C'est le père de {t/p}... et il est avec Caveas. Al, je suis désolé de te dire ça, mais... ça sent vraiment pas bon.

Maëlys repartit dans la chambre de ton petit frère. Alastor t'accompagna pour aller voir ton père. Comparé à toi, Alastor ne présentait aucune émotion. Certes, il était mort de peur, mais s'il montrait la moindre émotion face à son grand frère, il serait fait comme un rat. Mais, le connaissant, il savait déjà pourquoi ils étaient là. C'était sans doute parce que Caveas avait été un peu trop bavard sur le passé d'Alastor, notamment sur des faits qui nuiraient un peu trop à son image...j'ouvre la porte et vus mon père qui me pris immédiatement pard le poigne et m'éloigner de Alastor Je ne comprenais rien...Alastor regardait son frère avec un air de dégout

- J'espère au moins que tu es satisfait d'avoir eu ce que tu voulais ?

Caveas lui fit un sourire moqueur

- Voyons, Alastor ! Tu savais très bien que cela ne durerait pas ! Après tout, qui voudrait d'un cinglé comme toi ?

Alastor se contenta de baisser le regard. Son frère continua

- J'ai longtemps débattu avec maman et papa, et, nous pensons que la meilleur peine pour toi serai de retourner en picûre de rappel, afin de te rappeler la chance que tu as d'être encore là.

Alastor pâlit et commença à trembler

- Pitié, je t'en prie... tu... tu ne peux pas me... me renvoyer là-bas...

c'est la goute qui fait déborde le vase. ma patiente a des limite je me met devant Caveas et le gifla violament j'ai beaucoup plus de force que j'en et l'air

-{t/p}: Écoute moi bien petit con ma patiente a des limite donc tu va laisser Alastor tranquille avent que je te détruise de l'intérieur comme je les fait avec les autres donc tu va prendre ton petit cul de merde et DÉGAGER MATENANT ET SA VAUT POUR TOI PAPA !!!!

Je les pire pard les cheuveux et les tira vers la bas se qui leurs fait assé mal a leur visage

-{t/p}: JE ME SUIS BIEN FAITE COMPRENDRE MESSIEURS ?!!?!?!??!!!?!

Voyant cette scène, Alastor aurait pu en mourir de rire s'il ne c'était pas retenu. Entre deux grognements de douleurs, Caveas décréta

- J'espère au moins que tu sais dans quelle merde tu t'es fourrée avait ce taré sanguinaire...

-{t/p}: Yep mais cette merde comme tu le dit me rend heureuse et croie moi je suis aussi une taré même si la plus pard des gens ne le save pas

Je lui fit un clin d'œilavent bien entendu de lui arraché une poigné de cheuveu mon père ? Non quand même ! Il a bien comprit je pense

Caveas pu enfin s'extirper de ta prise. Il rétorqua avant de partir

- Sincèrement jeune fille, j'espère, qu'un jour, le démon de la Nouvelles-Orléans jouera carte sur table avec toi. Ce serai dommage que tu te retrouves découpée en morceau au fond d'un congélateur sans que tu ne l'ais vu venir.

-{t/p}: HA ! Me sous-étimerais tu pard azzare ?

Caveas te lança avant de disparaître en rigolant

- Sais-tu au moins qui est le démon de la Nouvelles-Orléans ?

-{t/p}: Internet peut nous apprendre beaucoup plus de chose que tu l'imagine

Alastor se surpris à trembler de peur. Pour lui, chaque risque de te perdre était une épreuve à surmonter. je discute avec mon père qui a bien comprit que j'étais une adulte et qui devais me laisser partir il accica mais il resta tout de même méfiant en vers Alastor il fini pard partir j'étais fière de moi ! Alastor souffla de soulagement, bien qu'il tremblait encore un peu

- La catastrophe n'est pas passée loin !

je lui sourit

-{t/p}: c'est vrais Mais elle est passé loin de nous c'est l'importance !

Alastor te rendit ton sourire

- Je vais retourner à l'intérieur ! J'ai quelque chose à aller faire !

-{t/p}: ok je vais allé m'entraîner moi ! A toute à l'heure

dis-je en partent

Alastor rerentra à l'intérieur et partit chercher son journal pour écrire un peu, sur un sujet qui ne cesse de lui tourner en boucle dans la tête, et que Caveas a eu la "gentillesse" de faire ressurgir dans son esprit. Alastor se mit à écrire : Le démon de la Nouvelles-Orléans... un tueur en série addict au meurtre sanglant... ne laissant aucune trace de ses victimes à cause de ses troubles cannibals. En tant qu'animateur radio, j'ai beaucoup parlé de ce monstre... je l'ai beaucoup étudié... Je me suis beaucoup étudié. Comment ais-je pu en arriver là ? Comment ais-je pu me complaire dans ce processus qui a complètement détruit mes proches, tout comme moi-même... de mon côté je marché je n'avais pas pris la voiture pour une foix après 1 heure j'arrive à destination perssone étais la même sauf mon partenaire et....une autre fille on m'a remplacer ?!?!? j'étais effondré a cette vue...mon entraîneur allé me parler mais je préfère partir de la patinoire et je fini une foix de plus airé dans ruelle de cette ville...Alastor soupira avant de refermer son carnet et de le ranger dans sa commode. Il s'adossa dans son siège, tentant de réfléchir à une solution pour que Caveas arrête de lui nuir. Parlant du loup, le grand frère d'Alastor te suivait discrètement avant de venir t'aborder avec le sourire

- Tiens ! Pour une fois que tu n'es pas surveillée par ton démon de garde !

je soupire et le pris une nouvelle foix pard les cheuveux et lui arraché encore une foix

-{t/p}: ta comprit ou je doit te redire ?

