Alastor alla dans la cuisine pour déposer la poche de médicaments. Il était 21h... Alastor t'appela

- {t/p} ! Tu n'aurais pas oubliée quelque chose par hasard ?

j'étais déjà entrain de m'enfuir dans ma chambre quand il m'a appeler

-{t/p}: nooon j'ai rien oublié =-="""

Alastor prit les médicaments nécessaire et une bouteille d'eau, monta jusqu'à ta chambre et toqua

- Ne fait pas l'innocente petite farceuse ! Tu n'as nul part où aller ! Alors ne me force pas à compter jusqu'à 3 !

j'éssaia de trouvais une cachet la seul que j'avais Cettais sous mon lit...bon bah pas le choix je me cache donc sous mon lit je sais je sais je vous voix râlé que c'est cliché mais j'ai aucune autre cachette donc fermervos geule lecteur ;-;

- 1... 2... 3 !
Alastor ouvrit la porte. Ne te voyant pas, son sourire s'agrandit

- Tu veux vraiment jouer à ce petit jeu avec moi ?

Regardant vers le lit d'un air espiègle, Alastor s'accroupit en face du lit. Il te prit par les chevilles et tira

- Trouvé ! Alors, bébé a finit son caprice ?

je croisa les bras

-{t/p}: Je suis pas un bébé !

- Mais si regarde ! Légère comme une plume !

Alastor te souleva pour te poser sur ton lit. Il s'assit à côté de toi

- Si tu ne veux pas prendre ton traitement pour toi, fait le au moins pour moi...

-{t/p}: D'accord...mais seulement celui pour la douleur !

Alastor soupira en remettant une de tes mèches de cheveux derrière ton oreille

- Je sais bien que ton traitement contre le stress te fait dormir, et l'ironie dans tous ça, c'est pour que tu puisses continuer à voir, ce qui n'a pas grand intérêt les yeux fermés. Donc, je ne peux pas vraiment te forcer... Je veux juste que tu apprécie la vie, peut importe le sens dans laquelle tu la tournes.

j'étais...abasourdie de se qu'il vien de dire...Je sourit et le câlina

-{t/p}: Merci de comprendre...

Alastor te rendit ton câlin

- Tes anti-douleurs ne dure pas très longtemps... prends les jusqu'à la fin, d'accord ? Ça te fera du bien.

je soupire en détournant le regard puis ocha la tête

Alastor te sourit timidement

- Je vois bien que tu n'as pas envie de les prendre... Crois-en l'expérience, ça aide beaucoup...

je lui sourit et ocha la tête à nouveau je prend les médicament avec hésitation et les avales

-{t/p}: pourquoi sa doit toujour avoir un aussi mauvais goût les médicament  ? =~=

- Très bonne question ! À l'époque, on avait droit aux piqûres aussi... C'était pas très agréable !

-{t/p}: Tu sais que on fait toujour sa ?

je ricanne légèrement

-{t/p}: sauf que matenant on a des pansements pour ne plus sentir la ou on va te piqué !

Je sortir une petite boîte de mon sac et y sortir les pansements en question

-{t/p}: Je les met quand je doit fair un vacin et du coup je ne sens rien.

Alastor remarque qu'il y avais aussi des scalpels des seringue ect...

Alastor regarda les scalpels avec un mélange de peur et d'envie

- Et qu'est-ce que tu fais avec tout ça exactement ?

-{t/p}: il y a 2 ou 3 ans je donné des cours privé sur la médecine et je les utiliser pour autre chose avent.

dis-je en m'étant la boîte sur ma table de nuit et en frottant légèrement mes bras

Remarquant que tu frottais les bras, Alastor fit vite le lien. Il était abasourdi... jamais il n'aurait pensé que tu avais déjà fait ce genre de chose

- Et as-tu continuer cet "autre chose" ? Répond moi honnêtement.

je frisonna a mon tour me rendant compte de la gafe que j'ai fait...Je soupire et dit

-{t/p}: Non puisque je voix...

Alastor soupira

- Tant mieux. Et ne songe même pas à remettre le nez là-dedans.

jensourot et ricanne légèrement

-{t/p}: Non ne t'inquiète pas de plus je n'est plus de raison valable

Alastor te sourit gentiment et te câlina

- Je suis content que tu m'en ais parlé. Je tiens à être préparé à tous les problèmes pouvant arriver...

je lui sourit et le câlina en retour...il y a des chose que j'ai dit à Alastor cert mais...Je ne veux pas tout lui dire...certaine chose doit rester...entre moi...et moi.la fatigue commençais déjà à arrivé et au même moment je voyais Luca passe devant chez y déposer une lettre et repartir J'yrais voir demain sans le vouloir je m'endormir en rendent le câlin de Alastor. Alastor s'allongea petit-à-petit sur le lit, tombant littéralement de sommeil. sans que je le sente et le geule mes joue se teint légèrement de rouge

Alastor dormait mal : il faisait un cauchemar. Il ne bougeait pas dans son sommeil, mais tu pouvais sentir quelques larmes te tomber dans le cou.

