𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 4 :𝐴𝑟𝑎𝑔𝑜𝑟𝑛
Cette nuit là, dans le lit agréable des elfes, je ne trouvais pas le sommeil.
Les paroles dites au conseil se répétait en boucle dans ma tête. Et me décision de faire parti de la compagnie ... Que m'avait il prit ?
Moi qui n'étais jamais sortit du Gondor et qui ne vivait l'aventure que dans mes livres ...
Trop d'informations tourbillonnaient dans mon esprit. Je me levai et sorti dans la soirée fraîche. Un petit air circula autour de mes mèches et je poussais un profond soupir.
J'aperçus alors, du haut de ma terrasse, Aragorn en train d'arpenter le jardin l'air ailleurs. Je descendis le rejoindre.
- Belle soirée n'est ce pas ? Dis-je timidement.
Il se retourna et me regarda avec bienveillance.
- Oui, la journée de demain sera belle. Parfaite pour un départ.
- C'est une bonne chose alors.
- Oui.
Nous restons silencieux.
- Boromir à fait allusion à votre mère au conseil. Dit Aragorn avec douceur.
- Oui...Elle est morte. Dis je en baissant les yeux. Lors de mes six ans ... On m'a toujours dis que c'était une créature maléfique qui l'avait tué ...
- Ma mère aussi est morte. Dit il.
- Je suis désolée ! Dis je en levant les yeux.
Il me sourie.
- Ce n'est pas grave ... Nous ne pouvons changer le passé... Mais créer notre futur.
- Oui ... Je suppose. Vous êtes le futur seigneur du Gondor ? Demande-ai-je avec timidité.
- Je ne souhaite pas l'être.
- Ah... Pourtant vos ancêtres ...
- Oui. Mais l'intendant est celui qui règne.
- Ce n'est pas mérité ! M'insurgèrent. C'est vous le roi légitime !
- Nous verrons en temps voulu. Pour l'heure, l'anneau est notre préoccupation.
- Oui... Il me fait peur.
Aragorn se tourna vers moi.
- Il effraies tout le monde par sa puissance et par sa capacité à nous corrompre le cœur.
- Sans doute...
Mes yeux commencèrent à s'engourdirent. Finalement, j'étais fatigué.
- Bon je crains de devoir me retirer. Dis-je.
- Très bien. Aller vous reposer.
J'allais partir lorsqu'Aragorn m'arrêta.
- Attendez !
Je me retournai.
- Oui ?
- Ne craignez rien, si vous avez besoin je vous protegèrez.
- Merci. Dis-je, émue.
Je rejoignis ma chambre et replongeais dans les draps chauds. Mes yeux se fermèrent et je plongeait dans un sommeil ampli de monstres et de rois.
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