Caveas grogna

- Bordel, il va quand même pas falloir que je te fasse un dessin ! T'as vraiment pas compris ce que je t'ai expliqué ou tu le fais exprès ?

-{t/p}: bien sûr que j'ai comprit je ne suis pas aussi stupide !

Caveas rigola

- Alors tu sais qui est réellement Alastor, n'est-ce pas ?

j'accica

-{t/p}: Bon tu va me lâche matenant ?

- Je ne suis pas sûr que tu comprennes où je veux en venir. Tu es entrain de devenir de plus en plus indispensable pour Alastor. Autrement dit, tu es dans un sacré pétrin !

-{t/p}: je les toujour étais même avent Al et puis sa compagnie et très agréable comparé à la tienne

dis-je en marchent dans la petite ruelle

Caveas te suivit, amusé

- Attend, ne me dit pas que tu es amoureuse de lui ? Eh bien, c'est encore pire que je ne l'imaginais !

-{t/p}: j'en sais rien mais se que je sais c'est que je veux que TU ME LACHE

dis-je en lui donnant un coup au visage.Caveas rétorqua avant de disparaître

- Il me semble qu'il a commencé à écrire un journal. Tu de vrais y jeter un oeil, tu y trouveras des infos très intéressante, sans aucun doute ! Si je te retrouve morte et à moitié dévorée, cela ne m'étonnera même pas...

je soupire...Je ne fairait pas sa je ne suis pas comme les autres fille qui veux tous savoir ! C'est sa vie privé ! Alastor était partit faire un tour en forêt... ou plutôt, devrait-on dire, qu'il a prit son apparence de cerf et c'était à mit à courir autant qu'il le pouvait pour se calmer un peu sur la situation. et moi...Je continué à marche sens savoir où allé...Je comprenais plus rien et sa deviens de plus en plus durs de...sourire que sa soit pour mon petit frère ou a...Alastor et de leur mentir ! Je n'aime pas mentir mais il me regarde déjà avec de la pitié...Alastor courait jusqu'à ne plus en pouvoir. Il finit par trébucher sur une racine. Il se releva pour tomber une nouvelle fois quelques dizaines de mètres plus loin. Il se redressa et stoppa net quand il entendit un bruit. Un déclic se fit entendre... le chargement d'un fusil de chasse. Se retournant vers le bruit, il tomba nez-à-nez avec le chasseur. Surpris de l'apparence du cerf, il baissa son arme en reculant. Le voyant terrifié, Alastor s'pprocha lentement de lui avec un sourire grandissant. Ce chasseur allait mal finir... du moins, c'est ce qu'Alastor pensait avant qu'il entende des grognements non loin de lui. le stress commençais à monté en imaginant les scène qui pourrais arrive Si il découvrirait se que je cacher !

Voyant les deux molosses, Alastor paniqua, ce qui allongea son temps de réaction. Le chasseur en profita pour lui tirer une balle dans l'épaule. Alastor manqua de tomber. Grâce à son énergie démoniaque, il réussit à sortir de la forêt à temps. Une fois dans le jardin, il savait qu'il était en sécurité. Il reprit son apparence normal et s'assit sur une marche du porch, en maintenant son épaule endoloris. Ayant usé de trop d'énergie pour revenir, il n'avait pas la capacité de se soigner pour le moment. la maison resta très silencieuse et la porte d'entré étais ouvert et le petite frère de {t/p} n'étais plus la... Une fois qu'il eu retrouvé son calme, Alastor retourna à l'intérieur. Il ne trouva effectivement pas ton petit frère, mais il ne trouva pas Maëlys non plus. Où est-ce que c'est deux guignol pouvaient-ils bien être ? Maëlys était en train de suivre ton petit frère. Elle finit par l'intercepter

- Dis-moi, où est-ce que tu vas comme ça ?

Maëlys haussa un sourcil, amusée

- Quel mauvais coup prépares-tu encore ?

-Frère: je me promène.

- La prochaine fois, préviens-moi. Sinon, tout le monde va s'inquiéter à la maison ! Et puis, tu t'apprêtais tout de même à me laisser en plan alors que je m'ennuyais comme un rat mort !

-Frère: Bah moi j'ai mes amis qui m'attend a l'air de jeux !

Maëlys lui sourit

- Tu n'as pas à t'inquiéter, je ne perturberai pas ton temps avec tes amis ! Mais je me dois te t'accompagner. Un enfant aussi jeune que toi ne doit pas rester tout seul sans surveillance !

il gonfla c'est joue

-Frère: on dirait grande sœur qui parle !

Maëlys rigola

- Cela prouve donc que j'ai raison !

-Frère: mais mais ! mes copain se promène bien tout seul.

- Et toi, tu as déjà invoqué des démons sans prendre les conséquences en compte ! Cet argument n'est-il pas suffisant ?

-Frère: Mais je savais pas moi je m'ennuié juste !

- Il n'y a pas de "mais" qui tienne ! De toute façon, avec les derniers événements, tu n'es pas en sécurité tout seul !
Ses dernières paroles donna une idée à Maëlys. Elle claqua des doigts. Sa tenue changea pour un ensemble mafieux rouge vif avec un chapeau de même couleur. Elle avait fait également une canne truquée, qui dissimulait une dague. Elle regarda ton petit frère en souriant

- Dis-toi que tu as un garde du corps a ton service ! Crois-moi, tes amis sauront même pas quoi dire !

le petit étais émerveillé

-Frère: TROP COOOL

- Alors qu'est-ce qu'on attend ?