Il allait devenir fou. Mais il était trop épuisé pour parler... épuisé de tout. Sa soeur toquait à sa porte, paniqué

- Al, qu'est-ce que tu fous ?

- J'attends quelqu'un... j'attends la mort...

Des filets de sang dégoulinait des poignets d'Alastor jusqu'au sol. Maëlys réussit enfin à ouvrir la porte de son studio d'animateur radio. Elle se précipita vers son petit frère et se mit à genoux à côté de lui

- P... pourquoi t... t'as fait ç... ça ?

Alastor tourna son regard vers son bureau, avant de dire à sa soeur

- Fais-moi un beau sourire Maëlys... Je ne veux pas te voir triste...

Alastor ferma les yeux petit-à-petit, avec le sourire. Maëlys se releva en pleurant, et regarda sur le bureau d'Alastor. Une note y était posée. Elle crissa des dents en voyant le message... Si elle revoyait Caveas, elle le tuerai sans aucun remords.

je sentais les larme de Alastor j'aurais voulu le rassuré mais j'étais vraiment trop...fatigué pour ouvrir les yeux...j'ai éssaier oh moin...Alastor se réveilla péniblement en milieu de matinée. Il frotta ses yeux encore humide.et une mauvaise surprise attendait Alastor Luca étais devant la pote il semblait attendre qu'elle qu'un surment vous
Alastor se leva doucement pour ne pas te réveiller. Il alla dans la cuisine, quand il entendit du bruit à la porte d'entrée. Il s'habilla convenablement d'un claquement de doigt, avant d'aller ouvrir la porte. Voyant Luca, son sourire s'agrandit

- Tiens, quelle bonne surprise !

Alastor sortit dehors et referma la porte derrière lui pour ne pas que sa discussion avec votre ami ne vous réveille

- Que fais-tu ici ?

-Luca: H-hum j-j'avais e-envoyais u-un lettre à-à {t-t/p} p-pour que o-on puisse discuter de qu'elle que chose en p-privé...! E-et vous que faite v- vous chez elle ?!

Alastor avança d'un pas menaçant vers Lucas

- Je la protège des nuisibles comme toi.

au fils des pas de Alastor le jeune homme reculé tenant à sa vie

-Luca:  e-en quoi je suis nuisible ?!

Alastor laissa échapper un rire

- J'ai déjà vu bien assez de garçons tourner autour d'elle pour me montrer méfiant envers toi.

-Luca: j-je ne suis pas amour de {t/p} moi je veux la protège des fou comme vous qui tué c'est amis !

Alastor grogna. Il n'avait visiblement pas apprécier la remarque. Il agrippa le poignet de Lucas pour l'empêcher de fuir

- Tu ne peux pas comprendre mes motivations... Alors laisse moi te les expliquer dans un lieu plus calme et tranquille...

Alastor se téléporta avec ton ami au beau milieu de la forêt.il retira d'un coup sec son poignée de l'emprise d'Alastor et commença à s'enfuir dans cette grande forêt enneigé

Alastor le suivait, amusé par son désespoir. Il finit par lui bondir dessus et se mettre à califourchon sur Lucas

- Tu pensait pouvoir m'échapper ? Hahahaha ! Quelle naïveté !

Alastor griffa Lucas sur le torse, jusqu'à arriver sur la chair tendre de son ventre. Il y planta ses griffes, creusant jusqu'à son intestin. Alastor le déroula délicatement pour ne pas le déchirer et mordit dedans.
le jeune homme hurler de douleur mais il persisté à vivre il éssia ten bien que mal de s'accrocher à la vie se débattent de moin en moin des larmes de douleur coule sur c'est joue froide. Alastor lui murmura

- C'était un plaisir de te connaître, cher divertissement...

Il lui dévora l'entièreté des intestins, avant de s'attaquer au reste du corps de sa victime. Une fois cela fait, il cacha les restes du corps, se nettoya de la tête au pied et revint chez toi. Il voulait intercepter la lettre de Lucas, mais il arriva trop tard... j'étais assise sur le canapé entrain de lire le courié j'avais ressusune lettre de Luca me demandant d'aller le voir pour que on parle de qu'elle que chose de sérieux...sa c'est pas du tout lui Alastor te rejoignit

- Quelque chose semble te tracasser ma chère...

je le regarda et lui sourit

-{t/p}:  oh c'est juste Luca qui me demande de le rejoindre au parc pour que on puisse discuter d'un sujet apparament Important

- Peut-être un sujet d'horreur l'ayant perturbé ? En tout cas, cela l'intrigue également !

