Chapitre 8

Depuis qu'on avait réussi à découvrir le sens de cette prophétie. On avait eu droit à une charmante visite de Lady Arista et son super nouvel ami, ironie quand tu nous tenais, James Brown, c'était fou on dirait M Whitman mais en plus vieux de dix ans, alors qu'on était en train de discuter dans le bureau de Gid'. J'approchai de la fin du deuxième trimestre de ma grossesse du coup j'avais tout le temps faim. C'était marrant on mangeait n'importe quoi par terre c'était limite si le sol n'était pas rempli de nourriture vu que Gid' sortait toutes les deux secondes une blague pourri vous savez celle qu'on nous répète tout le temps en primaire.

Bien sur, Lady Arista dans toute sa splendeur nous engueula de manger à une heure pareille, il était presque 19 :00 mais bon on mangeait à l'heure qu'on veut, elle n'allait pas nous faire la morale quand même. Apparemment, elle jugea bon de le faire. Elle nous avait fait la morale comme quoi en mangeant à des heures non respectables et que nous serions de mauvais parents. Elle croyait qu'elle était une bonne mère, elle ? Elle avait vu comment tante Glenda avait fini ? En plus, elle faisait du favoritisme avec ses enfants. Ok, j'avouais là que mes hormones me rendaient plus émotives. En même temps, avec Lady Arista qui nous a faisait un gros caca nerveux pour nous dire qu'on était trop jeune pour avoir un enfant et ensuite elle parla à Gidéon en mode normal par contre moi c'était comme si j'étais invisible. Sympa la famille et quand elle me parlait c'est pour m'engueuler. J'adorais cette famille franchement on ne pouvait pas rêver mieux.

Si Lady Arista était venu nous voir enfin plutôt Gidéon parce que moi eh bien elle s'en batait les steaks donc elle était venu demander à Gid' un service.
« Que se passe-t-il Lady Arista? Demande Gidéon
- Je me demandais si tu pouvais faire entrer dans le Cercle d'Intérieur mon ami James Brown
-Il ne s'occupe pas de ça il faut demander à Falk, m'exlamais-je agressivement.
- Je ne crois pas qu'on t'ait demander ton avis, me répondit-elle encore plus agressive que d'habitude.
-Ne lui parlez pas comme ça. C'est votre arrière petite-fille comment pouvez lui manquer de respect?
- Elle fait que des bêtises énormes et elle déshonore la famille Montrose, récita-t-elle comme une poésie
- Il faut grandir un peu Lady Arista. Vous tenez des propos d'une personne du 18ème siècle. Vous seriez bien entendu avec le comte de Saint-Germain.
- Je pense que ça ne sert à rien de rester plus longtemps ici, James. Les jeunes n'ont plus de respect envers leurs aînés.»
C'est sur ces paroles que Lady Arista et Mr Brown partirent de façon aristocrate et hautaine.

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