-Frère: OUUUUUI !!!!

Dit t'il en courant vers l'air de jeux pendant que ils allait à l'air de jeux j'étais toujour entrain de marché dans mes pensé intérieurement j'étais en panique et à trissté Maëlys suivit ton petit frère et s'assit sur un banc, à proximité de l'aire de jeux. Elle le regardait en souriant, quand elle te vit passer dans la ruelle de l'autre côté du parc. Elle se rapprocha un peu pour t'interpeler

- {t/p} !

Je relève mon regard et vois Maëlys

-{t/p}: oh salut !

Dit-Je en souriant

- Tu souhaites venir avec nous ? Je suis au parc avec ton petit frère ! Ca t'empêcheras de ruminer sur je ne sait quoi... t'as l'air un peu triste.

-{t/p}: avec plaisir !

-Frère: Yes !

Maëlys te sourit et vous retournez tous les trois au parc. Elle se rassit et t'invita à venir à côté d'elle. je m'assis à coter d'elle pendant que mon petit frère jouet avec c'est amis Maëlys surveillait le petit garçon d'un oeil paisible. Elle te demanda sans détourner le regard

- Quelque chose te tracasse, je me trompe ?

j'accica tout en regardent c'est amis et lui

- Qu'est-ce qui s'est passé pour que tu ais une mine aussi triste ?

-{t/p}: il mon remplacer...

- Oh... je suis désolée...

Maëlys soupira

- Tu sais, au fond, ce n'est pas si dramatique. Le patin à glace est ta passion, et elle ne s'arrête pas à ton club ou aux compétitions ! Il y a bien plus de façon de se dépasser dans ses activités que tu ne le crois ! Garder l'envie de pâtiner avec les risques que tu prends est déjà preuve d'un courage et d'une passion immense.

-{t/p}: les jeux olympiques pour moi c'est très important...Je le fait pas pard envie mais pour ma grande sœur.

Maëlys souriait

- Quand on a réellement envie de quelque chose, on ne laisse pas les autres nous entraver. Alastor, par exemple, souhaite toujours te voir heureuse. C'est une forte conviction chez lui.

Maëlys sortit une feuille de sa poche et te la tendit. C'était une feuille de compte... tout l'argent qu'Alastor avait la capacité de mettre pour ton opération. A chaque jour, le chiffre des économies faites par Alastor grandissait.

- Cet idiot est vraiment têtu, il ne lâchera pas l'affaire !

j'étais...choqué...c'est juste tellement...gentille j'en avait les larmes au yeux enfin à mon œil ! Maëlys déclara

- Disons qu'Alastor sait ce que ça fait de se retrouver désavantagé face aux autres !

-{t/p}: j-je sais pas quoi dire...!

Maëlys te rendit ton sourire. Elle leva la tête vers le ciel. Voyant, qu'il devait commencer à être tard, elle interpela ton petit frère

- Allez petit patron, on rentre ! A cette heure là on devrait pas encore trop croiser de gars qui veulent ta peau !

Elle lui fit un clin d'oeil discret.

-Frère: encore 5 minute pitiééééé !!!!

-{t/p}: Tu fait tes devoirs ?

-Frère: Non...

-{t/p}: alors ?

-Frère: À plus les copain !

Je le pris sur mes épaule et rentre à la maison avec Maëlys

A la maison, Alastor avait le nez dans son carnet de croquis. Il dessinait un chien au allure terrifiante. Rien que de voir cet animal sur papier lui faisait peur.

-{t/p}: On et en rentré !

Alastor leva le nez de son carnet et vous sourit

- Bonsoir ! J'espère que vous avez passé une bonne journée !

Sa soeur lui rendit son sourire

- Disons que c'était une journée amusante !

Elle donna une tape amicale à ton petit frère

- N'est-ce pas champion ?

Alastor referma son carnet avant de regarder sa soeur d'un air innocent

- Dis-moi Maëlys, j'avais une feuille, disons, assez importante sur mon bureau. Tu ne saurais où elle est passée par hasard ?

Maëlys se contenta de dire toute aussi innocemment

- Je suis supposée le savoir ?

Alastor grogna

- Dis-moi la vérité.

Maëlys soupira et se contenta de lui rendre la feuille de compte. Alastor lui prit des mains avant de partir la ranger dans sa chambre. j'avais tout entendu l'isolation c'est pas sa dans cette maison ! Mais sa ma pas empêché de continué mon activité ! Une fois ses rangement sécurisé fait, Alastor vint te voir. Il toqua à la porte de ta chambre.

Je sursauta et ferma mon ordinateur et pris un livre et dit semblant de lire

-{t/p}:oui ?

Alastor rentra et te demanda d'une voix hésitante

- Est-ce que je peux te poser une question ?

Je lui sourit et dit

-{t/p}: oui bien sûr !

- Comment t'y prendrais-tu pour surmonter ta plus grande peur ?

-{t/p}: tout dépend quoi.

- Je... j'ai une peur folle des chiens...

Alastor détestait avouer ses faiblesses, ce qui était étrange puisque, en face de toi, ça le soulageait.

-{t/p}: et bien éssaie de te familière à eu !

- Me familiariser ?! Tu as perdue la tête ou quoi ? Je... je ne peux pas me familiariser avec... cette animal... C'est... c'est au-dessus de mes forces...

Alastor n'était visiblement pas très rassuré à l'idée d'approcher un chien.

-{t/p}: Même si je suis la ?

Alastor se craquait nerveusement les doigts

- Je sais pas trop...

-{t/p}: Tu sais les chiens ne sont pas tous méchant !