-{t/p}: c'est vrais que la plus pard du temp c'est pour me raconter une nouvelle histoire d'horreur ou pour me fair peur !

- Dans ce cas, allons y ! Nous prendrons quelque chose à manger sur le chemin !

je lui sourit et ocha la tête

-{t/p}:  je vais juste me changé

je me prend une bonne douche et mais un pull {c/p} qui étais légèrement grand donc je pouvais y caché mais main Cettais très agréable je mais un pantalon et je vais revoir Alastor.Alastor te sourit et prit délicatement ta main pour aller jusqu'au parc. Il prit quelques pain au chocolat au passage. je sourit tout en mangent mon pain au chocolat sur le trajet j'attendit donc Luca mais il n'étais pas venu...il changera donc jamais sur se point !Alastor attendit patiemment à tes côtés. le temp passe maïs perssone ne vien se qui m'inquièta de plus en plus...

- Peut-être a-t-il eu un empêchement. Y avait-il une heure ou une date sur sa lettre ?

-{t/p}: oui normalement il devait venir il y a qu'elle que minute matenant

- Je ne sais pas quoi te dire... A-t-il l'habitude d'être en retard ?

-{t/p}: oui mais pas hautent !

Alastor resta muet. Il foutait toutes ses chances en l'air avec toi...

je mérite

-{t/p}: il a du surment partir comme la dernière foix...

- La dernière fois ?

-{t/p}: les gens se moquer de lui car il étais ami avec moi donc il a déménager et vue que j'étais aveugle ...

Je baiser la tête un peux trisste...

Alastor retourna dans ses pensées. Il n'était pas très rassuré vis-à-vis de la situation...

-{t/p}: sa ne m'étonnerait même pas de lui...mais bon le passé c'est le passé !

- Ce n'est pas là-bas que l'on va... Cap sur l'avenir !

je lui sourit et rie légèrement et me leva

-{t/p}: et bien c'est pas en restent ici que on va avencer alors !

Alastor te sourit en retour. Il se retourna, et ce qu'il vit lui glaça le sang... Des policiers était là sur le parking... avec tes parents. Ils avaient dû donner une alerte sur ta disparition, ne recevant plus d'appel de toi. je me retourne aussi et vis la même chose...non pas cette foix je n'avais pas peur...et cette foix je ne veux pas fuir je soupire et le dirige vers la police ainsi que mes parents

-{t/p}: bien le bonjour !

ma mère se précipite vers moi me faisent un gros câlin et me posant des tonnes de question et aussi pour mon œil je leurs explique tous enfin je ne leurs et pas dit vraiment la vérité sur mon œil j'ai juste dit que j'ai eu un gros coup de stress mon père étais furax il me crié dessus mais moi baaah je men foutez un peux Alastor regardait la scène, emmêlé dans sa tristesse et sa colère. Il soupira. Il n'en pouvait plus. Il ne voulait plus te mentir. Il partit s'assoir dans le parc et commença à t'écrire, sur ces sentiments pour toi, la jalousie qu'il ressent quand quelqu'un t'approche, les pulsions meurtrières qu'ils en ressortent. Il mit l'adresse d'un petit immeuble abandonné près de chez toi, au cas où... Sous sa forme d'ombre, il glissa discrètement le mot dans ta poche, et partit.

après de long heure j'ai enfin fini pard fair comprendre à mon père que il est temp que je parte de la maison il parti avec ma mère furax je soupire regardent au tour de moi et je ne voyais pas Alastor j'appella sont nom mais il ne semblait pas être la...Je soupire et rentre chez moi en ésperent qui soit la mais perssone un petit papier tomba de ma veste je le pris et le lis...j'étais....surprise ? Il ma laissé une adresse...bah j'ai envie de savoir plus donc j'y vais Cettais près de chez moi et...Cettais...gloque...Je rentre dans l'immeuble abandonné et monta tout en haut je ne le trouvais nul pard donc je massois au rebord du toit sans crainte et regarde la vue pensif. Alastor te suivit discrètement jusqu'au toit. Il te demanda d'une voix calme pour ne pas te faire sursauter

- Pourquoi as-tu décidé de venir ?

-{t/p}: pour mieu comprendre.

dis-je tout en regardent la vue

Alastor soupira

- Poses-moi les question que tu veux. J'y répondrais.

-{t/p}: pourquoi...j'arrive pas à tent vouloir...

- Ça, je n'en sais rien...

je soupire et me lève

-{t/p}: pourrais tu m'expliquer...un peux mieu ta jalousie ?

Alastor détourna le regard, gêné

- Je n'ai jamais été comme ça avec qui que ce soit... D'habitude, je ne suis pas quelqu'un de vraiment sociable. Je suis tout le temps seul. Quand je vois quelqu'un avec toi, ça me met en colère, et ça me rend triste... Je ne sais pas comment t'expliquer ça autrement...