Alastor te sourit avant de sortir de ta chambre et d'aller dans la sienne. Il écrivit un peu avant de tomber de sommeil sur son journal. pendant que moi je continue mais activité et fini pard m'endormir sur mon bureau Alastor se réveilla péniblement et se redressa. Il regarda la dernière phrase de son journal : «l'aboiement d'un chien est bien pire que sa morsure car, certe, la morsure fait mal, mais l'aboiement est une sirène avertissant d'un danger inévitable.». Alastor marmonna

- Bonjour l'optimisme...

je me réveil en sursaut sa fait un moment que j'en et pas fait...Je me prépare et décend les escaliers Alastor se prépara et te rejoignit en bas

- Bonjour {t/p} ! Bien dormi ?

-{t/p}: Bien ! Et toi ?

dis-je en souriant

- Très bien, merci ! En fait, c'est même un vrai miracle que j'ai réussis à dormir ! Mais je dois bien admettre que le stress commence à monter...

-{t/p}: fait moi confiance ! D'accord on vacommençais doucement et puis a la SPA se ne sont que des chien et chiot abandonné !

- Eh bien, je te fais confiance !

je lui pris la main et sort dehors avec lui la neige étais déjà entrain de fondre et nous allons à la SPA Une fois à l'intérieur, Alastor était collé à toi, comme un enfant cherchant une source rassurante. Il regardait les alentours d'un oeil anxieux. je lui montré les différent chien jusqu'a etre devant un qui étais....plutôt....ADORAAAAAAABLE !!!!!!
Te voyant dans ta pleine contemplation, Alastor regarda les chiens alentours. Il te lâcha timidement la bras afin de s'éloigner un peu. Tous ces chiens sont en cage après tout... il ne peut rien lui arriver. Il approcha un box avec un jeune berger allemand. Ce dernier avait les oreilles plaqués sur le crâne et grognait à l'arrivé d'Alastor, qui s'éloigna, terrifié. Le chien cessa aussitôt de grogner et porta une certaine attention sur les oreilles d'Alastor, qui était, elles-aussi plaqué sur son crâne à cause de sa peur. Les redressant instinctivement petit-à-petit, le jeune chien se montra intrigué. remarquant que Alastor n'étais plus la je regarde au tour de moi et le vois je vais donc le voir et regarde le chien puis lui je sourit

-{t/p}: Je vois que tu tes fait un ami !

Alastor se retourna vers toi

- Cela va peut-être te paraître bizarre, mais j'ai l'impression de comprendre ce chien. Peut-être qu'être à moitié animal aide un peu...

-{t/p}:  peut-être tu veux que on l'adopter ?

Alastor hésita. Il se retourna vers le chien, et vit que l'animal avait parfaitement compris ce qu'il se tramait. Alastor soupira. Après tout, comme Charlie disait, tout le monde a le droit à une seconde chance... surtout quand on vous a voler la première, comme pour ce chien...

- Est-ce que cela signifie qu'il va falloir le sortir de là-dedans ? On n'aura plus aucune sécurité !

-{t/p}: Fait moi confiance j'ai déjà eu une chienne

- D'accord...

je sourit et alla voir un employé je signe les papier et caresse le chien et lui fit des câlin il semblait aimer Le jeune berger allemand essaya d'approcher Alastor, qui recula jusqu'à ne plus pouvoir. Le chien s'assit en face de lui, et plaqua c'est oreille sur sa tête. Alastor le regarda, un peu perdu, avant de comprendre et d'imiter le chiens avec ses propres oreilles, un petit jeu qui semblait amuser le chien. Il remua la queue et regarda derrière Alastor d'un air interrogateur. Il s'approcha d'avantages pour voir derrière Alastor, qui compris bien vite où cet animal voulait en venir, et il était hors de question qu'Alastor te montre quelque chose d'aussi honteux que sa queue de cerf. Il détestait la montrer. Cettais tellement mignon il me fait penser à ma chienne qui étais malheureusement morte Cettais tellement mignon il me fait penser à ma chienne qui étais malheureusement morte. Le jeune chien se mit à tirer sur la veste d'Alastor

- Je te défends de faire un truc pareil !

Le chien se mit dans une posture de jeu. Alastor décréta

- Je n'ai pas envie de jouer, et encore moins à ce que tu penses !

Le chien se montra mécontent. Alastor soupira

- Arrête donc de faire cette tête, ça ne servira à rien !... Qu'est-ce que tu prépares ?

Le chien était assis et remuait excessivement la queue. Il sauta sur Alastor et le fit tomber à terre. La panique d'Alastor fut de courte durée, quand il se mit à rire des chatouilles du chien

- Pitié, arrête, hahahaha !

je sourit à cette scène et décida de tous filmé pour gardé un bon souvenir !

Alastor soupira et se retourna vers le chien

- Tout ça, c'est de ta faute !

Le chien aboya d'un air joueur.

Cettais tellement drôle

-{t/p}: comment on va l'appeler ?

je réfléchis un instant et dit

-{t/p}: Que dit tu de Tarha ?

Le chien remua la queue. Alastor te sourit

- Je crois que cela nous convient tous les deux !

je sourit

-{t/p}: et si on y allé ?

- On te suit !

Voyant le chien encore sans médaille, Alastor décida de le prendre dans ses bras, afin qu'il ne se perdes pas. Le chien se blottit contre lui. Alastor rétorqua

- Ne va pas t'imaginer que je vais constamment te servir de taxi, d'accord ?

-{t/p}: tu vois Ils ne sont pas si méchant que Sa !

dis-je en rigolant

- Effectivement, la méchanceté n'est pas une généralité !

-{t/p}: si ils sont méchants c'est pard de leurs faute le passé fait la perssone que tu es matenant et demain !

dis-je en marchent avec lui

- Dit comme ça, cela paraît logique...

nous marchons jusqu'a devienné quoi...celle qui me remplace passe devant moi

Alastor regarda la jeune femme passer à côté de vous. Il finit par chuchoter, mal à l'aise

- Je n'aime pas vraiment critiquer les autres, mais rien qu'à regarder cette fille, son air hautain et supérieur pourrait presque me donner la nausée...

la femme entendant ceci sourit malicieusement et alla se dirigé vers Alastor et commença à discuter enfin plutôt flite Alastor se sentait vraiment mal à l'aise. Il aurait voulut quitter la conversation, mais il voulait rester poli, bien que son sourire se perdit petit-à-petit.

-{t/p}:  Hey sale pouffe arrêté de dragué tous se qui bouge.

-Pouffe: oh ou sinon quoi Ques qu'elle va fair l'aveugle ?

Je baisa la tête et sourit mais pas comme d'habitude un sourire...Malsin que Alastor n'a jamais vue

-{t/p}: il se trouve que l'aveugle a tout enregistré et je peux l'envoyer à TOUT le monde et aussi à ton petit copain Ques qu'ils diront quand ils le seront tous ? Tous le monde te haïra et te rejettra !

Alastor s'approcha un peu dangeureusement de ta rivale et lui passa une main sur l'épaule et lui plaça une griffe au niveau du cou

- Si je te retrouves à malmener {t/p}, je crois que tu as bien compris qu'elle te pourirait la vie... et moi, je t'attendrait, et détruirais toute l'éternité qu'il te restera.

A ses mots, Alastor lui fit un sourire démesuré, inhumain.

la femme trembla et parti en criant ''SALE FOU" je m'en doutais royalement que on me traite de folle j'avoue que j'étais....un peux jalouse aussi...

-{t/p}: merci de m'avoir soutenu !

Alastor se retourna vers toi et retrouva un sourire radieux

- Je t'en prie, c'est tout naturel ! Il était hors de question que je la laisse s'en prendre à toi !

Tout en disant cela, Alastor te passa une main sur l'épaule.

Pendant votre marche, Alastor hésita avant de dire, un peu gêné

- Je devrais aussi te remercie... je ne savais vraiment pas comment réagir face à elle ! Tu m'as sortie d'un sacré pétrin !

-{t/p}: c'est normal ! Et puis cette fille la bien chercher !

- Crois-moi, avec Val, elle va vite regrettée d'avoir commencée !

je rie légèrement

-{t/p}: shui bien contente qui ma lâché en tous cas !

- Il n'aurait pas eu le choix de toute façon !

Une fois arrivé à la maison, Alastor referma le portillon avant de reposer Tahra à terre

- Et voila, madame la princesse est arrivée à destination ! La prochaine fois, ce sera à toi de me porter.

Tahra fuya à l'autre bout du petit jardin en aboyant. Alastor râla

- Je te remercie de ton enthousiasme, c'est très gentil !

je rigola mon petit frère  en voyant le chien se presipite il en rêve depuis toujour ! Il joua avec elle haha Cettais adorable

- Bon, on fait quoi maintenant que tout le monde est occupé ?

A ses paroles, Alastor se prit une tape derrière la tête. Il se retourna vers sa soeur en s'écriant

- Ca te plait de me frapper ou quoi ?!

Maëlys se contenta de répondre

- Ouais trop. Et toi, ça te plait tant que ça de mentir ?

Alastor lui répondit

- Je pensais que tu étais occupée !

Elle le fixa avec un large sourire

- Dit tout de suite que tu voulais pas que je tienne la chandelle !
Cette fois, c'était à elle de se prendre une tape derrière la tête. Elle se contenta d'en rire.

Alastor rougit légèrement. Maëlys déclara

- J'ai cru comprendre qu'on voulait pas de moi dans les parages... bon courage frangin !

Alastor la regarda partir d'un air suppliant. Comprenant que cela ne changerai rien, il se retourna vers toi, mal à l'aise

- Laisse tomber, m'embêter, c'est sa passion de toute façon !

-{t/p}: d'accord ?

Alastor n'osait même plus te regarder. Il était mort de honte. Mais ça lui faisait aussi affreusement mal de ne rien pouvoir te dire explicitement.

-{t/p}: sa te dit d'aller un peux se promène ?

dis-je en souriant. Alastor te sourit difficilement

- Oui, pourquoi pas !

-{t/p} Génial alors !

Je lui pris la main inconciament et et pard me promène avec lui. Alastor te suivit. Il n'avait même pas besoin de parler, la situation le faisait déjà se sentir agréablement bien.
Je lui parla de plusieur chose différente tous en souriant bien évidamment ! Alastor t'écouta avec la plus grande attention, un sourire paisible lui marquant le visage.
Jusqu'a une fille coura vers moi que je reconnue Cettais une fille qui viens au café elle me regarder souvent mais je m'en fou un peut ! Elle meparla et se présanta c'est bien la première foix qu'une fille viens vers moi donc j'ouvre aussi la conversation Alastor vous regarda avec un air paisible. Ta sécurité est tout ce qui l'importe. nous finissons de parler et elle me dit en revoir et parti

-{t/p}: elle pas si bizzare que sa finalement !

- Comme les chiens ne sont pas tous si méchant !

je rie

-{t/p}: tu as raison !

Alastor t'invita à un café pour manger un morceau. J'accepta donc nous allons à un café tout les deux Alastor avait le nez plonger dans son café. Après quelques hésitations, il te dit timidement

- Je suis vraiment heureux de t'avoir rencontré ! Je ne sais pas ce que serai devenu ma vie si cela n'avait pas été le cas...