Je savais pas quoi dire vraiment...donc je laisse fair mon corp....Je lui fait donc un calin

Un peu surprit par ton geste, Alastor mit un peu de temps à y répondre

- J'admet que je ne comprend pas non plus comment tu peux apprécier quelqu'un qui a détruit ta vie...

-{t/p}: TA oublié juste en détail j'ai du mal a d'écrire mes sentiments et à les reconnaître -_-'

Alastor soupira

- Peu importe, ça n'a pas d'importance. Ton entourage n'est pas en sécurité avec moi. Tu devrais retourner chez toi.

je soupire

-{t/p}: m'oblige pas à te fair du chantage pour que tu reste.

- Je ne cède pas au chantage. Je conclus des marché à longueur de temps, j'ai l'habitude d'avoir l'esprit forgé à ce genre de choses..

-{t/p}: Même si je prend plus mes médicament ?

Alastor soupira, sans pouvoir s'empêcher de sourire

- Tu as toujours le dernier mot dis-moi !

je rie légèrement

-{t/p}: Toujour et a jamais !

- Eh bien, tu ne me laisse pas le choix.

Alastor te souriait, quand il se prit une claque derrière la tête. Il se retourna, surpris

- Maëlys ?

Cet dernière grogna

- Fait pas l'innocent avec moi, abruti ! Je sais ce que tu caches !

Alastor la regarda d'un air interrogateur. Maëlys baissa d'un ton

- Attend, t'es pas au courant ?

Alastor haussa les épaules. Sa soeur soupira et lui montra une lettre marquée d'un sceau

- T'es embauché de force par la patronne.

À ses mots, Alastor pâlit.

-{t/p}: on peux m'expliquer ?

Maëlys tourna son regard vers toi :
- La tour SA, la purge du travail ingrat. Quand tu t'embourbe dans ce merdier, en sortir, c'est une autre histoire. Nos parents travaillent là-bas, ainsi que quelques bonnes connaissances. Notre mère... c'est elle la patronne... et elle est a prendre avec des pincettes.

-{t/p}: d'accord mais logiquement vous ne pouvez pas retourner en enfer a moin que vous récupère le livre que mon petit frère à ! ....oh merde.

Alastor soupira

- Alors il vaux mieux se dépêcher, si on ne veux pas mettre "la patronne" en colère. Tu sais où ton petit frère a pu mettre le livre ?

-{t/p}: il doit être dans sa chambre la ou il y a mon père furax et ma mère qui sont à 8 heure de route d'ici

Maëlys répliqua à Alastor

- Toi, tu viens avec moi ! On va récupérer ce putain de bouquin !

Elle se retourna vers toi

- Il vaut mieux que tu restes en sécurité. S'il t'arrive quoi que ce soit, je connais un cervidé sans cervelle qui va me botter le cul comme jamais !

j'ocha la tête

-{t/p}: faite attention à vous

Alastor et sa soeur se téléportèrent chez tes parents. Maëlys regarda la maison depuis le jardin

- Eh bien... L'ambiance est encore plus pesante qu'en Enfer, on dirait. Bon, toi, tu fais le guet. Moi, je vais chercher le gamins.

Sans qu'Alastor ait le temps de répliquer, Maëlys partit à la chambre de ton petit frère.

le jeune garçon étais entrain de joué tout seul il semblait déprimé

Maëlys apparut dans un coin de sa chambre. Elle s'approcha et s'accroupit à côté du petit garçon

- Ça n'a pas l'air d'aller fort, dis-moi...

il se tourna vers Maëlys qui elle remarqu'a que  il avait un pansement sur sont nez qui semblait saigner encore un peut. Elle s'assit à côté de lui et le prit dans ses bras

- Qu'est-ce qui t'es arrivé ?

-Frère: i-ils mon frappé à l'école...

dit t'il en reniement un peut. Maëlys grogna légèrement

- Pourquoi ont-ils fait un truc pareil ?

Maëlys lui fit un bisou sur le bout du nez pour le réconforter. Il essuie c'est petite larme au coin des yeux

-Frère: i-ils se sont moquer de moi d-donc...j-j'ai dit que grande sœur a-aller v-venir e-et que Cettais une adulte...i-il mon pas crue e-et il mon frappé ah nez..

Maëlys le câlina

- S'ils osent lever la main encore une fois sur toi, ils vont mal finir, crois-moi. Mais pourquoi se moqueraient-ils de toi ?

-Frère: car shui petit...

dit-t'il en baisent la tête.Maëlys lui sourit tendrement

- Ils sont peut-être plus grand que toi, mais s'ils agissent comme ça, ils sont aussi beaucoup plus stupide !

il lui sourit et la caline

-Frère: dit comment va grand sœur ?

- Elle va bien, rassures toi... Mon petit frère est un vrai garde du corps ! Si quelqu'un approche ta soeur de trop près, il fera pas long feu !

il rigola

-Frère: sa m'étonne pas !