Je lui sourit et dit d'une voix douce

-{t/p}: et Moi donc !

- En tout cas, je suis désolé de t'avoir causé autant de problèmes depuis que je suis arrivé ici !

-{t/p}: se n'est rien tant que tu as étais honnête avec moi c'est l'importance !

dis-je en lui souriant

-{t/p}: se n'est rien tant que tu as étais honnête avec moi c'est l'importance !

dis-je en lui souriant

Alastor soupira, avant de te dire d'une voix hésitante

- Le problème est bien là...

je hausa un sourcils

-{t/p}: que veut tu dire ?

Alastor se passa une main sur le visage, clairement pas à l'aise sur le sujet

- Je ne suis peut-être pas la personne que j'aimerai te faire croire que je suis...

-{t/p}:  je pense que tu me connais assé bien pour comprendre que tant que {Prénoms/Frère} et en sécurité tous me va !

- Et s'il n'était pas en sécurité avec moi ? Est-ce que tu y as pensé ?

-{t/p}:  je pense que tu me connais assé bien pour comprendre que tant que {Prénoms/Frère} et en sécurité tous me va !

Alastor rigola nerveusement

- La raison ne l'emporte pas toujours chez moi, tu sais !

je ocha la tête

-{t/p}: je l'avais bien comprit mais si tu voix si peux de perssone embête mon petit frère

Je sourit malicieusement en laissent qu'elle mèche de cheuveu se posé sur mon visage

-{t/p}: il y a des raison .

- Je n'en doute pas... je veux juste que tu fasses attention.

-{t/p}:  je te promet !

Alastor te sourit gentiment. Mais le chemin pour te dire tous ce qu'il avait sur le coeur était loin d'être terminé...je fini donc mon café et regarde dehors et il pleuvais sa faisait longtemps tien Alastor adopta une voix morne

- Est-ce que tu sais ce que ça fait d'être addict à quelque chose ?

- Oui

dis Je en regardent la pluie et la neige fondre sous celle si

- Quelle est-elle ?

- Le chant. Quand je suis trisste généralement je chante quand je suis heureuse ou jalouse dans n'importe qu'elle situation mais en se moment...Je ne chante plus

- Certaine addiction sont bonne... d'autre pas. Depuis que je t'ai rencontré, j'ai l'impression de contrôler mon addiction encore moins que d'habitude...

- Qu'elle est ton addiction ?

- Je...

Alastor hésita. Mais te le dire paraissait être la meilleur solution. Il regarda ailleurs, l'oeil terne

- Je suis addict à toi.

je vire au rouge j'éssai donc de contrôler mes sentiments et dit d'une petite voix

-{t/p}: on peut dire que je suis aussi Addict à toi...

Alastor te fixa, un peu abasourdis. Il regarda de nouveau ailleurs, gêné. Le rouge lui montait aux joues. Il finit par dire, d'une voix tremblante

- Tu ne sais pas sur quoi tu t'engages...

-{t/p}: toi non plus

Alastor te fit un léger sourire

- Au moins, on est deux...

je lui sourit et le regarda

-{t/p}: on est d'accord !

- Tu te souviens de ce que t'as dis Caveas quand il est venu avec ton père ?

j'ocha la tête calmement

-{t/p}: C'est vrais Mais je me fiche bien des histoires ! Je suis plus souvent dans ma bulle ou dans mon monde !

dis avec un sourire rêveur

- On est jamais à l'abri de tout...

- Il y a des risques qu'il ne vaut mieux pas prendre.

-{t/p}: sauf quand il te reste que qu'elle que année a vivre. Je ne suis pas l'une des perssone qui va déprimé mais plutôt celle qui va vivre chaque instant de sa vie jusqu'à a la dernière !

Alastor regarda l'horizon. Son sourire avait totalement disparu

- Tu es donc prête à vivre avec un tueur {t/p} ?

je rie

-{t/p}:  Haha se n'étais pas déjà le cas ?

- Pas vraiment non... du moins, pas poussé au point le plus extrême.

j'allait dire qu'elle que chose avent que un café chaud se fit renversé sur moi je fit un petit crie de douleur et de surprise Il semblerait que sa soit...la fille qui a dragué Alastor...cette foutu Mary

-Mary: Oups je suis vraiment désoler

jensoupire et dit

-{t/p}: pas grave.

Alastor garda ses mains tremblante de colère sous la table. Il se contenta de légèrement crisser des dents. Il se leva et fit de son mieux pour sourire. Il t'invita à le suivre jusqu'à la maison pour te changer.je Le suivis j'avais quand même un doute...elle nous a suivis ? Elle nous a entendu ? Es que elle a faite expert ? Comparé à toi, Alastor n'avait pas la tête à penser à ce genre de chose. Une fois à la maison, il retrouva son calme petit-à-petit. Il s'assit dans le canapé en attendant que tu ailles te changer. j'alla donc me changé et sźcher mes cheuveux mouillé pard la pluie ! Je me changa et alla voir Alastor

-{t/p}: c'est bon !