- Au fait, est-ce que tu aurais un livre qui t'aurais permis d'invoquer Vox et Valentino ?

il ocha la tête

-Frère:  papa la mis dans le grenier il veut plus que j'y touche.

- Génial, j'ai plus qu'à chercher... Attend une seconde... ton père sait que tu as invoquer des démons ?

-Frère: il croie que c'est des amis imaginaire

Maëlys réfléchit un instant

- Tu voudrais venir voir un peu ta soeur ? Je vais chercher le bouquin, et je t'amène la voir si tu veux !

-Frère: OUUUUUI !!!!!

Maëlys lui sourit et partit chercher le livre. Pendant ce temps, Alastor regarda tes parents par la fenêtre comme s'il regardait une mauvaise comédie.qui d'ailleurs se disputer quand la mère cria

-Mère: C'EST BON TU LA CHERCHER JE DEMANDE LE DIVORCE !!!

-Père: le divorce ?!

-Frère: divorce ?!

Alastor resta sans voix. Quand il vit ta mère monter dans sa chambre en pleurs, il se décida à aller voir. Il ne voulait pas laisser ta mère s'enfoncer dans les problèmes du divorces. Il fallait qu'il l'aide. Il se téléporta à la porte de sa chambre et toqua timidement.

Mère: Quoi ?!

Alastor entra et referma la porte derrière lui. Sachant qu'elle avait des chances de mal réagir, il s'expliqua

- Écoutez, je ne suis pas ici pour faire du mal à qui que ce soit... pas comme la dernière fois... J'aimerais beaucoup vous aider. {t/p} serai vraiment triste de vous voir dans cet état...

la mère fut surprise mais elle n'avais pas peur, elle éssuis c'est larmes

-Mère: je sais...

Alastor lui sourit

- Quel est le motif d'une telle dispute ?

-Mère: {t/p}...

Alastor soupira

- Votre fille n'est pas une raison valable de se disputer. Elle est grande, et il est grand temps qu'elle prenne ses responsibilités. Cela ne veut pas dire que vous ne la verrez plus. Mais votre rôle est de la conseiller... pas de l'emprisonner.

-Mère: c'est se que j'éssaie de dire à cette idiot mais il ne veut attendre !

- On trouvera une solution pour le raisonner. Pour l'instant, prendre ses distances serai une bonne solution. Il a besoin de prendre du recul dans un milieu calme. Ça ira mieux après.

elle soupire

-Mère: j'éssaie de lui dire...il ne veux entendre perssone...il a juste peur qu'elle meurt quand elle n'est pas la..Après tous sa se comprend il ne lui reste 7 a 8 pour voir et puis...Après elle pourrais en mourir de trisstésse c'est pour sa que il veux la garder à la maison...

Alastor lui passa une main sur l'épaule, malgré qu'en dehors de toi, les contacts physique le mette mal à l'aise

- De tous ce que j'ai vu de votre fille, elle est très débrouillarde. Elle a des rêves qu'elle veut atteindre. Elle veut les réaliser, elle a la passion et la motivation ! Je sais bien que votre fille n'est pas appréciée par beaucoup de personne, mais elle a tout de même des amis. Elle ne sera jamais seule.

Elle sourit

-Mère: Merci beaucoup...

Alastor lui sourit en retour

- Si vous souhaitez voir votre fille, je sais où elle est. Je pense que ça lui ferait plaisir de vous revoir en dehors de ce cadre tensionnel.

-Mère: j'aurais bien voulu mais je doit allé travail se soir

- Aucun problème ! Si vous souhaitez la voir appelez-la, elle me fera passer le mot, et je pourrais venir vous chercher.

Elle sourit et ocha la tête

- Je suis désolé, mais je vais devoir y aller, ou je vais me faire tirer les oreilles par une soeur un peu trop colérique !

Alastor fit un sourire radieux à ta mère avant de rejoindre sa soeur dans le jardin.

-Frère: Coucou !

dit-t'il en se jetant dans c'est bras avec son pansement sur le nez

Alastor le prit dans ses bras

- Eh bien, tu as voulut jouer le trouble fête on dirait !

Il leva le regard vers sa soeur

- Tu as le livre ?

Maëlys acquiesça

- Affirmatif ! On peut y aller !

-Fère: Ouuui !

Tous les trois se téléportèrent jusque chez toi.

j'étais à moitié entrain de dormir j'éssaie de ne pas m'endormir quand j'entendi Maëlys et Alastor arrivé ! Et...MON PETIT FRÈRE !!!

-{t/p}: FRENGIN !

Je me jeta sur lui et le câlina et lui aussi

-Frère: shui trop content de te voir !

-{t/p}: moi aussi !