Alastor te sourit... mais ses efforts étaient vain. La seule envie qu'il avait était de te serrer dans ses bras. Il aurait dû s'éloigner avant de savoir ce que tu ressentais réellement pour lui. Après tout, Caveas l'avait prévenu. Maintenant, c'était trop tard... il était incapable de s'éloigner de toi.et bien il se trouve que j'avais aussi envie d'un câlin donc je lui fit un Alastor t'accueillit dans ses bras sans hésiter. Il posa sa tête sur ton épaule. Ses oreilles s'agitaient légèrement. j'enprofit  donc aussi pour me réchauffer car j'avoue que j'avais froid

Alastor se mit inconsciemment à légèrement ronronner.et moi à m'endormir dans c'est bras Alastor resta éveillé, afin de profiter de ta présence avec lui. Cettais si agréable d'être dans c'est bras je ne bouge pas d'un poile Malgré sa lutte contre le sommeil, ta présence envoutante finit par endormir Alastor.

les jours passa les mois puis une année votre état de santé s'aggrava  de plus en plus vous faisiez comme si tous allé bien mais en réalité vous aviez de plus en plus mal chaque jours Alastor tentait d'être présent le plus possible pour toi, mais ta présence le rendait complètement hystérique. La situation devenait ingérable. Un jour, il finit par céder. Partant au beau milieu de la nuit, il confia la tâche à sa grande sœur de t'accompagner comme il le faudrait. Il te laissa une lettre d'adieu, avec ces plus sincères excuses de t'abandonner dans de telles conditions, mais qu'il savait qu'il ne faisait qu'empirer la situation. Il laissa également une lettre à tes parents pour qu'ils puissent également prendre la situation en main. Il partit se terrer au confins de l'Enfer, ne voulant plus voir qui que ce soit.

quand vous l'avais luevous étiez dévastée...vos parents étais venu pour vous soutenir ! Mais vous étiez vraiment déprimé vous continué à vivre vos derniers instants jusqu'au jours ou vous étiez parterre votre petit frère étais à l'école et le reste de la famille travaillé vous étiez incontinent au sol

Alastor refusa de voir sa grande sœur, qui était donc seule pour gérer la situation. Elle te prit dans ses bras et te mit au lit avant de prévenir anonymement l'hôpital et tes parents. Elle repartit voir son petit frère, lui suppliant de lui ouvrir. Alastor, exaspéré par l'entêtement de Maëlys, finit par lui ouvrir. Le visage enfouie dans le col de son pull, Alastor avait bien mauvaise mine. Il avait maigrit, et ses yeux avaient ternie. Sa sœur se risqua à lui expliquer la situation. Au bout du rouleau, Alastor se résigna, et suivit sa soeur jusque dans le monde des vivants pour venir te voir.

les parents n'avais pas pue raipondre au multiplié appelle. Il se trouvais que vos yeux non pas seulement arrêté de fonctionné mais on plutôt explosé les veine étais surchargé actuellement vous étiez dans un lit d'hôpital inconsciente la seul chose audible étais le bruille des machines qui étais attaché à vous Maëlys avait laissé Alastor rentrer seul dans ta chambre, afin d'aller chercher tes parents et ton petit frère. Te voyant dans cette état était insupportable pour Alastor. Pourtant il restait là, à te fixer sans trouver le courage de t'approcher. Ses jambes le tenaient à peine debout. Il avança lentement est finit par s'assoir à côté de toi. Il effleura ta main de ses doigts tremblant. Des larmes silencieuses lui coulaient le long des joues.

votre plus étais de plus en plus Lent le petit frère arriva avec Maëlys

-Frère: coucou Alastor !

Entendant la voix innocente de ton petit frère, Alastor fondit en larmes. Il se blottit contre toi et te prit délicatement dans ses bras

- Ne me laisse pas... Je suis désolé...

Le jeune petit étais surpris de le voir dans cette état le jeune homme dit de sa voix d'enfant

- Frère: On peux m'expliquer se qu'il se passe avec ma grande sœur ?

dit t'il en gonflant c'est joue signe de mécontentement

Alastor ne répondit rien. Sa sœur soupira avant de se retourner vers ton petit frère

- Ta grande sœur ne se sent pas très bien...

- Frère: pourquoi ?

dit t'il en penchant la tête

- Frère: sa veut dire quoooooi ?

Maëlys soupira

- Qu'elle c'est endormi et que l'on ne sait pas comment la réveiller...

Le jeune homme ne comprendais  pas vraiment

- Frère: pourquoi ?

Maëlys lui répondit

- Ta sœur était très triste c'est dernier temps... ça n'a pas dû aider...

- Frère : pourquoi elle est trisste  ??

avent même que elle ne pue raipondre il dit

- Frère: es que c'est à cause des médicaments que j'ai mis dans son verre ?

Entendant ses mots, Maëlys se mit devant ton petit frère. Voyant la rage d'Alastor, elle l'entrava avec des ronces. Alastor pleurait. Il était complètement hystérique

- LÂCHE-MOI !

Sa sœur faisait de son mieux pour le retenir

- Al, je t'en prie, calme-toi !

le petit tribucha parterre il avait peur il tremblait et commençais à pleurais il ne comprenais rien à la situation Alastor essayait vainement de se maîtriser. Sa respiration était tremblante. Il tirait sur les ronces, quitte à se lacérer les poignets. A bout de force, Maëlys lâcha prise. Elle prit ton petit frère dans ses bras et se téléporta en lieux sûr.

-Frère: j-j'ai fait quoi de mal ?

dit t'il en tremblent de peur

Maëlys lui caressa doucement les cheveux

- Ce n'est pas de ta faute... Alastor n'est plus lui même.

- Frère: p-pourquoi ?

Maëlys soupira

- Alastor c'est bien trop attachée à {t/p}... elle lui est devenu totalement indispensable. Alastor a eu une enfance difficile. Depuis, les rares personnes qu'il apprécie deviennent surprotégée par sa rage et sa jalousie... quitte a détruire tout ce qu'il pense nuire à cette personne.

- Frère: mais je veut pas lui fair du mal je faut juste se que on m'a dit de fair...