Alastor vous regarda en souriant quand il se prit un coup de livre dans le dos

- Ça te plaît tant que ça de me frapper ?

Maëlys lui sourit

- J'essaye de rattraper le temps perdu !

Malgré son mécontentement, Alastor ne pu s'empêcher de la prendre dans ses bras. on sourit tout deux on je pris mon frère dans mes bras

-{t/p}: vous avez le livre A se que je voix !

Maëlys te sourit

- Exact ! On va pouvoir aller voir ce que mijote la folle qui nous sert de mère !

-{t/p}: bon courage en tous cas !

Alastor te sourit. Maëlys donna un coup de poing dans la couverture du livre. Un oeil rouge s'ouvrit et s'exclama rageusement

- Bon sang, est-ce que tu peux pas demander comme tout le monde quand tu veux aller quelque part ?

Alastor soupira

- Excuse la, elle est un peu sur les nerfs... Est-ce que tu pourrais nous emmener à la tour SA s'il te plaît ?

Le livre, nommé simplement l'Artefact, déclara

- C'est d'accord, mais c'est bien parce que c'est toi !

l'Artefact tourna le regard vers toi

- Ces deux là viennent avec nous ?

-{t/p}:Je suis pas sir que sa soit une très très bonne idée de nous amène la bas

-Frère: Ooooh...;-;

L'Artefact déclara

- Dans ce cas, on y va tous les trois ! Destination tour SA !

Le livre s'ouvrit et se mit à rayonner avant de disparaître avec Alastor et Maëlys dans un éclair violâtre, pour atterrir à l'accueil de la tour.

-{t/p}: jeux vidéo ?

-Frère: JEUX VIDÉO !

on sa soit devant la télé et prend nos manette de jeux et commence à jouet et bah je rage déjà ! Alastor et Maëlys furent accueillit par Joe, une créature squelettique qui se voulait autoritaire, mais qui était plutôt du genre à entraîner les autres dans sa feignantise. Il regarda Alastor avec le sourire

- Salut le bleu ! On dirait que tu t'es fais rappliqué en vitesse. La patronne t'attend... Seul. L'ascenseur est au bout du couloir.

Maëlys s'exclama

- Il est hors de question qu'il y ailles seul !

Joe soupira

- Désolé, mais c'est comme ça.

Joe disparu sans un mot de plus. L'Artefact déclara

- Rassures-toi la brute, je vais y aller avec lui !

L'Artefact se mit à railloner jusqu'à disparaître et fusionner avec l'esprit d'Alastor. Il était maintenant le seul à pouvoir l'entendre. Alastor déclara

- Ne t'inquiète pas soeurette, je reviendrais en un seul morceau !

Alastor prit l'ascenseur et monta jusqu'au bureau de sa mère.De mon coter je discuté tout en jouent avec lui aparament les parents bon divorcé  je sais pas comment réagir à sa et j'ai beaucoup de mal a y croire si ils son heureux chaque de leurs coter sa me va je veux juste qu'il soit heureux ! Alastor souffla un bon coup et entra dans le bureau de sa mère. Elle l'accueillit avec un sourire effrayant

- Assit-toi.

Alastor obéit sans broncher

- Pourquoi voulais-tu me voir ?

Sa mère déclara

- Comme tu le sais, une fois par an, je te demande un petit service en échange d'une liberté complète. Alors voilà ce que je vais te demander... Je veux que tu tues {t/p}.

Alastor se leva brusquement de sa chaise

- Pas question ! Plutôt mourir que faire une chose pareil !

Sa mère se leva calmement sans perdre son sourire

- Alastor, cette fille nuit à mes affaires. Tu l'aime, et je ne peux pas accepter ça. Alors soit je t'enferme et te laisse mourir dans ton éternelle solitude, soit tu la tues sans broncher, vu ?

j'éternua...on a parler dans mon dos...!

-Frère: Tu éternue comme un chaton !

-{t/p}: le dit à perssone !

-Frère: oki :3

Alastor déclara sans hésitation

- Je ne la tuerai pas.

Sa mère répliqua

- Dans ce cas, bienvenue à ta seconde mort.

Alastor se fit téléporter dans une salle entièrement noir. L'Artefact lui dit

- Je vais aller chercher de l'aide !

Sur ses paroles, L'Artefact se téléporta jusqu'à Maëlys et lui expliqua la situation. Maëlys grogna

- Je vais me la faire celle-là !

Mais, sans même qu'elle est le temps de réagir, un immense écran descendit du plafond pour leur bloquer la route

- Nous vous remercions de votre visite ! Bonne fin de journée !

Le robot les téléporta jusque chez toi. Maëlys et l'Artefact s'écrasèrent sur le sol de ton salon.

-{t/p}: euh...ça va ? Il est ou Al ?

Frère: JE TES BATTUE ENCORE !!!