- Qui t'avait dit de faire ça ?

-Frère: je sais plus

- Rassures-moi, ce n'est tout de même pas ta soeur qui t'a demandé de mettre ces médicaments dans son verre ?

- Frère: MAIS JE SAIS PLUS !!!!!!!

- Restons calme ! Rien ne sert de s'énerver, ça ne va pas faire avancer la situation ! On doit réfléchir... mais qu'est-ce qu'on pourrait faire ?

- Frère: j-je suis pas j-je veux juste que elle se réveil

dit t'il en baisent la tête

- Pour l'instant, je doute que l'on puisse revenir dans sa chambre. On pourrait aller chercher tes parents. Tu sais où est-ce qu'ils travaillent ?

- Pour l'instant, je doute que l'on puisse revenir dans sa chambre. On pourrait aller
chercher tes parents. Tu sais où est-ce qu'ils travaillent ?

Maëlys tenta de réfléchir à une solution. Pendant ce temps-là, Alastor était assit à tes côté, silencieux. Il te tenait délicatement la main. Alastor sentis votre faible emprise se fair sur sa main Alastor te regarda, en souriant tant bien que mal

- Je n'aurais pas dû t'abandonner...

qu'elle que minute passa avent qu'un léger frondonment venent de vous Alastor te passa une main tremblante sur l'épaule

- {t/p} ? Est-ce que tu m'entends ?

un léger ochement  tête si fit

Alastor ne pu s'empêcher de se remettre à pleurer

- Je pensais que tu ne te réveillerais pas... J'étais mort de peur...

-{t/p}: J-je suis bien plus forte que j'en et l'air hé...

Alastor te passa une main sur la joue

- Comment vont tes yeux ? Tu n'as pas trop mal ?

-{t/p}:  je v-vais bien...ne t-t'inquiète p-pas !

Alastor ne pu s'empêcher de te prendre dans ses bras

- Tout ça c'est de ma faute... je vais rester avec toi, je ferais de mon mieux pour t'aider, je te le promets...

je lui sourit même si ma voix étais faible je pus lui dire

-{t/p}: Merci...

- Je pensais que je ne ferais qu'empirer les choses en restant avec toi... comment est-ce que j'ai pu être idiot à ce point ?

-{t/p}: n-ne dit p-pas s-sa c'est faux !

- J'avais l'impression que la situation pouvait m'échapper à chaque instant... Je n'ai pas su faire autrement que partir... tu... tu m'as tellement manquée...

-{t/p}: Toi aussi t-tu ma manqué !

- Tu es aveugle, et c'est de ma faute...

-{t/p}: Non se n'est pas de ta faute j'ai...juste fait une overdose de médicaments....

- Pourquoi est-ce que tu as fais un truc pareil ?

-{t/p}: Je nais rien fait tu sais bien que je ne fairait jamais sa !

Alastor réalisa quelque chose. Il recommença légèrement à s'énerver. Il se blottit contre toi pour se calmer

- Ton petit frère a dit qu'il avait mit des médicaments dans ton verre...

-{t/p}: il a du juste se tromper après tous se n'est qu'un enfant s-sa arrive Al...A peine avait je fini ma phrase qu'jn bruille m'interpella et Alastor lui aussi visiblement se qui étais inquiétant c'est que Cettais près de ma chambre Alastor te garda dans ses bras, les oreilles dressées sur la tête. Il restait en alerte. Quelques bugs radio se firent entendre. Un petit garçon étais la il se trouvais que il avait réussi à venir sans que La grande sœur de Alastor sen rendit compte Alastor agita légèrement ses oreilles, ce qui le fit revenir à la normal. Ce souvenant de ce que tu avais dis au sujet de ton petit frère, il resta amical, un léger sourire au lèvres. il s'avença vers Alastor avent le lui fair un câlinAlastor le prit sur ses genoux

- Je suis désolé de t'avoir effrayer tout à l'heure...

- Frère: pas grave !

dit t'il avent de se réfugier dans les bras de sa grande sœur qui le pris directement dans c'est bras Maëlys déboula dans la chambre en panique. Quand elle vous vit tous les trois, elle souffla, soulagée

- Les choses se passent mieux que je le pensait on dirait !

-{t/p}: Yes !

Maëlys regarda son petit frère de haut en bas

- Al, tu t'es regardé ? Tu te souviens ce que c'est, la nourriture ?

Alastor rigola nerveusement

- Disons que j'ai peut-être perdu un peu de poids !

-{t/p}:  D'aaaaccord je suis la je vous rappelle !

Maëlys tourna son regard vers toi

- Pas grave, on en reparlera plus tard.

-{t/p}: D'acc !

Alastor partit à contrecœur. Il ne voulait plus être séparé de toi. Une fois toute présence d'infirmiers disparut, il revint sous sa forme de petite ombre.enfin quand a vous vous n'aviez pus passer cette nuit  le dernier son que vous entendi et tes celle des machine. Alastor se réveilla en sursaut, le bruit strident des machines lui vrillant les tympans. Il reprit son apparence normal et se retourna vers toi. Il n'avait pas envie de croire ce qu'il voyait. Des filets de larmes lui coulaient le longs des joues. Dans un dernier élan, il embrassa délicatement tes lèvres d'un froid cadavérique avant de disparaître en fumée jusqu'en Enfer. Il se cloîtra chez lui pour pleurer tout le reste de la nuit.

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BONJOUR BONSOIR J'ESPÈRE QUE SA VOUS A PLUS MERCI À

GoldenFreddy514756 POUR LES PERSSONAGE DE HAZBIN HOTEL ET MAËLYS !!!

SUR SE BIZOUUUUUUUU