-{t/p}: mais ;-;

Maëlys reprit ses esprits et se releva. L'Artefact lui... flottait. Maëlys l'attrapa

- Où l'a-t-elle emmener ?

L'Artefact répondit

- Au bloc d'emprisonnement... Il a refusé de lui rendre le service qu'elle voulait.

Maëlys s'exclama

- Pourquoi a-t-il refusé ?! Il est devenu fou ?!

L'Artefact soupira et se retourna vers toi

- Sa mère lui a demander de te tuer.

j'étais abasourdie pourquoi tué une simple humaine ?!?!

-Frère: sa veut dire quoi tué ?

-{t/p}: je t'expliquerai quand tu seras plus grand...bon sinon comment on fait pour Alastor ?

Maëlys soupira

- Pas la moindre idée...

L'Artefact compléta

- Sa mère a mit une barrière. On ne peux plus se téléporter là-bas.

Quand quelqu'un se téléporta prêt de vous. Maëlys s'exclama

- Joe ? Depuis quand tu peux sortir de la tour SA ?

Ce dernier lui déclara

- Personne t'a dit que je pouvais... Mais j'avais envie. La nouvelle a vite fait le tour des bureaux. Al va mal finir. Heureusement que je vient avec un plan.

-Frère: un plan comme les super héros ?! * ^ *

va falloir que grand frère arrêté de lui fair regardé c'est genre de film...

Joe lui sourit

- Exact. J'ai mon pass d'employé. Je peux donc me téléporter là-bas. Le problème, c'est que l'énergie démoniaque inconnu se ressentirait dès votre arrivé... sauf si vous en avez pas, comme toi par exemple.

Joe te pointa du doigt. pourquoi faut toujour que je soit impliqué dans des merde comme sa...

-{t/p}: D'aacord sauf que je ne connais pas du tout cette endroit moi...

Joe répliqua

- T'inquiète pas pour ça. Je te guiderai. Par contre, va falloir te fondre dans la masse.
Joe claqua des doigts pour changer ta tenue. Il te vêtit d'une tenue de travail adéquat.

-{t/p}: d'accord Sa allaire simple dit comme sa

Je le sens TRÉÉÉÉÉÉÉS mal cette histoire

- Dans l'ensemble, ça l'est. Les employés se fiche pas mal de ce qui les entours. Les deux personnes qui te causeront des problèmes, c'est OScar, un robot casse pied au possible, et bien entendu la patronne. Elle est aussi flexible qu'une barre d'acier quand il s'agit de négociation.

-{t/p}: Et bien pour OScar on pourrait tous simplement l'éteindre non ?

- La centrale d'alimentation de ce crétin est juste avant le bureau de la patronne. On pourra pas la louper. Alors, t'es partante ?

-{t/p}:  Je suis partante !

- Alors ne perdons pas de temps !

Joe posa une main sur ton épaule et vous téléporta dans une petite salle de réunion. Il n'y avait personne dans les alentours.je regarde au tour de moi...j'arrive pas à me fair au téléportation moi....!

-{t/p}: bon...Je te suit !

Joe vous guida dans les couloirs, quand l'écran d'OScar descendit du plafond

- Que fais-tu en dehors de ton poste Joe ?

Ce dernier répliqua

- Tu me connais, la paresse est un travail de toute instant.

OScar se tourna vers toi

- Qui êtes-vous ?

Joe grogna

- C'est une stagiaire. Va pas lui foutre les boules dès son premier jour... à moins que tu veuilles que je fasse un rapport sur toi à la patronne.

Oscar répondit précipitamment

- Non je te crois ! Je compte sur toi pour l'aiguiller !

À ses mots, OScar disparu. Joe continua son chemin avec toi

- Quel fouineur, c'est pas croyable...

je me retenais de rire légèrement Cettais assé drôle de sa réaction...et surtout du mensonge aussi ! Après avoir déambuler dans les couloirs un long moment, Joe vous invita à prendre l'ascenseur. Il appuya sur le bouton de l'étage le plus bas

- On va au bloc d'emprisonnement. Malgré le nom, c'est l'étage le plus grand de la tour. Disons que la torture, c'est le passe-temps favori de la patronne.
L'ascenseur se referma pour descendre jusqu'en bas.

-{t/p}: c'est bien se que j'ai remarquer mais à quoi resemble cette étage ?

faite que sa ne soit pas tous noir...

- Ça dépend... Le bloc d'emprisonnement est fait de plusieurs pièce. Les salles de torture sont appelé "les piqûres de rappel". Selon la personne s'y trouvant, la pièce va adopter la composition d'un souvenir traumatique pour la personne. Après dans les couloirs, soit c'est éclairé à te brûler les yeux, soit il y a une panne de courant.

....ME BRÛLER LES YEUX ?!!!!

-{t/p}: euh...Me brûler les yeux...?

une frisson me parcourus il .e reste que 7 ans a 8 ans pour voir ! Je tien a gardé le peux de vue que j'ai ! Joe rigola

- Détends-toi, c'est juste une expression ! Mais vaudrait quand même mieux que tu portes ça.

Joe te donna une paire de lunette de soleil. je rie nerveusement et mais les lunettes de soleil pour...mon seul œil...sa fait bizzare dit comme sa bien entendu je remercie joe

- Pas de quoi !

L'ascenseur s'arrêta et s'ouvrit.

-{t/p}: je te suit !

sa fait bizzare d'avoir les lunette de soleil...en hier. Vous marchez un long moment, avant de trouver une des salles fermée à clé. Les salles sont insonorisé, donc on ne peut pas savoir qui est à l'intérieur

- Il semble y avoir quelqu'un dans celle-là. Il faut juste trouver le code pour l'ouvrir.

Chaque code est propre à la personne se trouvant à l'intérieur. Si Alastor est bien dans cette salle, alors j'ai bien une petite idée... Une fois dans la pièce, il faudra sortir Alastor de ce sale souvenir.

- Laisse-moi juste essayer quelque chose...

Joe tapa la date du 1er Décembre 1933. La porte eu un déclic et s'ouvrit sur un portail

- La patronne est d'un sadisme total...

-{t/p}: bon matenant faut retrouvais Alastor

nous rentrons tous les deux dans la cellule en prenant soin de bloquer la porte pour ne pas qu'elle se ferme derrière nousmVu la date qu'avait tapé Joe, il savait déjà dans quel souvenir ils allaient atterrir. C'était le jour de la mort d'Alastor. Dans ce souvenir, Alastor était dos à vous assit à son bureau. Il pleurait. À sa droite se trouvait Caveas, un sourire satisfait au visage

- Tu savais que cela arriverait un jour petit frère. Je dois admettre que la vie ne t'a pas fait de cadeau. Je me demande ce que la mort te prépare...

Le Alastor du présent ne regardait même pas la scène. Il était dans un coin de la pièce, à supplier

- Pitié, sortez-moi de là...

je me diriger vers le Alastor du présent directement je le pris dans mes bras pour le rassuré

-{t/p}: Hey Alastor.

Alastor leva à peine la tête

- {t/p} ? Comment es-tu arrivée ici ?

La scène de sa mort continua. Caveas cria sur petit frère

- À ton avis, qu'est-ce que papa et maman vont penser quand ils sauront ce que tu es ? Un cannibal !

Caveas quitta la pièce en déclarant

- Il n'y a pas de retour possible frangin. Fais ce que tu veux, je m'en fiche.je lui tent la main et lui dit

-{t/p}: et si on sortais ? Je te dirait tous en chemin.

Alastor prit timidement ta main pour te suivre. La dernière chose qu'il vit était son lui du passé s'ouvrir les veines et la lettre de suicide qu'il laissa sur le bureau de son studio, pour sa grande soeur qui n'allait pas tarder à arriver. je fit sorti Alastor de cette cellule

-{t/p}: Tu va bien ?

Alastor resta muet. Il fixait le sol.je soupire

-{t/p}: bon Joe tu peux nous ramène ?

Joe te répondit

- Vaut mieux. J'entends quelqu'un.

Il vous téléporta tous les deux chez toi et repartit à son lieux de travail, comme si ne rien était.....Je tombe comme une pure merde....

-{t/p}: Aïe...!

-Frère: ça va ?

-{t/p}: oui oui !

Alastor t'aida à te relever. Il ne disait toujours rien. Sa soeur le prit dans ses bras en te demandant

- Qu'est-ce qui c'est passé ?

Je soupire et commença et tout lui raconter jusqu'à j'éternu...et bien sûr c'est toujour un bruille de chaton qui éternue malheureusement !!!!! J'étais rouge de honte et mon père frère rigole de plus belle Maëlys tenta de consoler Alastor. Il resta insensible au réconfort de sa grande soeur. Il te regarda. Il s'était dit que te voir lui rendrait toujours le sourire. Au lieu de ça, Alastor enfouit son visage dans l'épaule de sa soeur et éclata en sanglots.
j'étais vraiment trisste pour Alastor donc j'éssaia aussi de le consoler mon petit frère ne savais pas trop quoi fair et ne comprenait pas se qui sa passeAlastor parla d'une voix tremblante

- Je voulais pas être comme ça...

je soupire et fini pas le caliné Alastor avait encore quelque larmes qui lui coulait le long des joues, mais il trouva la force de te faire un léger sourire. je lui sourit également en ésperent que sa lui fait plaisir et que sa lui donne un vrais sourire.

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BONJOUR BONSOIR J'ESPÈRE QUE SA VOUS A PLUS MERCI À

GoldenFreddy514756 pour les textes d'Alastor et des autre perssonage de Hazbin hotel

Sur se BIZOU